Décris-moi un mouton

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Rappel pour vaccinés zélés : Le pass sanitaire vous autorise à manger tranquillement dans un restaurant , certainement pas à juger des gens qui se battent pour leur Liberté .

Signé un ami gratteur qui vous veut démangés et dérangés .

P.S : Ne cherchez pas l'oiseau , fusillé ce week-end par un peloton de gilets oranges , chargés au pinard et traditions débiles .

Banni

@1tel44 : tu grattes là où ça démange, éhé. Sur ce chemin-là, je te rejoins, camarade .

Il était une fois une grue sauvage nommée Mei-Li.
Comme tous les oiseaux de son espèce qui sont des migrateurs, elle adorait parcourir de vastes contrées,
portée par les vents ascendants qui lui permettaient d'admirer en toute liberté les splendeurs de la nature.
Un jour où elle se trouvait au Japon, elle vit à travers une fenêtre de l'hôpital une petite fille prénommée Sadako.
Elle était en train de fabriquer des dizaines de grues en origami.
Intriguée, elle s'approcha et fut émue de la voir si zélée pour les réaliser malgré son état de santé
qui se dégradait de jour en jour. Elle lui en demanda la raison et Sadako lui dit :
" si j'en confectionne 1000, comme dit la légende, mon voeu de guérir de la leucémie sera exaucé.
Vois-tu, j'ai cette maladie à la suite des radiations nucléaires de la bombe atomique que j'ai subies ici-même à Hiroshima ".
Hélas, elle n'eut le temps d'en faire que 644, la maladie l'emporta alors qu'elle n'avait que 12 ans.
C'était en 1955, il y a 66 ans. Depuis ce jour, Mei-Li voyage aussi pour porter à travers le monde son symbole
qui n'est plus que celui de la longévité, car il est aussi devenu depuis le symbole international de la paix et de la solidarité.
En 1958, un monument a été érigé dans le parc du Mémorial de la Paix à Hiroshima.
Il représente Sadako tenant une grue en or dans ses mains.
Il commémore Sadako et les milliers d'enfants victimes du bombardement d'Hiroshima.
Sur son piédestal, se trouve l'inscription :
« Ceci est notre cri. Ceci est notre prière. Pour construire la paix dans le monde ».
Avec son amie, la biblique colombe, elles ne sont pas trop de deux, n'est-ce pas,
pour faire entendre cette prière à tous les hommes sans foi ni loi !
Puisse t-elle un jour porter ses fruits !

statue de Sadako.jpg

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Si j'étais un oiseau, je ne serais sûrement pas zélé, je profiterai de mes ailes sans excès de zèle.
Je ne serais sûrement pas migrateur, mais plutôt mi-gratteur, j'irai gratter quelques miettes chez la voisine, j'irais gratter un peu de foin aux campagnards du coin, je serais peut-être même un coucou, qui laisse son bébé coucou sans dire coucou. Drôle de liberté

Banni

@heidi : Juste une envie de déployer ses ailes avec ces 4 mots .........

C’est sans doute un drôle d’oiseau de moire bleu nuit, aux reflets d’argent. Un oiseau migrateur? ou de passage ? . Il a des ailes, c'est sûr. Moi des rêves. Pour un peu on serait pareils.

Il vole dans tous les sens, je marche dans le bleu. . Et il trempe son bec dans les bleus de mon âme

Il dit toujours qu’un mot comme la Liberté ca ne se murmure pas . Ca se chante, ça se crie, ça se pleure. Ca s’écrit sur des murs ou sur la peau

C’est sûrement un oiseau rare volant au gré des vents d’hiver pour quelques voyages fantasques.

D’un coup d’ailes, il brasse la vie. caresse les eaux des tourments des hommes

Et le voilà qui s'élève, librement, ivre et zélé , loin des cales et prisons à idées.

Ma liberté je l ai acquise au long d une vie bien remplie .j etais tellement zélée, toute ma vie au travail, que j etais comme prisonnière.
Maintenant je déplie mes ailes ,je n ai plus d attache ,je reprend ma liberté....comme d autre la clé des champs
Je suis cet oiseau migrateur épuisé par le vent ,la distance parcourue mais je vole enfin pour moi-même
Je défie vent et marré, j avance difficilement .
Je trébuche une fois à terre ,mes ailes sont un handicapes je ne sais plus marcher au milieu de ce monde bien huilé ,bien trop parfaitement établit
Tout tourne si bien le reste du temps ,tu t attelles a la tache qui t es dévolue, tu trimes , coures, ne regardant pas plus loin que tes pieds .
Et un jour, un seul tu tombes par mégarde et la tout s écroule sans prévenir, tu fais partie alors des perdants, tu froles la folie dans l indifférence la plus complète
Les mots ne t atteignent plus, ils te transpercent et mon dieu que ce monde est cruel .
Ne jamais se retourner sur le passé c est la seule solution mais tu es dans un tel désarroi que tu ne vois plus que cela .....
Alors ma liberté je l ai arraché a ceux qui m avaiit déjà quasiment tout pris ,aujourd'hui ,ils ont réquisitionné mon casier, qui n etait que la ou apparaissait encore mon mon.
Pour eux je n existe plus je suis déjà morte peu importe, ils ont réussi, j ai échoué.....
Mais au fond de moi je sais surtout que je ne laisserai plus personne m annihiler ainsi
Je déploie mes ailes et réfléchis déjà à quel est mon prochain chemin.....
Je trépigne d impatience, je sifflote ,je chante même et depuis j ai rencontré des gens extraordinaires qui me poussenten avant .
Avec eux je goûte une liberté que je ne connaissais pas réellement......je vole oui je vole dans les alizés contre vents et marrées et surtout sourire aux lèvres

..

.

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@heidi Je trouve ton texte très bien . Non , je ne parlerai pas de Louane ...ni de Sardou , je préfère Heidi .

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@1tel44 merci c est gentil vraiment cela me touche ecrire même de petites histoires sans vraiment d autres plaisirs que de partager m a permis d aller mieux

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@kachina Joli texte dont je devine les dessous . Bon choix de son ...

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Bonjour à vous, j'espère que cette nouvelle semaine vous sera agréable et pleine de jolies rencontres.

Mot à inclure: Zélé, oiseau, liberté et migrateur.

Perdu dans la mangrove, Sam s'enfonçait de plus en plus profondément dans cet univers hostile. La liberté... sa liberté se trouvait au bout de ce long chemin.
Perdu dans ses pensées l'homme ne voyait rien de la beauté qui l'entourait. La forêt de palétuviers qui l'entourait constituait une étape gastronomique pour tous les oiseaux migrateurs de passage. Les eaux riches en petits poissons et crevettes diverses leur offraient le couvert à titre gracieux.
Mais les souvenirs de Sam étaient à mille lieux de ce décor enchanteur. Sans cesse dans son esprit se rejouait la scène de son départ. A travers les larmes qui noyaient son regard, il revoyait l'arrivée des hommes de mains du maitre. Ces individus trop zélés ne faisaient qu'appliquer les consignes reçu de la bouche de l'intendant. Que leur importait que ces ordres soient justes et équitables, ils n'avaient guère de conscience! Sam n'était pour eux qu'un objet, il avait moins de valeur qu'un cheval de trait! Esclave il était et en tant que tel il vivait et mourrait selon le bon plaisir de son possesseur! Afin d'éponger des dettes de jeux, ce dernier avait décider voila quelques jours de le séparer de sa famille et de le vendre!
A L'instant ou les lourds fers avaient entravé ses poignets, l' âme et le coeur de Sam s'étaient rebellés. Pour la première fois l'individu noir qu'il était avait toisé le regard de ses bourreaux et il s'était battu.
Il avait refusé de subir le joug des maitres et leur oppression mortelle. Sam s'était enfuit et s'était enfoncé dans les terres immergées de Louisiane. Sam songeait amèrement que s'il devait se perdre et succomber dans ce lieux de désolation, cela serait en homme libre. Enfin!

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bonsoir in extremis voila mon texte champêtre

Auguste arpentait aux premières lueurs du soleil, les flancs de Sainte Victoire. Malgré son grand âge, il n’y a pas plus zélé qu’un bécassier quand arrive l’automne et que le roi des oiseaux migrateurs fait étape dans nos chaudes contrées en direction du sud.

Avec son fidèle “Coquinou”, un épagneul breton de 8 ans qu’il a dressé amoureusement, il a ce fantastique sentiment de liberté que connaissent les vrais chasseurs, les amoureux de la nature. C’est le 2e jour qu’il traque l’oiseau sublime que les restaurants 3 étoiles attendent depuis 1 an.

Le voilà ! Coquinou effectue sa manœuvre habile de contournement et déclenche l’envol d’un couple de bécasses, mais Auguste pense alors à sa petite fille de 6 ans, qui lui a dit dimanche dernier:

“Dis papy c’est vrai que tu tues les oiseaux ? je t’aime plus”.

Il hésite, vise, tremble puis baisse son fusil, il n’avait jamais pensé à ça, que son plaisir était quand même un peu égoïste et depuis aujourd’hui, honteux ! Il finit sa promenade et se hâte de retrouver la petite pour lui dire qu'il va vendre son fusil, ...