Décris-moi un mouton
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Ayamé : tu me fais découvrir plutôt joliment un aspect de la vie de Camille Claudel que je ne connaissais pas. J'aime particulièrement le placement du mot Champ.
Steam-punk : ton texte est très émouvant.
épinard: quelle rigolade ! Bravo, c'est bien trouvé !
Leitmotiv : Pauvre Dédé ! j'aime bien la dynamique de ton texte et la chute
Spillway : j'avoue, même après plusieurs lectures, j'ai du mal à tout comprendre. ^^
Delnis : C'est assez marrant cette manière que tu as eu d'utiliser presque tous les mots dans l'intro de ton récit. Bien vu, toutefois, le placement de "oubli".
Kachina : Je ne suis pas sûre que je voudrais consulter ton chirurgien, mais ton texte a l'avantage d'être imaginatif.
Zazoute : Tu as une écriture qui me plait. J'aime beaucoup les petits détails qui nous mettent dans le contexte présent avant de nous plonger dans le souvenir. C'est très visuel, finalement. Et bravo pour avoir su si bien utiliser le mot champ à multiples reprises. C'est un peu tard pour que ça rentre dans le décompte des points, mais je te double like
Want.wish : oui, en effet, il faut savoir se renouveler. Bienvenue dans le coin !
Petite prose un peu sombre, mais efficace.Voilà, chose promise, chose due et accomplie.
Aux mots précédents : Parapluie, Conjoncture, douceur, adieu
je rajoute : accompl(ir) -
@artelise Merci de n'avoir rien à redire sur ma phrase
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Allo ! allo! 2 mots encore
il manque à l'appel si elle n'est pas trop occupée @want-wish et @Steam-Punk si son ordi est connecté.Rappel des mots Parapluie - conjoncture - douceur - adieu - accomplir
à toute !
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@music a dit dans Décris-moi un mouton :
@artelise Merci de n'avoir rien à redire sur ma phrase
oh, pardon, j'ai dû passer à côté. ^^
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cherche.. cherche...ah vi, elle est intéressante ! merci de m'avoir interpellé, j'aurais été désolée de l'avoir manqué.
C'est un bel exercice que d'avoir réussi à caser les 7 mots dans un texte aussi condensé ! -
@artelise y'a pas de mal, c'est vrai qu'une phrase parmi vos textes c'est une goutte d'eau.
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@music a dit dans Décris-moi un mouton :
@artelise y'a pas de mal, c'est vrai qu'une phrase parmi vos textes c'est une goutte d'eau.
C'est surtout que c'est moins visible et moins évident à repérer.
Une goutte d'eau, si tu penses à sa valeur, je ne suis pas d'accord. L'exercice qui consiste à imaginer une phrase et une seule qui permet de réunir des mots aussi disparates n'est pas aisé. Tu mérites autant d'attention que tous les autres. -
@kachina Oups désolé pour le retard je propose caleçon ahahah !
bonjour les textes romantiques! -
@Steam-Punk In extrémis ..... oK ! je valide . Après je ferme !
RECTIFICATIF : Désolée mais il est 19h00 et des brouettes , on va pas attendre plus longtemps notre retardataire , au risque de tout décaler dans le temps .
Si d'aventure,elle se rappelait à notre bon souvenir, alors son mot supplémentaire sera considéré comme "facultatif"Aux 6 mots déjà validés à savoir Parapluie - conjoncture - douceur - adieu - accomplir, Caleçon - j'ajoute donc Vacances .
En ce qui concerne les Triple like , pour lesquels @music s'est interrogée, je répondrai que je laisse les règles telles que @heidi les a instaurées , c'est à dire que je me réserve le droit d'en décider . Ceci dit, à mon sens , des commentaires "coups de coeur" valent bien mieux qu'un like , et puis , je vous avoue que ça me facilite grandement la comptabilité, vu que je suis pas trop copine avec les chiffres.
Voilà ! je vous laisse contacter votre muse dès à présent.
On se retrouve très vite.
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@artelise merci pour le compliment
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@kachina un petit hommage à @Music
- Parapluie, conjoncture, douceur, adieu, accomplir, caleçon, vacances
Il était en vacances, aussi malgré l’orage causé par une conjoncture météo bizarre, il était en caleçon sous un parapluie, laissant la douceur de l’eau de pluie accomplir son oeuvre bienfaisante. Il pouvait dire Adieu à son bronzage.
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Adieu, veaux-vaches-cochons, le pot au lait est maintenant complètement versé ! me dis-je en savourant quelques douceurs dont je savais que j'en paierai le prix fort sur mes hanches.
Je n'irai plus au bois, les lauriers sont coupés et mon gentil coquelicot se meurt d'ennui de n'avoir point de temps en temps, d'un compagnon bleuet la sensuelle présence, il en ferait vibrer ses pétales écarlates.
J'en avais pourtant, vous devinez quoi, bon, pas dans le caleçon bien sûr, mais sous le chapeau, oui, je vous l'assure...mais pas pour ces choses-là.
A force de trop ouvrir le parapluie pour me protéger de conjonctures amoureuses pour le moins hasardeuses, j'ai laissé passer bien des occasions de pouvoir faire ma vie, comme on dit.
Et voilà le résultat : ma libido n'est pas seulement en vacances, non, elle est carrément en état de coma dépassé !
Et qu'ai-je accompli dans ma chienne de vie ? Je n'ai pas d'enfant, juste un chat ( dans une chienne de vie, c'est plutôt antinomique, vous ne trouvez pas ? ).
Petit chaperon rouge, arrête d'aguicher le loup, laisse-le moi une nuit s'il te plaît, une nuit seulement, je n'en demande pas plus.
Je veux juste m'offrir une partie de jambes en l'air, histoire de me souvenir que je suis bien une femme et que je peux encore jouir. Quoi, le mot vous choque ?
Excusez-moi du peu, mais comment appeler un chat autrement qu'un chat ? Le mien ronronne sur mes genoux.
Ses vibrations me plongent dans une douce torpeur. Do do, l'enfant do, l'enfant dormira bientôt.
Je vous laisse, à défaut des bras d'un torride amant, je vais plonger avec délice dans ceux de Morphée.
Puisse t-il m'octroyer des rêves chaud-chaud cacao, j'ai encore droit au moins à ça.
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@ayamé mdr, la photo au dessus t'a t elle inspirée ?
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@delnis : hélas non, je ne l'ai découverte qu'en postant mon texte. Mais elle va très bien avec mon texte aussi .
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@delnis mdr ! Si seulement je pouvais le croiser celui là un jour de pluie . C'est Bien volontiers que je lui offrirai un coin de parapluie.
Tu m'as bien fait rire. Je confirme t'es en forme Amigo !@ayamé : Toi, faut plus que t'ailles sur le topic "photo des membres " . Faut plus que tu relises le Petit chaperon rouge . Faut plus que @delnis te provoque . Non mais regarde un peu dans quel état je te retrouve ! Chaud devant . Trop drôle ! n'empêche .
edit : qu'est ce qui m'a pris d'ajouter le mot Vacances . Tisane c'était bien non ?
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Bon alors ça commence à bien faire de vous moquer de MA phrase, moi je l'aime bien, mais j'aime surtout vous faire plaisir , donc voici un essai :
Ah la douceur des vacances ! La chaleur de l’été où l’on peut vivre dénudé tranquille chez soi !
Ce soir, La conjoncture se prêtait à la légèreté, alors c’était décidé, il allait accomplir ce qu’il n’avait pas eu le courage de faire avant, afin de regagner sa liberté ; il allait la quitter.
Elle était pourtant belle et réchauffait son cœur puis tout son être à chaque étreinte quand il la portait à ses lèvres.
Mais fatalement cette soirée-là, et malgré sa détermination, un seul regard a suffi pour la rappeler à son bon souvenir.
Compulsivement et passionnément, il l’attrape et s’abreuve de son élixir si délicat et enivrant, mais dehors, les éléments se déchainent, un bel orage d’été puissant et électrique mais surtout très pluvieux était en cours.
Dans un éclair de lucidité il se souvient qu’il a laissé toutes les fenêtres de son 4x4 ouvertes.
Horreur ! Il la laisse tomber sur le sol, inerte, et se précipite dehors, et bien sûr sans parapluie, mais surtout sans clés de voiture.
Excédé, il court pour revenir à l’appartement et s’aperçoit que la porte s’est refermée, il est maintenant dehors.
Il tape, puis frappe encore plus fort à la porte en proférant des insultes à celle qu’il avait laissée pour compte et réveille tout le quartier.
A cause de se vacarme, la première personne à ouvrir sa porte est une dame d’un certain âge, choquée (bon d’accord, un peu coincée) de voir son voisin dans son simple apparat, sans même un caleçon, et hurler comme un damné.
Il n’a fallu que quelques minutes à la police pour l’embarquer sur l’appel de la voisine, et pour qu’il puisse dire adieu à celle qui l’enchaînait depuis des années, car oui, là où ils l’emmenaient, il allait la quitter définitivement.
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@music j'adoooooooooooooooooooore ! tu m'as scotchée. Je m'attendais pas à ça !
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-Avez-vous lu ce journal mon cher ami ? demanda son père.
Encore endormi, tout juste sortit de sa chambre, vêtu d'un caleçon, il fit non de la tête et mis une toast dans le toaster. Il s'assoit sur un tabouret et constata que la question ne lui était évidemment pas destiné, mais elle s'adressa au collègue de son père, ces deux-là travaillait dans le domaine des économies. Il regarda l'heure, afficher sur le micro-onde, 12h00, les vacances lui permettait ce genre de choses, se lever en après-midi. Son père le regarda alors et il sus que ..., il est allé mettre un t-shirt et un pantalon. Revenue dans la grande pièce qui sert de salon et de cuisine à aire ouverte, il pris sa toast qui venait récemment de sauter et la dégusta, en entendant, sans grand intérêt, la discussion sur la conjoncture actuelle de l'économie de son père et son ami. Ayant terminer sa toast, il alla chercher son téléphone qu'il avait laisser dans sa chambre. Il l'ouvra et joua à l'un de ces jeux de téléphone. Il y avait des défis et il en choisissant un, qui lui permettait d'obtenir 400 points. Détruire 2 fois une usine de sorts en combats multijoueur. C'était la dernière journée de l'événement et il avait accumuler des points à tout les jours durant ces dix derniers jours. Une fois réussi, ce 400 point, lui permettait d'accomplir le maximum de points par joueur qui est de 4000. Les autres joueurs qui appartiennent aux même clans peuvent accumuler, eux-aussi des points et cela donne des récompenses. Il alla dehors, avec son parapluie, il pleuvait, c'était la fête aux grenouilles, il avait comme objectif d'en trouver près du lac, de prendre des nénufars, de mettre les grenouilles ou crapauds dessus selon la disponibilité, de les déplacer avec douceur vers le large et de leur crier "adieu". (en espérant qu'ils restent dessus le nénufar) -
AVec un "peu" de retard. Désolée!
Par tous les diables de l'enfer, quelque chose clochait, jamais de toute sa très longue existence elle n'avait ressentit une telle frayeur. QUE SE PASSAIT IL? Comment pouvait elle ressentir une telle épouvante? La peur... elle connaissait! C'était une liaison de longue date, pas une amie certes mais une compagne qu'elle avait apprit à déchiffrer au cours des longues années passées à la cotoyer. Alors pourquoi ressentait elle maintenant ce sentiment de détresse absolue? Se pouvait il qu'elle se soit éveiller trop tôt? Cela était fort possible et expliquerait ce sentiment de malaise mais pourquoi maintenant? Une bouffée d'angoisse la saisit à la gorge et elle ressentit une tristesse infinie l'envahir. Oh ce n'était pas bon, pas bon du tout! Toutes ces émotions violentes ne lui plaisaient guère. C'étaient des sentiments immatures, infantiles... des perceptions qui ne lui appartenaient pas. Elle devait réagir mais avant d'envisager toute action, elle devait vérifier si son hypothèse était la bonne. A savoir le réveil prématuré de sa conscience. Si cela s'avérait juste cela induisait que son hôte avait un problème... un grave problème et que leur survie commune était menacée. Doucement, elle glissa dans le labyrinthe de sa psyché. L'occupant des lieux devait être un enfant...un très jeune enfant car le couloir de souvenirs gravé au coeur de sa mémoire se trouvaient des instants de bonheur préservés pour l'éternité: La première tétée de ce nourrisson, le doux sourire de sa mère, la voix grave de son père lui chantant une berceuse, les premiers pas de ce petit humain dans un champs de coquelicots écarlates. Une pensée affleura brusquement à l'esprit de l'entité, elle murmura .
- Ne soit pas si pressé de découvrir ce monde, petit d'homme, tu t'apercevras bien trop tôt sa cruauté!"
Pour elle c'était un fait, une évidence. S'ils étaient appariés, l'avenir de cet... cette fille n'allait pas être agréable. D'ailleurs le fait d'avoir été tiré de son profond sommeil bien avant l'heure prouvait amplement ces affirmations.
Cependant , ELLE poursuivit sa déambulations dans les souvenirs fragiles de l'enfant, inexorablement les pas de la promeneuse la menèrent devant une lourde porte sombre. Le portail de l'oubli se dressait déjà dans une si jeune mémoire et derrière se trouvait....
-" Ne rentre pas dedans , un méchant homme si trouve et il a fait beaucoup de mal à mon papa et à ma maman!. "
Interloquée, ELLE se retourna prestement. A ses côtés, agrippant le bas de sa robe de soie blanche comme un linceul se tenait une fillette menue de quatre ou cinq ans. Sur son petit visage constellé de taches de rousseur ruisselaient d'abondantes larmes. La petite secouait la tête, apeurée. Cependant elle essayait de prévenir labelle dame du danger qui rodait, tapit derrière la noirceur du portail. - " N'ai aucune crainte petite, les méchants ne me font pas peur, bien au contraire, je dirai qu'ils aiguisent mon appétit!. Quel est ton nom fillette?"
- Angèle Paradis madame, et vous?"
Un rire tonitruant et très peu féminin secoua le corps de la femme. Etait ce une blague? Comment le grand inquisiteur avait il put lui faire un tel affront. Angèle et Paradis en plus! Lui offrir comme hôte le corps d'une gamine angélique. ELLE se jura intérieurement de remonter les bretelles du grand manitou dès qu'elle le verrait... dans une cinquantaine d'années au plus tôt sauf... sauf si le taré qui en avait après la famille de la gamine la trouvait et cela Elle ne pouvait y consentir. Doucement, Elle enveloppa le corps fragile de l'enfant de ses voiles et posa sur les lèvres vermeilles un baiser léger et délicat. Aussitôt la fillette perdit connaissance, la femme se pencha vers le petit visage si pale et si triste et lui murmura à l'oreille.
_- " Dors petit ange, ce qui va se dérouler maintenant ne doit pas s'imprimer dans ta mémoire. Nous aurons fort à faire dans l'avenir toi et moi...mais pour l'instant présent je dois préserver ta vie et pour ce faire je prends le commande. " Par le biais des souvenirs de l'enfant inconsciente, ELLe avait vu tout se qui concernait la tragédie qui s'était jouée dans la ferme isolée. L'attaque violente d'un maraudeur en quête de mauvais coup facile, le meurtre du mari, le viole de son épouse et sa mise à mort et maintenant le salopard recherchait une petite fille en chemise de de nuit rose qui avait brusquement réveillé ses appétits. - "Petite, petite viens voir ton tonton Jack, il sera très gentil avec toi ma puce, viens vite petite!"
Cachée tout au fond de son placard, celle qui n'avait que le corps d'une gamine tremblante feula de rage.
-" Espèce d'immonde ordure, je vais t'envoyer en enfer!"
Quand l'homme ouvrit à la volée les portes du placard, il découvrit les yeux innocents de l'enfant qui le regardait fixement. Un sourire carnassier éclaira sa face un instant ... Un très court instant car se détendant comme un ressort trop longtemps comprimé la gamine décolla dans les airs pour atterir sur les épaules de l'homme. Là bien perché, elle arracha de ses ongles devenus plus recourbés et acérées que les serres d'un oiseau de proie la gorge du meurtrier. Incrédule, ce dernier regardait l'enfant et gargouilla. - "Putain qui es tu?
- Annabelle, fille de l'enfer et pourfendeur de démons!"
Puis sans un regard pour l'homme qui se vidait de son sang, la femme-enfant se dirigea vers le téléphone posé sur le guéridon. Dans quelques instants la gendarmerie et les secours seraient la. L'enquête pourrait commencée tandis qu'une ambulance emporterait vers l'hôpital le plus proche une gamine endormie qui au petit jour ne se rappellerai de rien.
Bon comme mon texte était en retard c'est juste pour le plaisir. Je prends note pour le suivant.
- Ne soit pas si pressé de découvrir ce monde, petit d'homme, tu t'apercevras bien trop tôt sa cruauté!"
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@lissilma C'est angoissant, une histoire de posséssion ? il y a une suite ?