Décris-moi un mouton
-
- Jolie, frimousse, duel & sauvage
Le troupeau gambadait joyeusement dans une profonde vallée au pied des montagnes.Un dizaine d’hommes avaient conçu un piège très simple pour capturer 2 ou 3 petits: les rabattre vers la partie très étroite d’environ seulement 5 mètres de largeur, ou un filet était prêt à être déroulé. Les rabatteurs hurlaient et tapaient dans des tambours qui effrayaient ces animaux encore sauvages et libres.
Pris par la panique la horde s’étira, les plus vigoureux devant, les petits, les malades, les vieux, étaient distancés et fermaient la marche. Quand il ne resta plus qu’une poignée d’animaux, ils déroulèrent le filet qui bloqua l’étroit défilé. Les chasseurs tuèrent à l’arc et à la lance, les plus gros et les plus vieux, qui serviront de repas pour le village, pendant que les autres capturèrent 3 adorables bébés. Avez-vous déjà vu la jolie frimousse des vigognes ?
Ceux-là seront apprivoisés pour devenir des alpagas, ces minis chameaux d’Amérique, au pelage si doux. Ils rejoindront dans les enclos de Cuzco, les lamas, ces guanacos apprivoisés eux aussi par les incas. Duel d’espèces tellement indispensables aux hommes qu’ils en firent des animaux sacrés.
-
Ta jolie frimousse m'attire et nos regards finiront en duel dans une étreinte sauvage.
-
Suis rentrée. Me suis mise au boulot et voilà .
Elle aimait faire l'amour en jeux amoureux qui passent tour à tour de duels à duos,
des pattes de lion à celles de velours, des bouches qui dévorent à celles qu tendrement embrassent.
Elle avait beau avoir une frimousse de doux angelot, avec des yeux de chat et un joli petit nez retroussé,
elle savait prendre un air sauvage pour faire savoir quand elle voulait un corps à corps vigoureux voire presque violent...
qui se terminerait de toute façon en tendres et voluptueuses caresses.
Lui avait d'abord été surpris par les goûts de cette belle amazone.
Mais il ne lui avait pas fallu longtemps pour vraiment les apprécier.
Qui sont donc ces deux terribles amants ? Peu importent leurs noms.
Il y eut à chaque époque l'un de ces couples d'amoureux devenus célèbres.
Comme, par exemple, Cléopâtre et Antoine, Joséphine et Napoléon, Camille Claudel et Auguste Rodin...
et combien d'autres encore. -
C'est qu'il n'était pas très docile l'animal ,
toujours un peu sauvage et espiègle ,
Malgré cela c 'était une peinture .Il s'appelait Frimousse ,
sa jolie robe grise était remarquable de beauté et d'originalité à chaque sortie ,il était le roi des hippodromes .
On ne compte plus le nombre de fois ou il a été défié,ou il a remis son invincibilité en jeu ,
mais en vain ,
dans les derniers mètres ,il gagnait à chaque fois ses duels,
d'un nez, d'une encolure ou bien de 3 longueurs ,il dominait ses semblables, les écrasant parfois avec nonchalance .
Il avait quelque chose que les autres chevaux n'ont pas, au delà de ses capacités athlétiques,
un moral de champions, de ceux qui grave leur nom à jamais dans toute mémoire de turfistes aguerris .(ceci est une fiction )
-
Bonjour tout le monde, Moussaillon Lissilma prête à embarquer Capitaine. Enfin de retour. Bon pied, bon oeuil et prête à reprendre la mer. L'équipage m'a trop manquer! Cordialement
-
@lissilma heureuse de te retrouver.....hate de te lire et ravie de te savoir en bonne santé
-
Le jeune mousquetaire marchait dans la rue de Seine, balayant du regard passants et bâtiments autour de lui. Un rire mélodieux lui fit brusquement tourner la tête : mais oui, c’était bien là la jolie demoiselle qu’il avait entr’aperçue la veille et dont le souvenir le hantait depuis ! Devant la porte d’un bel immeuble, elle s’apprêtait à monter dans un carrosse. Il se précipita et, arrivé devant la jeune femme, bafouilla : « Vous êtes… bien belle madame… ». La jeune femme eut un sourire surpris. Mais alors qu’elle s’apprêtait à lui répondre, un homme richement vêtu sortit le buste du carrosse et le fusilla d’un regard sauvage :
« Morbleu, monsieur ! dit-il, il me semble que vous venez de manquer de respect à cette dame.- Mais non monsieur, je n’ai fait qu’admirer sa beauté…
- Trêve de plaisanteries ! Je vous apprendrai à vivre, monsieur. Retrouvez-moi à midi derrière le jardin du Luxembourg, vous goûterez du fil de mon épée. »
Un duel ? Il n’en revenait pas… Tout cela parce qu’il était tombé amoureux de la frimousse espiègle d’une jeune inconnue.
-
@artemis tu as parfaitement décrit l'esprit de ces duels d'antan. J'ai bien aimé ton texte Double like . Oui ! c'est ce que je voulais dire.
-
@artemis j'adore cette variation sur d'Artagnan et Constance
mon double like
-
-
@artemis tout pareil et jules Verne
-
Une jolie frimousse sort de l eau nue ,celle ci rend sa beauté encore plus attractive, Emmanuelle dévoile une chute de rein fabuleuse, un dos luisant et scintillant avec les gouttelettes qui s accrochent à son corps.
On devine une paire de seins lourds sensuelles au possible .et a souhait qu elle dissimule vainement.
Sa longue chevelure mouillée ainsi donne un ensemble quasiment divin .
Elle est une elfe ,une fée, une déesse.
Son postérieur a des courbes parfaitement équilibrées, entroite de taille ,avec un appétissant rebondit sur chacune de ses fesses
C est une nymphe sortie des eaux et elle est française, une actrice reconnue
C est une beauté sauvage à faire danner le pauvre homme qui croise son chemin
Vous avez pas oublié
**manon ** des sources n est ce pas elle Emmanuelle Beart ?
Cette si jolie femme incarnait dans sa prime jeunesse la femme fatale par excellence, dans son plus simple appareil
Quelques siècles plus tôt elle aurait été la favorite du roi , voir on se serait battue en duel pour ses faveurs et son honneurEt quelle actrice
. -
Laissons peut-être une journée de plus si @Lissilma en a besoin pour écrire un texte avec
jolie
frimousse
sauvage
duel ..............? -
@delnis oui si belle
En 1970 son père l'avait déjà choisi pour ce role
Quel belle chanson
-
Bonjour, désolée, je ne suis pas encore très opérationnelle mais je me lance.
Mots a inclure: sauvage, frimousse, duel et jolie.
Le troisième jeune seigneur du Clan des Wu s'était éloigné de ses compagnons de plaisirs. En cette soirée de printemps il ne se sentait pas d'humeur à boire, ni à jouer. La mélancolie qui s'emparait de lui à chaque "lune sanglante" était à l'oeuvre. D'ailleurs n'était ce pas à cause de cette étrange malédiction que ses compagnons d'enfance lui organisaient des festivités dantesques?
Liu Chang sourit, l'amitié était une belle et bonne chose mais elle ne pouvait totalement détourner ses idées du souvenir si doux qui lui meurtrissait l'âme. Le jeune homme s'approcha doucement du bassin aquatique dans lequel les carpes Koï nageaient lentement. Silencieuses, les formes fuselées des poissons glissaient sous les feuilles verts sombres des lotus en boutons., parfois l'une d'elle effleurait du bout de sa nageoire dorsal le reflet de la lune qui se mirait dans le bassin. Mais en cette nuit la lune d'argent revêtait des nuances sauvages, le pourpre disputait au grenat la prédominance des couleurs. Dans le ciel nocturne, le spectacle était flamboyant et grandiose. Mais sur terre, en cet instant, dans le coeur et la tête du jeune aristocrate se déroulait un duel sans merci. La raison combattait âprement contre les sentiments, la logique tentait de museler la fantaisie et la réalité bataillait ferme contre les rêves.
D'ailleurs les souvenirs du troisième jeune Seigneur n'étaient ils que des rêves? Pourtant ils semblaient si réels, si plein de vie et tellement étranges. Comment avait il pu tomber si facilement amoureux de cette frimousse inconnue apparu dans le miroir des eaux prisonnières, une nuit comme celle ci, il y a quelques semaines? Ce visage, cette silhouette entraperçut un court moment était il le fruit de son imagination? Un fantôme venu de l'au-dela pour le tourmenter? Un souvenir d'une vie antérieure?
Le jeune homme s'était interrogé, il avait creuser sa mémoire pour se rappeler si il avait déjà vu ou remarquer une telle personne dans son entourage mais la réponse lui échappait encore.
A la cour de l'empereur les femmes pullulaient, qu'elles soient servantes, lettrées ou concubines, elles étaient légions mais aucune n'avait l'aura de la fille apparut dans le reflets mouvants des eaux.
Fermant les yeux, le jeune noble tenta de se remémorer l'instant ou il l'avait vu pour la première fois. Liu Chang pencha doucement la tête et ses longs cheveux d'ébène frolèrent la surface liquide, vêtu de sa robe de soie bleutée brodée d'argent ,le jeune homme ressemblait à cet instant plus à un dieu égaré qu'a un être fait de chair et de sang, cependant c'est le coeur fragile et amoureux d'un être humain qui se rappelait la frimousse de la fille venue de nul part.
Son image était apparut comme par magie dans l'onde. Une fille aux yeux clairs et a la chevelure couleur de miel. Une déesse? Une sorcière? il ne savait mais ses sens s'étaient embrases à cet instant malgré l'étonnante particularité physique de cette femme. Son visage, ses mains étaient d'une blancheurs délicate tandis que son corps, ses bras et ses jambes revêtait la noirceur du plumage des corbeaux. Qui était elle? La logique voulait qu'elle fut originaire du plan céleste car l'entité apparut dans le bassin aux carpes ne chevauchait elle pas les vagues sur un étroit esquif sans rameur. Une étroite planche colorée qui semblait l'emporter en riant vers un lieu inconnu. Un gémissement s'échappa des lèvres serrées du jeune seigneur. Pourquoi fallait il qu'il soit tomber amoureux d'un mirage? -
-
Je propose solaire et scintiller
-
Et moi : soie et duvet
-
Dans un ciel au duvet blanc drapé de soie bleu nuit,
son image solaire scintille au-dessus des toits de dentelle,
livrant sa grâce en espoir. -
MeiLin était toujours vêtue d'un kimono de soie moirée et parée de bijoux qui pouvaient scintiller de mille feux
quand l'astre solaire dardait sur elle ses rayons.
Elle vivait certes dans un magnifique palais, entourée de servantes qui satisfaisaient le moindre de ses désirs.
Mais elle souffrait tant d'ennui !
L'empereur, malgré tous ses efforts pour attirer son attention, ne la choisissait jamais pour ses plaisirs nocturnes.
Quand elle se sentait trop submergée par la mélancolie, elle s'allongeait alors sur le divan de sa chambre,
bien calée par de gros coussins garnis de duvet d'oie et fumait de l'opium.
" Et elle fume, fume, fume, toute la journée ".
Son jardin était abondamment fourni en fleurs de pavot, elle ne craignait donc pas de manquer de cette drogue
qui lui procurait tout à la fois apaisement et euphorie.
Ainsi s'écoulait sa vie, comme un fleuve trop tranquille, lénifiante à souhait.
Jusqu'au jour où un eunuque nouvellement employé lui fit découvrir les délices d'une sensualité qu'elle n'avait jusqu'alors
jamais imaginée.
MeiLin, l'une des concubines de l'empereur, ne se lamenta plus de n'être jamais choisie par lui pour lui accorder ses faveurs,
car c'est auprès de l'eunuque qu'elle vécut ses plus grands bonheurs.