La vaccination et vous
-
@loutre pas vraiment de la pression mais presque ! Nous sommes 18 employés dans la structure ou je bosse . Nous sommes 4 non vaccinés dont moi. Y a des petites piques qui fusent déguisées sous des conseils bienveillants
Bref! Le problème est que je reçois du public plus près 280 apprentis âgés de 15 à 30 ans prévus à la rentrée repartis en 3 groupes!
Il n’y a pas encore de retour quant à l’obligation nous concernant . Wait and see
Seul hic ! si on oblige les jeunes forcément ma réticence va faire grincer les dents de ma direction .
Et puis flûte j’en ai ras le bol de tout çaDésolée @loutre ça me rend bien furax cette division
-
-
@fleurdubien33 je tiens à préciser tout de même que je suis pas du genre à faire n’importe quoi . Je prends toutes les mesures qui s’imposent
Je ne mêle plus à la foule j évite les endroits confinés etc etc
J’attends patiemment le vaccin que j’ai décidé de me faire injecter -
@fleurdubien33 franchement j'avais d'exploser, de le secouer de lui dire que ca netait pas normal et quil ne devait pas se laisser faire.
Mais ca n'aurait rien changé. Non seulement il se serait fait vacciner et en plus j'aurais eu des probleme.
-
Voila que le Dr Raoult avait le "truc" contre le Covid!
Comme pour le gamin qui éternue :Vicks vaporub!
Et alors....????Après les déclarations de Didier Raoult, Vicks déconseille l'application de sa pommade Vaporub sous le nez
Le professeur controversé avait évoqué la possibilité d'utiliser ainsi la pommade de la marque pour empêcher la contamination au Covid-19.
Par Le Figaro avec AFP -
@loutre Oui, dans mon cas on est pas obligés par le gouvernement mais par nos supérieurs.
Du coup RIP dans notre cas x)
-
Le problème est qu’une épée de Damoclès pèse sur les employeurs. S’ils mettent la pression c’est qu’eux mêmes sont sous le coup d’un ultimatum avec d’éventuelles poursuites pénales si un membre du bureau est contaminé et qu’un autre n’est pas vacciné. Personne ne peut savoir qui a transmis le virus au contaminé mais il va exister comme une présomption de culpabilité à partir du moment ou l’employeur accepte des non vaccinés au bureau. Ce dernier aura bien du mal à démontrer que le salarié contaminé l’a été ailleurs que sur son lieu de travail…
Les responsables politiques transfèrent leurs responsabilités sur nous, mais pas leurs revenus…
-
Et on n'est pas au but des variants...
Voilà le colombien qui débarque!
https://www.cnews.fr/monde/2021-08-08/tout-savoir-sur-le-nouveau-variant-colombien-lorigine-de-7-deces-en-belgique
Après,s'il remplace le café... -
Macron est un ?.....
Covid-19 : Valneva, ce vaccin français qui a… filé à l’anglaise
Par Margot Brunet Publié le 09/08/2021 à 6:00
MarianneLe vaccin anti-Covid produit par la société franco-autrichienne Valneva sera livré en priorité au Royaume-Uni. Et pour cause : les Britanniques lui ont apporté un important soutien financier quand les Européens ont traîné des pieds et que Paris est resté aux abonnés absents.
Mais que fait le pays de Pasteur ? Plus personne n’ignore que dans la course aux vaccins contre le Covid-19, la France est sur le banc de touche. Le développement de la formule étudiée par l’institut Pasteur a été abandonné en janvier 2021, faute de réponse immunitaire suffisante. Chez le géant pharmaceutique français Sanofi, les deux candidats devraient être au point fin 2021 pour celui développé avec le britannique GSK, et l’année suivante pour le second, issu d’un partenariat avec Translate Bio, société américaine spécialisée dans l’utilisation de l’ARNmessager. Sanofi va justement racheter cette dernière. Objectif : accélérer les recherches sur les technologies à ARN.
Sauf que pour les vaccins anti-Covid-19, c’est trop tard : si ces deux formules apporteront sûrement un appui non négligeable, elles arriveront de longs mois après celles de l'américain Pfizer, de l'américain Moderna ou encore du britannique AstraZeneca. Et peut-être aussi après Valneva. Valneva ? Cette société française a déjà lancé la dernière phase des essais cliniques de sa formule anti-Covid-19. Pourtant, elle sera acheminée en priorité vers le Royaume-Uni. Petite présentation d’un candidat prometteur, le vaccin VLA2001 de Valneva, que la France a laissé filer à l’anglaise.
QUI EST VALNEVA ?
Basée à Saint-Herblain, près de Nantes, Valneva a vu le jour en 2013, issue de la fusion entre deux firmes : une société autrichienne, Intercell, qui développait des vaccins contre l’encéphalite japonaise et l’hépatite C, et la start-up française Vivalis. Or celle-ci est justement née… dans les laboratoires publics de l’Institut national de la recherche agronomique et environnementale (Inrae), en 1999. Elle se concentrait alors sur la production de protéines à visée thérapeutique.Aujourd'hui, l'activité principale de Valneva consiste en la production de vaccins contre les maladies infectieuses. Philosophie : « une vision d’un monde où personne ne meurt ou ne souffre d’une maladie pouvant être prévenue par la vaccination (...) et une stratégie ciblant des maladies pour lesquelles les options de traitement préventif ou thérapeutique sont limitées », lit-on sur leur site internet. L'entreprise franco-autrichienne compte 600 salariés implantés dans six pays, dont l’Écosse où sont produites actuellement des doses de VLA2001. Pour l’instant, elle commercialise deux vaccins, contre l’encéphalite japonaise et le choléra, et deux autres sont en développement : l'un contre la maladie de Lyme et l’autre contre le chikungunya. En plus, bien entendu, de l’anti-Covid.
FORMULE CLASSIQUE
Pour ce dernier, la société a décidé de s’appuyer sur la stratégie classique : un virus entier rendu inoffensif, auquel sont ajoutés des adjuvants. Ainsi, la personne exposée au Sras-Cov-2 développe des anticorps, mais sans que le pathogène n’ait la capacité d’induire la maladie. Le vaccin nécessite deux doses. Il s’agit de l’unique candidat en Europe à utiliser cette technologie du virus inactivé.Une formule dont les premiers résultats des essais précliniques et cliniques en phase 1 et 2 - pour évaluer respectivement la dangerosité et l'efficacité du produit - sont pour le moins prometteurs. Les niveaux d’anticorps induits sont élevés, et aucun effet secondaire grave n’est relevé : il paraît bien toléré. Les essais cliniques sont tous menés au Royaume-Uni, y compris la phase 3, qui concerne 4 000 participants et a été initiée fin avril 2021. Il s’agit de comparer l’efficacité du VLA2001 de Valneva au VaxZevria d’AstraZeneca. Certains participants ont reçu le premier, d’autres le deuxième.
Plus encore, il ne devrait nécessiter qu’une chaîne du froid standard, de 2° à 8 °C. Autre avantage : il pourrait également convenir pour des vaccinations de rappel. En effet, les vaccins inactivés semblent être particulièrement appropriés pour ce genre de vaccination. La technologie serait aussi efficace contre les variants.
EUROPE HÉSITANTE, ANGLETERRE PRESSANTE
Bref, face à de si bons résultats préliminaires, le Royaume-Uni a placé ses pions. Dès le 14 septembre 2020, Valneva faisait paraître un communiqué pour annoncer un « partenariat majeur » avec le gouvernement britannique. Ce dernier a « sécurisé l’approvisionnement de 60 millions de doses pour un coût de 470 millions d'euros avec des options pour la fourniture de 130 millions de doses supplémentaires entre 2022 et 2025 ». Mieux : Londres a investi plusieurs millions dans l’usine de production de Valneva en Écosse. Le 12 janvier, soit quatre mois plus tard, la Commission européenne n’annonçait que des « discussions préliminaires » en cours avec Valneva, prévoyant la possibilité d’acheter 30 millions de doses dans un premier temps, puis autant dans les mois qui suivent.Ensuite, le temps passe, et l'Europe hésite. Si bien que le 20 avril, Valneva annonce « se concentrer sur des discussions bilatérales, pays par pays, pour fournir son candidat vaccin Covid-19 inactivé et avec adjuvant, le VLA2001 et (...) supprimer la priorité des discussions centralisées en cours avec la Commission européenne (CE) ». D’un point de vue technique, rien n’empêche en réalité le gouvernement français d’entamer des discussions avec Valneva, sans passer par l’Union européenne (UE). Mais l'Hexagone reste muet, contrairement au gouvernement britannique.
PRIORITÉ AUX BRITANNIQUES
« Le Royaume-Uni nous a approchés pour dire : vous avez une usine en Écosse, votre vaccin inactivé nous intéresse, est-ce qu'on peut trouver un accord ? expliquait Franck Grimaud, directeur général de Valneva, à France Info en février dernier. À partir du moment où il y a un État ou un organisme international qui prend tout le risque sur vous, vous avez des engagements contractuels vis-à-vis de ce pays ou de cet organisme ». La société sait qu’elle doit une fière chandelle aux Britanniques, sans qui la phase 3 - de tests à grande échelle - aurait probablement été initiée plus tard. Et les commandes britanniques pourraient lui permettre d’atteindre 1,4 milliard d’euros de revenus. De toute façon, le marché est déjà conclu : le gouvernement britannique aura la priorité sur les doses.Reste que début juillet, Valneva assurait que les discussions avec la Commission européenne se poursuivaient. Le 4 août, même son de cloche du côté de l’UE : dans un communiqué de presse à propos d’un nouveau contrat passé pour le vaccin américain Novavax, Bruxelles évoque - encore - des « discussions exploratoires conclues avec Valneva ». Difficile d’en savoir plus.
Quoi qu'il en soit, les premières doses n'arriveront pas en Europe avant 2022, alors qu'elles sont attendues dès la fin de l'année au Royaume-Uni. Alors même que la société à l’origine de leur production a vu le jour au sein de la recherche publique française, et que la Banque publique d’investissement (BPI) détient 8 % du capital de Valneva. En plus d'avoir raté la première place dans la mise au point de vaccin, la France n’a pas non plus réussi à empêcher la fuite d’un des candidats les plus prometteurs vers l’autre côté de la Manche...
-
Et n'oublions pas le vaccin russe, toujours refusé en OTAN-UE-USA
plus efficace contre le variant delta que les ARN américains, ...
Où est la science, la santé dans cette UE totalement inféodée à Washington ?
-
@delnis a dit dans La vaccination et vous :
Il s’agit de l’unique candidat en Europe à utiliser cette technologie du virus inactivé.
J'avais écrit je ne sais plus sur quel topic un petit topo sur ce vaccin en précisant que c'est le seul
que j'accepte de recevoir.
J'ai lu que la France accepterait maintenant des pourparlers avec le labo Valneva.
Mais quoi qu'il en soit, on ne l'aura pas avant début 2022.Où est la science, la santé dans cette UE totalement inféodée à Washington ?
La science est noyée par la politique, laquelle affirme en parallèle qu'il faut sauver des vies !
Si tel était le cas, elle accepterait tous les vaccins ! -
La Hongrie à utilisé des vaccins Russes et Chinois il me semble.
-
@barbouille mon médecin m'avait contacté l'année dernière pour me proposer l'AstraZeneca alors qu'elle sait que j'ai des problèmes cardiaques. j'ai refusé de peur que le produit injecté aggrave mes problèmes cardiaques
-
On sait tous que le pass est exigé pour inciter les gens à se faire vacciner.
Je viens de tomber sur cette info du 13/08/2021 dans L'actu :
le Dr Martin Blachier, épidémiologiste, surprend au sujet du pass sanitaire en disant :
" Ils vont le retirer rapidement "
Sur LCI, ce vendredi 13 août, le docteur Martin Blachier s'est exprimé au sujet du pass sanitaire
qui pourrait être retiré prochainement par le gouvernement.
Ce dernier outil mis en place à l'entrée de certains lieux publics pour endiguer la pandémie du Covid-19
ne fait pas l'unanimité en France. Face à une vague de contestation, notamment dans la rue,
le gouvernement se retrouverait actuellement "dans une espèce de moment charnière" selon le Dr Martin Blachier.
Selon lui, Gabriel Attal, porte-parole du gouvernement, et Olivier Véran, ministre de la Santé,
doivent "faire semblant d'être encore pour ce pass sanitaire", "pour que les gens continuent à
se faire vacciner en se disant : 'j'en aurais besoin' .
Mais, en même temps, il ne faut pas qu'ils disent qu'ils vont le retirer rapidement.
Il conclut son propos : "Ça va être un moment difficile à gérer ce pass sanitaire."
Peut-on espérer qu'il prendra bien fin au 15 novembre, comme prévu, et ne sera pas reconduit,
ce qui ne pourrait se faire qu'après nouveau vote du Conseil Constitutionnel ? -
Je ne m'y oppose pas puisque j' ai reçu les 2 doses et j'aide les personnes pour avoir un R.V , au moins une centaine, pas facile pour eux de faire toutes ces démarches, sans ordi par ex. Je suis moi vous êtes vous ce que je dis aux antivax que je n'approuve pas, je veux cohabiter avec tous les citoyens responsables, une tranquillité retrouvée, espérer à nouveau.
C'est une pandémie, une épidémie quoi dire d'autres ! -
Avez-vous entendu ? Un nouveau variant arrive, un colombien, nommé Mu.
Une centaine de cas en France et il serait pas mal résistant aux vaccins.
La tranquillité retrouvée, bin, ce ne sera visiblement pas pour demain.... -
@ayamé j'ai lu aussi.
-
@kachina @ayamé pour l instant j ai rien lu de probant sur une résistance au vaccin, simplement des craintes sur un potentiel échappement vaccinal. Vous avez des sources plus affirmatives ?
A l instant t en France le plus gros risque reste le variant delta et pour celui la le vaccin est efficace ce qui est toujours ça de pris. 8 personnes sur 10 admises en rea sont non vaccinées... -
@icescream effectivement, il se pourrait que ce variant Mu ne soit pas encore arrivé en France. Ouf ! En revanche, il est résistant aux vaccins
-
@kachina si on a quelques cas il me semble mais nombre en legere diminution. Une des questions c est est ce qu il va prendre le pas sur le Delta ?
par contre j ai vu aucune stats sur l efficacite des vaccins contre lui.