Pour les amoureux de musique planante, voici Hildegarde von Bingen 1098-1179
Mystique, philosophe, théologienne, médecin, musicienne et il en manque, une très grande intellectuelle.
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Les femmes majeures de l'Histoire
@Delnis a dit dans Les femmes majeures de l'Histoire :
HEDY LAMARR
"Trop belle pour être crédible"
(09.11.1914 - 19.01.2000)
On disait de cette actrice qu'elle était la plus belle femme du monde. Elle tourna avec les plus grands. Mais jusque là rien d'extraordinaire c'est vrai pour être citée ici. Mais surtout elle fût une inventrice de génie puisqu'avant guerre elle théorisa des techniques encore utilisées de nos jours ! ça vous parle le WIFI et le GPS ? elle en est à la base ! incroyable histoire non ? lire cette injustice
Comme souvent elle sera reconnue et honorée après sa mort:
À partir des années 2000, elle devient le symbole de l'innovation et du design ; on célèbre son génie. En 2003, elle figure sur la première de couverture de Dignifying Science: Stories About Women Scientists. Un prix autrichien d'invention porte son nom et son anniversaire le 9 novembre marque la journée de l'inventeur dans les pays germanophones (elle est née en Autriche).le Google doodle pour ses 101 ans
Pour info., un très bon reportage sur cette actrice, Hedy_Lamarr, sera diffusé sur ARTE ce 22 janvier vers 23h00
L'important n'est pas la fin de l'aventure mais la manière de l'avoir vécue
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Les femmes majeures de l'Histoire
@Cygoris Dans une moindre mesure, ce que tu as écrit sur H. Lamarr m'a rappelé ce que j'avais lu sur Jayne Mansfield sur sa fiche wikipédia. Il y est écrit ceci :
" En dépit de ce que pourraient laisser supposer ses rôles de blonde idiote, Jayne Mansfield, avec un quotient intellectuel (QI) de 163, était une femme cultivée, parlait cinq langues, était pianiste et violoniste classique" -
Les femmes majeures de l'Histoire
Grace à @Twillily
Alice Guy (1873-1968) fut la première femme derrière la caméra, et la première réalisatrice et productrice de films de fiction de l’histoire.
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Les femmes majeures de l'Histoire
Catherine Dior héroïne de la Résistance Nous sommes en novembre 1941. Catherine est à Cannes. Dans un magasin, elle rencontre Hervé des Charbonneries. Coup de foudre. Catherine épouse les convictions de son compagnon : elle entre dans la Résistance. Hubert, le fils d’Hervé, raconte ainsi ses souvenirs à la maison Dior : « Mon père appartenait à un réseau franco-polonais de la Résistance qui agissait dans la zone Sud sous la tutelle de l’amiral Trolley de Prévaux. Ce réseau avait pour mission de fournir un maximum d’informations sur ce qui se passait en zone Sud. Catherine tapait les rapports à la machine avant leur envoi à Londres. » L’amiral Trolley de Prévaux est arrêté à Marseille en août 1944. Le réseau est en danger. C’est la fuite.
Catherine loge parfois chez Christian qui ne sait rien de ses activités. Le 6 juillet 1944, elle a rendez-vous place du Trocadéro avec une amie de son réseau. Mais ce sont deux membres de la Gestapo qui se présentent. Torturée, elle ne livrera jamais le nom de ses camarades. Elle est déportée le 15 août 1944 dans le dernier train pour Ravensbrück. Le 6 juillet 1944, alors qu’elle a rendez-vous avec un autre membre de son réseau place du Trocadéro à Paris, la Gestapo de la rue de la Pompe10 l’arrête à 5 heures du soir. Comme ses camarades, dont Jean Desbordes qui dirige son secteur et meurt le jour même sous la torture, Catherine Dior est alors torturée. Elle est déportée au camp de Drancy puis dans le camp de concentration pour femmes de Ravensbrück8. Le train qui l'envoie en Allemagne le 15 août 1944 est l’un des derniers à emmener des déportés (« convoi des 57000 »).
Libérée près de Dresde en mai 19458, Catherine Dior est rapatriée à Paris, très affaiblie et amaigrie. Elle est décorée de la croix de guerre – une distinction rarement accordée à des civils –, de la croix des Combattants, et de la Légion d’honneur8. Son cousin Sean Dior dira d’elle : « elle a risqué sa vie pour que les autres restent libres. »
Catherine Dior, est bien plus qu'une sœur au nom célèbre. Nous sommes en 1947. En même temps que son premier grand défilé de mode, Christian Dior est le premier couturier à avoir l'idée de génie de lancer un parfum en même temps qu'une collection de vêtements. Mais quel nom lui donner ? Alors que Dior se creuse la tête, Catherine, sa petite sœur, entre dans la pièce. L'assistante du créateur lance alors "Tiens, voilà Miss Dior !". "Miss Dior ! Miss Dior ! Voilà mon parfum !", s’exclame Christian Dior. Et c'est ainsi que, sans le vouloir, la discrète Catherine Dior, sœur du grand couturier, est passée à la postérité.
Dans les archives de la Maison Dior, on peut regarder, avec émotion, une photographie de Catherine prise après son retour en mai 1945. Elle porte les médailles qu'on lui a décernées en reconnaissance de son courage, mais son visage est d'une tristesse indescriptible. Au grand soulagement de sa famille, Catherine Dior reprend des forces pendant l'été. À l'automne, elle est suffisamment rétablie pour entreprendre un voyage à Paris avec Hervé, son amant qu'elle a retrouvé.
Il leur faut trouver un emploi : Catherine obtient l'autorisation de vendre des fleurs en gros, et le couple se met à commercialiser le fruit de leur production qu'ils ont planté dans le jardin de la maison des Naÿssès. Alors que son frère est en passe de devenir l'un des couturiers parisiens les plus en vue, Catherine fuit la lumière des projecteurs. Pourtant, elle est le seul membre de la famille Dior présent pour assister au succès fulgurant de Christian, le jour de son premier défilé. Maurice Dior étant décédé seulement quelques semaines avant.
A chaque collection, son frère lui offre des robes. Si son célèbre parfum Miss Dior est un hommage à sa sœur, une robe aussi porte son nom. Mais on imagine mal Catherine Dior porter ce modèle haute couture aux halles, où elle se rend à 4 heures du matin pour vendre ses fleurs, ni dans les champs de roses dont elle s'occupe chaque été dans la maison des Naÿssès, que son père lui a léguée.
C'est dans cette maison familiale, entièrement rénovée, avec des jardins emplis de roses et autres fleurs à parfum, qu'elle s'installe avec son bien-aimé, après la mort, soudaine, de Christian Dior. En effet, le soir du 24 octobre 1957, pendant un voyage en Italie, le couturier est retrouvé inerte dans sa salle de bain. On fait venir un médecin, mais trop tard : Christian Dior a succombé à une crise cardiaque. On appelle aussitôt Catherine, qui arrive à temps pour voir le corps de son frère étendu sur un lit, vêtu de noir, avant qu'il ne soit rapatrié à Paris en jet privé.
Catherine Dior met de l'ordre dans les affaires de son frère avant d'abandonner le commerce de fleurs pour se consacrer à la culture des roses et du jasmin. On raconte que jusqu'à la fin de sa vie, en juin 2008, elle a porté le parfum Miss Dior. Sur sa coiffeuse, il y en avait toujours un flacon, au milieu des rouges à lèvres. Des rouges à lèvres Dior, évidemment.
D'après mes derniers renseignements, il serait tout à fait possible que le Graal ne soit ni un vase, ni une coupe, mais... un récipient.
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Les femmes majeures de l'Histoire
Rosa Bonheur
Son siècle la porta au firmament. Le suivant l’abandonna dans les oubliettes de l’histoire de l’art. Voilà quelques années seulement que Rosa Bonheur est à nouveau considérée comme elle le mérite : une peintre singulière, parmi les rares artistes femmes à avoir percé dans le très corseté XIXe siècle ; un être de liberté, qui ne se cachait pas de vivre avec les femmes qu’elle aimait (Nathalie Micas mais aussi la peintre américaine Anna Klumpke, auteure de la biographie de l'artiste "Souvenirs de ma vie") ; une pionnière, aussi, des droits de l’animal.
Dans ses tableaux, elle veut exalter sa vision de l'âme animale. Pour elle, les animaux sont doués d'une empathie que les humains ne possèdent pas : "Si nous ne comprenons pas toujours les bêtes, les bêtes nous comprennent toujours (…) l'espèce humaine ne vaut pas, en général, les animaux". Elle devient un des premiers membres de la Société Protectrice des Animaux, créé en 1845 par le docteur Dumont de Monteux.
En 1850, grâce à la vente de ses tableaux, elle réalise son rêve en achetant une ferme à Chevilly, puis un château à By, hameau qui borde Fontainebleau. Elle y installe ses animaux : chevaux, poneys, moutons, vaches, bœufs, chiens, mouflon, isards, sangliers, un yack, des biches, marmottes, écureuils, furets, tortues, lézards, mais aussi un couple de singes, un aigle royal et en 1884 une lionne, Fathma, qui se comporte comme un gros chat et vagabonde en toute liberté dans la propriété où elle mourra de vieillesse !
C'est le réalisme de ses tableaux d'animaux qui est à cette époque particulièrement acclamé. Sa grande fresque intitulée Le Marché aux chevaux (1855) la rend si célèbre en Grande-Bretagne et aux États-Unis qu'elle va désormais surtout peindre pour cette clientèle étrangère.
"Je me trouvai tout d'un coup à l'apogée de ma carrière : les Anglais s’arrachaient les gravures que l’on faisait de mes œuvres ; les Américains se disputaient mes toiles. C'est grâce à cet enthousiasme exotique que j'ai pu vivre sans souci du lendemain. Des commandes importantes affluaient de toutes parts. Je me voyais transformée en étoile artistique (...) Il me suffisait de terminer une étude, et mon tiroir se remplissait d'or !". Elle est aujourd'hui exposée au Metropolitan Museum, à New York.
Son indépendance permettra d'ouvrir la voie à nombre de femmes dans le monde de la peinture et de la sculpture. Rosa Bonheur a aussi été la première femme à obtenir le rang d'officier de la Légion d'honneur.
En 1865, pour lui remettre sa distinction, l'impératrice Eugénie se déplace elle-même à By, dans le château de Rosa Bonheur, en Seine-et-Marne. "Le génie n'a pas de sexe", la complimente-t-elle. En 1894, sous la IIIe République, Rosa Bonheur devient la première femme promue au grade d’officier.Pour en apprendre davantage
https://www.arte.tv/fr/videos/114851-001-A/a-fontainebleau-les-beaux-jours-de-rosa-bonheur/
https://www.secretsdhistoire.tv/content/rosa-bonheur-la-fee-des-animaux
| dernière édition par Twillily Réputation: 1751 | Messages: 925 -
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L’avant-gardiste Tamara de Lempicka (1898-1980)
Tamara de Lempicka (de son vrai nom Tamara Rozalia Gurwik-Górska) est née en Pologne à Varsovie, a grandi en Russie, a vécu à Paris puis a du émigrer aux États-Unis. Elle a peint les femmes modernes et indépendantes de son temps et a incarné en peinture le mouvement art déco.
Après avoir suivi un enseignement artistique à l’Académie des Beaux-Arts de Saint-Pétersbourg, elle gagne Paris au lendemain de la Première guerre mondiale, où elle commencera sa carrière de peintre.
Elle développe son art et installe son atelier (ci-dessous) dans le 14e arrondissement de la capitale, plus précisément dans le Montparnasse, quartier qui compte à ce moment-là de nombreux artistes.
Résolument avant-gardiste, Tamara de Lempicka n’a jamais nié ses liaisons amoureuses avec des femmes, parmi elles l’écrivaine Colette ou encore Suzy Solidor, icone lesbienne, modèle et amante de la peintre.
C’est une femme libre et sans tabou qui vit la vie qu’elle souhaite mener sans se soucier du regard de la société. **La vie même de l’artiste exprime cette volonté des femmes des années 30 de se libérer du patriarca**t.
Même si elle n’a pas produit une grande collection d’œuvres (environ 150), son style classique et néo-cubiste la rend identifiable. On reconnaît les lignes droites propres à l’Art Déco très populaire à l’époque. Ses couleurs sont vives et les portraits extrêmement raffinés. Ses toiles représentent des femmes modernes affranchies des dictats de la mode et de la société. Les regards sont particulièrement expressifs et révèlent un caractère affirmé. Elles choisissent comment s’habiller et n’hésitent pas à reprendre des codes vestimentaires masculins.
Puis, la Seconde Guerre mondiale éclate et cette période d’ébullition intellectuelle et artistique s’éteint.Tombée dans l’oubli, son œuvre sera redécouverte dans les années 70. Tamara de Lempicka occupe maintenant une vrai place dans l’art du XXe siècle.
Son influence est toujours présente. La chanteuse Madonna, grande collectionneuse de ses tableaux, a notamment fait référence à ses œuvres dans certains de ses clips comme celui-ci :
Wikipédia, petite biblio et vidéo
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Les femmes majeures de l'Histoire
@ARPENTEUR : je doute que léo te réponde, non pas par intention d'ignorer mais parce qu'il ne s'est pas connecté depuis 1 an1/2.
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@ayamé Pas grave, ces quelques mots ont quand même réussi à se poser quelque part.
Une bonne journée. -
Les femmes majeures de l'Histoire
Emily Warren Roebling
C'est grâce à la série "The Gilded Age" (saison 2) que j'ai appris l'existence de cette femme talentueuse et dévouée à l'édification d'un célèbre pont...
Emily Warren Roebling (1843-1903) est connue pour sa contribution à la réalisation du pont de Brooklyn, après que son mari Washington Roebling a contracté la maladie des caissons. Son mari, ingénieur civil, était l'ingénieur en chef de la construction du pont de Brooklyn.
En 1864, pendant la guerre civile américaine, Emily fait la connaissance de Washington Roebling, le fils de l'architecte du pont de Brooklyn, John A. Roebling, ingénieur civil membre de l'équipe du gouverneur. Emily et Washington se marient le 18 janvier 1865.
Alors que John Roebling entame les travaux sur le pont de Brooklyn, les jeunes mariés se rendent en Europe pour étudier l'utilisation de caissons, indispensables à la construction du pont. En novembre 1867, Emily donne naissance au seul enfant du couple, John A. Roebling II.
Au retour de leurs études européennes, le père de Washington meurt du tétanos. Washington prend immédiatement en charge la construction du pont de Brooklyn. Très investi dans le projet, Washington descend régulièrement dans les piliers de construction et contracte le mal des caissons, qui l'affecte au point qu'il doit garder le lit.
Emily intervient à ce moment-là et prend le relais, en tant qu’ingénieur de terrain, achevant la construction du pont de Brooklyn. Étant la seule personne à voir son mari pendant sa maladie, Emily est en mesure de transmettre des informations en provenance de Washington à ses assistants et de faire des rapports sur l'avancement des travaux. Pour ce faire, elle développe une connaissance approfondie de la résistance des matériaux, de l'analyse des contraintes et de la construction de câble, grâce aux enseignements de Washington.
Pendant les quatorze années qui suivent, le dévouement d'Emily à l'achèvement du pont est inflexible. Elle récupère, au fur et à mesure, une grande partie des fonctions de l’ingénieur en chef, y compris la gestion du projet et la supervision quotidienne. Emily et son mari planifient ensemble la suite des travaux. Elle se charge d'échanger avec les responsables politiques, les ingénieurs et avec tous ceux qui sont à un moment associés aux travaux, au point que beaucoup pensent qu'elle est également derrière les plans du pont.
En 1882, le titre d'ingénieur en chef de Washington est mis en danger en raison de sa maladie. Afin de lui permettre de conserver son titre, Emily se rend à des réunions d'ingénieurs et d'hommes politiques, pour défendre son mari.
Au soulagement des Roebling, les responsables politiques répondent favorablement aux discours d'Emily et permettent à Washington de rester l'ingénieur en chef du pont de Brooklyn.
Le pont de Brooklyn est finalement achevé en 1883. Peu de temps avant l'inauguration, Emily Roebling, un coq à la main en signe de victoire, est la première à traverser le pont.
Lors de la cérémonie d'ouverture, Abram Stevens Hewitt honore Emily dans son discours et qui dit du pont qu'il était :
« ...un monument éternel à la dévotion sacrificielle d'une femme et à ses aptitudes à une éducation supérieure, dont elle a été trop longtemps empêchée. »
Des milliers de personnes ont assisté à la cérémonie d’inauguration qui fut présidée par le Président Chester A. Arthur. Un feu d’artifice fut tiré pendant une heure ! En 24 heures, environ 150 000 personnes ont traversé le pont de Brooklyn, en utilisant la promenade que John Roebling avait conçu uniquement pour les piétons.
Aujourd'hui, le pont de Brooklyn (qui s’était dans un premier temps appelé le « New York and Brooklyn Bridge », puis le « East River Bridge », avant de devenir le « Brooklyn Bridge ») porte une plaque dédiée à la mémoire d'Emily, de son mari Washington Roebling, et de son beau-père, John A. Roebling.
Quelques chiffres et dates clés
- 14 ans : le temps de la construction du pont
- 15 millions de dollars : le montant de sa construction
- 1 825 mètres : sa longueur
- 600 : c’est le nombre d’ouvriers ayant participé à la construction du pont
- 24 mai 1883 : date d’ouverture du pont au public
- 21 : c’est le nombre d’éléphants ayant traversé le pont en 1884 après que des rumeurs aient circulé sur le fait que le pont n’était pas solide
- 2 : C’est le nombre de parties du pont. La partie inférieure réservée aux voitures et la partie supérieure réservée aux piétons et cyclistes.
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Les femmes majeures de l'Histoire
On ne peut pas parler de "femme majeure de l'Histoire", mais tout de même... destinée atypique ! J'imagine bien un film.
https://tribunedelyon.fr/societe/qui-est-marguerite-le-paistour/| dernière édition par Marcel Réputation: 5908 | Messages: 5563 -
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@Marcel elle a quand même marqué l histoire ! Merci pour la découverte au passage
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Les femmes majeures de l'Histoire
@Marcel a dit dans Les femmes majeures de l'Histoire :
On ne peut pas parler de "femme majeure de l'Histoire", mais tout de même... destinée atypique ! J'imagine bien un film.
Merci pour cette découverte.
Extraits choisis:
"Travesti en homme, celle qui se faisait appeler Mr.Henri a exercé son métier ... pendant deux ans"
"Après avoir été servant de messe et soldat dans les troupes de France" !
"En 1747, une place ... se libère à Lyon, elle saute sur l’occasion....."
Elle semblait impatiente
"Ecrouée à la « maison de Roanne » dans le Vieux-Lyon, elle parvient à en sortir grâce à l’amour d’un homme avec qui elle se marie ........ et prend le nom… d’Henriette."L'important n'est pas la fin de l'aventure mais la manière de l'avoir vécue