Et bien depuis que les vaccins existent, une procédure très encadrées est à suivre avant d’envisager une mise sur le marché. C’était alors admis par tout le monde comme une prudence nécessaire et même comme relevant du bon sens.
La durée d’étude était d’environ 10 ans. Celle-ci a été réduite à 6 mois.
Tu as dit une chose vrai Peri , c’est que la situation relevait de l’état d’urgence et qu’en l’occurrence des mesures d’exception doivent être permises. Mais alors pourquoi la Chloroquine et le protocole Raoult ont été décrié en dépit des bons résultats de l’IHU de Marseille. Résultat qui ne peuvent pas être falsifiés car tous les patients ont été enregistrés avec leur carte vitale! Néanmoins le protocole Raoult a été écarté pour défaut de rigueur méthodologique (alors qu’il s’agit du seul pôle français destiné à l’étude des virus!)
Ton argument d’urgence était valide à l’égard du protocole Raoult et ce d’autant plus que les médicaments utilisés nous sont connus depuis des décennies. Nous aurions dû crier cocorico et faire tout ce que nous étions alors en mesure de faire. Or nous n’avions rien fait ! On a demandé un malades de rester chez eux jusqu’à ressentir une détresse respiratoire.
Maintenant y a plein de vaccins élaborés en quelques mois avec de nouveaux procédés scientifiques jamais testés à grande échelle. Et on nous fait un chantage selon lequel pour retrouver la vie d’avant il faut être vaccinés. Dans le même temps nous constatons que les pays champions de la vaccination, Israël et royaume uni, subissent de plein fouet les nouveaux variants.
N’importe qui a l’esprit analytique ne peut qu’être méfiant face aux incohérences