True Romance raconte l’histoire de la rencontre de Clarence Worley, un fou d’Elvis et d’Alabama une callgirl dans un cinéma qui ne va pas manquer d’être explosive ...
Avec Tony Scott aux commandes, Tarantino à l’écriture, il n’en fallait pas plus pour que ce soit endiablé. Tarantino parle déjà des thèmes qui lui sont chers comme le cinéma d’arts martiaux et aborde le côté sombre du cinéma avec la drogue par le biais de la folie du personnage de Clarence qui cherche à revendre de la cocaïne pour aller couler des jours heureux à Cancún avec sa belle.
La violence est discutable, révoltante, bien sûr, surtout lors de la scène où Alabama se fait passer à tabac. La notion de romantisme est complètement discutable et peut déranger, mais peut faire aussi l’intérêt du film. La scène de la prise d’assaut de l’hôtel à la fin, est filmée de manière remarquable, il faut le reconnaître .
Gary Oldman est déjà méconnaissable dans son rôle et Brad Pitt est trop drôle en rôle de « balance », sous l’effet de la drogue. Assurément, ici, ce n’est pas forcément le Slater que je préfère. On adore l’acteur mais, ici, Trop de folie pour moi, même si je pense que l’acteur et ses acolytes ont dû s’amuser dans leur rôle. Je le préfère nettement actuellement dans son rôle de Mr Robot qui est plus fourni. La prochaine étape est de revoir Christian Slater dans Pump Up The Volume. Envie d’ajouter que la fin de True Romance est plaisante. On attend de pied ferme la nouvelle série de Slater, Dr Death.
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