Je viens d'en faire un cette nuit, décidemment.... 😄
Cela dit, ça reste toujours aussi rare mais tant que c'est encore frais, je le partage! Encore moins de contexte que celui que j'ai évoqué dans mon post précédent. Ce qui peut prêter à rire, mais moi, c'est précisément ce qui m'angoisse le plus dans les cauchemars, zéro contexte. Le fait de se retrouver dans un lieu nous rappelant vaguement quelque chose et nous plongeant dans la confusion la plus totale.
Le scénario du dit cauchemar de cette nuit :
Je me retrouve directement dans un jeu vidéo, je suis en train d'y jouer mais pour l'instant, je ne me vois pas, ça commence dans le jeu. Le jeu en question, un jeu auquel j'ai joué très jeune, l'un de mes premiers jeux, un vieux Tomb Raider (aucune importance). Je joue et à un moment, je suis bloquée à un passage. Je bataille pendant un moment mais impossible d'y arriver, donc j'arrête le jeu.
Une fois la console éteinte, je découvre enfin le lieu, je suis dans une chambre qui pourrait très vaguement me rappeler l'une de mon adolescence. Je suis en présence de ma meilleure amie et amie d'enfance, avec qui il m'arrivait de jouer aux jeux vidéos même si c'était rare. On va directement se coucher au sein du même lit, rien d'étrange et aucune ambiguïté, plus jeune j'allais souvent dormir chez ses parents et vice-versa, on dormait parfois dans le même lit.
Là je commence à lui montrer d'autres jeux et des jaquettes de films de notre enfance, jusque-là, ça n'avait rien d'un cauchemar (teaser incroyable). On éteint la lumière et nous commencions à nous endormir. Soudainement, j'entends le bruit très fort d'un oiseau, celui d'un rapace nocturne mais extrêmement bruyant et proche, donnant l'impression d'être collé à la fenêtre de la chambre. Puis s'en suit le bruit d'un coq alors qu'il devait être minuit/1h pas plus. J'ouvre les yeux et là, je vois ma pote qui me fixe, pétrifiée, sans dire un mot, elle respire très fort et nous sommes vraiment collées face à face.
Puis enfin un léger cri humain cette fois. Le plus étrange, c'est que je n'avais vu aucune autre pièce que cette chambre dans laquelle nous étions, pourtant, à ce moment-là, j'avais des images du reste de la maison. Une maison de campagne très grande, pleine de pièces et avec un jardin tout aussi immense qui l'entourait. Je connaissais les lieux sans même pourtant les avoir vu préalablement dans le cauchemar. Dernière image, le regard fixe de ma pote morte de trouille. Fin, maintenant j'en rigole.