Ah les comptines, on a tous était bercé par ceci qu'on était petit(e) voir même certains d'entre vous en chante à leurs enfants pour les endormir, mais avec le temps, quand on se renseigne sur les paroles, on se rend vite compte que certaines d'entre elles sont très malsaines voir même qui vont jusqu'à des articles du Code Pénal, je vous laisse quelques vidéos qui explique ces sens caché et n'hésitait pas à parlé des paroles malsaines dans les comptines
-
Le sens caché des comptines
J'avais remarqué cela avec la naissance de ma fille. Quand on va un peu plus loin que la première partie de "Au clair de la lune" on s'en rend compte. Et il y en a plein comme ca en effet.
Heureusement quand on est petit on ne le remarque pas, ou alors cela ne choque pas. Je n'ai pas souvenir que cela m'ait perturbé quand j'étais gosse
-
Le sens caché des comptines
@Hornet Enfin les enfants a l'heure actuelle écoute du Jul, PNL et Aya Nakamura (Bon sang, que j'aime pas ces artistes)
-
Le sens caché des comptines
Il y a l'épisode 3 qui vient de sortir
| dernière édition par Spider-Trunks Réputation: 212 | Messages: 171 -
Le sens caché des comptines
Je commencerai bien sûr par la plus occitane :
Jean Petit qui danse, ou originellement en langue occitane Joan Petit que dança, est une chanson populaire et une comptine d'origine occitane.
Elle est connue sous le titre Joan Petit en occitan et catalan. Elle a par la suite été adaptée en français mais aussi en breton sous le titre de Yann Gorig o tañsal.
Le titre, en français est une traduction adaptée du titre occitan « Joan Petit que dança », littéralement « Jean Petit danse ». Selon certaines hypothèses folkloriques, le titre ferait référence au supplice de la roue, au cours duquel les membres du condamné sont brisés un à un, que subit Jean Petit, un des chefs de l'insurrection des croquants de 1643.
Il était courant en ces temps de laisser un corps entrer en décomposition avancée sur les entrées des villes concernées pour rappeler aux badauds de passage ce qu'il en coûtait de défier les autorités. On appelait cela à l'époque « faire danser un corps » jusqu'à ce qu'il se détache par morceaux. Le corps soumis à la roue se détachait ainsi en morceaux éparses et divers.
ici et maintenant