Omicron,ce qu'on en sait
-
@jean : la grippe espagnole a duré 3 ans. Covid a déjà 2 ans. Allez, courage, plus qu'1 an à tenir .
-
@ayamé a dit dans Omicron,ce qu'on en sait :
@jean : la grippe espagnole a duré 3 ans. Covid a déjà 2 ans. Allez, courage, plus qu'1 an à tenir .
et les moyens n étaient pas les meme à l 'époque !
-
@vi-king oui, et aussi moins de déplacements de population, moins de rassemblements type stade de foot. Même les églises furent fermées.
-
maintenant au moins on sait qu'il vas nous pourrir la vie dans les prochains mois
-
Une menace comme tant d'autres ......une nouvelle vague qui va encore nous fragiliser et qui déjà fait son petit bout de chemin en traversant les frontières à sa guise d'où la question comment en arrêter sa transmission, sa mutation.
Dernière info " Omicron aurait dû s'appeler " Xi" mais cette lettre grecque a été écartée par l'OMS car c'est un nom répandu notamment celui du président Chinois...... Avis ! -
Émergence des variants du SARS-CoV-2 : que peut-on espérer (ou craindre) dans un futur proche ?
Extrait :
"Fin novembre 2021, la découverte du variant Omicron a déclenché une alerte mondiale car les premières données laissent à penser que ce variant hautement transmissible provoque plus de réinfections que les autres. Si tel était bien le cas, cela signifierait que, parallèlement à une transmission élevée chez les personnes non immunisées, les personnes précédemment infectées ou vaccinées, seraient également à risque d’être réinfectées.
Avec une transmission très intense et un échappement immunitaire, c’est la pandémie qui redémarrerait – avec son cortège de restrictions.
Ce variant ne semble cependant pas associé à une gravité clinique particulière et, actuellement, c’est toujours la 5e vague liée au variant Delta qui peut conduire à une saturation des hôpitaux. Le degré d’observance des gestes barrières et la progression de la couverture vaccinale de rappel auront donc un impact majeur.
Par contre, à court terme, la très forte diffusion d’Omicron au sein de la population non immunisée présentant des facteurs de risque pourrait mettre à mal le système de santé.
Alors que les précédents variants présentaient des évolutions relativement « proches » (quelques mutations en plus), ce variant est particulièrement différent et possède plus d’une trentaine de mutations par rapport à Delta rien que pour la protéine Spike.Plusieurs hypothèses semblent possibles, liées à l’environnement dans lequel se trouve le virus.
Tout d’abord, une évolution « graduelle » est bien sûr possible. Les mutations observées ont pu s’accumuler de façon régulière, sans être détectées pendant des mois parce qu’elles n’engendraient pas de changements épidémiologiques majeurs – sur la transmissibilité, la létalité ou l’immunité engendrée.
En d’autres termes, ce n’est qu’après une certaine accumulation de mutations qu’une combinaison particulière sur le virus a pu représenter un vrai tournant pour notre système immunitaire (dans sa capacité à le reconnaître, etc.)Une autre possibilité est l’implication des longues durées d’infection chez les personnes immunodéprimées.
En effet, certaines personnes atteintes par le Covid, notamment celles ayant un système immunitaire déficient (par exemple atteintes de VIH, de cancers, greffées, etc.), peuvent rester infectées pendant des périodes relativement longues (de plusieurs semaines à plusieurs mois).
Or, si le virus évolue quand il se transmet d’un individu à l’autre, il évolue également à l’intérieur des personnes infectées.
Ainsi, les patients qui présentent des formes cliniques marquées par de longues durées d’infection peuvent permettre l’accumulation de mutations et ainsi « produire en interne » un nouveau variant différent de ceux circulant dans la population générale. Et qui peut développer « localement » des traits spécifiques adaptés à sa situation propre, notamment une capacité à échapper au système immunitaire." -
@cygoris Ils continueront sur la voie du 100% vacciné tant que la maladie existera. Quelque soit le mutant. Quelques soient les connaissances scientifiques, Ce n'est plus une question scientifiques . C'est une question d'honneur. Et ils ne lâcheront pas la grappe tant qu'ls auront le pouvoir.
-
il vas nous pourrir la vie !!
-
@pompon Ce ne sont pas les variants qui nous pourrissent la vie.
-
@plume Sauf Olivier Variant...
-
@hornet Effectivement, celui-ci nous pouvons lui donner la palme de ti chienchien à son roitelet.
-
Il y a autant d'avis que d'épidémiologistes concernant ce variant. ça fait quand même un mois qu'il se répand dans le monde
-
Omicron est partout et bien que l’on en sache peu à son sujet, certains médias se feront,
comme d’habitude, les publicitaires des laboratoires.
Tandis que d’autres sources plus sérieuses diront exactement le contraire. Ce qui sèmera encore plus la confusion.
Ce variant va devenir le nouveau dominant, détrônant Delta et ce changement s'opère à la vitesse de l’éclair,
instaurant un important climat de peur. Un virus qui est capable d'infecter plus de monde,
c'est forcément plus de personnes hospitalisées et de décès !
La France a déjà enregistré 51 000 cas positifs - tous variants confondus - le 16 décembre dernier.
En termes de volume, nous sommes donc très proches du pic le plus haut de contagions
de novembre 2020, malgré un fort taux de vaccination.
Et c’est bien là dessus que les politiques vont jouer pour renforcer le climat de tension début 2022,
en proposant une seule option envisageable pour sortir de ce scénario infernal : la vaccination obligatoire !
Et ce, alors même que les vaccinés semblent particulièrement sensibles au nouveau variant,
comme le prouve une récente étude hollandaise, financée par le gouvernement : les résultats “suggèrent
une diminution substantielle de la protection induite par le vaccin contre la variante Omicron par rapport à la variante Delta.”
Quant aux effets secondaires des vaccins, on enregistre plus de de 13782 cas de péricardites et myocardites en Europe.
C'est peu, direz-vous, en rapport aux millions de gens vaccinés, mais les cas de péricardites et de myocardites explosent !
La presse tente bien de camoufler cela sous des propos rassurants.
A l’exemple d’Europe 1, qui titrait le 8 novembre dernier :
" Vaccins ARN : risque de myocardite et péricardite confirmé mais peu fréquent selon une étude ".
Info, intox ? A chacun de se faire sa propre opinion. -
-
-
@cygoris : passionnant, mais vraiment complexe. Bref, ce qui est à retenir, à mon avis, c'est ça :
Omicron se réplique très rapidement dans les bronches mais pas dans les tissus pulmonaires.
Ce qui explique qu'il est très contagieux de par « une charge virale infectieuse plus élevée dans les voies respiratoires qui pourrait se traduire par une augmentation de la quantité de virus libérée en respirant ou en parlant, ce qui favorise la transmission par voie aérienne ».
Plus contagieux, mais moins dangereux.
Et de ce que je comprends de l'article du 09/02/2022, il échappe aux anticorps que nous font fabriquer les vaccins ARN,
ce qui explique pourquoi tant de gens vaccinés attrapent la covid.
Omicron est la 6e vague, elle est en train de redescendre. Laissera t-elle la place à une 7ème ? -
Oui, bien résumé.
Heureux que tu es pris le temps de parcourir ces articles forts détaillés.
D'aucun diront qu'on savait déjà tout ça, mais ces articles révèlent sa description complexe.