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Zébulon
Ravi de me jeter corps et âme dans cette nouvelle aventure. Pour le moment je laisse le suspense atterrir gentiment. Vous aurez l'occasion d'en savoir plus sur cette gargouille mystérieuse et cet étrange Zébulon. Au plaisir d'échanges savoureux.
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Zébulon
Un merci groupé à tous. Pour résumer un peu de moi, j'ai trouvé ce forum par hasard dans les méandres du net. Et comme j'aime les pop-corn, ( ils me font penser au cinéma ) mon appétit s'est aiguisé.
Alors me voici fraichement débarqué ici. J'ai l'habitude des forums et j'aime bien en découvrir d'autres. Mais pas de les déshabiller, ceci s'entend. J'habite dans une ville au beau château, non loin où Napoléon a déposé les armes. Mon but est de ne pas vous donner larme à l'œil : ce temps est révolu. Puis vous allez bien trouver de quelle ville il s'agit. Vous avez toutes mes amitiés au passage, même aux pas sages du tout. Il faut de tout comme on dit. Le côté positif est qu'après quelques petites intrusions dans les posts, j'ai été séduit par la qualité des échanges et beau degré de prestance des membres au pont de sentir mes membres frémir. Moi-même, j'affectionne la création de posts sympas. Mais inutile de se hâter trop vite : il faut laisser le temps tâter la patience. Se jeter dans la gueule du loup ne sert à rien. Professionnellement je suis dans la restauration. Inutile de vous emporter, je ne fais pas à emporter. C'est la crise des Fourneaux, comme le dit si bien les journaux. Il y a d'autres menus sympas, comme le goût des plaisirs. Je ne dis pas que je suis célibataire. Je ne souhaite nullement une émeute à peine arrivé. Toujours se faire en premier comme ami les potes. Une fois ami, la présentation des amies est plus facile et passe mieux. A ne pas confondre avec une passe. Je passe la main aux malotrus. Voilà en gros la situation qui n'est pas une mince affaire. Pour la peine je trinque un verre à votre santé. Ce sera champagne. Aux champs ce n'est pas le bagne, bien au contraire.
A très vite, Chers membres.Zébu, agitateur des présentations.
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Zébulon
@Kachina13
Ah...ma Bretonne. Je l'ai rencontrée à l'île de Groix. Mon petit bout de paradis qui a bercé mon enfance. J'étais jeune et beau. Mes grands-parents y vivaient avec mon oncle. Un oncle extraordinaire. On ne pouvait que l'aimer. Lors d'une soirée dans un pub, tenu par un homme admirable, le destin m'a présenté cette belle Bretonne. Un bel amour est né. A cette époque j'habitais à B-B. Boulogne-Billancourt, là où j'ai vécu bébé et y habitais par la suite. Ma Bretonne étudiais à la Fac de Nanterre. Ce qui permettait de jongler entre la Bretagne et Boulogne. Un an s'est écoulé. Nous avions des projets communs. Comme de vivre ensemble. Oui mais voilà, il a fallu une tragédie. Un vendredi soir, j'ai loupé le dernier bateau pour Groix de 20h30. J'ai dû passer la nuit à Lorient. Je suis allé dans un pub. Juste comme ça histoire de, avant de regagner ma chambre d'hôtel. Une Bretonne m'a fait du rentre-dedans. Non pas que c'était une beauté merveilleuse, mais dotée d'un esprit brillant. Sa beauté intérieur me fascinait. J'ai été obligé de lui dire qu'entre nous ce n'était pas possible. Elle m'a fait des louanges. Ce qui n'a pas empêché d'échanger nos 06. Après une soirée arrosée et moult discussions, j'ai regagné ma chambre d'hôtel. Le lendemain, à 8h45, me voici dans le bateau. Ma chérie était radieuse. Moi aussi. Puis, comme à son accoutumée, nous avions passé un week-end formidable. Le lundi soir j'étais de retour chez-moi. La Bretonne " bis" a commencé à m'envoyer des SMS foudroyants. Non pas d'amour, mais enjolivés d'alexandrins. Elle adorait écrire en alexandrin. Je lui répondais en haiku. A bout du 4ème échange, nous sommes revenus au basic. Aucun de nous deux ne parvenait à comprendre quelque chose. Au moins les échanges se faisaient plus rapidement. Dans tout ça, ma Bretonne officielle commençait à avoir des doutes au style de mon écriture en mode quatrain. Ses soupçons se sont envolés lorsque je lui ai dit qu'elle m'inspirait au point d'embellir mes mots. Qu'est-ce que je n'ai pas dit là. Ses hormones ont explosé. Et voilà l'autre Bretonne qui en remet une couche. Dans ma tête il fallait " scier " cette relation avant l'embûche. Oui mais voilà, la bougresse m'a proposé un concert de Lo'Jo et Yog Sothot à Lorient. " J'adore !" que je lui ai dit. Quel con, jamais entendu parler d'eux. Mais elle m'a vanté ce groupe d'une telle manière, que machinalement j'ai fini par adorer sans ne rien savoir sur eux. Ce concert était prévu le week-end en cours. J'ai appelé ma Bretonne d'amour pour lui dire que ce week-end je ne pourrai pas venir. Jusque là, tout va bien.Le samedi matin, me voici à Lorient. Je retrouve la " tueuse de couple. " Dans ma tête rien n'allait. Je me disais : " qu'est-ce que je fiche ici." Elle avait raison : le concert était génial. La nuit j'ai dormi sur son canapé. Il était 5h00 du mat. Discuter de tout et de rien, le temps passe plus vite qu'une lettre à la poste. Je suis reparti le dimanche soir avec un souvenir immarcescible. Ce souvenir de cette tonitruante Bretonne. La page s'est fermée. Elle a compris qu'elle ne faisait pas le poids sur la Groisillonne. A mon avis elle a dû se toucher pas mal de fois en pensant à moi. De mon côté, mes idées se sont définitivement consacrées à ma chérie. Le moment où tout a basculé. Je ne le savais pas encore, sauf les Groisillons. Et surtout ma chérie. La stratégie a été de faire comme si tout allait bien. Le week-end suivant, ouf, j'ai eu le bateau de 20h30. La traversée s'est faites comme une mamie derrière ses rideaux. J'étais cette mamie. Moi, toujours sur la partie supérieur de la poupe à regarder ce que j'ai vu dix mille fois. Peu importe, on ne s'en lasse jamais. Il faudra que je pose cette question aux mamies, le charme en moins des paysages.
J'arrive à destination. La maison des parents de ma Belle. Le temps est magnifique. J'entre tout excité. Je me trouve en fasse d'un comité d'accueil. Ma Belle et ses parents, debout devant la table de la cuisine. Je commence à avoir la blob loche. Ma chérie me demande si je n'ai rien à lui dire. Je tire une grimace d'écolier. Elle me montre des yeux le journal Ouest France. Je le regarde. Il était déplié. J'ai reçu une surcharge de dix mille volts. En gros plan, moi et la Lorientaise en gros plan au concert. Aucun portable à cette époque, pourtant. Fichu journaliste. Le con m'a mitraillé avec la croqueuse d'homme. Ce jour là, je n'ai pas déballé mes affaires. J'ai passé le week-end chez un ami. Mes grands-parents et mon oncle ont perdu vie peu de temps avant. Une histoire digne de la sorcellerie. Ma chérie ne m'a jamais cru quand je lui ai dit qu'il ne s'était rien passé entre nous. Une triste fin. Actuellement elle a un grand garçon fait avec un autre homme. Tout ça à cause de cette photo. Moi en train de la tenir par l'épaule... Fichu journaliste.
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Zébulon
Je vous propose une énigme pour les génies. Elle est issue " d'Elfe Noir. " Enigme introuvable sur Google. Une seule personne a trouvé. Un ami.
Voici l'histoire...Un professeur pense avoir mis la main sur une pilule qui rend très intelligent. Il y a 20 pilules en tout.
Il ne veut prendre le risque de la tester sur un humain. Il utilise donc Jacquot, son perroquet.
Il lui donne la moitié d'un pilule et lui pose une série de questions :- Jacquot, 8+5 ?
- 13, Grand maître.
- 70x3 ?
- 210 !
- Le ministre de la santé ?
- Un varan.
- Euh, presque. Véran.
- Qu'est-ce qui commence bien, puis fini mal et qui se termine comme un jeu ?
- ???
Le professeur lui donne la moitié de l'autre pilule. Il repose la même question. - Bleu ! Grand maître.
- Bravo Jacquot ! C'est bien le bleu.
Le professeur saute de joie. Son invention fonctionne. Il se voit déjà riche. Il va se coucher tout excité.
Oui mais voilà, le lendemain matin, le drame. Le perroquet a avalé les 19 pilules durant la nuit. Il se dit qu'il est devenu fou.- Non, moi pas fou, Grand maître. Moi très intelligent.
- On va voir ça.
- 7x3 ?
- 761 pour moi, 1062 pour toi.
Effectivement, le professeur se dit qu'il est devenu fou. Sa joie se termine en grand désespoir.
Mais ce qu'il ne sait pas, est que le perroquet a donné la bonne réponse, tellement il est devenu intelligent.
Qui sera capable de trouver pourquoi 7x3 = 761 pour le perroquet et 1062 pour le savant fou ?
Un grand bravo à qui trouvera cette équation.
Indice : une " chose " doit faire tilt. Il faut se pencher sur sa particularité.
A vous de jouer ! -
Zébulon
Ici ce trouve le canal média Pop Corn qui parle actualité récente et ancienne sur la santé morale.
Voici une conversation datant d'un âge moyen mais pas du Moyen Age.- Tu as lu la nouvelle, Jean ?
- Non. Laquelle ?
- Un fou a écrit dans le journal qu'à cause de la chaude pisse, un jour elle va engendrer des tas de saloperies, que dans 50 ans les bistrots seront fermés.
- Quoi ? Francine, il a bu quoi ton matou ?
- Ne commence pas avec tes mots qui donnent la colique ! Il a raison, on a lu ça ensemble.
- Dans 50 ans vous-dites ? Et à cause de la chaude pisse ? A mon avis le gars qui a écrit ça, il a la chaude pisse. Elle fait perdre la boule.
- Il ne boit pas assez de chopines. Le rouge tue le jaune et on a l'impression de pisser des betteraves. Mais au moins ça chauffe pas les toilettes. Par contre, remets-nous une tournée, Vieux bougre !
- Y a pas l' feux, c'est dans 50 ans.
- Oui, mais à cause de ce fou, ceux qui vont lire ça dont De Gaulle, il risque d'avoir une mauvaise gaule au point de faire un préliminaire de 50 ans.
- T'es con. Bon, je remets une tournée. Quand tu bois tu dis moins de conneries.
- Et après c'est moi qui le supporte quand il boit trop !
- Du calme, Francine. Je te mets aussi une tournée.
- J'aime mieux ça. Tu sais causer aux femmes, toi.
- Surtout les belles.
- Ça se voit que tu ne l'as pas vue toute nue.
- Tu vas voir, Saligaud !
- Tu sais que je t'aime pourtant.
- Tu parles. Tu m'aimes quand tu bois trop.
- Du calme les deux tourtereaux. Vous m'avez perturbé avec cette histoire de chaude pisse qui va engendrer la fermeture de nos commerces festifs.
- A mon avis il s'agit d'un complot des Fritz.
- Quoi les frites ? Elles ont à voir quoi là dedans ?
- Tu vois, qu'est-ce que je te disais, Francis. Dès qu'elle picole trop, elle perd la boule comme les chaudes pisses.
- Et ma main sur ta truffe, tu la veux ?!
- Ok, j'ai compris, je vous remets une tournée. Ce n'est pas la peine de faire tout un cinéma quand vos verres sont vides.
- Laisse tomber, c'est la mienne. Autant en profiter de payer, après on ne pourra plus.
- Allez Maurice, ne te laisse pas abattre. Tu sais bien que toute cette histoire c'est que des conneries.
Les joies du peuple.
RD.
Photo " Le Paris de Léon Claude Vénézia."
Rue de la Mare, Paris 20ème -1967. -
Zébulon
Chers membres.
Un jour je placerai ici un jeu que j'ai crée pour un forum et qui a fait un malheur. " La chasse au trésor. "
L'aventure se passe dans un château avec plusieurs pièces. Chaque pièce contient une énigme à résoudre. Il y en a 8 en tout. Le jeu se déroule en deux équipes. La particularité est que les équipes sont scindées en deux posts. Une équipe n'a pas accès à l'évolution de l'autre équipe, sauf moi. Puis les non participants. Le but du jeu est de résoudre l'énigme de la dernière pièce ( une fois les autres résolues bien entendu ), avec à la clé ce fameux trésor.
Une autre particularité : en page d'accueil est disposé chaque pièce avec le nom de l'énigme mais sans...l'énigme. Elle viendra au moment où l'équipe entre dans cette pièce. Et chaque équipe choisira l'ordre des pièces. Le fun est plus grand. Par contre il faut un certain temps pour que je puisse mettre tout ceci en route. Sans oublier la création des deux équipes ainsi que le " formatage " de deux posts isolés. Formatage qui ne dépend pas de moi. De mon côté je fais vivre chaque évolution des équipes. Ce qui demande une présence conséquente ainsi que la disponibilité des membres. Pour info, le jeu s'est déroulé sur environ un mois. Chose sûre, on s'éclate comme des fous.
Affaire à suive comme on dit.Le guide du château.
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Zébulon
En achetant mes poissons panés je me suis fais avoir. La boite était vide. Ils sont pas nés.
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Zébulon
@Astyanax
J'en rougi comme une belle rose. Merci. -
Zébulon
Alex Honnold, qui est-il ? Un grimpeur en solo intégral ( sans cordée ) de l'extrême. Quand le mental lié au plaisir peut faire surpasser un homme dans une performance extrême de l'impossible, au risque de perdre la vie en une fraction de second. Ce grimpeur Californien en solo intégral me fait halluciner. Comment décrire cette performance de gravir cette falaise mythique de granite " d' El Capitan "de près de 1000 mètres de hauteur avec la forces des bras et des jambes sans la moindre protection ? Le seul à avoir réussi son ascension sans corde. Sauf en repérage. Il a mis 3h46. Moi, à 2 mètres je tombe. En plus c'est vrai sur un rocher d'escalade de Fontainebleau. Je suis tombé comme une loutre. Comme il dit, c'est une compétition où il faut gagner la médaille d'or, sinon c'est la mort. Le risque ultime dans une forme d'extase en oubliant la mort toute proche, qui guette l'infime erreur. Le pire est qu'une fois en haut, c'est comme s' il avait gravit un mur de 5 mètres. Aucun signe de fatigue ni une réelle explosion de joie, sauf intérieurement. Exploit fait en 2017. Et sans doute le seul pour longtemps. Tout simplement prodigieux. Un beau reportage à visionner pour faire " waouh !"
Escalader ce " mur " de 900 mètres à main nue. Comment ne pas halluciner.
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Zébulon
Avec un grand plaisir je vous propose un jeu qui a une particularité.
Cette particularité est la suivante : je ne mentionne pas le nom attribué à ce jeu.
Pourquoi ? J'ai remarqué un bon nombre de rusés. Comme on dit : " bien fait pour vous ! Après tout, vous l'avez bien cherché."
Le but du jeu est de trouver de quelle bête il s'agit. Un animal, vous l'avez compris et non un membre bête. Restons dans le raisonnable.
Pour ça, il est proposé des énigmes qu'il faut mettre bout à bout pour en faire un tout, qui correspond à l'animal.
Celui ou celle qui trouve, à son tour d'en proposer un. Et ainsi de suite.
Maintenant on peut commencer. Je vois que vous avez tout compris. Mais ça, rien d'étonnant.Je suis un animal en 7 pieds, si fragile et mignon.
- Ma tête largement en 2 pieds, je suis aussi bien un symbole de mesure qu'une interjection.
- Mon coeur seul représente un symbole chimique.
- Et si vous coupez mon coeur, alors en 6 pieds je suis une station de métro.
- Ma queue très largement en 3 pieds, je suis essentielle.
- Si vous coupez ma tête et gardez le reste de mes pieds, je représente plusieurs légendes, dont une fable de Platon. Sans oublier mon côté mathématique et bien plus encore.
Qui suis-je ?
Je reste à votre disposition pour vous aider. -
Zébulon
Je suis obligé de vous avouer que je fais que des conneries. Pour preuve, même la conne rit. Une connerie, c'est toujours con. Surtout celui ou celle qui la porte en criant : " Hop, tous en selle, on va faire des conneries au trot ! " Une de mes conneries est ce triste jour où j'ai monté un cheval. Je me suis rendu compte que je n'avais pas assez de couilles pour ça. Je suis tombé comme un âne. Une ânerie de plus dans ma collection déjà pas fameuse du tout. Inutile de raconter celle de la vache - avec qui je pensais régler le problème du cheval - que j'ai montée. Au début c'était sympa. Elle était toute docile. Logique, elle préférait brouter que de s'occuper de moi. Oui mais voilà, il a fallu que ce fichu taureau déboule à toute vitesse. La honte de ma vie à cause de la vache morte de rire. Par chance le taureau a préféré la vache. Le voir me narguer à ce point, dommage que j'ai perdu mes couilles en tombant du cheval tête de mule. Là, il aurait moins fait le malin. Du coup j'ai opté pour les moutons. Je me suis mis au tricotage de la laine fraîche. Le résultat ? De beaux pulls d'hiver. Hélas, encore un fait divers. Une connerie de plus. Je me suis retrouvé avec une haleine de mouton. Je passe les détails. La honte. J'espère que je ne fais pas une connerie avec les " pop-corn."
Zébu, agitateur des ras le pompon.
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Zébulon
Avec ma tante, le poids des apparences prend tout son sens quand elle dort dans une tente. La tente devient boursoufflée. Et le problème arrive quand il faut emporter les deux. Le problème de comment écrire : " J'emporte mes tentes. Mes tentes ou mes tantes ?
face à ce problème, j'ai trouvé le moyen d'en faire un pluriel.
1 tente + 1 tante = 2 tentantes.
J'écris : j'emporte mes tentantes.
Mon tout est tentant.
Comme cette idée tentante d'inviter les belles à faire du camping
Surtout les Canadiennes
A condition qu'elles aiment les sardines au menu
Et d'écouter un peu de Sardou
Aux paroles prégnantes
Sans envies répugnantes
Sans errance et sans souffrance
Le poids des apparences
Que l'on aime à dire
Jolie calliépie
Belle chipie
A la corpulence généreuse
Encore et en corps
Que je goûte à tes apparences
Afin que je puisse
Retirer le poids de mes fardeaux
Pour que, puissions aller en radeau
Puisons ensemble cette envie
De naviguer ensemble
J'en fais un dessin
Mais pas des seins
Juste un destin
Beau festin
Du poids des apparences
La plus belle des richesses.![text alternatif]( url de l'image)
Zébu.
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Zébulon
Niveau parfum, celui qui est bien perturbé avec ces effluves, il se prénomme : " le papillon de nuit." le mâle, surtout. Une belle histoire à la fois émouvante et tragique.
Voici son histoire.
Nous sommes au mois de juin. Il est 23h00. Le ciel brille de millier d'étoiles. Les fêtards et les amoureux arpentent les rues de Paris. Le papillon de nuit n'y prête guère attention à toute cette agitation. Il est paisiblement posé sur la branche d'un arbre qui jouxte les quais de Seine, non loin du Louvre. Même le beau ciel illuminé n'attire pas vraiment son attention. Mais bientôt une " chose " va le captiver. Ce que nous, ne voyons pas. Un ciel de millier de " blandices." Les phéromones d'une femelle qui se trouve au jardin du Luxembourg. Un ciel étoilé de caresses et de flatteries qui recouvre une bonne partie du toit de Paris. La femelle laisse le mâle venir à elle. Après tout, il faut mériter cette offrande. Le papillon du Louvre n'y tient plus. L'appel est trop grand. Généreux, surtout. Le voici à s'envoler dans le sillage des phéromones, l'odorat affûté. Au bout de cinq cent mètres, il pense savoir où se cache la belle. Le voici à tourner autour d'une jeune dame. Elle tente de le repousser de la main. De toute façon le papillon a bien vu qu'elle ne ressemblait en rien à sa promise. Il s'est fait avoir à cause de son parfum qui ressemble à s'y méprendre aux phéromones de la femelle ailée. Puis, voilà que le papillon se prend de plein fouet un candélabre vers Trocadéro. Il l'a pris pour l'astre lunaire. Ouf, tout va bien, juste un peu assommé. Le voyage peu reprendre. Le regret est que le papillon de nuit ne puisse proposer " service de cicérone." Quel beau guide touristique à n'en pas douter. Maintenant c'est au tour d'une dame de joie éméchée dans les bras d'une aventure furtive, que le papillon virevolte. En voulant le repousser d'un grand coup de main, c'est l'amant à la va-vite qui en a fait les frais : une baffe en pleine tronche. C'est ça d'être éméchée. Le papillon ne capte plus rien. Il était persuadé que ces phéromones, c'était les bonnes. A mon avis le parfum mélangé aux relents d'alcool, putain de phéromones. Et rebelote, un autre candélabre en pleine tronche. Il était moins une qu'il se fasse écraser par une chaussure. Le revoici à reprendre son envol, une aile à moitié en lambeau. Au bout d'une heure, après bien des embûches, la délivrance. Le papillon de nuit trouve enfin sa belle, toujours immobile. Le temps des amours peut commencer. La femelle est contente : enfin, elle va pouvoir procréer. Le mâle, moins. Une fois l'accouplement fini, il tombe de la branche, mort d'épuisement. Il ne se relèvera jamais. Son voyage a eu raison de lui et la femelle a déjà oublié son téméraire compagnon d'infortune comme une vielle chaussette. Ce qui compte pour elle, est de chausser le ciel d'une pluie de paillettes de blandices enivrantes. Son langage à elle, oh combien sensuel...
Alors si un jour vous voyez un papillon de nuit tourner autour de vous, il ne faut pas lui en vouloir. Le parfum que nous portons ressemble aux phéromones de la femelle. Un jour il faudra lui demander si les parfums bon marché agissent également.
Le parfum; les phéromones sensuelles...![text alternatif](url de l' image)
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Zébulon
@Shanna
C'est gentil. Quand un rêve se réalise, il change de place. -
Zébulon
Nous avons deux vainqueurs. Myra Flore er Peri. Bravo à eux. Et aux participants. Want.wish ne s'est pas mouillée. Elle connaissait la réponse.
Oui, c'est le vanneau.- Va
- Eau
- N
- Vaneau
- Anneau.
Le jeu est celui du " Logogriphe."
La règle est simple. les pieds sont les lettres
La tête est le 1er pied. Largement si un pied suit. Et très largement si 2 pieds. ( 3 avec la tête )
Le coeur le pied central. Et " ensemble " si un nombre pair. Le coeur aura 2 pieds centraux.
La queue le dernier pied. Puis même principe que la tête.
On peut aussi utiliser la tête et la queue. Ma tête largement et ma queue, en 3 pieds je suis...Logiquement c'est à Peri de prendre la main. L'horaire fait foi.
Mais vous pouvez vous arranger entre vous.
Encore bravo. -
Zébulon
Gégé c'est qui ? Un aubergiste grognon et à qui il arrive que de malheurs. Son auberge est située non loin d'une usine à pop-corn. Et bien avouer que le temps est long du fait de la fermeture de ces lieux de vie. Heureusement qu'il m'a comme ami. Je vais souvent lui rendre visite. Et rien ne change ; c'est toujours la même rengaine : que des malheurs. Une de mes dernières visite dans son auberge...
- Hello, Vieux. Alors, comment ça va depuis la dernière fois ?
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- Salut, Zébu. Bof. Regarde avec qui je suis obligé de tuer le temps...
![text alternatif]( url de l'image)
- Mais, c'est un poster !
- Justement. C'est un poster que j'ai mis en face de moi. Il s'appelle Marcel. Comme le confinement c'est encore pire qu'avec les dingues, autant que je cause avec un collègue qui ne me gonfle jamais. Au moins quelqu'un avec qui causer dans cette auberge de malheur. Hein Marcel, qu'on s'éclate bien !
Comment veux tu qu'il me gonfle sachant qu'il ne dit jamais rien. En plus il est toujours content. Hein que c'est vrai, Marcel ? Le seul soucis est que le mur est humide. Tu penses quand même pas que je vais mettre du chauffage pour zéro client. Déjà qu'il n'y a pas de sou qui entre, alors hors de question de chauffer les souris. Et ce n'est pas Marcel qui va payer une tournée. Il n'a jamais froid de toute façon. Le problème est l'humidité des murs. Il déteste ça le Marcel, l'humidité. Les punaises fichent le camp la nuit quand ça gèle. Du coup il tombe par terre. Et le matin, il faut le raccrocher au mur avec une dent en moins. Il va falloir que t'arrêtes de perdre tes dents en tombant, Marcel. 100 fois que je te le dis. Après quand je te regarde en buvant un coup, je n'ai plus du tout envie de boire. Je ne vais quand même pas t'accrocher avec des clous.
Je t'aime bien mais il ne faut pas pousser. T'es pas Jésus à ce que je sache. Déjà que j'ai reçu sa croix sur ma tête en pleine nuit. Il a fallu qu'elle aussi se décroche du mur. Pile au dessus de ma tête. Du coup j'ai changé de place le lit. Et comme par hasard, pile où se trouve le courant d'air. Alors obligé de rajouter une 4éme couette et un 2ème oreiller pour me couvrir le tête avec. Et au bout de la dixième fois que la croix est tombée, elle est restée par terre. Elle ne pourra pas tomber plus bas. De toute façon elle est cassée. Comme un con, un matin vaseux j'ai marché dessus. Ce qui m'a coûté un clou planté dans le pied. La croix a fini dans le mur, cassée en deux. Et là ça ne sentait pas bon du tout. J'ai bien vu que Jésus n'a pas aimé. Jésus avec le regard du diable, il fallait vite trouver une solution.
Heureusement que tu étais là, hein Marcel ? A chaque fois que je te regarde en buvant mon café, tu m'inspires avec force. Sur ce que coup-là, ton idée était magnifique pour faire retrouver un regard normal à Jésus. Comme la croix était en deux morceaux, ces deux bouts de bois ont été parfaits pour en faire des bâtons de ski. Et hop, Jésus dans un aquarium en train de skier sur une dune ! Au moins l'aquarium sert à quelque chose depuis que les poissons n'y sont plus. Ne ne me pose pas la question, on me les a volés. Au moins le sable ne fond pas comme la neige et Jésus est content. Lui au moins peut skier. Et à noël c'est encore mieux. Les santons tiennent mieux dans le sable, même si on les voit à peine. A mon avis les fèves des galettes des rois sont trop petites. De toute façon je ne pouvais pas mettre plus gros. Déjà que Jésus prend presque toute la place dans l'aquarium.
Hein qu'on fait une belle équipe, Marcel ? Bon, je sais, avec toi aussi je t'ai marché dessus un matin vaseux. Et une punaise plantée dans le pied et toi qui a volé contre le mur. Tu étais quand mieux encadré. Bon, c'est vrai qu'avec les bouts de bois du cadre, j'aurais pu te mettre dans l'aquarium avec Jésus pour skier ensemble. Oui, mais avec qui je cause, si plus personne en face de moi, hein ? Tu me comprends, j'espère ? Je sais, je sais, tu me l'as dit 100 fois que tu aimerais bien retrouver ton cadre. Mais moi, ton cadre il me gonfle ! Il t'alourdit ! Du coup en plus de te casser la gueule la nuit, c'est aussi le jour. Je préfère que tu tombes léger la nuit. Et je ne suis pas prêt d'oublier quand à cause de ton poids, tu es tombé pile au moment où je mangeais ma soupe. Tu sais que tu as failli me tuer ce jour-là, à cause d'un morceau de verre du cadre qui a atterri dans ma soupe ? Alors le mieux est que tu restes au régime.
Puis un jour, j'aimerais bien que tu répondes à ma question. Pourquoi dans ton dos est griffonné Picasso ? Qu'est ce que t'as à voir avec les Citroën ? Et ça m'étonnerai que tu as un lien de parenté avec le peintre. Et encore moins qu'il t'a peint. De toute façon je l'ai effacé au marqueur pour graver "Marcel" à la place. Je préfère causer avec quelqu'un qui porte le bon nom. Sinon ça me perturbe. Et plus ça me perturbe, moins j'ai soif. Boire, y a que ça qui sauve en ce moment. On oublie les dingues de cette usine de malheur et la Covid. D'ailleurs je me demande si ce ne sont pas eux qui ont balancé cette merderie sur le marché. Même confinés ça n'arrêtent jamais. Il faudra que je chope un des ouvriers pour savoir si mes soupçons sont fondés.Bon, Marcel, il est temps de faire la dorme. Et ça commence. Pourquoi il y a déjà une punaise qui a fichu le camp ? Maintenant t'es tout biseauté. A mon avis t'es encore trop lourd. Et moi qui pensais qu'avec tes dents en moins ça allait le faire, ça ne fait rien du tout, toujours trop lourd. A mon avis je vais découper ton béret au ciseau. Hein ? Tu veux pas que je touche à ton béret ? T'inquiète, le Gégé a toujours de bonnes idées. Je vais dessiner un béret sur le mur. Comme ça on le verra à la place du trou. Même toi tu vas y voir que dalle. Et puis ça suffit tes crises ! J'y peux rien si t'es trop lourd et que le mur ne tient pas les punaises ! Pour la peine tu vas dormir de travers cette nuit. De toute façon tu vas encore te casser la gueule. Tu tiens pas la nuit avec 4 punaises, alors ce n'est pas avec 3. Et il faudra bien un jour que je récupère celles qui se baladent je ne sais où dans la salle. Pire que des puces, ça saute partout quand ça tombe et impossible de mettre la main dessus. A force la boîte de punaise sera vide. Et je t'accroche comment si la boîte est vide, hein ? Avec de la colle, tu dis ? Bon, si c'est pour dire des conneries, je te fais tomber de suite. Combien de fois je t'ai dit que la colle c'est encore pire, elle arrache la peinture quand tu tombes ! Et qui passe une heure ensuite pour te gratter le dos histoire d'enlever la colle et la peinture, c'est Gégé. Alors maintenant ça suffit, tu dors ! En parlant de ça, il serait bien qu'un jour tu te décides d'ouvrir enfin les yeux. 100 fois que je te le dis. Je sais jamais quand t'es lucide. Et ça aussi, ça me perturbe. Alors j'aimerais que tu m'écoutes quand je te cause. Exceptionnellement, cette nuit tu vas dormir avec la lumière. Pourquoi, tu dis ? Vu que tu te décroches chaque nuit, je vais voir si avec la lumière ça règle le problème. Et cesse de tirer la tronche ! Et dors ! Si ce n'est déjà pas fait. Tu vois que ça me perturbe tes yeux fermés. Je sens qu'un jour je vais les découper au ciseau. Avec les trous on verra le blanc du mur. Donc les yeux ouverts. Et la nuit tu auras deux rustines pour les fermer. Tu ne veux pas non plus ? J'ai dit de cesser tes crises ! Et c'est parti, une 2ème punaise qui vient de sauter. Maintenant t'es tout en boule. C'est décidé, demain je t'allège ! Et ne commence pas à criser ! Merci.
- C'est ça que j'aime bien chez Marcel, Zébu. Plus tu l'engueules, plus il est content. Toujours le même air enjoué.
- Je vois ça. Bon, si on buvait un coup plutôt ?
- Bonne idée. Il faut entretenir la joie.
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Zébulon
@Noodle
Bien bien. Il est sympa. J'ai ma petite idée de quoi il s'agit. Bon début. -
Zébulon
Je vais me coucher. Demain matin je prends la route. Retour au bercail pour quelques jours. J'attends encore un peu à cause de la chouette. J'aime entendre son hululement. Il n' effraie pas, loin de là, mais si proche.
Puis je vais compter les kilomètres en guise de moutons. De toute façon je m'endors toujours de suite. Le problème est réglé comme une horloge sablier.
Belle nuit à tous. En espérant qu'elle ne sera blanche... -
Zébulon
@Dryanaide
Ah oui, effectivement. Les 2 font la paire de toute façon. Mais pas une paire de baskets...