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Gaip
Hello,
Pour info, en Belgique, il existe les animations EVRAS.
C'est géré par un centre de planning familial avec le centre psycho-médico-social de l'école.
Et c'est destiné aux élèves de 6ème primaire.EVRAS, ça veut dire "éducation à la vie relationnelle, affective et sexuelle".
En gros, les élèves regardent une vidéo sur la puberté, puis ont à leur disposition une boite à questions anonymes. Pendant deux semaines, ils y glissent toutes les questions qu'ils se posent. L'équipe du CPMS reprend les questions et les prépare avec le planning familial.
Ensuite, pendant 3 séances, les enfants sont regroupés, filles d'un côté et garçons de l'autre, et parlent adolescence, changements physiques, relations, etc., avec les spécialistes (sans leur professeur). Les réponses aux questions y sont données.
Tout dépend donc du groupe que l'équipe a en face d'elle. Démonstration de préservatif, relations homosexuelles, règles et érections, etc., sont des sujets qui peuvent être abordés.Pour ma part, après ces animations, je disais toujours aux élèves qu'ils pouvaient revenir vers moi s'ils avaient des remarques ou interrogations supplémentaires. Ainsi, il est arrivé qu'on parle transidentité, sodomie (enfin, un gamin m'a demandé ce que c'était, un autre a défini, et j'ai complété la définition sans entrer dans les détails
), etc.
Mais bon, ça se fait vers 11-12 ans, pour certains, c'est déjà fort tard. Et pour d'autres, c'est tôt, ils sont gênés et ne se sentent pas du tout concernés. Difficile de trouver un juste milieu, un bon âge, de répondre aux questions sans en choquer, etc. Et en général, y a toujours des parents pas contents parce qu'on "en a dit trop"...
(Et donc, tant mieux que ce soit géré par le CPMS et le planning familial, car ce n'est pas de la responsabilité de l'enseignant... et car eux sont psychologues, formés pour ce genre d'animations, et sont sensés savoir comment intervenir et jusqu'où donner des détails.)
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Gaip
Et sinon, personne ne signale la disparition de Lou Deprijk ? Chanteur belge à l'origine de "ça plane pour moi", il a tiré sa révérence il y a deux jours...
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Gaip
J'étais chez les louveteaux (= scouts, de 6 à 12 ans). Là, j'ai enchainé les amoureux
Faut dire qu'on était peu de filles... J'avais donc l'embarras du choix, lol !
Le premier, Xavier, je ne pense pas avoir eu de crush pour lui, mais on se faisait des bisous. Le deuxième, Michaël, je crois que je l'aimais bien, mais franchement, je ne me souviens pas de sentiments autre qu'amicaux... Mais oui, on se faisait des bisous aussi.
Le vrai crush, c'était Jehan. On est même restés amoureux pendant 3 ans, de 8 à 11 ans, avant que je le largue comme un malpropre pour... un autre garçon.
C'est lui qui a décidé qu'on serait un couple. Je passerai les détails, vous trouveriez ça trop bizarre. Il était un peu plus petit que moi, super drôle, mignon, brun, énergique, on s'entendait très bien. On s'embrassait, se tenait par la main, on s'écrivait des lettres d'amour, et c'était de notoriété publique que nous étions ensemble.Comme constaté par Shanna, ça s'est arrêté du jour au lendemain, sans aucune pitié ni aucune explosion d'émotions négatives comme on peut en ressentir lors de ruptures une fois adulte !!
C'est un bon souvenir, assurément ! Mon amour d'enfance
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Gaip
Je n'ai pas eu le courage de lire tous les messages... Mais quand j'ai appris le décès de la reine, je suis directement repassée par ici... C'est qui qui a gagné le concours en postant le dernier message avant la nouvelle
?
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Gaip
Autrement appelés "couples non cohabitants", il s'agit de ces personnes qui s'aiment, mais ne veulent pas (ou plus) vivre ensemble, sous le même toit.
Cette pratique devient relativement fréquente : il semblerait même qu'environ 10% des couples décident de ne pas cohabiter à temps plein.Parfois, c'est par obligation, à cause des lieux de travail par exemple, ou pour l'aspect pratique, dans le cadre de familles recomposées.
Parfois, c'est décidé dès le départ, pour garder son chez soi et ses moments de solitude, tout en ayant une personne avec qui partager les bons moments, comme les embûches.Et puis, il y a ceux qui vivaient ensemble, mais pour qui la cohabitation est devenue difficile. Les raisons peuvent être multiples. Alors, pour ne pas se séparer, car ils s'aiment, ils se lancent dans "cette aventure".
Et c'est là que je me questionne. Je ne suis pas sure que ce soit viable. Peut-être n'est-ce qu'une transition vers une séparation définitive, au fond.
Pour un couple sans enfants, ayant vécu ensemble auparavant, voici mes questionnements :
Quels sont les avantages et inconvénients de ce mode de vie ?
Quels projets garder en commun pour continuer à avancer ensemble ?
Quelles règles instaurer ?
Quelles sont les choses à prévoir et décider avant de choisir de vivre une relation de cette façon ?
Comment se définir, dans la société ? Expliquer la situation à des nouveaux amis ?
Et enfin... Si cette voie fonctionne mieux, est-ce envisageable de finir par se réinstaller ensemble ? -
Gaip
@LeaPierce Hahaha, surement pas, c'est une horreur !!!!! (Un bon souvenir, mais à garder bien caché
)
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Gaip
Ah non non non, parce qu'en tant qu'hypersensible, je peux vous assurer que je suis comme ça tout le temps... Et que la mauvaise semaine, tout est encore pire... Je suis limite dépressive (sans exagération, hein !). Mais c'est un autre sujet
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Gaip
Satané Covid
Vie bousculée, chamboulée
Quand revivra-t-on ? -
Gaip
@apis-32
"Couque" est utilisé à Bruxelles (couque au chocolat, au beurre, aux raisins, à la crème, ...).
Ce mot existe aussi ailleurs en Belgique, je ne sais pas si c'est dans tout le pays, mais ce qui est sûr, c'est que ce n'est pas toujours avec le même sens. Par exemple, à Liège, une "couque", c'est un biscuit (mais les Liégeois utilisent les mêmes mots que nous pour dire des trucs différents, c'est perturbant... Ex : ils disent "chique" pour "bonbon", alors qu'une chique, ici, c'est un chewing-gum!)...
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Gaip
Disons que si tu es dans la vraie vie comme ici, c'est-à-dire très attaché, très insistant, très dans l'exagération, probablement qu'elle t'a déjà lancé des signaux comme quoi tu en faisais trop et que tu n'y as pas été réceptif. Parce que là, ça semble assez obsessionnel, non ? En tout cas, j'aurais eu peur aussi, devant un tel attachement démesuré et, de toute évidence, non réciproque. J'ai l'impression que tu t'es fait tout un film suite à quelques moments sympas passés ensemble, mais que l'amitié incroyable que tu imagines n'a eu lieu que dans ta tête...
Sinon, de façon générale, je pense qu'il y a moyen de dire (ou d'écrire) aux gens qu'on ne veut plus les fréquenter, sans passer par un ghosting incompréhensible et souvent source d'angoisses ou de culpabilisation pour le ghosté. J'avais vu passer un message sur le sujet sur Instagram et les différentes façons de l'exprimer étaient simples, claires et précises, sympathiques mêmes, toutefois sans laisser d'espoir de "retour à l'amitié". Une façon polie, brève et directe de dire "stop" à une relation qui ne convient plus à l'un des deux protagonistes.
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Gaip
Loool, je changeais de pseudo régulièrement...
Et j'ai gardé tout ça dans un document wordJe vous partage ceux que j'ai beaucoup employés.
Les plus utilisés :
Aaahnick
Chtit'AnnickLes jeux de mots avec mon prénom :
(Anick+Bnick)² = A²+2AB+B²
B.nick C.nick…
Tu roules des mecs, Annick ?
C'est la pannick / Pas d'pannick
Annickmaniacs* (8)Soyez cool, soyez relax, sur le rire pas de taxe (8)
Ça m’botte, Annick
Oh, c'est Annick
NRJ mécAnnick
Amannick-Tue-Mouches
Annick ta mère
AnnickNack
Donald Annick et Daisy
SatAnnick
Tyrannick
Volcannick
Zizanni(ck)En période de fêtes :
Bonne Anhic
Joyeux (non)AnnickversairePour le côté "rousse" :
Ca sent l’roussi
Qui a de l'antirouille ?
Peau Rouge (quand j'avais un coup de soleil)
Larousse (de poche)
Rousse péteuseEt sinon, j'utilisais du Comics sans MS de toutes les couleurs !
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Gaip
Sans vouloir dénigrer certains commentaires, ils illustrent exactement les difficultés que peuvent rencontrer les hypersensibles.
Pour l'un, c'est comme l'adolescence.
Pour d'autres, ce sont les signes des règles.
Et pour les concernés, c'est un problème.Kaa se démarque (
).
Bref, l'hypersensibilité existe en tant que telle, n'est pas un "trouble", ni due à autre chose, elle a son existence propre.
Et la conscience d'être hypersensible permet de relativiser les mauvais côtés et savourer les bons... La considérer comme problématique, ça pousse à la canaliser... Ce qui, d'une part, est contre-productif (c'est impossible et à terme, ça va faire exploser la marmite à émotions) et d'autre part est bien dommage (car c'est une partie de la personnalité et que ça apporte une plus-value dans les relations interpersonnelles)...Pour je-ne-sais-plus-qui (désolée) qui ne sait pas si elle est hypersensible ou juste sensible car elle se reconnaît dans certains signes mais pas dans d'autres, tels que la susceptibilité, je dirais qu'on n'a pas tous tous les signes, hein... Il y en a qu'on gère autrement, mieux.
Perso, voir un film d'horreur ne me fait pas grand-chose (au moment même), par exemple.
Et aussi, je ne me montre hypersensible que depuis quelques années. Donc, tout ce qui est susceptibilité, avant, je gardais pour moi et me remettais en question sans en parler à celui qui m'avait blessé. Maintenant je m'exprime.
Niveau éponge émotionnelle aussi, avant, j'étais plus renfermée, solitaire, et du coup ça ne m'atteignait pas tant que maintenant.
Bref, il est possible que tu sois hypersensible, même si tu n'as pas toutes ces caractéristiques.
Et le fait d'aimer réfléchir à tout et de ne pas considérer ça comme "ressasser" veut juste dire que tu le vis bien, pas que tu ne le fais pas !
(Ma copine ne pense souvent à rien du tout. Pour moi, c'est un mythe, mon cerveau est en constante réflexion sur tout et sur rien. J'aime ça... La plupart du temps !) -
Gaip
Ma nièce née récemment étant appelée Lyra, du roman À la croisée des mondes, je tente d'avancer dans cette lecture (enfin, en ce moment, je suis plutôt à l'écoute du livre audio)...
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Gaip
Résultat de ma balade devant les vitrines des chocolatiers bruxellois (couvertes de bave après mon passage
)
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Gaip
Oui, exact !
Ces images, c'est assez contradictoire. Je crois que la personne qui les a créées l'a fait uniquement pour "rassurer les 'hypersensibles'". C'est vexant pour les non-concernés, qui sont limite dévalorisés.
(Encore que, avoir une "pensée linéaire" par exemple, n'est pas une tare à mon sens.)Disons que si moi, je suis hypersensible, et mal dans ma peau, et que je me sens bizarre, et que j'ai toujours entendu des "t'es fragile", etc., ça va me faire du bien de voir une autre façon de penser mon propre état.
Mais qu'effectivement, c'est réducteur et négatif, au moins pour les autres.Comme si l'auteure avait voulu contrebalancer... La plupart des images résumant l'hypersensibilité présentent les aspects négatifs de cette caractéristique. Ici, elle fait l'inverse.
Ce qui n'est pas forcément mieux. Ça peut aider à se comprendre et à s'accepter, mais ça ne peut pas être utilisé comme comparaison entre les hypersensibles et "les autres". Car il n'y a pas forcément que des hypersensibles qui pensent en arborescence, etc., c'est évident.Contente que vous ayez réagi
!
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Gaip
@art_tweek
On dit bien "sot métier"
Le proverbe, c'est : "Il n'y a pas de sot métier, il n'y a que de sottes gens." -
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Gaip
Wesh wesh wesh...
Mes règles, c'est de pire en pire ! Enfin, non, pas les règles elles-mêmes, mais l'humeur qui va avec.
Depuis quelques mois (corona, démission de mon boulot, etc., ont amplifié le machin), je fais des vrais épisodes dépressifs en période hormonale.
La difficulté supplémentaire, c'est que j'ai un cycle complètement déréglé : parfois il dure 30 jours, parfois 50, et le moment du SPM est difficile à déterminer. J'ai même l'impression qu'il s'installe petit à petit durant 2-3 semaines, jusqu'au début de mes règles où c'est le pire.
Donc, pendant tout ce temps, je vais de plus en plus mal, ne supporte aucune remarque, n'ai aucune autodérision, aucune confiance en moi, pas de motivation à accomplir quoi que ce soit, et petit à petit, je sombre...
Jusqu'au véritable SPM, le moment où une fille "dans la norme" va se sentir un peu moins patiente et d'humeur bougonne, et qui dure deux-trois jours. Là, je pète un câble pour un oui ou un non, je crie, je pleure, j'ai envie que tout s'arrête.
Puis, magie magie, au 3ème jour de règles, ça va mieux, pour enfin revenir à la normale, être pétillante, bavarde, pleine de projets, etc.Bref, la galère.
Et ça progresse mal.
RDV gynéco est pris pour gérer tout ça car ce n'est plus possible...
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Gaip
Merci pour vos retours, ça m'est précieux et m'aide à y voir plus clair, plus positivement et à trouver comment expliquer les choses à mon entourage
!
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Gaip
21- Quand on arrive en ville
(J'avais aussi Waka waka, j'suis trop fière de moi XD !)