@pompon Des chiens qui ne manquent pas de vitalité et aiment se dépenser. Affectueux et joueurs de surcroit.
-
Avez-vous eu ou vécu avec des animaux ?
@Chloé dans les moments difficile de ma vie le réconfort cela à toujours était pour moi la présence de mes chiens
j'ai dans mon abris de jardin un objet de chacun d'eux que je garde précieusement sans oublier leurs photos -
Avez-vous eu ou vécu avec des animaux ?
J'ai toujours vécu avec des animaux aussi, et je ne conçois pas ma vie sans. J'ai des chats principalement, mais j'aime beaucoup les chiens même si ce sont des animaux que je ne connais pas. On a eu aussi des Octodons, hélas on ne savait pas s'en occuper. Des souris aussi. Aujourd'hui j'ai 3 chats noirs ! Une belle petite meute !
-
Avez-vous eu ou vécu avec des animaux ?
Oui la présence de nos animaux de compagnie est d'un grand réconfort. Les chiens particulièrement ressentent nos émotions.
J'ai eu des chats aussi mais ce sont des animaux plus indépendant. Ce qui ne veut pas dire que je ne les aime pas pour autant. Simplement je trouve que l'attachement d'un chien est beaucoup plus fort. -
Avez-vous eu ou vécu avec des animaux ?
Les gens : oui, un animal de compagnie qui part c'est dur (j'ai perdu ma chatte qui était là depuis 19 ans cet automne) mais sachons raison garder : ce sont des animaux.
Vous POUVEZ vivre sans. Si on peut vivre sans ses parents, ou pire, sans ses enfants....
Je ne minimise pas le manque ressenti mais au bout d'un moment stop, ils restent des animaux. -
Avez-vous eu ou vécu avec des animaux ?
Lorsque mon père est parti, ma mère s'est retrouvé seule.
Pour gérer son deuil, elle a été voir une psy. Qui l'a soutenue et conseillé autant qu'elle a pu. Mais c'est lorsque ma mère a prit la décision d'adopter un chien qu'elle a commencé à remonter la pente et à retrouver goût à la vie. Je crois donc tout à fait approprié de dire qu'elle ne peut pas vivre sans son chien.Moi-même, lorsque la vie m'a conduite à devoir me trouver un appartement et à prendre mon envol, j'étais encore sous traitement pour dépression nerveuse. Fort heureusement, j'avais un chien à mes côté. Et je ne suis pas bien sûre que j'aurais réussi à franchir le cap et rester en vie sans lui.
Oui, ce sont des animaux. Mais parfois, force est de constater que, réellement, on ne pourrait pas vivre sans eux.
Le bonheur n'est pas une chose toute faite. Il découle de vos propres actions
-
Avez-vous eu ou vécu avec des animaux ?
@Artelise ok, chacun ses béquilles.
ça me défrise toujours un peu d'entendre de tels discours (mon chien, ma vie), mais bon, soit, ça mange pas de pain. -
Avez-vous eu ou vécu avec des animaux ?
@Marcel Qu'entends tu par "ils restent des animaux"? Tout dépend de la relation que l'on entretient avec eux non? Et il y a beaucoup de personnes seules qui vivent avec leur animal de compagnie. Ne crois tu pas qu'en ce cas il prend la place d'un humain?
Chacun vit et ressent les choses différemment tu sais, et il ne faut pas juger ainsi. -
Avez-vous eu ou vécu avec des animaux ?
@Chloé je ne juge pas, j'ai simplement mon opinion :
Avoir pour seul drame dans sa vie la perte de son chien, pour moi c'est avoir de la chance. Désolée. -
Avez-vous eu ou vécu avec des animaux ?
donc, si je comprends bien ton opinion : tu déclares avoir le droit de pouvoir dire que pour toi le deuil d'un animal n'est pas comparable au deuil de la perte d'un humain. Et on doit respecter ça.
mais les autres n'ont pas le droit de ressentir les choses autrement sans mériter le mépris des autres et sans que tu estimes qu'il faille remettre les choses au point et rappeler que, ben, non, eh, les gens, les animaux sont des animaux. Point barre. Et avec ça, tu vas dire que tu ne juges pas...
intéressant... vraiment très intéressant.Le bonheur n'est pas une chose toute faite. Il découle de vos propres actions
-
Avez-vous eu ou vécu avec des animaux ?
@Mayhem les chats sont tout aussi choupies que les chiens m^me si c'est un peu différent
-
Avez-vous eu ou vécu avec des animaux ?
Non Marcel ce n'est pas une chance pour les personnes seules de n'avoir pour seule compagnie celle de leur animal ! La solitude est quelque chose de très dure à vivre parfois et la présence et l'amour d'un animal compensent ceux d'un être humain. Les gens compensent ainsi le manque et cela se comprend.
Je ne pense pas non plus que la perte d'un animal soit comparable à la perte d'un enfant, c'est bien évident. Mais là tu fais des comparaisons extrêmes. -
Avez-vous eu ou vécu avec des animaux ?
@Artelise je m'accorde le droit d'exprimer mon opinion, oui.
Comme toi, non ?
Et je maintiens : perdre un animal de compagnie, ça fait chier, mais c'est pas la peine d'en chier une pendule non plus.
Si tel n'est pas le cas, c'est que ta vie est bien triste ou bien confortable (selon où tu te trouves sur la planète).| dernière édition par Marcel Réputation: 5888 | Messages: 5530 -
Avez-vous eu ou vécu avec des animaux ?
Je rejoins @Marcel sur plusieurs points : oui on peut vivre sans animaux, et ça parait plutôt inquiétant de se dire que certains-es ont des animaux dans un seul but thérapeutique.
Effectivement si la seule difficultés de quelqu'un dans sa vie c'est de se remettre de la perte d'un animal c'est qu'il a un contexte social plutôt confortable. pour autant est-ce vraiment le cas ? Je crois que les gens qui n'ont que cette peine à gérer sont assez minimes, à moins de venir d'une classe sociale vraiment élevée.
Je rejoins aussi @Artelise, nos animaux prennent une place de plus en plus importante dans nos foyers et dans nos cœurs. Quand je dis que je ne conçois pas ma vie sans un animal c'est aussi parce que j'aime m'en occuper, j'aime leur apporter du confort, j'aime savoir que grâce à moi il y a 3 petits chats qui ne vivent pas à la rue (car évidemment quand on aime les animaux on les adoptent et on ne les achètent pas en animalerie).
Et ils nous le rendent tellement bien. Pour autant les animaux et en particulier les chats, sont des éponges émotionnelles. Adopter un animal dans le seul but d'aller mieux soit même je ne suis pas sûre que ce soit une bonne raison. J'ai un exemple d'une amie qui adopté son chien (un border collie) sans se renseigner sur la race, et vraiment dans l'objectif d'aller mieux dans sa vie. Bon, ça ne fonctionne pas, et force est de constater que si elle aime son chien, elle ne respecte pas ses besoins. Ceci dit loin de moi l'idée de nier l'importance d'un animal chez soi ou avec soi dans notre bien être, je suis formée en médiation par l'animal donc c'est quelque chose en quoi je crois.Par contre comparer les deuils est assez absurde, tout dépend de la relation de chacun avec son bestiau, et ça appartient à chacun.
| dernière édition par Mayhem Réputation: 355 | Messages: 180 -
Avez-vous eu ou vécu avec des animaux ?
Effectivement Mayhem le bien-être de l'animal de compagnie est primordial et je suis pour que tout le monde fasse un stage d'éducation canine lorsqu'il a un chien. Personnellement c'est ce que j'ai fait. Il y a aussi beaucoup trop de gens qui ne se renseignent pas sur les besoins spécifiques de chaque race et craquent juste pour la beauté du chien. C'est source d'ennuis.
Idem pour les gens qui sont absents toute la journée avec des chiens qui restent seuls des journées entières ou ceux qui ne prennent pas le temps de les promener et de les sociabiliser.
Adopter un chien est une vraie responsabilité, il faut le savoir.| dernière édition par Chloé Réputation: 247 | Messages: 195 -
Avez-vous eu ou vécu avec des animaux ?
@Marcel bien gonfle et arrogant comme reponse ...
Il y a des liens emotionnels qui se creent avec les animaux au meme titre qu'avec les humains, ils sont justes differents...
Les animaux therapeutiques existent et ca marche, tu iras dire dans les yeux aux personnes concernees que leur vie est triste ou confortable, a mon avis la reponse ne te plaira pas... -
Avez-vous eu ou vécu avec des animaux ?
@Mnemmeth ouais c'est terrible les problèmes des occidentaux. Ils adoptent
des enfantsdes animaux, et un jour cesenfantsanimaux meurent. Et c'est la mort du petit cheval, on est au bout, on attend que tout le monde pleure.
La honte sur moi, franchement, de trouver qu'on en fait trop.