@icescream a dit dans Actu Espace :

Mine de rien personne n y croyait a son histoire de fusée qui se repose et maintenant Arianespace espère peut être arriver à la même chose mais dans 5-6 ans.
La SpaceX vient d'arriver a faire 10 vols avec la meme fusée.

Non, personne ne croyait qu'il était capable de le faire, mais la technologie existait déjà et a été testé par la NASA avec succès dès les années nonante (cherche sur wikipedia McDonnell Douglas DC-X), c'est pas la même chose que lorsqu'il raconte qu'il ira sur mars dès 2024 et qu'il peuplera la planète avec un million de personnes, ça c'est des salades, c'est bien de rêver, mais il faut garder les pieds sur terre.

@riad a dit dans Actu Espace :.

Non, personne ne croyait qu'il était capable de le faire, mais la technologie existait déjà et a été testé par la NASA avec succès dès les années nonante (cherche sur wikipedia McDonnell Douglas DC-X)

Oui je connais sauf que c était les années 90 et c'était un prototype qui a fait 2-3 vols et n est pas allé plus haut que 3km... Les falcons 9 elles sont opérationnelles, alignent les vols et leur atterissage est presque devenu une routine ( 80 déjà je crois)
Des prototypes prometteurs il en existe pour beaucoup de choses mais les passer a la phase industrielle et opérationnelle c'est souvent une autre paire de manche donc désolé je ne mets pas les 2 sur le meme plan ^^

@riad Effectivement, personne n'ira sur Mars en 2024 et Elon Musk est peut-être un peu détraqué sur les bords (Son fils dont le prénom est un numéro de code en sait quelque chose...).

Mais tant qu'il dépense ses milliards pour faire avancer la science, c'est toujours plus utile que de laisser cela entre les mains d'états sclérosés qui n'ont pas vraiment les moyens d'en faire autant.

Il se fixe peut-être des objectifs délirants, mais peu importe puisqu'au final, ses fusées marchent très bien et nous permettent d'avancer plus vite vers le moment où on pourra effectivement aller sur Mars...

@wolfen
Oui il y aura des retombés scientifiques certainement, d'un autre côté la rentabilité prime chez le privé sur les objectifs scientifiques, son projet starlink par exemple est contesté par les scientifiques.

Objectif Lune pour Thomas Pesquet
Ce départ de la Station spatiale marque la fin d'une période de sa carrière qui lui aura permis de réaliser deux séjours de longues durées à bord du complexe orbital. Sans surprise, Thomas Pesquet ne devrait plus y retourner. En effet, l'Agence spatiale européenne garantit deux vols à chacun de ses astronautes. À ce jour, si tous les astronautes de la promotion de Thomas Pesquet, celle de 2009, ont réalisé au moins un vol habité, quatre d'entre eux doivent encore réaliser un deuxième vol. Après Samantha Cristoforetti, qui doit décoller au printemps 2022, il restera Timothy Peake et Andreas Mogensen à faire voler une seconde fois, ce qui nous amène en 2025. On signalera le cas particulier de l'allemand Matthias Maurer, sélectionné en 2015 et qui s'apprête d'ici quelques heures à réaliser son premier vol habité.

. . Le Gateway, une petite station spatiale lunaire située à proximité de la Lune, est la prochaine destination de Thomas Pesquet. ESA

. . Sachant que les astronautes de la promotion 2022 seront opérationnels en 2025-2026, aucun des astronautes de 2009 ne retournera à bord du complexe orbital. Cela dit, leur carrière ne va pas s'arrêter pour autant. En effet, l'ESA a obtenu trois vols d'astronautes européens à bord du Gateway. Ses trois missions seront réservées à des vétérans, donc Thomas Pesquet et ses copains de la promotion 2009 seront sur les rangs pour postuler à ces missions à proximité de la Lune. Mais sans alunissage.

. . Il ne faut pas se voiler la face, ces trois vétérans seront très vraisemblablement parmi les pays qui contribuent le plus au budget de l'ESA (Allemagne, France et Italie). À cela s'ajoute la contribution majeure de la France et l'Italie au Gateway qui fourniront les deux modules européens de cette station spatiale lunaire et l'Allemagne qui fournit le module de service d'Orion. Dis autrement, Thomas Pesquet, Alexander Gerst fortement pressentis pour voler à bord du Gateway. La troisième place devrait revenir à un Italien. Et deux astronautes sont en lice pour cette place : Luca Parmitano et Samantha Cristoforetti.

Thomas, dansant un slow avec son scaphandre

il va redescendre très bientôt

Il est pas génial notre astronaute ?