L’église catholique , le vatican et les paroisses vides 2020
L’église catholique et le machisme institutionnel , ou la femme n’a pas accès à la prêtrise, excepté avec les religieuses mais si l’on regarde les grades un niveau en-dessous , l’église et le célibat des prêtres et l’interdit du mariage , l’église et la pédophilie toutes ces définitions crispent nos pensées , les réformes molles malgré les efforts de certains papes , systématiquement ralentie par l’aile ultra-conservatrice du Vatican tout ceci vident les paroisses de leurs substances.
Premier point : Comment moralement peut-on demander à un homme de donner sa vie uniquement à Dieu , de ne pas créer sa propre famille , d’ignorer la vie terrestre dans tout ce qu’elle comporte (loisirs , plaisirs de la chair , vie en couple , enfants etc….). Alors que c’est un secret de polichinelle , nombres de Prêtres dont la vie privée inclut une femme souvent le diacre de la paroisse , diacre qui est l’exception qu’il soit masculin ou féminin peut donner la messe , faute de prêtres pour l’exercer.
Second point : L’ordination de prêtres uniquement masculins , la femme n’a pas droit de citer dans cette église , donc une église machiste ou la femme est reléguée au second rang.
Tertio : L’interdiction AUX CROYANTS de se marier plusieurs fois ( ce qui provoquât le schisme en Angleterre avec la création de l’église anglicane par Henri viii Roi d’Angleterre.
Et in fine , le coup de grâce des affaires de pédophilies qui se multiplient et des affaires anciennes soigneusement cachées par le Vatican , ont vidés les églises des fidèles et de facto des messes, de plus la crise de vocation des candidats prêtres s’intensifient , laissant de nombreuses églises sans référants (prêtres).
Les églises qui avant toutes ces révélations avaient toujours représentées le socle de la civilisation occidentale , et ou maintenant certaines sont de plus en plus nombreuses à être fermées , faute de personnel pour y officier.
Egalement remis en cause , l’enseignement catholique et depuis Napoléon Bonaparte, la séparation de l’église et l’état suite au concordat de 1801 et le changement radical exercé par les nouvelles générations qui contestent la fondation même de l’église catholique. Et pour terminer sa suprématie qui s’effondre avec la montée de la religion ISLAMIQUE issue inévitablement de l’immigration massive que nous avons accepté du moins nos politiques pour des raisons de besoin de main d’œuvre et ou une grande différence de clivage nord sud apparaît pour le quota et regroupement familial.
L’église a pourtant connu de nombreuses réformes, À partir du milieu du XVIe siècle, la Réforme catholique, ou Contre-Réforme, est l'ensemble des actions menées au sein de l'Église catholique pour lui permettre d'enrayer l'extension de la Réforme protestante. Ces actions visent à réaffirmer et à préciser la doctrine catholique, à réorganiser le clergé.
L’autre réforme catholique est un mouvement de rénovation de l'Église catholique romaine, qui prend ses origines dans les réflexions spirituelles du xve siècle, et qui se développe dans le courant du xvie siècle. Après la rupture protestante des années 1520 et le durcissement dogmatique des deux confessions rivales des années 1560, elle tend à être appelée Contre-Réforme, ce qui la présenterait comme un mouvement en simple réaction à la Réforme protestante. Or, cette Réforme catholique répond avant tout à un besoin de renouveau et de clarification de la doctrine de l'Église catholique au xvie siècle, qui est alors marquée par de nombreux abus. La Réforme catholique prend place dans une vaste aspiration à la Réforme et au renouveau religieux qui traverse l'Occident chrétien depuis le xve siècle.
Le xive siècle et les siècles suivants voient un regain spirituel en Europe, où la question du salut devient centrale. De nombreux théologiens reviennent sur les fondements du christianisme et questionnent leur spiritualité. Leurs travaux se répandent, des colloques et débats se tiennent dans toute l'Europe aux xve et xvie siècles. Parallèlement à ces travaux théologiques, des critiques émanent également sur la pratique religieuse, les comportements du clergé et les positions de l'Église. Les courants de pensée sont nombreux et divergent, mais les idées de réforme et de rénovation se répandent au sein du clergé. Certaines positions s'éloignant de plus en plus des positions officielles de l'Église, ces désaccords conduisent à une rupture et à la création des Églises protestantes. Néanmoins, des courants réformateurs et conservateurs subsistent au sein de l'Église catholique, alors que les réformes protestantes s'organisent en Europe et se répandent au sein des populations.
Les ordres réguliers amorcent un premier effort de réforme au cours du xive siècle. La bulle bénédictine de 1336 réforme les bénédictins et les cisterciens. En 1525, Mattéo Da Bassa se propose de restaurer la règle franciscaine dans sa pureté originelle, donnant naissance à l'ordre de Capucins, reconnu par le pape en 16191. Cet ordre, très connu du peuple joue un rôle très important dans la prédication populaire.
Pour répondre aux nouveaux besoins d'évangélisation, les prêtres se réunissent en congrégations. Ils prêtent des vœux spéciaux, mais ne sont pas obligés d'assister aux offices religieux du monastère. Ces clercs réguliers enseignent, prêchent, confessent, mais ne sont pas liés à un territoire comme les curés ou les chanoines1. Ils sont sous l'autorité des évêques. En Italie, la première congrégation de clercs réguliers est l'ordre des Théatins fondé par Gaétan de Thiene et le cardinal Caraffa, futur Paul IV, en 1524. Après eux viennent l'ordre des Somasques en 1528, voué à l'assistance ; celui des Barnabites en 1530 ; les sœurs de la Compagnie de Sainte-Ursule en 1535 qui se consacrent à l'éducation des jeunes filles. L'ordre apparaît en France en 15862. Enfin, la Compagnie de Jésus obtient sa reconnaissance canonique en 1540.
En 1524, à Rome, des prêtres commencent à vivre en communauté autour de saint Philippe de Néri. Les Oratoriens se donnent des institutions en 1564 et sont reconnus comme ordre par le pape en 1575. Ils utilisent la musique et le chant pour attirer les fidèles2.De plus , la séparation de l’église et de l’état , La loi concernant la séparation des Églises et de l'État est une loi adoptée le 9 décembre 1905 à l'initiative du député républicain-socialiste Aristide Briand, qui prend parti en faveur d'une laïcité sans excès, Elle est avant tout un acte fondateur dans l’affrontement violent qui a opposé deux conceptions sur la place des Églises dans la société française pendant presque vingt-cinq ans.
Elle abroge le régime du concordat de 1801 napoléonien, qui est cependant resté en vigueur en Alsace-Moselle pour des raisons historiques (les élus alsaciens en faisaient une des trois conditions d’acceptation de leur rattachement à la France en 1919, sans quoi ils demandaient un référendum, que la France ne pouvait prendre le risque de perdre après une guerre si meurtrière).
Elle fut complétée en 1924 par l’autorisation des associations diocésaines, qui permit de régulariser, 18 ans plus tard, la situation du culte catholique.
En conclusion , ou bien l’église se modernise ou inexorablement va sombrer dans l’anonymat.