Une année et 7 mois sans gouvernement en Belgique !
Formateurs , préformateurs , conciliateurs et j'en passe , ou le ridicule ne tue pas , vers de nouvelles élections ?
Et pour quoi faire ? La lassitude des citoyens belges est marquante , qui s'intéresse encore à la politique en Belgique ?
Cela en devient risible , et quel est le fond du problème , la bulle des 5 actuelle ne possède pas la majorité pour former un nouveau gouvernement ,
les essais avec les écolos ont capotés , pourquoi ? Car les notes fournies par la NVA sont imbuvables (scission des compétences aux régions et autonomie à peine déguisée de la Flandre , maintenant on revient chez les libéraux mais leur porte-parole agace au nord par son arrogance , alors que le Mr représente un nombre insignifiant d'électeurs (les riches) .
En Belgique, l’absence de gouvernement ne pénalise pas l’activité,
le royaume est toujours privé d’un gouvernement de plein exercice. L’économie a étonnamment résisté au ralentissement de l’Allemagne, aux incertitudes du Brexit, et à la guerre commerciale américaine.
Après la chute du gouvernement de coalition que dirigeait le libéral Charles Michel – aujourd’hui président du Conseil européen –, après les élections législatives de mai 2019, la Belgique est toujours privée d’un gouvernement de plein exercice. Panique à bord ? « Même quand il n’y a pas de pilote, l’avion vole », répondait, mardi 21 janvier, Bernard Gilliot, président de la Fédération des entreprises de Belgique. Le patron des patrons confiait cependant au quotidien L’Echo que « même si l’absence de gouvernement ne pèse pas sur l’économie, il y a clairement urgence ».
Si l’on scrute les seuls chiffres, la situation s’aggrave mais n’est pas désespérée, confirme Etienne de Callataÿ, économiste chez Orcadia Asset Management. « L’économie continue de fonctionner et les marchés permettent au pays de se financer avec un écart de taux minime par rapport à celui de l’Allemagne. Ce qui ne signifie pas que l’on puisse se passer d’un gouvernement qui prenne de bonnes mesures… »
Le royaume redoute peu les sanctions de la Commission
A politique inchangée – ce qui sera le cas tant qu’une nouvelle coalition n’aura pas vu le jour –, la situation des finances publiques continuera de se détériorer et le déficit pourrait atteindre 14 milliards d’euros en 2022 (2,8 % du PIB, pour 2,2 % prévus cette année). Loin du programme affiché par M. Michel et celle qui lui a succédé à la tête du gouvernement d’affaires courantes, Sophie Wilmès, ex-ministre du budget : la promesse faite à la Commission européenne était de revenir à l’équilibre dans deux ans, conformément au programme de stabilité.
De plus l'impact du coronavirus et l'effondrement de l'économie et le changement radical de comportement des citoyens belges ( e-commerce ) voit le budget belge s'effondrer par manque de recettes et la nouvelle crise économique mondiale qui s'annonce encore plus grave qu'en 2007.
Les promesses faites par l'ex Premier Ministre parti à l'Europe sont du vent et celles du Ps de ne jamais se joindre à la Nva , un mensonge de plus et in fine les dernières élections ont amenées des vainqueurs élus qui refusent de prendre leurs responsabilités car incapables à part de l'esbrouffe et du clientélisme ceci côté francophone ( ptb communiste) , par contre côté flamand le vlaamse belang se tient en embuscade derrière la nva . A suivre .....
Erwin Professeur Honoraire universitaire en sciences politiques et économiques