@Kallindra Oui c'est lui.
-
Mais pourquoi est-il célèbre ?
il est contemporain de 2 autres dans le même domaine mais pas dans le même registre
| dernière édition par Kallindra Réputation: 12894 | Messages: 10291 -
Mais pourquoi est-il célèbre ?
@Mai-Tai a dit dans Mais pourquoi est-il célèbre ? :
Pour les fans de Star Wars oui sûrement !
Et les professionnels de l'image également.
Macquarie, c'est un monument.
-
Mais pourquoi est-il célèbre ?
@Kallindra a dit dans Mais pourquoi est-il célèbre ? :
il est contemporain de 2 autres dans le même domaine mais pas dans le même registre
dans la santé ? Hippocrate au pif ?
-
Mais pourquoi est-il célèbre ?
@maxi Y-en a quelques uns des auteurs au 5ème siècle ^^
@Egon Exact à toi ^^
-
Mais pourquoi est-il célèbre ?
@Hornet a dit dans Mais pourquoi est-il célèbre ? :
Il est célèbre pourquoi?
Je te copie le wiki qui détaille bien :
Bien qu’Aristophane ait écrit 44 pièces, selon les érudits alexandrins (35 pièces originales, plus cinq reprises de ses propres pièces et quatre d’attribution douteuse), on ne possède pas l'intégralité de son œuvre dramatique : la plupart de ses comédies sont connues seulement par des fragments ou sont perdues ; seules onze nous sont parvenues :
Les Acharniens (425) : où l'auteur intervient franchement dans la politique et combat le parti de la guerre ;
Les Cavaliers (424) : il attaque ouvertement Cléon, le tout-puissant démagogue ;
Les Nuées (423) : il raille Socrate, qu'il représente comme un sophiste ;
Les Guêpes (422) : il tourne en dérision l'organisation des tribunaux athéniens et les manies des juges ;
La Paix (421) : pièce antimilitariste encore plus cinglante que Les Acharniens ;
Les Oiseaux (414) : il s'en prend aux utopies politiques et sociales ;
Lysistrata (411) : il pousse jusqu'à l'absurde un utopique conflit entre les hommes et les femmes en y insérant un nouveau plaidoyer contre la guerre ;
Les Thesmophories (411) : satire littéraire dirigée contre les finasseries d’Euripide et la misogynie de son théâtre ;
Les Grenouilles (405) : nouvelle satire littéraire contre Euripide et la tragédie grecque en déclin ;
L'Assemblée des femmes (392) : il tourne en dérision l'utopie sociale et politique du pouvoir des femmes ;
Ploutos (388) : satire des mœurs semblable, par le thème de l'inégalité des richesses, à L'Assemblée des femmes.