Don't Worry Darling
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Don't Worry Darling est un thriller américain réalisé par Olivia Wilde, sorti en 2022.
Glitch : Alice et Jack vivent la belle vie au soleil, dans une ville idyllique, oasis au milieu du désert californien, construite et financée par la mystérieuse entreprise pour laquelle Jack travaille. Il est beau, elle est belle, ils sont jeunes et heureux. Chaque matin, Jack, tout comme tous ses voisins, part travailler dans des lieux secrets, pendant qu'Alice et les autres épouses restent au foyer. Seules conditions à ce bonheur sans vague : ne pas en faire, justement, de vagues, ne pas s'éloigner, et surtout ne poser aucune question sur le travail des hommes. Quel mystère mystérieux se déploie en coulisses ?
"Votre maison doit être un lieu de paix et de
tranquillité où votre mari peut se ressourcer"Selon moi, les points positifs du film :
- Florence Pugh (),
- c'est correctement filmé,
- une ou deux jolies scènes oppressantes.
Le pitch que j'ai livré plus haut était déjà limpide dans le peu d'images que j'ai pu apercevoir avant de voir ce film, donc je n'ai rien spoilé hein : il faut pas 3 minutes de visionnage pour comprendre qu'il se trame qqchose de pas net, c'est un peu comme Desperate Housewives, on se doute bien que la richesse et le bonheur ne sont qu'une façade et ont un prix, et quand en + l'ambiance est celle d'une secte (gourou inclus), bon bah oui, on est du côté d'Alice et on veut comprendre.
Mais, et c'est là que le bât blesse, ça s'étire, ça s'étiiiire, trop. À la fin quand on a la révélation, on a trop attendu pour avoir une autre réaction que : "Ah ok, c'était donc ça. Bon, je vais lancer une lessive moi."
Par ailleurs, la révélation en elle-même laisse plusieurs questions non résolues, ce qui contribue largement à l'impression d'un scénario un peu bâclé.
J'ai bien compris les thématiques du film… oserais-je dire sa portée "philosophique" … mais ça n'a pas suffi à le sauver pour moi.
il ne peut plus rien nous arriver d'affreux maintenantReste heureusement, comme susdit, la prestation de Florence Pugh, égale à elle-même càd sublime. (Pour Harry Styles faudra qu'on m'explique la hype, dans ce film il n'est que fade.)
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Je me rappelle quand le film a été annoncé et qu'on a vu les premières images toute la hype. Un casting alléchant (oui, surtout Florence, mais pas seulement), des images magnifiques, un mystère particulièrement intriguant, un nouveau film d'Olivia Wilde qui avait créé la (bonne) surprise avec son projet précédent Booksmart, ... Les attentes étaient élevées.
J'ai pas vu le film. Mais j'ai vu assez de critiques très complètes décrivant à quel point le film est prétentieux en créant plein de mystères et d'étrangeté pour au final que la résolution ne réponde pas vraiment à toutes les questions et les balaye sous le tapis.
Le concept est très sympa mais visiblement pas assez poussé. C'est très dommage, j'aurais aimé me laisser perturber par ce film.
Et ce qui est dommage aussi c'est qu'on a au final bien plus entendu parler des scandales autour du film que du film lui-même. Le départ de Shia LaBeouf, le "crachat" de Chris Pine, la différence énorme de cachets entre Florence et Harry, ...
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@Lapin Pas d'accord avec ton spoiler : ces questions-là trouvent parfaitement leurs réponses dans le film, ce n'est donc pas juste là pour "faire joli", ça a du sens.
(mais difficile de l'expliquer sans spoiler la révélation de l'intrigue pour le coup)Je n'ai pas non plus perçu de côté prétentieux au film. (Enfin globalement je comprends jamais trop quand on dit ça d'un film, cf. ce que j'ai déjà dû développer sur des topics concernant des films de Kubrick, pour moi la prétention soit ça n'existe pas au cinéma, soit au contraire c'est totalement ce qu'est le cinéma, mais ya pas de raison de trouver ça insupportable; évidemment qu'un cinéaste/artiste cherche à montrer tout le spectre de son talent, développer sa vision des choses c'est pile son projet, on peut pas lui en vouloir de faire ça; aux spectateurs d'adhérer ou pas, d'être émus ou pas, mais ça me semble compliqué de faire un procès d'intention quand à la base une oeuvre passe forcément par le regard d'un cinéaste avant de passer par le nôtre.)
J'ai aussi entendu parler du drama autour de la sortie de ce film, et surtout retenu que Florence Pugh n'était pas très fan du fait que la promo du film tournait autour du fait qu'il y a 1,5 scènes de sexe dedans dans lesquelles c'est + axé sur le plaisir féminin que sur le masculin, elle semblait trouver que c'était pas le propos et je suis d'accord avec elle (on s'en tape puissance mille de cette pseudo déclaration féministe).
(la classe à Dallas quand on est d'accord avec Florence Pugh )Enfin je te rejoins Lapin quand tu dis qu'il y avait trop d'attentes sur ce film, c'est ça qui m'a déçue sans doute. Même si je connaissais pas Booksmart, j'ai imaginé un film bien plus ébouriffant et là c'est retombé comme un soufflé (pour moi en tout cas, ça plaira pê à d'autres !).
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@Shanna je n en avais jamais entendu parler mais ça donne envie de le voir pour se faire une idée