I Am Not Okay with This
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I Am Not Okay with This est une série TV adaptée du roman graphique éponyme de Charles Forsman.
Une nouvelle série du réal de The End of the F***ing World (autre adaptation du même auteur) et des producteurs de Stranger Things dispo le 26 février sur Netflix !
Vous allez regarder cette série ?
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Je pense que oui, elle me tente bien.
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C'est perturbant cette BA avec deux acteurs des films It, dont la principale qui a l'air d'être le même personnage que celui qu'elle incarne dans It, et le garçon qui s'appelle Stanley dans cette série et dans It. L'ambiance aussi fait penser aux films... alors que je comprends que rien à voir.
Bref, j'exige qu'on m'explique.(Et sinon le titre de la série est super et le thème a l'air sympathique).
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@Shanna Il y a même It dans le titre : I Am Not Okay with This. Coïncidence ? je ne pense pas.
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J'ai vu la série et vraiment, je commence a en avoir marre que Netflix nous pondent des séries de 6 épisodes de 20 minutes chacun ! A peine le temps de voir des choses intéressantes que c'est déjà le dernier épisode.
Clairement, ca ne me donne pas du tout envie de voir la saison 2 qu'il y ai plus d'épisodes ou non !
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@327e Netflix a un budget qui n equivaut pas celui d un major...
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J'ai bien aimé, ça se voit facilement ! La réal' est très sympa, le scénario simple (presque un peu bateau ?) mais la touche The End of the fuckin World est vraiment bien dosée.
J'ai bien aimé le format court, je trouve justement que ça manque d'avoir des séries qui ne durent pas 1000 ans
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@Kallindra Ça m'étonnerait que Netflix manque de budget pour faire de grosses séries, leur parti pris est seulement de faire une multitude de petites séries plutôt que moins de grosses, c'est un choix.
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Pas trop porté sur les filles plus jeunes, pourtant je trouve Sophia Lillis super bandante:
J'adore ses taches de rousseurs.
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@Doc-Cranium Ah ça par contre, elle est très jolie à regarder, mais les séries Netflix et leurs personnages que tout le monde insulte de "moche" alors qu'ils sont magnifiques
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@Hornet Et aussi d'y aller au casse pipe et de voir si une nouvelle série marche avec une petite saison (et un petit budget) avant d'envisager d'étoffer les saisons suivantes si le succès est au rendez-vous ? Enfin, ce n'est qu'une supposition parmi tant d'autres en plus de proposer davantage de nouveautés (mieux vaut proposer 10 séries de 8 épisodes que 4 séries de 20 épisodes, ça étoffe le catalogue et tout le monde trouvera au moins 1 série à son goût parmi les 10)
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@Agenor Très juste, comme si une 1ère saison était un pilote au lieu du 1er épisode.
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Je ne dis pas qu'un saison courte est désagréable a regarder, mais pour cette série les épisodes sont de 20 minutes quand même !
Quand il n'y a que 6 ou 7 épisodes le minimum c'est 40 minutes.Je viens de finir "Luna Nera", qui n'a que 6 épisodes, et bien je n'ai pas eu la même impression que pour "I am not okay with this" car les épisodes vont de 43 a 55 minutes. Le scénario a au moins le temps d'être étoffé.
Les gouts et les couleurs...
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@327e Je comprends ton point de vue, mais comme tu dis, ça doit être les gouts et les couleurs. J'aime quand les séries sont courtes (d'ailleurs, Netflix les appelle parfois des "mini-séries") et ça ne me dérange pas que les épisodes soient courts, ni qu'il n'y ait que 4 épisodes par saison
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@canaille-sympa La mini-série c'est une autre définition, c'est une série à saison unique (ex : Chernobyl)
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@Hornet Oh je ne savais pas que c'était spécifiquement pour ça (j'appelais ça des "one-shot")
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Vu !
C'est en effet très court, vu le format je m'attendais à MINIMUM 12 épisodes, pour ne pas dire que je pensais naïvement en voir 24. Le souci étant qu'avec une durée aussi courte j'ai peur de ne pas réussir à vraiment m'impliquer dans l'histoire.
Sinon c'est de la prod Netflix habituelle, la photo est soignée, les acteurs font le taf, le seul petit petit bémol que je relèverai c'est que
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Vu avec Keyser (qui est très chiant parce qu'il commente TOUT).
Quand on a vu The End of The Fucking World, on est pas vraiment dépaysé puisque cette série est adaptée d'une œuvre de l'auteur de BD Charles Forsman (en sachant que TEOTFW est aussi adaptée par Netflix (en format court), tout se recoupe). C'est le même rythme rapide, où l'on est pris un peu en cours de route où on apprend au fur et à mesure sur les personnages principaux. Le rythme s'intensifie d'épisode en épisode jusqu'au cliffhanger final.
Globalement, j'ai bien aimé même si je suis tout de même un peu blasée par certaines facilités scénaristiques récurrentes chez Netflix. Le personnage de Stanley est giga cool même si c'est le digne représentant du loser.