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ytica
Ca faisait pas mal d'années sur je n'avais pas revu le gendarme de St Tropez, rien de tel pour passer un bon moment de détente sans prise de tête, et surtout ambiance des années 1960. Sur M6
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ytica
Tout est bien décrit et mis en scène, c'est comme si je voyais ça sur mon écran tv.
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ytica
Vraiment un très beau texte très émouvant et réaliste
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ytica
C'est une très belle initiative de partager ainsi des "hugs", j'ai vu une autre video où une jeune fille, les yeux bandés, était sur un trottoir avec une pancarte "free hugs" elle avait les bras grand ouverts et plein de gens s'arrêtaient pour s'enlacer avec elle, c'était tellement beau que j'en ai eu les larmes aux yeux (je suis facilement émue devant ce genre de chose).
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ytica
C'est plutôt parisien ça non ? En tout cas chez moi je n'en vois pas beaucoup... ça attire la foule c'est sympa.
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ytica
Désolée j'ai eu beaucoup de choses à faire ce week end, voici enfin mon petit texte avec les mots désignés
Déjà une demi-heure qu'ils montaient le long de ces escaliers interminables qui menaient au rempart de la vieille ville. Entouré d'une foule de touristes qui filmaient tout et n'importe quoi, le petit groupe de marseillais montait, montait. Un vrai désastre cette expédition ! Mimi commençait à en avoir assez.
Au bout d'un moment, accablée de chaleur, elle décida de leur fausser compagnie. Ce n'était pas une chose à faire mais elle n'en pouvait plus et soudain, avisant une ruelle, elle s'y engouffra vite et, ni vu ni connu, elle se retrouva seule et tranquille. Au bout d'un moment, elle déboucha sur une sorte de chemin qui dominait la mer. Elle s'arrêta et regarda intensément ce magnifique paysage qui s'offrait à ses yeux. Elle était émerveillée, la surface de la mer brillait sous le soleil, les cigales lui offraient un concert et un rossignol chantait dans l'épais feuillage d'un arbre centenaire. Mais Mimi était triste. La date du départ approchait et avec elle la fin de ses vacances. Elle s'assit sous l'arbre et s'endormit. Oh, pas très longtemps, son téléphone se mit à sonner et soudain elle poussa un cri : le car !!! elle se leva d'un bond et sans meme répondre courut dans la ruelle pour rejoindre le parcours touristique. Comme une folle, elle dévala les escaliers, zigzagant parmi les touristes, et parvint enfin, toute essoufflée, devant son car où l'attendaient les autres, furieux. Une demi-heure de retard ! Mais peu importent les reproches, ce petit instant de bonheur dans la nature serait son plus beau souvenir de ces vacances. -
ytica
Oui très joli texte j'ai beaucoup aimé.
Bien, alors voici un mot pris sur le post it qui traine à côté de mon PC : date
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ytica
Moi aussi j'aime la chute de cette histoire, bravo !!
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ytica
Après mure réflexion, mon cerveau a guidé mes doigts sur le clavier et voici ce qui est apparu sur l'écran...
Qui avait bien pu transporter cette voiture au milieu de nulle part ? Le groupe de randonneurs s’approcha du véhicule noir et l’un d’eux regarda à l’intérieur. Personne. Le chef de groupe fit signe de continuer et les marcheurs repartirent sur le chemin de terre.
Occupé à lire un message sur son téléphone, Gérard était resté en retrait.
Soudain, une voix se fit entendre :
-Aidez-moi…
Gérard leva le nez de son téléphone et écouta.
-Aidez-moi s’il vous plait, disait une toute petite voix…
Mais non il ne rêvait pas, il avait bien entendu. Tous ses sens aux aguets, il regarda autour de lui, mais le vaste espace qui l’entourait était totalement désert à part ses amis qui s’étaient éloignés.
-S’il vous plait, je vous en prie !
Cette fois il avait bien entendu, et la voix provenait de cette voiture. Il retourna sur ses pas et s’approcha. La voix se fit encore entendre :
-Sortez-moi de là, s’il vous plait…
Mais Gérard avait beau regarder dans la voiture dont les vitres étaient fermées, il ne voyait personne, à part une abeille qui se promenait sur la vitre à l’avant.
-Faites-moi sortir de là ! dit de nouveau la petite voix, avec insistance cette fois.
Gérard était dubitatif. Il fit le tour du véhicule et revint vers la vitre où s’agitait le petite abeille.
-Ouvrez-moi, je dois retourner à ma ruche !! je vais mourir dans cette voiture surchauffée, le chauffeur a fermé les vitres et je ne peux plus sortir !!
Gérard ouvrit tout grand les yeux, poussa un cri et s’enfuit pour rejoindre ses amis qui l’attendaient un peu plus loin. Non, les abeilles ne parlent pas, tout le monde sait ça. Gérard se dit que sans doute le soleil lui avait trop tapé sur la tête et se promit de vite oublier tout ceci.
Restée seule dans la voiture, l’abeille était tombée sur le siège, sous le volant. Elle rendit sa petite âme, abandonnée de tous. Parfois, la réalité peut paraître impossible à croire... -
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ytica
Il veut dire quoi quand il dit demain ? Il parlait du 14 Juillet ou de demain, "le futur'"? Prêts en cas de conflit ? Parait qu'on manque de matériel et même de munitions...
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ytica
On ressent un amour immense dans ce texte, la communion entre la mère et ce petit être encore mystérieux, et l'impatience de le tenir dans ses bras. Bravo.
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ytica
Encore un pas... puis un autre... dans la lueur blafarde du crépuscule, j'avance, mais chaque pas semble d'une difficulté enorme. Il faut que je me fasse VIOLENCE pour arriver à arracher mes pieds du sol. L'endroit est glauque, silencieux, comme figé dans le temps.
Petit à petit j'arrive au bout de cette ruelle dont les pavés humides luisent sous la lumière d'un vieux réverbère planté là. Un mur très haut et noir s'élève sur ma gauche. Le plus étrange est que je ne me pose même pas la question de savoir comment et pourquoi je suis là. Cet endroit existe-t-il réellement ? Je ne sais que CROIRE... mais pourtant j'y suis bel et bien. Le temps semble interminable...
Soudain devant moi quelque chose semble bouger, et se rapproche doucement. C'est un chat, qui me regarde fixement de toute la CANDEUR de son doux regard vert. Puis il repart de son pas léger et silencieux. Je veux le suivre et voici que soudain je peux avancer sans difficulté. Nous arrivons ensemble au bout de la rue, et une plaque posée sur le mur attire mon attention. Il est écrit : rue de la VICTOIRE.
Le temps de lire l'inscription, le chat a disparu.
Me revoici seule dans cet endroit fantomatique ou rien d'autre ne semble exister que la rue, le mur, le réverbère, la plaque de rue... -
ytica
J'adore les chats noirs, et je vois que de plus en plus de gens n'hésitent plus à en adopter. Sur
la photo du milieu il est magnifique.