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ytica
Les histoires d'amour tristes m'inspirent encore ce soir. Voici donc "musique nocturne"
La nuit était tombée. Par la fenêtre ouverte elle pouvait entendre le bruit de la mer tout en bas, et le chant des insectes nocturnes dans les buissons. Elle avait éteint la lumière, et seul l’écran de l’ordinateur distillait un peu de clarté dans la pièce. Dans sa tête résonnait encore la petite musique de nuit de Mozart qu’elle avait entendu en début de soirée lors d’un concert télévisé diffusé en direct.
A présent, seule devant son ordinateur, ses doigts effleuraient les touches du clavier, mais les mots ne venaient pas. Ils étaient là, tout au fond de son coeur, dans les larmes qui coulaient sur ses joues, dans les soupirs qui sortaient de sa bouche, dans la tristesse qui l’entourait tel un voile invisible flottant au vent.
L’aventure était finie. Elle lisait et relisait ce mail qui s’affichait sur l’écran depuis une demi-heure, avec juste ces quelques mots : « pardonne-moi, reste ».
Elle savait qu’il était là, qu’il attendait. Mais comment pardonner ? Elle se sentait perdue, détruite, elle avait été trompée, et le monde s’était soudain écroulé tout autour d’elle. Son coeur s’était brisé en mille morceaux que rien ne pourrait recoller. L’amour ? c’était juste un mot, c’était fini.
De longues minutes s’écoulèrent.
« Je t’aime » , écrivit-elle...
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ytica
En ce moment je regarde une émission documentaire sur France 4 consacrée au travestissement, dans le spectacle (drag queens), au cinéma, au théâtre, dans l'histoire de France, un documentaire très complet et instructif.
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ytica
Ah dommage j'arrive trop tard, ça me permettra de voir comment se déroule le jeu. Y aura-t-il d'autres inscriptions pour le jeu suivant ?
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ytica
- Ohlala regarde…
Chantal m’avait donné un coup de coude pas très discret
- Regarde… le mec là bas...
C’est le matin, dans le bus 21 bondé de gens en route vers le travail. Je regardai mais ne vis rien de spécial, à part l’afficheur qui indiquait neuf heures... zut et zut encore en retard…
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Où ça, lui demandai-je
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Le type aux cheveux longs là bas qui parle au chauffeur !
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Ah ok, oui, pas mal…
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Comment ça pas mal, mais il est canon !!! super canon !!!!!!!
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Chuuutttt on nous entend, lui chuchotai-je
Chantal est une fille sympa, mais sans filtre, elle ose tout. Et la voila qui glousse, qui rit en fixant le bogoss qui est venu s’asseoir à sur le siège en face du nôtre. Je me sens gênée, mais pas elle, et la voila qui fouille dans son sac, un papier griffonné tombe, enfin disons plutôt qu’elle le jette carrément aux pieds de l’homme qui regarde, le ramasse, et le tend à Chantal. Pas besoin d’être disciple de Freud pour comprendre qu’il lui a tapé dans l‘oeil et qu’elle fait tout pour attirer son attention.
- Merci, dit-elle en remettant le papier dans son sac. Heureusement que vous l’avez vu, c’est un papier très important.
Et la voilà qui engage la conversation, qui papote comme une commère, lui parle comme s’ils étaient de vieux amis, bref je n’existe plus, je suis devenue transparente.
Nous venons juste de passer devant le stade lorsqu’il se lève, lui dit qu’il est arrivé, lui lance un sourire ravageur et descend par la porte avant, se dirige vers un jeune homme qui attendait à l’arrêt, lui donne un baiser sur la bouche et s'en va avec lui, sous le regard étonné de Chantal.
Le reste du trajet se fit dans le silence.
C’est vrai qu’il était canon...
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ytica
Un livre ouvert au hasard, et c'est le mot matin que je propose
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ytica
Excellent documentaire ce soir sur France 2, présenté par Lorànt Deutsch et Stéphane Bern, "la folle aventure du Paris Haussmanien". Vraiment très intéressant, on y apprend plein de choses sur le Paris de la période fin 1800 début 1900, une époque qui me passionne.
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ytica
Une rencontre extraordinaire
Petit cafard, mais que fais-tu donc là ?
Il me regarda, puis nettoya ses pattes,
Bougea ses antennes de façon diplomate,
Cherchant un moyen de communiquer avec moiIl tenta de dessiner quelque chose sur le sol
Et tandis que je me posais des questions
Il agitait ses pattes dans toutes les directions
Comme ferait l’aiguille d’une boussoleEt soudain ce fut la révélation !
Une petite voix douce et légère
Résonna dans ma tête comme un éclair.
Commença alors une étrange conversation...« Je suis ta tristesse, entendis-je distinctement
Tu dois la chasser car elle te hante
Et depuis des années elle te tourmente.
A toi de la faire disparaître en coup de vent »Ces quelques paroles en forme de vers
Quelle que soit leur provenance
Ou ce petit insecte, ou une mystérieuse bienveillance
Firent qu’enfin je trouvai un repèrePour avancer dans la vie avec assurance
Oublier les choses du passé
Qui dans notre esprit veulent s’incruster,
Et marcher vers l’avenir avec confiance -
ytica
Bien, alors j'ouvre la marche avec le mot cafard, premier mot de la page ouverte de mon programme TV
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ytica
Une femme a décidé de s'offrir un beau cadeau pour ses 70 ans en passant la nuit dans un hôtel vraiment sympa.. Lorsqu'elle est partie le lendemain matin, le réceptionniste lui a remis une facture de 250,00 $.
Elle a demandé de savoir pourquoi la charge était si élevée. « Je suis d'accord que c'est un bel hôtel, mais les chambres ne valent pas 250 $.. 00 pour juste une nuit - je n'ai même pas pris de petit déjeuner ! "
La réceptionniste lui a dit que 250,00 $ était le « taux standard » et que le petit déjeuner avait été inclus si elle le voulait.
Elle a insisté pour parler au directeur. Le directeur est apparu et, prévenu par le réceptionniste, a annoncé : « Cet hôtel dispose d'une piscine olympique et d'un immense centre de conférences qui sont disponibles pour l'utilisation. "
"Mais je ne les ai pas utilisés. "
'Eh bien, ils sont là, et vous auriez pu. Il a ensuite expliqué qu'elle aurait pu aussi voir l'un des spectacles à l'hôtel pour lesquels ils étaient si célèbres. « Nous avons les meilleurs artistes du monde entier qui se produisent ici. "
"Mais je ne suis allé à aucun de ces spectacles.. "
« Eh bien, nous les avons, et vous auriez pu. "
Peu importe l'agrément mentionné par le directeur, elle a répondu : « Mais je ne l'ai pas utilisé ! » et le directeur a contré sa réponse standard.
Après plusieurs minutes de discussion, et avec le directeur qui reste sur sa position, elle a décidé de payer, a fait un chèque et le lui a donné. Le directeur a été surpris quand il a regardé le chèque.
"Mais Madame, ce chèque est de seulement 50,00 $"
« C'est exact, je vous ai facturé 200,00 $ pour avoir couché avec moi. "
"Mais je ne l'ai pas fait ! "
« Eh bien, dommage, j'étais là, et tu aurais pu. -