J'aime bien, c'est exotique mais je m'y connais pas du tout.
@Elenwey : ça te dit de l'aider à mieux s'y connaitre ??
K-pop
@Artelise Que la K-pop soit avec moi!
Je garantis pas une addiction foudroyante mais j'y garderai un œil volontiers.
Je ferai un topic J-pop pour une saine rivalité. Là aussi je suis pas vraiment au fait non plus.
K-pop
@Artelise, je n'y connais rien du tout ^^'' Je n'en écoute pas particulièrement malgré toutes les séries que je regarde. Il faut faire mon éducation aussi
K-pop
Avant de commencer la découverte de la Kpop, j’aimerai rapidement parler de l’histoire récente de la Corée du Sud.
Ce qu’il faut savoir, essentiellement, c’est que pendant que les états unis découvraient le blues et le jazz et que l’Europe délaissait doucement la musique dits « classique » pour s’intéresser aux chansons de cabaret et s’initier au tango ou au fox-trot, la Corée subissait une invasion japonaise oppressive qui s’accompagnait d’une répression culturelle intense.
L’occupation japonaise prendra fin en 1945 avec la défaite du Japon lors de la Seconde Guerre mondiale, mais la guerre de Corée (1950-1953) et les efforts de reconstruction qui suivirent maintinrent la culture et l’art au second plan.
Et même si des graines de modernité seront semées, chichement, grâce à la présence des bases militaires américaines, la succession des régimes autoritaires durant les deux décennies suivantes s’opposeront à l’essor de nouveaux genres musicaux. La censure était omniprésente, et la musique populaire devait respecter des normes "morales" et "patriotiques". Les chansons rebelles ou influencées par l'Ouest étaient souvent interdites.
Bien que le pays parvienne à connaitre un essor économique exceptionnel, il faudra attendre 1987 pour que les mouvements « rebelles » pro-démocratiques, les efforts des représentants politiques de l’opposition et la pression sociale internationale croissante (merci les jeux olympiques de Séoul en 1988) aboutissent à une élection démocratique et que les libertés civiles soient enfin garanties.
Et c’est à partir de ce moment-là que – enfin ! – la Corée du sud va commencer à s’épanouir d’un point de vue culturel.
Ce qui explique que l’essor de la Kpop n’ait débuté que dans les années 90 avec Seo Taiji and the Boys. Leur fusion de hip-hop, de rock et de musique électronique va révolutionner la scène musicale coréenne avec, notamment, leur chanson : I know.
Cependant, malgré la création de grands Labels tels que SM Entertainment, JYP Entertainment ou encore YG Entertainment, il faudra attendre les années 2000 pour que la Kpop commencent s’exporter à l’international. Le Japon, avec son énorme marché musical, a servi de tremplin pour des artistes coréens comme BoA, qui ont conquis les fans grâce à leurs albums en japonais et leur style méticuleusement produit.
C’est à cette époque que vont naitre les « idols » modernes avec des artistes formés dès leur adolescence dans le chant et la danse, patronnés par de puissants labels qui vont gérer leur carrière, mais également leur image publique.
Ensuite, on entre dans les années 2010 avec l’incontournable succès de BTS, la démocratisation du genre à l’international, portée par Psy et son Gangnam Style, mais aussi par les réseaux sociaux qui ont permis à la K-pop de toucher un public mondial. C’est également la décennie de la diversification des genres grâce à des groupes phares tels que Blackpink, EXO, ou encore Twice.
Ces groupes ne sont qu’un exemple parmi tant d’autres. À partir de cette décennie, la K-pop se diversifie, mélangeant le hip-hop, l’électro, et même des sonorités traditionnelles. Chaque groupe développe ainsi son propre style, séduisant un public toujours plus large.
C’est également à partir de ce moment-là que la K-pop explose véritablement, avec une multitude de groupes, de genres et de styles qui témoignent de la richesse de cette industrie musicale. Une richesse qui, il est vrai, peut parfois déstabiliser les nouveaux amateurs du genre.
Le bonheur n'est pas une chose toute faite. Il découle de vos propres actions
K-pop
Quand le monde de la Kpop rend hommage à l'une de ses toutes premières stars...
La chanson a été écrite par Yoon Soo-Il en 1982. Elle est resté dans le top 10 des charts de l'époque durant 5 semaines consécutives. Elle figure dans les listes des chansons les plus plébiscitées dans les karaoké depuis des décennies.
Au baseball, cette chanson a commencé à être utilisée comme chanson d'encouragement dès 1984, et est toujours utilisée comme chanson d'encouragement par toutes les équipes de baseball professionnelles de la ligue KBO, sauf une.
Le bonheur n'est pas une chose toute faite. Il découle de vos propres actions