Un seul être vous manque et tout est dépeuplé. Méditations poétiques, Alphonse de Lamartine 15/39

Ce qui prouve que les années Lagarde et Michard laissent de bons restes..

Si on ne peut plus tricher avec ses amis, ce n’est plus la peine de jouer aux cartes. Marius, Marcel Pagnol 27/39

Celui-là était donné ! (quoi, il y a 12 joueurs qui ont miss-click ?)

Aujourd’hui, maman est morte. Ou peut-être hier, je ne sais pas. L’Etranger, Albert Camus

Ce classique, je ne l'ai jamais vraiment lu... Disons que je l'ai découvert en BD. C'est mieux que rien !

A l'âge de deux ans, j'étais sortie de ma torpeur, pour découvrir que la vie est une vallée de larmes où l'on mangeait des carottes bouillies avec du jambon. A quoi bon se tuer à naître si ce n'est pour connaître le plaisir ? Métaphysique des tubes, Amélie Nothomb 22/39

Je ne pouvais pas ne pas reconnaitre le style inimitable d'Amélie (qui trone si souvent sur ma table de chevet) !

A vaincre sans péril on triomphe sans gloire. Le Cid, Corneille 15/39

Heu... On apprend plus ça au collège ?
et "A moi comte, deux mots", ca ne vous dit rien non plus ?
Sérieusement, c'est quoi le programme de français de nos jours ? (<<< aigri qu'on a obligé à apprendre la tirade par coeur en 4ème...)

On naît, on crève, et au milieu on s’échine à perdre notre temps en faisant semblant de le gagner. L'homme aux cercles bleus, Fred Vargas 3/39

Etrangement, j'ai lu ce livre, et je n'en ai gardé presque aucun souvenir ! (et j'ai répondu faux, comme presque tout le monde)

Il n’y a pas besoin de brûler des livres pour détruire une culture. Juste de faire en sorte que les gens arrêtent de les lire. Fahrenheit 451, Ray Bradbury 20/39

Au niveau du thème, c'était raccord. Ca semblait presque trop simple pour être vrai, ça pouvait être un piège vicieux de @Mai-Tai , mais elle est trop pure pour ça....

Voici mon secret, il est très simple : on ne voit bien qu’avec le coeur. L’essentiel est invisible pour les yeux. Le Petit Prince, Antoine de Saint-Exupéry 27/39

Non, mais c'est pas possible : ce sont les 12 même joueurs que tout à l'heure qui le font exprès, là !

Le mouton n'était pas mal, avec sa laine et ses bêlements plus vrais que nature - les voisins n'y ont vu que du feu. Mais il arrive en fin de carrière : ses circuits fatigués ne maintiendront plus longtemps l'illusion de la vie. Blade runner, Philip K. Dick 13/39

"Mouton" ? "Circuit" ? Je n'ai pas lu la nouvelle, mais quand on sait que Blade runner est tiré de "Do androids dream of electronic sheeps ?" (ou un truc comme ça), ca vient tout seul...

Un bal masqué cauchemardesque se tenait ici depuis des années. Et petit à petit, secrètement , silencieusement, un pouvoir maléfique s'était emparé de ces lieux. Fallait-il parler de Force, de Présence, d'Esprit ? Peu importaient les mots. Pour se cacher, le mal pouvait emprunter mille masques. Shining, Stephen King 21/39

"Un bal masqué cauchemardesque" ? N'en dites pas plus

L'une des fonctions principales d'un ami consiste à subir (sous une forme plus douce, et symbolique) les châtiments que nous désirerions, sans le pouvoir, infliger à nos ennemis. Le meilleur des mondes, Aldous Huxley 1/39

Un livre dont j'adorais lire le début quand j'étais petit, et où étrangement j'ai toujours décroché au milieu. Je crois que la fin était bien trop bavarde et intellectuelle pour moi (et je ne crois pas avoir reconnu l'extrait)

Demain est un autre jour… Autant en emporte le vent, Margaret Mitchell 21/39

Bon, là, même si on a pas lu le livre (ce qui est évidemment mon cas), tout le monde a vu le film 10 fois, non ?
Si on me demande de citer 2 excipit célèbres au cinéma, j'ai celui-là qui me vient immédiatement en tête, et "Je pense que c'est le début d'une grande amitié" (Casablanca), rien d'autre.
(et le fait que ma mère, ma soeur et ma fille regardent ensemble religieusement ce film tous les ans en fin d'année explique aussi peut-être cela, j'avoue)