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    Messages postés par Zébulon

    • RE: Le parfum, cette rencontre olfactive

      @Wi-lili-K
      😉 Merci. Mais ce n'est pas "ma" fille. 😅 Je sais, une erreur de frappe qui m'a bien frappé d'un sourire.

      posté dans Beauté - Mode
      Zébulon
      Zébulon
    • RE: Errementari : Le forgeron et le diable (Errementari)

      J'aime bien les films d'horreurs, alors je donne mon avis si oui on non j'aimerais voir Errementari. La réponse est non. Réponse confirmée par la lecture des posts. D'ailleurs cette lecture désigne plus un film comique que d'horreur. Et quand je dis " j'aime bien les films d'horreurs " ce goût s'évapore un peu en voyant les navets de nos jours. Les bons ont été emportés sur une navette en perdition. Néanmoins, j'avoue que certains navets parviennent à faire aimer, comme par exemple The farm. Allez comprendre quelque chose de savoir par quelle magie on ne zappe pas au bout de 5mn. En fait je sais pourquoi. La magie d'un visionnage vient quand c'est le film qui vient au spectateur et non l'inverse. Le cinéaste nous impose à travers les images, comment c'est filmé, bref : il nous hypnotise. Et pas besoin d'avoir un chef d'œuvre pour ça. Un peu comme " Tous les dieux du ciel." Pour un film Français, c'est quelque chose. Là aussi, Quarxx nous drogue à coup de " c'est pas bon mais j'en prends quand même. " Loin des film de zombis et autres sangsues aux dents dinosaurées. La chicorée me fait plus flipper. Pour rester au Made in France, je me demande quoi penser de Frontière et Insane. Dans Frontière, Samuel Le Bihan est délicieusement bien barré. Et on se demande ce que vient faire Estelle Lefébure là dedans. Mais bon, elle donne l'impression de bien s'éclater. Après il y a les Hostel et Humain Centipède. Humain Centipède 3, à chier. Par contre le 2 en version original noir et blanc, quelle idée de génie cette suite.

      Un que j'ai bien aimé, est " 10 Cloverfield lane." Là aussi, nous sommes transportés dans cet univers sans se poser la question de savoir si c'est bien non. Comme avec la hifi, le meilleur vient souvent des défauts que de la perfection. Un vrai navet est lorsque le film est véritablement un navet en plus d'y trouver aucun effort artistique, tant sur le plan du cadrage, des images et je ne sais plus quoi d'autre. Pour moi, un bon film d'horreur doit-être avant tout un film d'épouvante. Si on classait les deux en comparaison, celui d'horreur est du X, l'épouvante de l'érotique. Le choix est vite fait. Les films d'horreurs, la seule horreur vient des dialogues et des scènes sans queue ni tête. On voit tout, mais oublie tout tellement c'est à chier. Deux bons films d'épouvantes sont The Ring ( version "Jappe" ) et Ju-On également en original. En version encore plus originale qui est le téléfilm, la mission est grandement replie : on flippe. A condition d'aimer la qualité de l'image. C'est à dire digne d'un vidéoprojecteur avec une guirlande en guise de pellicule. D'ailleurs tant mieux pour le charme. Quand l'épouvante nous fait du charme, on fonce.

      Mon avis ne change pas avec Errementari. C'est toujours non. Je le trouve plus sympa en lecture libre ou spolier. Je pense qu'il s'adresse à un public ayant consommé un bon sachet de meuh. Même l'herbe devient flippante. Margueritte a fait plein de bouses dessus. Des bouses qui transforment l'herbe en zombis morts de soif de rouge qui tâche. J'imagine le délire.

      posté dans Films
      Zébulon
      Zébulon
    • RE: Le parfum, cette rencontre olfactive

      Niveau parfum, celui qui est bien perturbé avec ces effluves, il se prénomme : " le papillon de nuit." le mâle, surtout. Une belle histoire à la fois émouvante et tragique.
      Voici son histoire.
      Nous sommes au mois de juin. Il est 23h00. Le ciel brille de millier d'étoiles. Les fêtards et les amoureux arpentent les rues de Paris. Le papillon de nuit n'y prête guère attention à toute cette agitation. Il est paisiblement posé sur la branche d'un arbre qui jouxte les quais de Seine, non loin du Louvre. Même le beau ciel illuminé n'attire pas vraiment son attention. Mais bientôt une " chose " va le captiver. Ce que nous, ne voyons pas. Un ciel de millier de " blandices." Les phéromones d'une femelle qui se trouve au jardin du Luxembourg. Un ciel étoilé de caresses et de flatteries qui recouvre une bonne partie du toit de Paris. La femelle laisse le mâle venir à elle. Après tout, il faut mériter cette offrande. Le papillon du Louvre n'y tient plus. L'appel est trop grand. Généreux, surtout. Le voici à s'envoler dans le sillage des phéromones, l'odorat affûté. Au bout de cinq cent mètres, il pense savoir où se cache la belle. Le voici à tourner autour d'une jeune dame. Elle tente de le repousser de la main. De toute façon le papillon a bien vu qu'elle ne ressemblait en rien à sa promise. Il s'est fait avoir à cause de son parfum qui ressemble à s'y méprendre aux phéromones de la femelle ailée. Puis, voilà que le papillon se prend de plein fouet un candélabre vers Trocadéro. Il l'a pris pour l'astre lunaire. Ouf, tout va bien, juste un peu assommé. Le voyage peu reprendre. Le regret est que le papillon de nuit ne puisse proposer " service de cicérone." Quel beau guide touristique à n'en pas douter. Maintenant c'est au tour d'une dame de joie éméchée dans les bras d'une aventure furtive, que le papillon virevolte. En voulant le repousser d'un grand coup de main, c'est l'amant à la va-vite qui en a fait les frais : une baffe en pleine tronche. C'est ça d'être éméchée. Le papillon ne capte plus rien. Il était persuadé que ces phéromones, c'était les bonnes. A mon avis le parfum mélangé aux relents d'alcool, putain de phéromones. Et rebelote, un autre candélabre en pleine tronche. Il était moins une qu'il se fasse écraser par une chaussure. Le revoici à reprendre son envol, une aile à moitié en lambeau. Au bout d'une heure, après bien des embûches, la délivrance. Le papillon de nuit trouve enfin sa belle, toujours immobile. Le temps des amours peut commencer. La femelle est contente : enfin, elle va pouvoir procréer. Le mâle, moins. Une fois l'accouplement fini, il tombe de la branche, mort d'épuisement. Il ne se relèvera jamais. Son voyage a eu raison de lui et la femelle a déjà oublié son téméraire compagnon d'infortune comme une vielle chaussette. Ce qui compte pour elle, est de chausser le ciel d'une pluie de paillettes de blandices enivrantes. Son langage à elle, oh combien sensuel...
      Alors si un jour vous voyez un papillon de nuit tourner autour de vous, il ne faut pas lui en vouloir. Le parfum que nous portons ressemble aux phéromones de la femelle. Un jour il faudra lui demander si les parfums bon marché agissent également.
      Le parfum; les phéromones sensuelles...

      ![text alternatif](url de l'79efbb45-cc18-4cb5-b7ed-736c5cccd8b3-image.png image)

      posté dans Beauté - Mode
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    • RE: Vous êtes dans le film : que faites-vous ?

      J'adore ce genre de jeu. Ah ça oui. Il me donne une idée du même style. Dommage que j'arrive un peu tard pour celui-ci.

      posté dans Animations Cinéma
      Zébulon
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    • RE: Vous avez carte blanche !

      @Virgoh
      Hein ? Ben mince alors. Je m'invite à enquêter sur la cause de cette effroyable confusion. Qu'à t'il bien pu se passer. Ai-je mal lu la " fiche d'admission "? Sans doute que oui. Pardonnez cette négligence. Me voilà bien. Sourire à demi lèvre.

      posté dans Carte blanche
      Zébulon
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    • RE: Vous avez carte blanche !

      @apis-32
      Humm...teintée comme le doux tintamarre de la mare. Une jolie teinte nocturne...😉

      posté dans Carte blanche
      Zébulon
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    • RE: Vous avez carte blanche !

      @Virgoh
      Ca, c'est gentil. N'ayez crainte, Chère Virgoh, rarement elles sont blanches. Sauf en allant danser. Là, elles sont bl' hanches. On se déhanche jusqu'au petit déjeuner. 😊

      posté dans Carte blanche
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    • RE: Vous avez carte blanche !

      Je vais me coucher. Demain matin je prends la route. Retour au bercail pour quelques jours. J'attends encore un peu à cause de la chouette. J'aime entendre son hululement. Il n' effraie pas, loin de là, mais si proche.
      Puis je vais compter les kilomètres en guise de moutons. De toute façon je m'endors toujours de suite. Le problème est réglé comme une horloge sablier.
      Belle nuit à tous. En espérant qu'elle ne sera blanche...

      posté dans Carte blanche
      Zébulon
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    • RE: Le jeu de la bête énigmatique

      @Peri
      Ahah ! On se colle. 😊

      posté dans Animations Communauté
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    • RE: Le jeu de la bête énigmatique

      @Noodle
      Question : Ce " héro " ne porte t'il pas le prénom phonétiquement Henry ? ( son nom se trouve dans l'animal )
      Ma tête j'ai trouvé.
      Sinon nous sommes d'accord, en mentionnant coeur, il a bien 2 pieds ?
      😊

      posté dans Animations Communauté
      Zébulon
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    • RE: Vous avez carte blanche !

      @apis-32
      Votre modestie m'enchante. Il n'y a rien d'exceptionnel vous savez. Pourquoi vous en priver, de vos quintessences ? Je sens en vous le côté raffiné. Inutile d'en faire des proses. Une simple lecture peut devenir merveilleuse. J'aime le côté simple des gens simples. Puis des petites fantaisies ne font pas de mâles. Rien de mal à ceci.😊

      posté dans Carte blanche
      Zébulon
      Zébulon
    • RE: Le poids des apparences

      @Astyanax
      Le soucis est qu'à force il risque d'y en avoir plusieurs, de sujets. A moins d'en faire un " fourre-tout."
      Cette idée m'enchante moyennement. Raison un peu... personnelle. 😊

      posté dans Sciences Humaines et Sociales
      Zébulon
      Zébulon
    • RE: Vous avez carte blanche !

      Moi aussi j'ai parfois l'impression d'être un ado avec mon sac à dos. A l'intérieur se trouve ce que je ne quitte jamais. Mes ballades, mes joies, mon esprit ronchon, mes musiques préférées, la forêt de Fontainebleau, le charme de la campagne, mes baskets, mes vieux fringues, mes délires, mes errances, mon nid douillet joliment décoré, mes soirées Blind test ( pour boire et le côté festif, je ne trouve jamais rien ), les films, l'écriture de mon roman ( qui est resté collé sur une page, il n'avance plus ) mes délires du Net pire qu'un ado, le calme, les tempêtes, les coups de foudres ( j'arrive toujours après l'éclair ), mon portable et tout et tout dont quelques atouts, hormis la carte blanche. Elle porte bien son nom. Elle est tellement blanche que je ne vois pas où sont indiquées les directions. De toute façon je n'aime pas les cartes tout court. Elle me font penser à du papier. Alors je me noie. Je n'ai pas pied. Oui, je suis comme un ado qui ne sait pas nager. Mon sac à dos me sert de bouée de sauvetage...

      posté dans Carte blanche
      Zébulon
      Zébulon
    • RE: Le poids des apparences

      Avec ma tante, le poids des apparences prend tout son sens quand elle dort dans une tente. La tente devient boursoufflée. Et le problème arrive quand il faut emporter les deux. Le problème de comment écrire : " J'emporte mes tentes. Mes tentes ou mes tantes ?
      face à ce problème, j'ai trouvé le moyen d'en faire un pluriel.
      1 tente + 1 tante = 2 tentantes.
      J'écris : j'emporte mes tentantes.
      Mon tout est tentant.
      Comme cette idée tentante d'inviter les belles à faire du camping
      Surtout les Canadiennes
      A condition qu'elles aiment les sardines au menu
      Et d'écouter un peu de Sardou
      Aux paroles prégnantes
      Sans envies répugnantes
      Sans errance et sans souffrance
      Le poids des apparences
      Que l'on aime à dire
      Jolie calliépie
      Belle chipie
      A la corpulence généreuse
      Encore et en corps
      Que je goûte à tes apparences
      Afin que je puisse
      Retirer le poids de mes fardeaux
      Pour que, puissions aller en radeau
      Puisons ensemble cette envie
      De naviguer ensemble
      J'en fais un dessin
      Mais pas des seins
      Juste un destin
      Beau festin
      Du poids des apparences
      La plus belle des richesses.

      ![text alternatif](55954214-1dc6-49db-bf80-02e54872ec36-image.png url de l'image)

      Zébu.

      posté dans Sciences Humaines et Sociales
      Zébulon
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    • RE: Le poids des apparences

      @Kachina13
      C'est gentil. Sourire. J'en ai plein d'autres, mais autant rester sur le poids des apparences. Et là aussi, j'en ai un paquet aussi nombreux que des petits pois dans une boite. Un jour il me faudra un ouvre boite pour les faire déguster...😊

      posté dans Sciences Humaines et Sociales
      Zébulon
      Zébulon
    • RE: Le poids des apparences

      @Astyanax
      J'en rougi comme une belle rose. Merci.😊

      posté dans Sciences Humaines et Sociales
      Zébulon
      Zébulon
    • RE: Le poids des apparences

      @Kachina13
      Ah...ma Bretonne. Je l'ai rencontrée à l'île de Groix. Mon petit bout de paradis qui a bercé mon enfance. J'étais jeune et beau. Mes grands-parents y vivaient avec mon oncle. Un oncle extraordinaire. On ne pouvait que l'aimer. Lors d'une soirée dans un pub, tenu par un homme admirable, le destin m'a présenté cette belle Bretonne. Un bel amour est né. A cette époque j'habitais à B-B. Boulogne-Billancourt, là où j'ai vécu bébé et y habitais par la suite. Ma Bretonne étudiais à la Fac de Nanterre. Ce qui permettait de jongler entre la Bretagne et Boulogne. Un an s'est écoulé. Nous avions des projets communs. Comme de vivre ensemble. Oui mais voilà, il a fallu une tragédie. Un vendredi soir, j'ai loupé le dernier bateau pour Groix de 20h30. J'ai dû passer la nuit à Lorient. Je suis allé dans un pub. Juste comme ça histoire de, avant de regagner ma chambre d'hôtel. Une Bretonne m'a fait du rentre-dedans. Non pas que c'était une beauté merveilleuse, mais dotée d'un esprit brillant. Sa beauté intérieur me fascinait. J'ai été obligé de lui dire qu'entre nous ce n'était pas possible. Elle m'a fait des louanges. Ce qui n'a pas empêché d'échanger nos 06. Après une soirée arrosée et moult discussions, j'ai regagné ma chambre d'hôtel. Le lendemain, à 8h45, me voici dans le bateau. Ma chérie était radieuse. Moi aussi. Puis, comme à son accoutumée, nous avions passé un week-end formidable. Le lundi soir j'étais de retour chez-moi. La Bretonne " bis" a commencé à m'envoyer des SMS foudroyants. Non pas d'amour, mais enjolivés d'alexandrins. Elle adorait écrire en alexandrin. Je lui répondais en haiku. A bout du 4ème échange, nous sommes revenus au basic. Aucun de nous deux ne parvenait à comprendre quelque chose. Au moins les échanges se faisaient plus rapidement. Dans tout ça, ma Bretonne officielle commençait à avoir des doutes au style de mon écriture en mode quatrain. Ses soupçons se sont envolés lorsque je lui ai dit qu'elle m'inspirait au point d'embellir mes mots. Qu'est-ce que je n'ai pas dit là. Ses hormones ont explosé. Et voilà l'autre Bretonne qui en remet une couche. Dans ma tête il fallait " scier " cette relation avant l'embûche. Oui mais voilà, la bougresse m'a proposé un concert de Lo'Jo et Yog Sothot à Lorient. " J'adore !" que je lui ai dit. Quel con, jamais entendu parler d'eux. Mais elle m'a vanté ce groupe d'une telle manière, que machinalement j'ai fini par adorer sans ne rien savoir sur eux. Ce concert était prévu le week-end en cours. J'ai appelé ma Bretonne d'amour pour lui dire que ce week-end je ne pourrai pas venir. Jusque là, tout va bien.

      Le samedi matin, me voici à Lorient. Je retrouve la " tueuse de couple. " Dans ma tête rien n'allait. Je me disais : " qu'est-ce que je fiche ici." Elle avait raison : le concert était génial. La nuit j'ai dormi sur son canapé. Il était 5h00 du mat. Discuter de tout et de rien, le temps passe plus vite qu'une lettre à la poste. Je suis reparti le dimanche soir avec un souvenir immarcescible. Ce souvenir de cette tonitruante Bretonne. La page s'est fermée. Elle a compris qu'elle ne faisait pas le poids sur la Groisillonne. A mon avis elle a dû se toucher pas mal de fois en pensant à moi. De mon côté, mes idées se sont définitivement consacrées à ma chérie. Le moment où tout a basculé. Je ne le savais pas encore, sauf les Groisillons. Et surtout ma chérie. La stratégie a été de faire comme si tout allait bien. Le week-end suivant, ouf, j'ai eu le bateau de 20h30. La traversée s'est faites comme une mamie derrière ses rideaux. J'étais cette mamie. Moi, toujours sur la partie supérieur de la poupe à regarder ce que j'ai vu dix mille fois. Peu importe, on ne s'en lasse jamais. Il faudra que je pose cette question aux mamies, le charme en moins des paysages.

      J'arrive à destination. La maison des parents de ma Belle. Le temps est magnifique. J'entre tout excité. Je me trouve en fasse d'un comité d'accueil. Ma Belle et ses parents, debout devant la table de la cuisine. Je commence à avoir la blob loche. Ma chérie me demande si je n'ai rien à lui dire. Je tire une grimace d'écolier. Elle me montre des yeux le journal Ouest France. Je le regarde. Il était déplié. J'ai reçu une surcharge de dix mille volts. En gros plan, moi et la Lorientaise en gros plan au concert. Aucun portable à cette époque, pourtant. Fichu journaliste. Le con m'a mitraillé avec la croqueuse d'homme. Ce jour là, je n'ai pas déballé mes affaires. J'ai passé le week-end chez un ami. Mes grands-parents et mon oncle ont perdu vie peu de temps avant. Une histoire digne de la sorcellerie. Ma chérie ne m'a jamais cru quand je lui ai dit qu'il ne s'était rien passé entre nous. Une triste fin. Actuellement elle a un grand garçon fait avec un autre homme. Tout ça à cause de cette photo. Moi en train de la tenir par l'épaule... Fichu journaliste.
      ![text alternatif](742e935c-8398-433c-ae7f-85160e35b0a5-image.png url de l'image)

      posté dans Sciences Humaines et Sociales
      Zébulon
      Zébulon
    • RE: Le poids des apparences

      @Kachina13
      Un grand merci s'impose. J'ai deux sortes d'écriture. Celle de tous les jours - moins affutée- et la plus pointilleuse. Celles de mes anecdotes, j'adore. J'en ai un tas. Pour en venir à un " livre " je me suis lancé dans un premier roman. Un merdier sans nom. L'entame a débuté au smartphone. 4 heures pour un chapitre. Je n'avais pas d'ordi. A la moitié du roman, j'ai repris à zéro grâce à mon nouveau ordi. C'était la cata. Puis, comme je suis loin d'être un écrivain, toujours obligé de corriger à chaque lecture. Ce roman ? Il a germé grâce à mes BD virtuelles " La taverne de Gégé." Un tavernier grognon à qui il arrive que des malheurs. Les membres d'un forum en prenaient pour leur grade. Un humour subtil. L'histoire de mon roman est tout au présent. Il raconte l'histoire d'un aubergiste qui reçoit sa nièce qu'il n'a pas vue depuis 5 ans. Une espiègle terrible. Elle est possédée par son " Malin des shows. " Une aventure faite de drames et de joies. Elle va considérablement changer la vie de son oncle. Il va enfin trouver l'amour fou. Et cette " promise " va en faire voir de toutes les couleurs. Tout est déjanté. Le but de cet écrit est de s'y croire. A la manière d'un feuilleton. C'est drôle, c'est improbable, on rit. Chaque drame engendre de merveilleuses situations. Bon, il est l'heure de l'apéro entre voisin. Santé à toutes et à tous.

      posté dans Sciences Humaines et Sociales
      Zébulon
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    • RE: Le poids des apparences

      @Zébulon a dit dans Le poids des apparences :

      Ce sujet est passionnant, car il comporte plusieurs points. Les temps n'ont-ils pas changés ? Jadis on regardait moins l'apparence. Et encore moins le statut social. Pour cette raison que l'on voit des moches avec des belles. Il faut bien rire un peu. Néanmoins, une règle ne change guère : nous avons tous les yeux de Chimène. Puis, existe encore et toujours : " qui se ressemble s'assemble." Et d'ajouter : " qui s'aime, sème bonne récolte." Je préfère la seconde. Il faut toujours passer la seconde et la 3ème est la bonne. Jamais deux sans trois comme on dit. Me concernant, j'ai un profond attachement au physique. Hélas, mes profondeurs sont disons...oblatives. Du moins je me le demande parfois. Je suis sous l'assuétude de mes attitudes obscures. Un mystère insondable dont moi-même je ne parviens à percer. Mes rêves sont aussi éphémères qu'une thébaïde à la quiétude paisible : tout se trouve en haute altitude. Et dire que je suis un bon hôte avec un peu d'aménité. Je suis le roi des casting pourris. Et je suis unique également. Ne riez pas, ma dernière conquête a duré 6 mois. Nombre de mois où il ne s'est rien passé. J'ai juste goûté au confort de son lit. Comme lit il y a mieux, même si le sien était taille XXL. Bizarrement je dors comme un bébé dans mon lit taille S. Sans doute à cause du S. Il me fait penser à "sport."

      Sinon j'aime écrire après avoir abusé un tantinet d'apéro. L'inspiration s'enivre et devient frappante comme un martinet. Mais un toujours du domaine tantinet. J'aimais mes années 2000. Une belle fiction comme 2001 l'Odyssée de l'espace. Tous mes rêves se sont réalisés après avoir passé 5 semaines à l'hosto. Mon noël 2000 était top. J'avais 5 infirmières à mes côtés. Une d'elles a fini en drame. Le soir elle m'offre un délicieux chocolat chaud. J'ai préféré le goût de son sourire. Au matin, son sourire était affreux. Pensez bien, lorsqu'elle a découvert le bol du chocolat rempli. Comme un con, j'ai eu la flemme de me lever. J'ai pissé dedans. Pas eu le temps de le vider. Passons cette honte. De toute façon la pire est arrivée quelques mois après mon rétablissement. Une chérie que j'ai titillée dans un bal en Bourgogne. La belle époque. Au matin elle n'était plus là, dans mon lit. A mon avis c'était à cause d'avoir confondu l'armoire de la chambre avec un arbre. Heureusement que ses fringues se trouvaient sur la chaise. Hélas, elle ne dormait pas. Elle a allumé la lumière et elle m'a demandé ce que je fais. -Je pisse. Eh merde, c'est l'armoire. " Ce coup-là plus de m'être endormi sur elle au moment du câlin deux heures avant, logique d'avoir fichu le camp au chant du cop.

      Pour revenir à cette histoire de " rêves réalisés", est grâce à la musique. Durant trois semaines, impossible de dormir. Je n'arrivais pas à rêver. Du moins de penser. Ce cas de figure empêche de dormir. Puis j'ai écouté de la musique. Un Walkman. Tout s'est mit à frémir en moi. J'ai pu imaginer et rêver. Et tout s'est réalisé. J'étais sur le devant de la scène. Un patron en or et une liberté insouciante. Je plaisais aux mecs et aux filles. Une période révolue. La sagesse et la quarantaine ont eu raison de moi. La crise de la quarantaine n'est pas une légende. Et encore moins mes conquêtes qui n'avais rien d'une légende. Je pensais que le physique ne faisait pas tout. J'en ai eu la preuve que si. Et plus jamais de psychologues. Une fois mais pas deux. Et plus encore si très douées en math. Même aller au WC est un art. On ne fait pas pipi, on fait Pi Pi. Trop pour moi.
      Une autre, qui pourtant n'était pas mal, un truc de dingue. la première fois qu'elle vient chez-moi. On picole un peu. Je file aux WC. Je reviens et je la retrouve entièrement " débâchée " sur le lit. Je censure la position. Sauf celle de mon lit en position Ouest. Tout est à l'Ouest avec moi. Je lui ai dit de tout remballer. Pas de sensualité, pas de galipettes. Elle est partie en mode furax. Heureusement qu'il n'existe pas de plainte pour " refus d'introduction." Une plainte impossible à mettre en œuvre. On va croire que se sont les écrivains qu'on accuse de ne pas avoir mis d'introduction dans leur roman. Il pourront se défendre avec l'index. L'honneur est sauf.

      Pour revenir au vif du sujet avec la nature du post, j'oubliais cette relation fumeuse avec celle de 24 ans de plus que moi. Une que j'ai connue tout petit. Punaise qu'elle était moche. Il faut pardonner mon âge con à cette époque. Son mari était un très bon ami de mon cher père en plus d'être son collègue du boulot. Il a fini par faire ses valises. Je me suis retrouvé avec elle et ses deux gosses. Un fille de 12 ans et un garçon de deux ans moins que moi. J'ai fait les valises à mon tour quand la fille voulait prendre la place de la mère. Situation loin d'être vénielle. Les trois ont pleuré. La mère à cause d'un amour volatilisé, le fiston pour avoir perdu son seul pote et la fille pour ne plus pouvoir fantasmer. Sans déconner où ai-je mis les pieds.
      Le pire est cette histoire avec ma Bretonne. Pour une fois qu'une me plaisait. Fait chier comme on dit. Le dénouement de la clôture de notre relation, il faut le voir pour le croire. Une histoire de fou. On verra ça plus tard.
      Bref : le poids des apparences, que de choses à dire. J'espère que cette lecture n'est pas trop rapsodique.

      posté dans Sciences Humaines et Sociales
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    • RE: Le jeu de la bête énigmatique

      @Peri
      Il est vrai que ça sort de l'ordinaire du fait du côté assez inédit pour ce jeu.

      posté dans Animations Communauté
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