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@jool

@Noctis Parce que c'est un modèle de société qui semble convenir à la majorité de la population ? D'accord avec le message de @Godzapon , l'homme est un animal social, il doit obligatoirement ériger certaines règles pour permettre la vie en communauté. Des règles qui ont évolué au cours du temps.

Effectivement il est mal vu de sortir de ce modèle. Il n'y a qu'à voir la vision véhiculée par les médias sur les chômeurs. C'est là tout l'intérêt d'avoir des normes dans notre modèle de société : le fait de faire culpabiliser ceux qui ne les respectent pas permet de forcer une forme d'adhésion à ces normes.

Je voulais faire un topic de ce jeu sorti en 2016 depuis un petit moment ( j'en avais déjà parlé sur d'autres sujets ) et c'est chose faite ICI !

Qu'est ce que Grim Dawn ? C'est un jeu de type hack 'n' slash similaire à la série des Diablo. Il comporte une campagne principale avec trois niveaux de difficulté : normal, élite et ultime. Seul le mode normal est possible au début, il faut le finir pour débloquer la difficulté supérieure, et ainsi de suite. Il existe un autre mode de jeu, qui correspond à une sorte d'arène où il faut affronter des vagues successives de monstres, mais c'est un mode de jeu qui est dans un des DLC payants du jeu.

Le jeu se déroule dans une ambiance assez sombre et se base sur l'époque victorienne. La cinématique d'introduction donne déjà le ton du jeu...

Nous y incarnons un personnage qui peut appartenir à une classe de personnages.

Nous avons le soldat, la lame de nuit, le chaman, l'arcaniste, l'occultiste, le démolisseur, l'inquisiteur, et aussi via un DLC je crois le nécromancien et l'assermenté.

Ce qui est intéressant dans ce jeu est le fait que l'on puisse choisir une seconde classe, et nous pouvons obtenir des mélanges intéressants. Par exemple moi j'ai un ritualiste, qui correspond aux classes nécromancien + chaman.

Chaque classe comporte un écran de compétences qu'il convient de choisir avec soin ( au pire on peut toujours retirer les points à un faible coût ). La barre bleue en bas nécessite des points d'investissement : si par exemple nous y investissons 40 points, nous pouvons accéder jusqu'aux compétences situées sur la ligne des 40 points et à gauche. Et pour les compétences voulues il faut aussi y investir des points. Sachant bien sûr qu'on est limité !

Les points d'investissement s'obtiennent principalement par montée de niveau du personnage.

Il y a aussi un système de dévotion dans ce jeu qui peut faire peur au premier abord :

Nous pouvons obtenir via des autels des points de dévotion qui vont permettre de compléter dans une certaine mesure des constellations. Chaque constellation donne des ajouts spécifiques au personnage ( par exemple plus de santé ) mais peuvent aussi des pouvoirs particuliers que l'on peut associer à l'une de nos compétences. Par exemple un pouvoir qui affaiblit la résistance de l'ennemi au froid sur une compétence de froid.

J'avais trouvé la personnalisation assez complexe et intéressante pour le coup !

Je n'ai toujours pas fini le jeu car il est long... le reste est assez classique pour un jeu du genre. Il y a des choix à faire mais ils ne sont pas très importants et sont même rares : ils peuvent parfois permettre d'influer si telle ou telle faction dans le jeu sera alliée ou ennemie. C'est juste important si vous voulez un objet en particulier dans votre équipement... Personnellement je me suis amusé à tuer tout ce que je pouvais sauf dans la dernière difficulté où j'ai joué plus sérieusement.

Est-ce que vous avez déjà entendu parler de ce jeu ? Et qu'en pensez-vous ?

@leo a dit dans Le poids des apparences :

@Barbouille

J'en suis navré, crois le pour le coup. Lorsque j'ai lu Bourdieu pour la première fois, je me suis dit... Euh...vraiment ? Ces formulations sont-elles bien utiles ? Et c'est pire encore pour de nombreux philosophes, surtout modernes et contemporains (je pense à Deleuze ou Derrida par exemple). Et je n'ai pas la prétention d'en être. Et certains sont parfois abscons à mon sens également. Boileau disait, "ce qui se conçoit bien, s'énonce clairement". Mais être clair veut-il dire est simple ? Et puis, peut-on tout dire avec le style de Boileau ou de madame de Sévigné ? J'en suis arrivé à comprendre les formulations bourdieusiennes ... L'intérêt de multiples précautions, de choix de mots, etc.

Honnêtement, si je pouvais être aussi fluide et agréable à lire que Gide, tout en étant ou restant (à mon seul sens peut-être) précis et complexe, je prendrais !

Moa je pense que plus de gens ici devraient lire Bourdieu ! mode publicité

J'ai commencé ce jeu, et pour la première fois dans ma vie, je n'ai pas débloqué le succès "mort stupide" en début de partie.

J'ai fini le niveau de l’hôtel et je râle déjà. Je veux dash verticalement, et je dash en diagonale, super ! Sinon j'essaye de ramasser les fraises ( quand je ne me fais pas avoir par le changement d'écran sur le mini-jeu pixelisé trouvé dans ce fichu hôtel ).

Et sinon pourquoi je dois jouer une psychopathe ? Je voulais pas l'insulter moi, le gérant de l'hôtel.

Oui ce jeu m'intéresse beaucoup, je l'attendrai sur Switch. Sinon je trouve ça drôle que ce soit le 4.

Coucou ! Je vous fais une brève présentation d'un jeu que j'ai découvert récemment : Phasmophobia.

C'est un jeu d'horreur disponible sur Steam depuis le 18 septembre dernier, qui se joue en équipe (de 1 à 4 personnes). A savoir qu'on peut également y jouer en VR !

Le but du jeu est d'aller visiter des lieux hantés, et de découvrir quelle entité occupe ces lieux : il y a 12 types d'entité qui ont chacune leur particularité. Pour cela, nous pouvons récolter différentes preuves, par exemple la température autour de l'entité peut permettre de l'identifier.

Bien sûr il n'est pas aisé de récolter de tels indices, car il faut tout d'abord localiser où se trouve l'entité. De plus l'entité peut nous attaquer à certains moments de notre enquête, et nous tuer.

Il y a pas mal d'équipements qui nous aident durant notre mission, qui vont de la simple torche, à la planche Ouija.

Il convient de noter que la communication verbale est cruciale dans ce jeu, et renforce le côté immersif. Nous pouvons parler à nos coéquipiers dans le jeu à haute voix, et la distance est respectée. Plus nous sommes loin moins nous entendons ce que disent les autres. Nous avons une radio à disposition pour se parler à distance. Nous pouvons parler à l'entité si elle est proche de nous (la provoquer par exemple). Si nous mourons, il nous est impossible de parler à nos collègues jusqu'à la fin de la mission en cours.

En menant des missions à bien, nous récupérons de l'argent, qui nous permet d'acheter de meilleurs équipements. En effet nous commençons le jeu tels des clochards acceptant des missions suicide.

Ce jeu est une bonne découverte pour moi !
J'ai fait plusieurs soirée avec d'autres personnes sur ce jeu, j'ai beaucoup apprécié.

Connaissez-vous ce jeu ? Vous tente-t-il ?

Super Meat Boy Forever est un jeu qui est sorti récemment (décembre 2020), et qui était attendu depuis un bon petit moment. Sur le plan graphique, il est assez proche de l'esprit de son prédécesseur. Les cinématiques sont même un peu plus travaillées et jolies sur cet opus.

Que dire de ce jeu ? Hormis la palette graphique, il est trèèèèèès différent du précédent. Ce n'est plus vraiment un jeu de plate-formes pur et dur, mais un "runner" dans lequel nous disposons d'une influence limitée sur les actions de notre personnage. En effet, nous ne contrôlons pas la direction du personnage, ni sa vitesse de course.

Nous pouvons sauter et rebondir sur les murs. S'accroupir. Donner des coups de poing. Et réaliser un élan dans les airs.

Finalement, c'est un jeu de réflexion rapide et qui nécessite une bonne dextérité quant à l'exécution des actions.

En ce qui concerne les différents niveaux, ils sont générés de manière pseudo-aléatoires. Ce qui met en avant le coup de la rejouabilité. Cependant je trouve que c'est une fausse bonne idée : le level design des niveaux n'a pas trop de cohérence lors de certains passages, on peut se retrouver bloquer comme cela m'est arrivé, car les 3/4 du niveau sont d'une facilité triviale, et le dernier 1/4 est d'une difficulté inouïe et l'on ne comprend pas ce qu'il faut faire. C'est dommage et pour moi c'est un défaut.

Il peut donc en résulter un côté "die and retry" parfois frustrant. Mais globalement c'est sympathique à jouer et aussi difficile que le précédent.

Ce que j'ai le plus apprécié dans ce jeu est le combat des boss, j'ai trouvé que c'était un peu plus abouti et intéressant que le reste. Sauf le dernier boss qui est un grand moment de frustration car on ne comprend rien.

A noter que le jeu est un peu court pour battre le boss de fin, il m'a fallu un peu plus de 3 heures pour y parvenir.

Que pensez-vous de ce jeu ?

Il me manque 5 tampons sur Mario 3d world et j'ai pas très envie de me retaper tous les niveaux avec tous les personnages. Ce n'est vraiment pas intéressant de faire cela.

Que dire du jeu ? Il est sympathique, c'est un bon jeu et certains niveaux sont vraiment drôles (genre celui avec le drapeau qui s'enfuit). Cela reste mieux que Mario Odyssey mais ça ne vaut pas du tout un Mario Galaxy...

Il y a un souci de difficulté dans ce jeu, il y a des niveaux qui nous font perdre beaucoup de vies parce qu'ils ne sont pas évidents à appréhender, et d'autres très simples alors que nous sommes dans les derniers mondes.

La perspective de ce jeu me pose toujours problème, et ça a été mon ennemi numéro 1 pour faire le monde couronne... Il y a une partie du niveau couronne-couronne où il faut faire du wall jump en évitant les genres de fourmis. Je n'arrive pas à savoir exactement où je suis, si je touche l'ennemi, ou s'il n'y a aucun risque. J'ai réussi ce niveau parce que le reste du niveau nécessite du par cœur. Et avec Peach c'est plus facile aussi.

Un peu déçu des mondes bonus aussi car il y a pas mal de recyclage des niveaux des mondes précédents. C'est dommage.

Concernant le DLC Bowser Fury, c'est un beurk. C'est juste un immense niveau où il faut collecter des objets. Avec le même plaisir sur la perspective. J'ai pas tellement aimé ce concept. Puis c'est frustrant. Il faut attendre que Bowser s'énerve sinon on ne peut pas récupérer certains objets. Bah non j'ai pas envie d'attendre cinq minutes à chaque fois.

J'ai récupéré les 2/3 des objets de ce mode de jeu et je n'ai pas envie de continuer.

P-S : c'est relou pour certains niveaux, il faut jouer un personnage en particulier pour récolter une étoile ou un tampon. Bah c'est cool mais on ne peut pas le savoir à l'avance... Donc obligé de faire le niveau deux fois au moins.

Je ne connaissais pas cette expression de "small talk". Merci je vais dormir moins bête !

Je ne comprends pas c'est très bien le "small talk" ! Vous avez quoi contre ça, vraiment je ne vois pas.

C'est très bien, je "small talk", c'est une invitation à converser agréablement avec autrui. C'est reposant. Il faut y aller crescendo, pas la peine de brusquer la personne en face ! Si le cœur nous en dit, pourquoi ne pas aborder des sujets un peu plus sérieux et intéressants. Bien sûr cela dépend du contexte. Et de la réceptivité de la personne en face.

Cela ne me gêne pas de "small talk", la vie est comme une pièce de théâtre. Il faut jouer un peu de tout aussi !

Ah c'est marrant je commence un peu et j'y reviendrais plus tard quand je serai plus inspiré. Question : on fait comment quand on ne connaît pas tous les départements français ?

Je mets le début de réponse en spoiler dans ce message sinon d'ici quelques heures je vais oublier.

Agnostique.

On peut toujours se poser des questions sur un plan scientifique. Qu'est ce que l'Univers ? Qu'est ce qu'il y avait à l'origine ? Est-ce que cet univers est le fruit du hasard ?

Nous n'aurons jamais de telles réponses, nous pouvons donc spéculer à loisir.

Je l'avais lu il y a un bon moment et j'avais bien apprécié ! C'est un livre dystopique intéressant et j'adore ce style de livre.

J'avais par la suite regardé le film de 1966 et j'avais été déçu : les personnages sont malheureusement simplifiés, le capitaine Beatty en est l'exemple parfait.

J'avais beaucoup aimé ce personnage dans le livre, car ce n'est pas juste un antagoniste méchant, il est plutôt bien décrit et il me semble qu'il y avait une forme de dualité autour de ce personnage. Ce qui en faisait son charme.

Le capitaine Beatty est un pion du système qui participe activement à la destruction des livres. Mais il semble être quelqu'un de cultivé et d'intelligent à la différence de beaucoup d'autres.

Quand il manipule Montag, il lui explique avec cynisme que c'est l'abrutissement de la société, la recherche du plaisir immédiat, le nivellement de la culture par le bas, la recherche du bonheur qui sont responsables de la situation. Qu'il ne fait que suivre le sens de l'histoire. Alors qu'il semble plus faire partie de cet ancien monde qui aimait la lecture.

De plus, il était au courant que Montag était un déviant. Il ne l'a pas dénoncé alors qu'il aurait pu, qu'il aurait du le faire. Aussi, lorsque Montag doit brûler son domicile car il a été dénoncé par sa femme ( et les amies de sa femme ? ), le capitaine Beatty le provoque sciemment et Montag réagit en le carbonisant. C'est fort possible que c'est ce que voulait exactement le capitaine, être libéré de son rôle, de ses contradictions dans cette société malade.

A l'école primaire, tu t'en souviens encore dis donc.

En licence à la fac j'ai rencontré trois personnes super sympa ( = meilleure période de ma scolarité et de loin ), mais ce n'était pas du tout gagné, comme quoi.

Le premier, c'était à un cours d'anglais. On devait faire des exercices à deux, faire un dialogue en anglais, en le préparant pour la séance d'après. Je tombe au hasard sur lui, le type hyper consciencieux, alors que j'en avais un peu rien à faire de ce cours ( et de toute façon le travail n'est jamais récompensé dans la vie ). A la fin de la séance, il me sort que vu qu'il a fait la majorité du travail, que je me débrouille pour finaliser le dialogue pour la prochaine fois. Dans ma tête je me dis " mais quel abruti celui-là il me donne des ordres alors qu'on a pas élevé les cochons ensemble ! " Ça partait mal.

Le deuxième, c'était à un cours d'informatique. Le cours finissait à midi. A MIDI ! Et cet abruti faisait que poser pléthore de questions à la fin du cours. Je voulais sortir MOI, j'avais FAIM !!! Et il refaisait ça chaque semaine je n'en pouvais plus. Je sais plus comment on a fait pour s'entendre, en fait si on avait un point commun, on venait tous les deux de classes prépa et on avait du en parler.

Le troisième c'était en cours de physique, on a du être à côté en classe totalement par hasard. Je n'en pouvais plus du professeur de physique, un incapable, impossible de déchiffrer les hiéroglyphes sur le tableau. Et zéro pédagogie. En plus il écrivait et effaçait les tableaux beaucoup trop vite. Du coup je rigolais avec cette personne et je parlais avec lui au lieu de suivre ce cours bidon. Problème j'étais au premier rang et le professeur s'énerve. Il m'envoie au tableau pour faire un exercice ( que je ne résous pas ) et m'humilier comme quoi je ne suis pas le cours que je ne sers à rien etc. OK de toute façon je m'en fous et je n'avais pas envie de faire son exercice. Au moins j'ai gagné un très bon copain.

@canaille-sympa Tu peux toujours te lancer sur Twitch !

C'est intéressant comme sujet !

Je ne connaissais pas du tout cette expression de "sidération morale". Je pense qu'il s'agit aujourd’hui essentiellement d'une question culturelle. Car les tabous varient beaucoup selon la culture. Les résultats des cinq histoires ne sont guère surprenants. Surtout le coup du vieux drapeau national, je ne vois pas qui s'en offusquerait.

Je pense aussi qu'il y a une question de génétique sur les tabous à l'origine : je conçois bien le tabou sur le fait d'avoir des relations sexuelles avec ses parents ou ses frères et sœurs, et ce serait cohérent en terme d'évolution.

Je pense que tu vas bien rire @Shanna j'ai complètement craqué sur le début du test ! Je sais pas si tu peux voir les réponses mais j'espère pas.

Bon à la fin ça allait un peu mieux je suis content de moi !

Ah l'éternel débat sur les forums de discussion !

J'ai toujours été contre la peine de mort, car je pars du principe que dans une société civilisée, nous n'avons pas le droit de décider d'ôter la vie d'un être humain.

Pas plus que sa jeune acolyte, le profileur Brolin ne pense que les serial killers reviennent d'outre-tombe. Fût-il le bourreau de Portland qui étouffait et vitriolait ses victimes avant de les découper. Mais le bourreau est mort et le carnage se poursuit. Le nouveau tueur agit-il seul ou fait-il partie d'une secte ? Pure sauvagerie ou magie noire ?
Brolin a peur. Cette affaire dépasse tout ce qu'on lui a enseigné. S'immerger complètement dans la psychologie d'un monstre, le comprendre afin de prévoir ses crimes, devenir son double, tels sont les moindres risques de son métier. Peut-on impunément prêter son âme au mal ?

Bon j'ai finalement succombé à la facilité en citant le dos du livre...
Je trouve que c'est un très bon roman policier, et comme j'aime bien Maxime Chattam.

L'intrigue est intéressante, on a envie d'en savoir toujours plus en le lisant. L'aspect criminologie est ce qui m'a le plus plu dans ce livre, surtout la façon de travailler de Brolin. Comprendre le pourquoi de certaines choses : l'utilisation de l'empathie pour penser comme un monstre.

C'est bien réussi, et ça se voit que l'auteur a fait des études en criminologie.

C'est un de mes livres préférés. N'hésitez-pas à vous renseigner dessus !

@Shanna Je n'ai pas le droit de travailler directement à partir de mon pc portable, donc je dois me connecter à distance sur mon pc fixe de travail, et travailler dessus.

C'est particulier comme situation car normalement à travailler chez moi je devrais avoir un pc professionnel, pour des raisons de sécurité.