@Music Je pratiquais aussi plutôt la location lors de mes premiers voyages.
Maintenant ça dépend ; à l'étranger couchsurfing / auberges de jeunesse le plus souvent ; quand je peux j'emmène ma tente.
En France ou Europe proche, j'aimerais un fourgon ! Pour l'instant c'est mini-voiture et camping. Hôtel surtout quand je dois couper mon trajet en deux en hiver...
Mais je ne voyage plus tant que je le souhaiterais à vrai dire.
Les Pyrénées je ne connais pas du tout et c'est sur ma To-go list !
Oui j'ai choisi le Finistère pour y poser mes racines ! Cool ! Je suis plutôt au Sud aussi si tu as besoin de conseils !
C'est très bling bling, et au final, ce que je préfère est la salle de ciné
Pareil. Exactement comme toi Music, j'aurais dit : sauf l'écran éventuellement.
Mais j'ai un vidéo-projecteur donc en fait j'ai ce qu'il faut !
Pour moi un lieu de bonheur c'est plutôt un intérieur où mes chiennes boueuses peuvent entrer en courant et même, si elles veulent, s'amuser à m'esquiver une minute avant d'accepter d'être essuyées. Et où ça ne créé par de dégâts parce que le sol et les meubles ne sont pas des fragiles !
Même en vacances je n'apprécie pas quand une chambre d'hôtel se la joue un peu classe... En fait, rien que d'aller à l'hôtel, faut vraiment que j'aie pas trop le choix . Et ça va être du 1er prix et le seul truc qui peut ne pas me satisfaire c'est quand c'est trop serré. Mon environnement doit être fonctionnel, c'est tout !
Je pense que les termes employés dans ce post de modération étaient limpides et auraient dû vous inciter à considérer la situation avec recul, mais pour info je les re-pointe : "encore une" et "comme c'est loin, très loin d'être la 1ere".
Je sais bien ! Ma remarque était d'ordre absolument général, et je la maintiens.
Moi je viens de débarquer sur ce forum, donc je découvre peu à peu son fonctionnement. Là, la prise en compte d'un doublon au sein d'un fil de >360 pages qui est si propice à ce genre de répétition, ça m'étonne et je l'exprime.
Pour être plus claire, je ne me prononce pas (et n'ai pas à le faire) sur la situation particulière de "pompon".
Uniquement sur la question de la modération sur ce fil précis et les autres de même ampleur.
Un.e membre qui a pour habitude de republier régulièrement, je comprends que les modos s'en mêlent ; et effectivement il y aura bien une "énième" republication qui sera celle de l'avertissement. Je l'ai, ce recul !
Mais je me dis que si moi, arrivée ce mois-ci, je publie quelque chose qu'en fait vous connaissez depuis des plombes, on va me dire "Déjà publié", et je vais m'excuser. Jusque-là j'aurais pris cela pour une simple information. Mais comme c'est ici comptabilisé comme l' "énième" republication de quelqu'un, finalement je me dis que si l'on me disait ce : "Déjà publié", ce ne serait pas une simple information mais déjà comme une première "faute" de ma part.
Toute cette longueur visait à la clarté mais en une phrase : Mon idée est que ce fil pourrait ne simplement pas compter (sauf éventuellement pour les images des 5 dernières pages, par exemple) pour ce qui est des republications, que ce soit par récidive ou non.
@mread17 Cela risque d'être difficile à traiter si tu ne vois dans la formulation qu'une question simple.
Une formulation suggérée par autrui ne peut convenir que si tu parviens à te l'approprier.
En somme, cela veut dire que tu fais très bien d'hésiter à utiliser un énoncé avec lequel tu n'es pas à l'aise !
Quels sont les problèmes que pose ton sujet, et qui d'après toi manquent à cette formulation ? Parviens-tu à la modifier pour les y intégrer ?
Autre questionnement : comme tes profs te disent que cette interrogation serait valable, essaie de la réinterpréter pour y trouver ce qu'ils y voient de multiple. Par exemple, il s'y trouve bien deux éléments phares distincts : "animal de compagnie" / "allié thérapeutique", qui peut déjà éveiller plusieurs perspectives d'analyse.
Mes professeurs m'ont dit "le chien, plus qu'un animal de compagnie, un réel allié thérapeuthique."
C'est une problématisation basique, assez générale pour pouvoir brasser large dans l'étude du propos.
Ce qui m'intéresse le plus c'est : tu n'as pas l'air, toi, de la trouver satisfaisante. Pourquoi ?
Plus la démarche de la recherche est personnelle, mieux c'est. Donc si tu pense à quelque chose d'autre, ça peut valoir la peine d'emprunter tes propres sentiers. Sauf si tes professeurs ont pu observer et t'indiquer la fragilité de ton idée première.
Comme je le disais, la quasi-intégralité se trouve sur sa page Facebook officielle, si tu vas là-bas de temps en temps.
¨Pour la transposabilité avec le deuil inter-humains, je n'y avais pas pensé, mais c'est tout à fait possible en effet, dans la mesure où les scènes sont teintées d'un grand anthropomorphisme (d'aucuns y verront de quoi critiquer ces représentations ; d'autres comme moi, la description de la réalité de ce que nous partageons avec les autres animaux).
j'ai déjà essayé de me servir de mes persos comme des défouloirs en leur faisant prendre des décisions que je ne prendrais pas dans la vraie vie (me montrer distante, froide, voire méchante ou cruelle)
Ça me rappelle quand j'ai joué à ça dans Oblivion et que ça m'a grandement augmenté la difficulté de ma progression, à me faire refouler à l'entrée des villes et à me faire emprisonner à tout bout de champs .
Ce sujet est très d'actualité pour moi, qui passe des heures dans Wasteland en ce moment (1er volet, Remastered).
Alors je ne m'identifie pas aux personnages, mais en gros, je suis attachée à ma troupe ! Surtout au personnage créé par moi, mais pas que. Sans compter le petit Jackie
(un enfant qu'on trouve dans une grotte lors de la mission didactique et que je suis probablement l'une des seules tarées à avoir gardé dans mon équipe parce qu'il est faible et fragile).
En somme je me prends totalement au jeu : mon escouade a adopté ce gamin, et maintenant on le protège tout en le formant (il devient quand même assez bon combattant).
Je suis tellement à fond dedans que, lorsque je me débarrasse d'un.e membre, je perds du temps à aller dans un lieu sécurisé pour l'y laisser . (Alors que le jeu s'en fout : quand tu sépares un personnage du groupe, il disparaît, ce n'est même pas comme dans BG où tu le vois debout immobile au milieu de la forêt : )
D'autres personnages, qui ont rejoint l'escouade ça et là, sont morts dans mon indifférence (en + le jeu te laisse garder les cadavres et tout leur chargement, donc même pas de frustration de perte de matériel ). Covenant, il est bad ass, et comme je ne me balade pas non plus dans le jeu seulement pour y suivre la petite histoire de mes persos, évidemment je le surprotège stratégiquement. Enfin lui juste, s'il meurt, je triche et je recharge la partie quoi.
Mais je ne triche pas souvent ; et j'ai perdu un perso qui était créé par moi en début de partie. Il est mort et enterré ! Ça s'est ajouté à l'histoire de mon escouade.
Bref j'ai énormément de plaisir à poursuivre cette histoire un peu en mode mi-lecture, mi-imagination. Comme si je lisais et écrivais en même temps.
Pareil pour BG1, auquel j'ai joué probablement des millions d'heures, avec des personnages différents. Et d'autres jeux. J'aime surtout les RPG avec escouades.
Aussi, je vais jusqu'à prendre en compte l'attachement des personnages entre eux. Dans BG, je me souviens qu'à ma toute première partie, j'ai pris en compte le statut de couple de Khaled et Jaheira. Ils se préservaient mutuellement d'une manière jusqu'au-boutiste, à ralentir à fond la progression pour aller se ressusciter ou quoi... Une fois l'un.e des deux mort malgré les efforts, l'autre a perdu cette protection et personne ne s'est plus angoissé à le ou la ressusciter par exemple. Je m'éclate vraiment à considérer les choses comme ça.
Bon, en tout cas mes persos ne sont jamais une "représentation" de moi-même. Ils prennent le plus souvent des décisions qui correspondent à mon sens moral, mais pas forcément. Dans leur comportement, ils peuvent être extrêmement différents de moi. Je poursuis alors mon mode de jeu en fonction de ce que j'ai décidé comme trait de caractère.
Je peux aussi lancer une partie avec un perso complètement immoral et m'en amuser un temps. Mais cela m'évoque autre chose en lien avec cette vaste question : j'ai eu beaucoup de mal avec le jeu GTA-V, à cause du personnage de Trevor. J'aime beaucoup ce jeu globalement, pourtant, paradoxalement, je comprends cette fois absolument les voix qui s'élèvent contre lui. Alors que ce n'était pas le cas jusqu'au IV.
Le problème de Trevor est qu'il est un personnage imposé ; ce n'est pas comme si le joueur, à un moment, selon l'humeur, se disait "Tiens je vais jouer un psychopathe". Non. Là c'est comme ça : tu veux progresser dans le jeu, tu te mets dans la peau de ce psychopathe. J'ai trouvé cela très dérangeant (même si j'ai pu personnellement passer outre). Par contre je suis obligée d'admettre que ma réaction vis à vis de Trevor ressemble à celles de ceux qui s'opposent au jeu parce qu'on peut frapper quelqu'un pour lui chourer sa bagnole...
Je pense que j'admettais jusque-là une certaine fonction cathartique aux jeux de la franchise (oui, on y joue des criminels parfois sans scrupule), mais que Trevor a dépassé une ligne. Car c'est un psychopathe extrême ; et quand j'en croise dans un jeu je veux qu'il se trouve de l'autre côté.
En un sens, jouer avec un personnage sur un écran revient au même que jouer à la poupée... Donc, à des personnes qui jouent à la poupée je trouve qu'il serait intéressant de poser la même question !
En début d'adolescence, je découvre les Sims ; l'un des personnages précréés par le jeu, adulte, se met à jouer avec plaisir à la maison de poupées de sa fille (les Gothik dans le 1er volet ).
Moi (à cet âge je suis une gamine qui attache une importance folle à marquer son statut de "grande", et à se débarrasser de tout enfantillage), je m'esclaffe : "Pfff ! Il joue aux poupées !!!"
Mon amie (qui a le même âge que moi mais probablement plus de maturité ) me répond : "Oui, et c'est un peu comme nous qui jouons aux Sims". Tellement vrai !
Évidemment le jeu de rôle offre des éléments qui ne dépendent pas de nous ; les poupées font appel à notre propre imagination à 100% tandis que les jeux (vidéo ou non) nous permettent d'éparpiller notre imagination dans un contexte donné. C'est une différence importante, mais qui n'altère pas la similitude initiale.
En fait, le mieux aurait été tout simplement de maintenir le sens sans passer par un jeu de mots. Mais maintenir le sens...
"Et Si... c'était mon Imagination ?" (ou, selon le film, que je ne connais pas, "Et Si ce *n'*était pas que mon Imagination ?"...)
Je ne sais pas si vous connaissez cette autrice d'une bande dessinée assez particulière, dont les articles disent souvent qu'elles fait pleurer son lectorat - c'est mon cas...
Ses histoires racontent la fin de vie d'animaux (de multiples espèces) et ont notamment pour vocation de dénoncer les diverses maltraitances, directes ou indirectes, que leur inflige l'espèce humaine. (L'artiste est d'ailleurs engagée dans la cause à laquelle elle reverse une partie de ses bénéfices.)
Je trouve les graphiques très beaux. Le ton est extrêmement émouvant ; pourtant à la dénonciation, pour moi, s'ajoute un certain effet apaisant à la lecture. Jenny Jinya nous rêve un univers où les animaux sont pris en charge et réconfortés dans l'au-delà, par une "faucheuse d'amour" qui transforme la fin de leurs souffrances en un réconfort "matérialisé".
C'est poétique, et d'un fantastique sombre qui laisse toujours place à de la lumière.
Je suis, sur cette question, une âme sensible, mais je ne m'abstiens pas ! Les larmes qu'elle me procure me sont très bénéfiques. À chacun.e de voir donc si l'ouvrage est trop pénible ou non .
La plupart des histoires sont disponibles intégralement sur Facebook - c'est là que je l'ai découverte ; cela m'a permis de bien connaître l'ouvrage avant de me le procurer.
La BD est disponible en français ; personnellement je préfère la lire en anglais.
On peut aussi parler des guerres dans le monde, des violences faites aux enfants, des humanophobies de toutes sortes, des violences sexuelles et sexistes, de l'injustice sociale... Ce serait tout aussi pertinent.
Ce n'était pas mon chouchou en terme de big beat (je préférais à l'époque l'esthétique, le concept de The Prodigy)
J'aime beaucoup les deux groupes ! Très différents.
Aucune thune en ce moment, et fan des jeux de stratégie. Endless Legend est dans ma bibliothèque ! Je prendrai le temps plus tard de vérifier que mon pc ait ce qu'il faut pour le lancer !!!