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Sophie
Je l'ai lu et aimé. J'aime énormément les dystopies même si elles font toujours froid dans le dos. J'ai une énooorme "to-read list" de romans du genre.
1984, cela fait trop longtemps, et il fait partie de ceux que je dois relire. J'ai beaucoup trop oublié !
À vrai dire j'aimerais ne pas le relire en français, mais passer à l'original. J'ai un peu peur cependant d'avoir du mal, à cause de la novlangue.Par contre ce dont je me souviens, c'est qu'à l'époque je l'avais lu plus ou moins en même temps qu'un autre roman, moins connu mais que j'avais encore davantage apprécié : c'est Nous autres, de l'auteur russe Zamiatine (paru en 1920).
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Sophie
@agathe a dit dans Partagez tout ce que vous voulez :
@Hilda-Van-Holp
c'est quelque chose que je ne comprends pas... pourtant, je suis tout ce qu'il y a de plus "normale"les nouvelles générations n'ont pas les mêmes valeurs.
Nous avons été jeunes aussi ( si, si !) et assisté à des concerts ! (si ça existait déjà...)
les "fans" sautaient, hurlaient, riaient, voulaient approcher la vedette... mais personne ne pleurait de voir ou d'approcher une idole.edit /
Ah non, sophie ! elles ont pleuré en voyant l'artiste !
pas en écoutant une chanson !!!
ça m'arrive d'avoir la larme à l'oeil dans ce cas, je te rassure... faut bien lire...Oui et ma 2e lecture de ta phrase était correcte.
Mais pourquoi serait-il plus "valable" à tes yeux de sauter, hurler, bref se comporter de manière hystérique, plutôt que d'avoir simplement des pleurs ? Je ne comprends pas du tout ?
Bon et par ailleurs, je pense au contraire que des fans en pleurs, il y en a eu des tas, devant Elvis, devant Cloclo, devant Cobain... Que donc ce n'est pas un phénomène nouveau du tout.
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Sophie
@Steliane Zut !!! Je viens trop tard ! C'est également ce que je pense pour la 8.
Moi je suis assez persuadée (mais on l'a vu pour le Dernier pub, je suis plutôt une optimiste ) -
Sophie
@ARPENTEUR Mais toujours aucun rapport.
On peut aussi parler des guerres dans le monde, des violences faites aux enfants, des humanophobies de toutes sortes, des violences sexuelles et sexistes, de l'injustice sociale... Ce serait tout aussi pertinent.
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Sophie
@Pronyx a dit dans Questionnaire : les films que vous détestez :
- 12 angry men
- Un Diner de Con
Douze hommes en colère, je le trouve tellement bon !
Idem pour Le Dîner de cons, et je pense bien que c'est la première fois que je "rencontre" quelqu'un qui ne l'a pas trouvé drôle
C'est hyper intéressant de lire les différents points de vue !!!
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Sophie
Elle est top cette série.
Je l'ai vue tardivement (dans les derniers mois). Tout regardé d'un coup et même revu tout une 2e fois.J'aime particulièrement la musique (+++ !!!), et celle-ci a d'une manière générale une énorme influence sur mon appréciation des productions visuelles.
J'avais plus anciennement commencé à regarder (clairement Netflix me le suggérait avec insistance, ce qui n'a aucune logique avec mes visionnages habituels, clairement c'était une recommandation non personnalisée), et cette première fois, ça ne m'avait pas plu du tout (autre moment, moi d'une autre humeur, tout ça...). Parce qu'à la base les milieux professionnels que j'estime pourris, ça ne m'intéresse pas.
J'ai bien fait de leur laisser une deuxième chance !
Camille Cottin, dont je n'aimais pas le personnage de "Connasse", m'a complètement scotchée.
Les autres interprètes aussi, y compris Fanny Sidney, dont le personnage manque pourtant un peu de relief (comme quelqu'un l'a écrit ici aussi).Au-delà d'une plongée dans les méandres et les crasses du monde à hauts enjeux monétaires des agences artistiques, il y a dans cette série une plongée dans l'histoire du cinéma français, auquel elle rend hommage. C'est un plaisir.
De même, à défaut d'éprouver une grande empathie pour les managers, j'ai beaucoup apprécié les scénarios (fictifs) concernant la vie privée comme les difficultés professionnelles des stars de cinéma. Il y a une grosse remise en perspective concernant le métier d'acteur/trice.
Bref, je la recommande à mon tour !
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Sophie
@Kachina J'irais jusqu'à dire "les plus grands bonheurs".
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Sophie
@Cynthia80 @Hornet J'avoue que je trouve ça dur aussi. Le fil fait 368 pages... C'est à ne pas oser y publier quoi que ce soit !
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Sophie
@Jed Ah non mais j'ai bien dit "pour une fois"
Habituellement dans le cinéma, je trouve les suites décevantes. J'aime surtout les films d'horreur, et j'en ai bouffé des séries ! Elles ne servent à rien, sauf parfois le deuxième volet. Souvent après ça devient n'importe quoi... (Je pense en particulier au retour de Jamie Lee Curtis dans Halloween, 20 ans après... Elle aurait mieux fait de ne pas revenir !)
Je n'aime ni les suites ni les remakes, le plus souvent (à quelques exceptions près, quoi).Là, je pense que la franchise est tout à fait exploitable (à condition de vouloir créer du bon et non juste ramasser du pognon). À partir du moment où il est question des époques, des générations... C'est beau de voir (et de traverser avec les protagonistes) les différents moments d'une culture ! Et de rêver à ce qu'elle deviendra.
Alors oui, ça ça pourrait juste dire que les voyages temporels sont inépuisables dans le cinéma. Mais je parle bien aussi du synopsis particulier, et surtout le registre, comique, de ces trois films.Je pense que je préfèrerais une franche suite que des Retour-vers-le-futur-"like" qui me sembleraient un peu du plagiat. Je la trouve unique, cette trilogie. Je l'ai toujours considérée comme une pure comédie et ça m'avait même interloquée de la voir classée dans la SF (immédiatement je me suis dit : bah oui, c'est évident "lol mdr").
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Sophie
@Music Du black & du black-death surtout !
Mais bon aussi du death bien sûr ; mais encore du Black Sabb, Maiden, Opeth, et même du Queen (ça reste un aperçu incomplet évidemment !).
Partager nos morceaux... Hum, avec plaisir ; on fait ça par où ?
Merci pour l'accueil !
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Sophie
@Artelise Non c'est une histoire qui se poursuit au fil des épisodes.
Il y a une saison (pour l'instant ?) de 8 épisodes qui durent env. 35 minutes.
Pas de format sketchs.
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Sophie
Je ne connaissais pas ce libre mais cette présentation me donne l'envie de le découvrir ! Merci
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Sophie
@Kallindra On ne parle pas de "théories" à des enfants. On leur parle de la vie, du monde, on met des mots sur ce qui les entoure et ce qu'ils expérimentent. Comme beaucoup l'ont précisé ici : avant tout, on répond à leurs interrogations. On satisfait leur besoin de comprendre (tout en leur apprenant progressivement que dans certains domaines, le savoir se doit de faire place à l'interprétation et la croyance, à l' "opinion personnelle" ; car tout ne se comprend pas).
Les théories du genre sont récentes ; auparavant, le genre n'était pas théorisé. Cela ne veut pas dire qu'une théorie implicite n'était pas considérée comme valable. Les théories récentes remettent en question le schéma qui, pendant longtemps, s'est passé de formulation comme de justification.
Quand vous dites que c'est n'importe quoi de parler notamment des transgenres (nb. comme cela l'a été dit aussi : parler de la question du genre ne veut pas dire évoquer tout ce qu'elle englobe) ; votre argument est que "la très grande majorité [d'entre eux] ne se poseront jamais de question". Je suis en total désaccord.
L'un des problèmes actuels de notre société est la transphobie. Se considérer appartenant à son genre biologique ou assigné de naissance, ne veut pas dire que l'on ne peut pas, et doit même selon moi, se poser des questions. Cela ne veut pas dire que nous ne sommes pas concerné.e.s.
Il est de toute façon inévitable de s'interroger aussi sur les autres, qui nous entourent : et c'est souvent de là que vient la transphobie. Car contrairement à ce que vous dites, les cis-genres qui rencontre les trans, se posent des questions. Le problème, c'est qu'iels ont parfois tendance à y apporter une réponse immédiate, irréfléchie et surtout manquant d'information. D'où la transphobie. Et d'où les initiatives qui sont faites pour informer, dès le jeune âge, des différentes expériences qui peuvent être vécues par des individus au sein de notre société, tout cela en vue d'harmoniser les relations de toustes, sans jugement a priori.Enfin, concernant le porno à 9 ans : ayant travaillé dans une école, le contact des enfants avec le porno s'y produisait souvent avant même cet âge Et comme l'a dit quelqu'un aussi : si un élève y a accès ; c'est le cas de tous les autres.
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Sophie
@Music Ce qui me dérange, c'est que dans le cas où l'enfant aurait été battu / éventuellement blessé / éventuellement gravement.......
Outre le sentiment probable de culpabilité, comment se positionnerait la professionnelle ?
C'est douloureux, à quel point le problème du harcèlement semble insoluble. Comme elle le dit bien, toutes les réponses qu'on peut y apporter ont leur lot de conséquences négatives possibles. C'est un vrai casse-tête.
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Sophie
@Ravi-Olive Le côté punk trop présent me dérange aussi, même si c'est un genre qui a participé à la naissance du black. Je n'aime pour cette raison pas tout ce que fait Marduk non plus.
Je ne connais pas la discographie de Darkthrone. J'avais vraiment cessé d'écouter, et en te lisant parlant d'un nouvel album, j'ai suivi ma curiosité et j'ai bien fait ! Si le précédent sonne doom aussi, je vais y jeter une oreille, on verra si je le trouve moi aussi moins bien !
Pour Morbid Saint (que j'ai à première lecture éhontément pris pour des plagieurs de nom, mais je découvre qu'ils se sont créés la même année que Morbid Angel !), je ne connais pas ; je vais écouter ça !
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Sophie
@Elenwey Complètement d'accord avec ce que tu dis.
Je n'ai pas encore lu Fahrenheit 451. J'en ai cependant vu une (l' ?) adaptation théâtrale, qui m'a toute retournée et émue aux larmes.
Mathieu Coblentz, 2021
Je suis extrêmement peinée de ne pouvoir me procurer des DVDs des pièces de théâtre qui m'ont le plus marquée !
Je ne dispose pas de Ray Bradbury dans ma bibliothèque (dont je me suis donné pour mission d'achever de tout lire avant de l'augmenter...). J'ai par contre offert Les chroniques martiennes à un ami qui a l'air d'apprécier !
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Sophie
@Shanna a dit dans l'EVRAS (Education à la Vie Relationnelle et Affective) :
dans l'idéal ça devrait être au sein du cercle familial, mais ça a toujours été compliqué de parler de sexualité à ses enfants, [...], je comprends qu'ils soient démunis ou qu'ils n'aient pas envie d'envisager la question, donc c'est très bien que des assos et le monde de l'éducation en général prennent le relai...
@Lapin a dit dans l'EVRAS (Education à la Vie Relationnelle et Affective) :
Le problème c'est que ce genre de chose n'est pas géré de la même façon dans toutes les familles et laisse la place à des dérives. [...] c'est risqué de tout laisser au cercle familial.
Complètement d'accord avec vous.
J'ajouterais que dans les meilleurs des cas, ces sujets abordés hors cadre familial, peuvent donner lieu ensuite à des discussions dans ce cadre. Les enfants parlent de ce qu'ils ont entendu ; et c'est souvent l'occasion pour les parents d'aborder à leur tour (ou à nouveau) le sujet.
Au sein des familles où c'est tabou, où jugé non important ... , les enfants ont au moins accès à ce qui est proposé par les structures éducatives et associatives. Au sein des autres familles, les lieux d'échange sur ces sujets sensibles sont complémentaires. -
Sophie
@agathe a dit dans Partagez tout ce que vous voulez :
Des adultes qui pleurent rien qu'en voyant une artiste ... ça fait drôlement réfléchir sur la maturité de ces personnes.
Alors moi, je trouve plus inquiétant que des adultes n'aient pas su garder un bout de leur âme d'enfant.
Mais cela n'est pas la question ici. Du tout . Ressentir des émotions, c'est humain (animal en fait) ; les pleurs, c'est l'une des multiples manières dont ces émotions peuvent s'exprimer. D'elles-mêmes le plus souvent ! Ce que je trouve assez fascinant. Nous on s'exprime mais des fois, c'est notre corps qui s'exprime !
Larmes de tristesse, larmes de rire, larmes de joie, larmes d'émotion intense, juste parce qu'on se sent complètement en phase avec une œuvre ou une situation qui se répercute en nous de manière très intense... Aucune n'est à bannir en décidant qu'on sera plus "sérieux" si on la contrôle.
Après il y a effectivement des personnes chez qui l'émotion s'exprime autrement (frissons, chair de poule, mutisme temporaire, sensation de chaleur...). Ça ne veut pas dire qu'elles ne se trouvent pas dans un état similaires à celles qui pleurent à côté d'elles !
En plus émouvoir un public, c'est un peu le but que se donnent les artistes...
Mais : Vu que ce que tu dis me choque un peu trop, j'en viens à me dire que je ne le lis pas correctement.
Peut-être ne trouves-tu pas enfantin que des larmes nous coulent devant l'interprétation poignante d'une chanson. Mais seulement les larmes d'excitation devant le simple fait de "voir", tout près de soi, une personnalité. Les larmes des "groupies" en somme.Si c'est cela, je comprends mieux ton incompréhension face au phénomène (je ne me mettrais non plus jamais à pleurer pour la simple présence d'une personnalité qui est avant tout une personne). Mais je trouve très violent d'user pour en juger de termes rabaissants laissant entendre que les individus n'ont "pas grandi"... Pourquoi juger ? On ne comprend pas, on ne partage pas ; ce n'est pas grave ! Moi je suis sûre qu'en d'autres circonstances, mes réactions émotionnelles peuvent paraître bizarres à autrui aussi ; je suis sûre également que c'est aussi le cas pour toi !
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Sophie
@Izanagi Bonjour et bienvenue !
Je suis arrivée il y a très peu aussi
C'est à quel jeu que tu joues ?
Au plaisir.
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Sophie
Il est sur ma liste "à lire" depuis assez peu de temps.
Apparemment, c'est un roman cultissime et ne l'apprendre que récemment m'a confirmé à quel point je connais mal la littérature américaine (et à quel point elle était quasi-absente, voire absente tout court, de mes études).
C'est la première fois je crois que j'en lis le synopsis. Cela a l'air en effet très intéressant.
@icescream a dit :
On sent bien [...] que le récit se passe dans un état sudiste et à une époque relativement lointaine.
Pas si lointaine que ça malheureusement.
(Tout est relatif, certes. Pour la datation d'un phénomène sociétal, je mesure personnellement surtout la persistance de certains de ses éléments dans les mentalités contemporaines ; et donc ici : pas si lointaine ).