Perso de mon côté je crois que c'est la révélation "Rey petite fille de Palpatine" qui me perturbe le plus.

Peut-être parce que le côté "fonder une famille" ne colle apriori pas tellement avec le perso de Darth Sidious. On sait le gars d'avantage porté sur le clonage et autres manipulations génétiques douteuses. Ca aurait peut-être été plus simple et évident de faire de Rey le fruit d'un genre d'expérience chelou.

Parce que là du coup, ca oblige les scenaristes à nous tirer de leur chapeau un "père de Rey et fils de l'empereur" et à nous l'expédier en 10 secondes chrono, juste ce qu'il faut pour nous assurer que le gars n'a au final pas plus de charisme que de nom. Et tiens justement, pour compenser ce vide, je vais l'appeler Jean-Christophe. Jean-Christophe Palpatine, voilà, comme ça c'est noté.

Cet épisode IX sauve les meubles et limite la casse, vu le parcours accidenté que furent les prods des episodes VII et VIII.

Le film va à 200 à l'heure, et présente bon nombre de scènes d'actions très efficaces et de visuels super travaillés.

L'ennui est que tout ça vient remplir un scénar très vide, qui ne carbure plus qu'au "MacGuffin". "On a besoin d'une dague pour retrouver une boussole dont on a besoin pour trouver le repère du vilain". Mouais.

Le combat final avec Palpatine avait tout pour me hyper, mais il m'a au final vachement déçu.
-D'une parce qu'il use un peu plus le cliché du méchant qui parle trop et annonce au gentil en quoi consiste son plan. Mais bon sang, tout le monde sait qu'un vilain qui fait ça ne gagne pour ainsi dire jamais.
-De deux parce qu'il confirme jusqu'au bout Rey dans son rôle de Mary Sue.
-Et de trois parce qu'il fait perdre le puissant Seigneur Sith sur un simple "bras de fer", un rapport de force et de puissance, plus qu'au travers d'un véritable stratagème, ce qui aurait été plus digne du personnage.

Tenez, je me demande si le mieux pour corriger ces 3 points en même temps, n'aurait pas été que Rey tue rapidement et facilement Tonton Palpat sans que ce dernier ne dise le moindre mot, et que ça la fasse basculer, elle, du côté obscur. Ainsi on aurait eu le Seigneur Sith qui, à défaut de gagner physiquement, aurait triomphé idéologiquement. Quelque chose de bien plus fort et retors.

Enfin, même si ce n'est qu'un détail, faut vraiment qu'ils arrêtent de nous teaser des trucs au final sans importance. C'est limite malhonnête.
Oui je pense à toi, C-3PO. La prod a énormément communiqué sur l'acteur Anthony Daniel, lequel tirait ici sa reverence et disait adieu au perso. Et le teaser nous montrait en plus le droïde de protocole faire ses adieux à ses amis dans une ambiance bien chargée en émotion. Tout ça annonçait un sacrifice. Et qu'est-ce qu'on a eu ? Juste un petit effacement de mémoire, utilisé comme ressort comique, et de surcroit temporaire, R2 se chargeant très vite de retablir les souvenirs de son compagnon. Pfff....

Allez terminons quand même sur une note amusée. J'ai aimé le fait que Chewie reçoive ENFIN sa médaille, clin d'oeil appuyé à la communauté des fans déplorant qu'il se soit retrouvé injustement privé de cette distinction lors de la scène finale de l'épisode IV.

Perso, cette nouveauté, je l'accepte, vu qu'elle ne semble rattachée qu'au principe de la "dyade", un phénomène présenté comme très rare. Apparemment seuls Rey et Ben peuvent y avoir recours entre eux. Il me semble même que c'était quelque peu annoncé dans l'épisode VIII, Kylo pouvant à distance ressentir la pluie tombant du côté de Rey

Ca par contre c'est pas nouveau. Cette aptitude avait été rencontrée dans la série animée clone wars il me semble.

Effectivement. Et ce reproche pourrait même être adressé à d'autres persos comme Maz, Rose, ou même celui joué par Dominique Monaghan. Il doivent avoir chacun 1 minute de temps de présence, et aucune réplique décisive.

Ca sauve les meubles et limite la casse, vu le parcours accidenté que furent les prods des episodes VII et VIII.

Le film va à 200 à l'heure, et présente bon nombre de scènes d'actions très efficaces et de visuels super travaillés.

L'ennui est que tout ça vient remplir un scénar très vide, qui ne carbure plus qu'au "MacGuffin". "On a besoin d'une dague pour retrouver une boussole dont on a besoin pour trouver le repère du vilain". Mouais.

Le combat final avec Palpatine avait tout pour me hyper, mais il m'a au final vachement déçu.
-D'une parce qu'il use un peu plus le cliché du "méchant-qui -parle-trop -et -annonce-au-gentil-en-quoi-consiste-son -plan". Mais bon sang, tout le monde sait qu'un vilain qui fait ça ne gagne pour ainsi dire jamais.
-De deux parce qu'il confirme jusqu'au bout Rey dans son rôle de Mary Sue.
-Et de trois parce qu'il fait perdre le puissant Seigneur Sith sur un simple "bras de fer", un rapport de force et de puissance, plus qu'au travers d'un véritable stratagème ou combat de l'esprit, ce qui aurait été plus digne du personnage.

Tenez, je me demande si le mieux pour corriger ces 3 points en même temps, n'aurait pas été que Rey tue rapidement et facilement Papi Palpat sans que ce dernier ne dise le moindre mot, et que ça la fasse basculer, elle, du côté obscur. Ainsi on aurait eu le Seigneur Sith qui, à défaut de gagner physiquement, aurait triomphé idéologiquement. Quelque chose de bien plus fort et retors.

Enfin, même si ce n'est qu'un détail, faut vraiment qu'ils arrêtent de nous teaser des trucs au final sans importance. C'est limite malhonnête.
Oui je pense à toi, C-3PO. La prod a énormément communiqué sur l'acteur Anthony Daniel, lequel tirait ici sa reverence et disait adieu au perso. Et le teaser nous montrait en plus le droïde de protocole faire ses adieux à ses amis dans une ambiance bien chargée en émotion. Tout ça annonçait un sacrifice. Et qu'est-ce qu'on a eu ? Juste un petit effacement de mémoire, utilisé comme ressort comique, et de surcroit temporaire, R2 se chargeant très vite de retablir les souvenirs de son compagnon. Pfff....

Allez terminons quand même sur une note amusée. J'ai aimé le fait que Chewie reçoive ENFIN sa médaille, clin d'oeil appuyé à la communauté des fans déplorant qu'il se soit retrouvé injustement privé de cette distinction lors de la scène finale de l'épisode IV.

Ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ha ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah et je ris parce qu'il y a un intrus parmi les "ah".