par exemple ton Iron Man on le voit torturer que dans les films Iron Man, maintenant c'était juste un comic relief, sans réel saveur.
Juste dans Endgame ? Ou Infinity War ? On a bien vu les mêmes films ?
Après il faut aussi accepter qu'un perso ne soit pas autant développé dans un crossover que dans un film lui étant intégralement dédié. Il en faut un peu pour tout le monde.
Je pourrais continué, genre quand tu fais des personnage complex tu t'attends à un dévellopement scénaristique, mieux fait qu'une simple apparition ou même sur un plan scénique.
Donc, en résumé ce sont des films qui on une bonne technique, (même si on sent le recyclage d'effet), avec une conclusion moyenne, avec un gros soucis d'écriture, (genre la règle établis pour le voyage dans le temps est nul à chier, illogique et niqué en quelque minute avec des justification en mode "normal je suis dieu"), et ce sont des films qui raconte rien.
Des films qui ne racontent rien, je n'irai pas jusque là.
Comparons deux grosses prods blockbusters très attendues de 2019 :
Starwars episode IX l'ascension de Skywalker et Avengers 4 Endgame.
Ces deux films ont en commun d'avoir des scenarii reposant sur cette bonne vieille grosse ficelle scénaristique facile qu'on appelle le MacGuffin, sorte de grosse carotte après lesquels protagonistes et antagonistes vont courir.
Chez Starwars il s'agit d'holocrons, de dagues, et d'artefacts quelconques.
Chez Marvel, ce sont les Pierres de l'Infini.
De cette similitude on pourrait être tenté de considérer ces deux films comme aussi creux l'un que l'autre.
Et ca serait se tromper, car là où ça ne fonctionne pas chez Starwars, c'est géré de mains de maitre chez Marvel.
Tout simplement parce que Marvel ne s'est pas reposé que là dessus, et s'est appliqué en priorité à développer ses personnages.
Et c'est là que la mayonnaise prend. Car en dépit de la myriade de persos qu'il faut réussi à faire tenir là dedans, le film parvient à offrir à chacun de ses personnages principaux une résolution vis à vis de leurs démons.
Thor parvient à surmonter sa depression ainsi que le deuil de sa mère en s'adressant à elle une dernière fois.
Tony Stark, resté hanté depuis des années par le souvenir d'être resté faché avec son père jusqu'à la mort de ce dernier, parviens lui aussi à exorciser ce passé, par une rapide entrevue avec son père.
Steve Rogers, dont l'existence était jusqu'à présent orientée sur le bien commun et le sacrifice de sa personne, fait enfin un choix personnel en restant dans le passé pour vivre son histoire avec Peggy Carter.
Bruce Banner et Hulk ont enfin trouvé une forme d'osmose. Cool. Pas grand chose à en dire de plus.
Natasha Romanov choisit de se sacrifier. En ce qui la concerne je n'ai pas encore tous les éléments d'analyse, son film n'étant pas encore sorti. On verra à ce moment.
@Peri Doctor Strange ne m'attire mais alors pas du tout. Même après l'avoir vu dans IW et Endgame, le personnage ne m'intéresse pas
IW et Endgame ne font effectivement peut être pas suffisamment intervenir le personnage pour susciter un quelconque intérêt (quand on est pas une Cumberbitch à la base, bien sûr )
Ceci étant dit, l’intérêt du film Dr Strange réside selon moi moins dans son personnage que dans la mécanique et les codes autour desquels l’intrigue se noue. C’est un des Marvel les plus complexe que j’ai pu voir, j’ai même eu besoin d’un second visionnage pour commencer à plus ou moins cerner l’ensemble (entre les concepts de multiverses, de dimension « sombre », dimension « miroir » ou royaume quantique déjà abordé dans Ant-Man).
Faut limite une première année à Poudlard, avec option « Arts Mystiques » pour pas trop s’y perdre.🤪
Dans ce genre de film de super-héros, on retrouve souvent ce cas de figure :
Le super-gentil se retrouve confronté à un super-vilain, un genre de négatif de lui-même, qui le surpasse en de nombreux domaines (plus fort, plus puissant, plus d'effectifs). Le super vilain a tout pour gagner, et en dépit de ça, il perd... Il perd parce qu'il a sous-estimé son adversaire et a fait la petite erreur fatale à un moment donné.
En ce qui me concerne, j'aime bien me "rejouer le match" après coup, me mettre dans la peau du grand vilain, en me demandant comment je m'y serais pris à sa place pour vaincre le gentil. En général c'est assez facile.
... Sauf pour Dr Strange.
Là, je sèche.
J'ai beau me repasser cet affrontement en long et en large, en y cherchant une faille exploitable par le vilain, je ne trouve rien, tant le stratagème du héros est brillant et retors (en plus d'être hilarant).
Donc voila, si tu as un jour l'occasion de le voir et de trouver réponse à cette question hautement existentielle que je me pose, je suis preneur...
J'ai oublié qu'il y avait aussi toutes les séries dérivées ( Agents of Shield, Agent Carter, Inhumans, Daredevil, etc...) que je n'ai jamais regardé, et dont je me doute qu'elles sont connectées avec les long-métrages.
Totalement à jour sur le MCU, mais pas forcement en attente de grand chose pour la suite.
Endgame constitue à mes yeux une conclusion très satisfaisante, ça pourrait limite s'arreter là pour moi.
Je dirais même que pour la suite, je crains un peu l'effet "retourneur de temps d'Hermione". Ca y est, les gentils disposent du voyage dans le temps. Echec et mat, les amis. C'est l'arme absolue pour gagner en toutes circonstances. Réalisez, ça pourrait même faire rajeunir le vieux Captain America comme ça l'a fait avec Scott Lang. Donc à moins de faire disparaitre l'engin ou de nous pondre une loi du style "faut pas croiser les effluves, c'est pô bien"...
Je vais quand même continuer de suivre, je me suis pas descendu plus d'une vingtaine de films pour lacher comme ça. D'autant qu'on va pas se mentir, c'est globalement bien fun.
Quand j'étais petite j'avais peur de galinha pintadinha (allez taper ça sur YouTube)
Je l'ai fait. Mon téléphone a ensuite sonné et la voix de Galinha Pintadinha m'a dit que j'allais mourir dans 7 jours.
Je fais quoi maintenant ?
Quand tu dis sonné, c'est appeler ou vibrer?
Quand je dis "sonné", ca veut dire "faire du bruit + des vibrations + de la lumière + des bulles de savons" (oui j'ai un téléphone avec beaucoup d'options).
J'ai rêvé que je me retrouvais à poil dans un hôpital. J'étais le fruit d'expériences bizarres, "on" me manipulait telle une marionnette, "on" me fessait, puis on me faisait revêtir un accoutrement bizarre. Une fois que c'était fini, "on" me remettait entre les mains d'une paire d'inconnus qui m'ont alors emmené chez eux. S'en suivait une succession de traitement étranges et cycliques (repas, toilettes, distraction, repos, repas, etc...), jusqu'à ce que, ma présence apparaissant sans doute indésirable, je sois envoyé dans divers institutions à valeur éducatives, puis enfin invité à trouver ma place au milieu de tout ça.
J'en profite pour demander. Quelqu'un sait il comment on sort de ce genre de rêve chelou ? Par avance, merci.
Un jour j'étais au volant quand je perçois du coin de l'oeil "ce petit truc" qui a tendance à filer des sueurs à tout automobiliste : un bref flash de lumière venant de la vitre arrière droite.
Vérification du GPS. Non, aucun radar de signalé ici. Je roulais à combien ? Sous la limite je crois. J'espère. Allons, ça devait être un quelconque reflet de soleil. Oui c'était surement ça.
Sauf que 4 km plus loin, rebelotte. A nouveau le *flash. Bon sang, mais ça ne peut pas être un hasard. D'autant que la position du soleil ne tient plus. Et ma vitesse est bonne ! Et puis surtout... *flash MAIS OUATE ZEU FEUQUE !
Je n'ai compris le fin de mot de l'histoire qu'une fois garé. Mon fils, assis à l'arrière, avait récemment récupéré un smartphone de ses grand parents, et s'en servait pour prendre et retoucher des photos, avec le flash activé en permamence.
"Mon grand, s'il te plait. Ne prends plus des photos avec flash pendant les trajets en voiture. Ca... perturbe papa. "
Ce thriller est la dernière petite gifle en date que le cinéma indé américain m'ait collé.
Le comédien Adam Sandler, jusqu'ici connu pour ses prestations plus ou moins correctes dans des comédies potaches à la qualité -très- variable, explore ici sa part sombre, en incarnant avec brio Howard Ratner, petit bijoutier juif new yorkais, gouailleur et magouilleur, qui voit sa vie basculer lorsqu'on lui dérobe une énigmatique opale.
Et celui qui vient juste derrière, par une réalisation quasi parfaite et un acteur inoubliable dans la peau du joker !
Idem.
Ajoutons que c'est aussi l'un des rares films de super-héros qui est parvenu à dépasser son statut de simple divertissement pour devenir une fresque de l'Amérique de l'ère W. Bush.