@Shanna a dit dans Star Wars (série de films) :
@Peri a dit dans Star Wars (série de films) :
En effet, le vieux sage va s'avérer être l'ancien maitre du chevalier noir
Le jeune fermier va s'avérer être le fils du chevalier noir
La princesse est la soeur du jeune fermier
L'un des droïdes est un ancien partenaire de combat, et l'autre, la création du chevalier noir
Ca fait beaucoup, et ça contribue à enfermer le destin "en vase clos" au sein d'une seule famille. On en viendrait presque à oublier que tout ça se joue au sein d'une galaxie comportant des milliards de mondes. Tellement tout semble graviter autour des 4, 5 même personnes.
C'est un ka-tet. (
si vous avez la réf)
J'ai du googlé ça.
Je n'ai pas lu cet oeuvre du "Roi". Ca viendra peut-être.
J'aime bien l'idée que c'est le destin qui rassemble les personnages, c'est vrai qu'il y a un côté agaçant parce que c'est une excuse facile pour des intrigues bancales, mais bon, une bonne histoire c'est bien souvent les conséquences d'un hasard ou d'une coïncidence improbable. L'aventure se met sur le chemin d'un fermier anonyme, mais si l'aventure consistait juste à aller sauver la princesse puis ils vécurent heureux, ce serait un peu maigre, c'est bien plus fun si le fermier se révèle avoir une destinée exceptionnelle.
Je suis d'accord là dessus. Néanmoins ce qui m'ennuie avec ces histoires destin trop imbriqués c'est que ça peut venir affaiblir des partis scenaristiques initialement forts.
Pour prendre un exemple :
Quand le premier film starwars, l'épisode IV, est sorti en 77, il a évoqué pour beaucoup un film de Akira Kurosawa qui s'intitule la Forteresse cachée.
Dans ce film, se déroule à un conflit militaire d'envergure, impliquant des personnalités importantes (un général, une princesse). Sauf que contre toute attente, tout ça nous est présenté au travers des yeux de deux paysans, deux péquenots sans importance. Un choix de narration qui pour l'époque était osé et novateur.
R2D2 et C3PO sont ces deux "moins-que-rien", que rien ne destinait à briller mais qui par la "force" (uhuh) des événements vont se retrouver au centre de tout, en possession du destin du monde.
Ca aurait pu rester ainsi. Sauf que la prélogie est par la suite venue torpiller ce concept en en faisant des vétérans, avec un parcours, un vécu, des faits de guerre. Les "moins-que-rien" en deviennent "quelque-chose". Ce qui est un peu dommage.
Bon après, j'ai conscience que ça reste mon point de vue de celui qui a découvert la saga dans l'ordre 4-5-6-1-2-3. Ca doit jouer.