@jool a dit dans L'horoscope Gorafi :
Scorpion : Vous dépenserez 6000 euros chez un marabout pour retrouver l’être aimé. Plot twist : cela fonctionnera.
Ca fonctionne en effet si on a conservé la carte bleue de l'être aimé.
Je vous confirme qu'on le retrouve très vite. C'est même lui qui vous retrouve.
Dans une semaine c’est la Saint Nicolas. L’occasion de ressortir ce... livre que mon petit dernier adore : la véritable histoire de Saint Nicolas
Je vous laisse juste savourer ce passage. 
@Kallindra a dit dans Titanic (1997) :
@Peri a dit dans Titanic (1997) :
@Dirty-Cop a dit dans Titanic (1997) :
@Peri C'est la romance qui compose les trois quarts du film qui me gêne. Soit environ 2h30 DU FILM ! La dernière partie par contre, celle du naufrage, impeccable, du grand James Cameron.
Je me suis permis de vérifier.
L'impact avec l'iceberg -qui marque officiellement le passage de film d'amour à film de catastrophe- se produit à 1h35 (sur 3h10). Pile à la moitié.
De plus, la première rencontre entre Jack et Rose (à la poupe du navire) ne se produit qu'au bout de 40 minutes de film.
Ce qui ne laisse que 55 minutes intégralement dédiée à l'histoire d'amour. A peine 1/3 du film.Donc non désolé, on n'est pas face à 3/4 du film qui ne serait que de la romance.
L'histoire d'amour c'est quand même le gros fil rouge du film à partir du moment où jask et Rose se rencontrent et jusqu'à la fin. Partir du principe que le choc de l'iceberg fait passer la romance a 2d plan est faux. Certes, c'est un film catastrophe mais tout est illustré par Jack et Rose cherchant à s'échapper de ce maudit raffiot puis dans la mer glacée puis jusqu'aux retrouvailles post mortem au bas du grand escalier.
C'est vrai.
Et ça me va.
L'histoire d'amour, on l'aime où on ne l'aime pas, mais une chose reste sur, elle n'a rien de superficielle et cimente le tout.
Quant au mot "niais"... Navré mais je le trouve dur.
Si on s'en tient à la définition, il renvoie à de la simplification et de la bêtise. Je ne pense pas qu'on soit à ce niveau.
Par contre "dérélection" je connaissais.
Du fait de l'éradication de ses tentacules, afin que tout devienne clair.
@Kallindra a dit dans Vos déceptions littéraires :
@Peri Moi on m'avait prévenu pour la 1ere 10aines de pages ^^
Par contre, jamais pu m'immerger dans le Silmarrillion ou les Contes du 3ème âge XD
Ces deux-là c'est encore pire. Faut vraiment être tolkienophile au dernier degré pour s'y plonger à corps perdu.
Lus vers 2003 (après seconde lecture du SdA + grosse hype autour de la sortie des films), ils ne m'ont pas transcendé plus que ça.
@djino a dit dans Vos déceptions littéraires :
Mais finalement au fur et à mesure de la lecture, vous vous demandiez pourquoi vous continuiez à le lire, vous vous disiez "vivement que je le finisse..."
Ca m'a clairement fait ça avec le Seigneur des Anneaux, lu deux ans avant la sortie des films, et sans être passé par la case "le Hobbit".
Au final je ne me suis lancé là dedans que pour me sentir "à niveau" vis à vis de mes potes de l'époque, qui ne juraient que par ça. J'en avais ras le bol de me sentir larguer sur ce sujet particulièrement récurrent.
Les 100 premières pages furent laborieuses au possible.
Ce que j'appelle l'effet "bottin téléphonique" : trop de noms, trop de lieux, tu tournes 3 pages... et tu décroches. 
Et puis ça a démarré. J'ai passé un cap et me suis alors mis à dévorer. Je l'ai relu une seconde fois par la suite.
@Doc-Cranium a dit dans Vos déceptions littéraires :
@Peri a dit dans Vos déceptions littéraires :
Je me souviens de m'être lancé dans La Conjuration des Imbéciles de John K. Toole, sur conseil d'un ami qui y voyait le meilleur livre du monde.
Sans nier les qualités du bouquin, je n'y ai pas été plus sensible que ça.
C'est un cadeau traditionnel dans ma famille, quand on sait pas quoi offrir pour Noel ou pour un anniversaire, on offre La Conjuration.
Du coup, aujourd'hui vous en avez combien d'exemplaires par personne ? 
Je me souviens de m'être lancé dans La Conjuration des Imbéciles de John K. Toole, sur conseil d'un ami qui y voyait le meilleur livre du monde.
Sans nier les qualités du bouquin, je n'y ai pas été plus sensible que ça.
Par ailleurs, je l'ai lu sachant que son auteur s'était suicidé, désespéré de ne voir son ouvrage édité, et persuadé d'avoir accouché de son chef-d'oeuvre ultime. Ce qui ne m'a pas aidé à aborder l'ouvrage avec sérénité et neutralité.
@Doc-Cranium a dit dans Titanic (1997) :
Je sais, je suis chiant.
Profondément chiant (restons dans le thème)
@Dirty-Cop a dit dans Titanic (1997) :
@Peri C'est la romance qui compose les trois quarts du film qui me gêne. Soit environ 2h30 DU FILM ! La dernière partie par contre, celle du naufrage, impeccable, du grand James Cameron.
Je me suis permis de vérifier.
L'impact avec l'iceberg -qui marque officiellement le passage de film d'amour à film de catastrophe- se produit à 1h35 (sur 3h10). Pile à la moitié.
De plus, la première rencontre entre Jack et Rose (à la poupe du navire) ne se produit qu'au bout de 40 minutes de film.
Ce qui ne laisse que 55 minutes intégralement dédiée à l'histoire d'amour. A peine 1/3 du film.
Donc non désolé, on n'est pas face à 3/4 du film qui ne serait que de la romance.
Upgrade, de Leigh Whannell avec Logan Marshall-Green.
Un film de SF horrifique que @Shanna (il me semble) avait porté à mon attention à l'époque (merci à elle si c'est le cas).
Un film que j'ai beaucoup aimé, que je recommande chaudement, et ce malgré une scène qui m'a bien fait rire, alors que c'était clairement pas son but.
@Hornet a dit dans L'horoscope Gorafi :
@jool a dit dans L'horoscope Gorafi :
Vierge : Des flics vous tabasseront pour se défouler. Ne les filmez pas, c’est interdit.
Je suis trop blanc pour ça non ? (mais barbu, alors c'est vrai on sait jamais)
Et moi trop casanier.
Quoique Michel me souffle dans l'oreille qu'ils rentrent maintenant te chercher jusque chez toi. Merde.
@jool a dit dans L'horoscope Gorafi :
Verseau : Vous vous rendrez compte que les sanglots hyper longs des violons de l’automne blessent votre cœur d’une langueur vachement monotone.
Pas de bol. Pile le jour où, tout suffocant et blême, et quand sonne l'heure, je choisis de me souvenir des jours anciens et de vachement pleurer.
@Dirty-Cop a dit dans Titanic (1997) :
J'ai jamais pu le blairer ce film, trop niais pour moi.
J'avoue que j'ai du mal à voir comment une histoire à majeure partie vraie, effroyablement meurtrière et révélatrice des inégalités sociales de l'époque, pourrait être qualifiée de "niaise". 
Y'a quand même une scène où des gens, constituées d'hommes, de femmes et d'enfants, sont enfermés derrière une grille et cordialement invités à se noyer parce que "de 3e classe".
@Hornet a dit dans François Pérusse (Les deux minutes du peuple) :
J'adore celui-là. (entre 1 000 autres que je viendrai poser aussi mais pas tout d'un coup
)
Je l'avoue, à une époque, quand j'offrais quelque chose à quelqu'un faisant mine de le refuser, il m'est arrivé de placer le "un cadeau est un cadeau, ce qui est donné est donné, c'est comme ça c'est comme ça, fauteuil fauteuil, banane banane, bite bite, poil poil, cul cul".
Et sinon est-ce que vous avez eu la chance de connaitre des célébrités avant qu'elle ne le devienne ?
En ce qui me concerne j'ai eu la chance de vivre dans la même copro que Camille Chamoux il y a une douzaine d'année.
A l'époque elle s'était déjà faite un petit nom grace à un spectacle de stand up mais pas autant qu'aujourd'hui.
Totalement pétillante, elle a beaucoup contribué à nouer les liens entre plusieurs voisins de la copro, et n'hésitait pas à nous convier à certaines de ses soirées où se rendaient d'illustres connaissances à elle.
J'ai ainsi eu l'occasion de croiser brièvement Anne Girouard (la reine Guenièvre dans Kaamelott), Audrey Fleurot ou le Comte de Bouderbala.
Nous autres voisins lui renvoyions par moment l'ascenceur en la conviant à nos soirées, mais on avait une peu honte. On avait pas le même réseau.
Au tour de Jean-Louis Servan-Schreiber (83 ans), victime du coronavirus.
