@peri : tu me fais sourire. Il y a ce qui est officiel et ce qui est officieux.
Pourquoi ne me démontres tu pas ce qui est officieux ?
Je ne demande qu’à te croire, qu’à être convaincu. C’est juste que ta bonne foi risque de ne pas être suffisante. Il me faut des sources. Solides si possible.
la théorie des Ptéranodons pose moins d'incohérences scénaristiques.
Possible. Mais la question n'est pas là.
Là où je souhaitais en venir c'est que les scénaristes ont à l'époque tué leur franchise en recyclant peu ou prou la même histoire
des gens arrivent sur une ile
ils y découvrent des dinosaures
ça se passe pas trop mal dans un premier temps
puis ça tourne à la boucherie et à l'opération de sauvetage
les survivants quittent l'île en catastrophe
Au final chaque film se terminait avec les dinos confinés sur leur île, avec le message de circonstance comme quoi il vaut mieux les laisser tranquille, eux de leur coté, nous du notre, bla bla bla...
Alors qu'il y a un moment, il aurait peut-être fallu aller au delà, amorcer un vrai cycle narratif, avec des dinos -si possible dangereux- parvenant à renverser ces frontières naturelles et atteindre nos rivages habités.
Il me semble que c'est cette piste que les suites à Jurassic World - Fallen Kingdom (si elles voient le jour) vont suivre.
Comme je l'ai dit a Wolfen. Moi Libérer le T-Rex MÊME en dernier recours...Mouais bof...
Si tu as épuisé toutes tes options contre un raptor, la décision se défend. Le T-Rex reste une ressource de taille, et il t'est même possible de lui survivre, en restant immobile.
Après il y a aussi une théorie avec Un Raptor monté en cachette qui se serait occuper du capitaine en laissant sa main sur le Gouvernail. Et se serait ensuite fait bouffer par le T-Rex par une des Théorie que tu a cité...
En fait plus j'y réfléchis et plus je me dis que cette piste aurait pu faire un bon pitch de départ pour Jurassic Park III (plutôt que cette pseudo histoire d'une enième expédition de sauvetage sur Isla Nublar ou Sorna)
On commence le film là où le Monde perdu s'est arrêté, par des enquêteurs relevant des incohérences dans le massacre du bateau, pour finalement découvrir qu'il n'a pas été perpétré par le T-Rex, mais par deux raptors. Un mâle et une femelle. Qui ont réussi à s'échapper du bateau et à se cacher en périphérie de la ville.
Et on a la le point de départ du merdier d'un bon petit arc post-apo (façon planète des singes) avec des raptors qui vont proliférer et chasser de l'humain.
En plus ce scénar expliquerait au passage pourquoi un mort du bateau tenait la commande d'ouverture de la soute. Il aurait misé en dernier recours sur l'intervention du T-Rex pour contrer les raptors.
qui n'est pas un selfie parce qu'on a pas de retour d'image (pour ça, y'avait les photomatons)
qui coûte des sous, et en film, et en développement ("ça sera prêt demain, bonne journée")
qui sera vue par le/la vendeur/se du labo photo avant toi (beaucoup moins de dick pics à l'époque, du coup)
sur lesquels il y a du flou de bougé, une mauvaise mise au point, du gros grain, de la sous/sur-exposition, des éclairages intérieurs bien jaune/oranges et des yeux rouges.
qui finira dans une pochette ou au mieux dans un album, et qu'on montrera à tout son réseau d'amis. Soit 5 personnes à tout péter.
@doctor-mox Comment ça ? Qu'est-ce qu'il y a de pas expliqué à la fin du 2 ?
Tout l'équipage du bateau SS Venture a été tué quand celui-ci arrive à San Diego.
On pourrait suspecter le T-Rex, seul animal dangereux présent à bord. Sauf qu'il est toujours piégé dans la cale. De plus on retrouve des morceaux de cadavres jusqu'au poste de navigation, un endroit relativement exigu où le T-Rex n'aurait jamais pu se rendre sans tout défoncer.
@peri Mais ces types là, ce sont tous des incultes qui ne savent même pas que 5 autres missions se sont posées sur la Lune et qu'ils sont au total 12 à avoir piétiné le gros caillou.
Je le sais. Ce qui me désespérait à l'époque, c'est la quasi absence de voix pour s'élever contre eux.
J'en étais venu à croire que les gens normaux avait juste battu en retraite et que les réseaux sociaux étaient tombés, livrés aux mains des neuneux.
Heureusement, les années suivantes ont vu une inversion de cette tendance, avec entre autre l'émergence des youtubeurs vulgarisateurs, notamment en science.
Les conspis qui voudront cracher sur Collins aujourd'hui risquent de rencontrer un terrain moins propice qu'à l'époque.
Je me remémore aujourd'hui la mort de Neil Armstrong en 2012.
A l'époque les conspis adeptes du Moon Hoax ("nous n'avons pas marché sur la Lune") étaient déjà bien organisés et présents en ligne, sur les réseaux sociaux, à l'inverse des debunkers et autres zététiciens qui l'étaient beaucoup moins.
Ce qui fait que les premiers s'en sont donnés à coeur joie, spammant les coms des dépêches et les fils de discussion pour traiter feu le Neil de menteur. Bon esprit -_-' .
Décès de Michael Collins, astronaute sur Apollo 11, la mission qui a vu Neil Armstrong et Buzz Aldrin poser pour la première fois le pied sur la Lune le 20 juillet 1969.
Il n'avait pas pu se poser sur notre satellite naturel, et était resté en orbite lunaire à bord du module de commande Columbia. Il avait 90 ans.
Sans surprise, le premier film surclasse largement tous les autres, ne serait-ce que pour la foutritude de niveaux de lectures et d'éléments subliminaux que tonton Spielberg y a glissé.
Sérieux, même la couleur des fringues portées par les persos nous racontent des trucs.
Par contre si ça peut rassurer un peu, la jeune génération y est aussi extrêmement sensible, + que ce que j'imaginais en fait, et à la question "seriez-vous prêts à abandonner tous vos écrans pour que tel animal sauvage continue d'exister?" (la question est seulement légèrement absurde hein), beaucoup répondent "oui".
Dommage que ce que nous prétendons être prêt à faire compte moins que ce que nous faisons réellement.
La sensibilisation est une chose, la mise en pratique en est une autre.
Et s'il est une chose qui n'est pas en voie d'extinction, ce sont bien nos écrans.
Rien que ce bout de phrase te discrédite complètement dans ton entreprise à vouloir parler de "justice".
Etre "juste" consiste justement à ne pas se laisser déborder par l'esprit de vengeance, par la décision unilatérale, et à rendre le verdict le plus équitable... pour tous.
Les proches des condamnés restent des gens innocents, qui ne sauraient être indirectement condamnés par une décision de justice.