@dirty-cop a dit dans Vous êtes dans le film : que faites-vous ? - nouveau dilemme ! :
@peri a dit dans Vous êtes dans le film : que faites-vous ? - nouveau dilemme ! :
Le seul truc c'est que la trame globale de l'histoire m'a rappelé un autre film.
Lequel ?
Je te spoil si je te le dis.
@dirty-cop a dit dans Vous êtes dans le film : que faites-vous ? - nouveau dilemme ! :
@peri C'est sûrement parceque le film a été vendu comme une histoire de casse. C'est ça "l'originalité" du bousin, en ce qui me concerne, du moment que le suspens de la scène du coffre soit bien ficelée, la suspension d'incrédulité, je m'en bats les reins. Pas de spoil.
Je ne spoilerai rien.
Le seul truc c'est que la trame globale de l'histoire m'a rappelé un autre film. Or ce qui fonctionnait dans cet autre film ne fonctionne pas ici.
@dirty-cop a dit dans Une image, un film :
@peri Spawn ? On dirait les mêmes effets spéciaux pourris qu'ils ont utilisés dans la séquence où le héros atterrit en Enfer.
Non, mais on se situe à la même époque (à 2 ans près).
Même si on a pas vu le film, il y a un élément -discret- dans l'image qui permet de le deviner.
@dirty-cop a dit dans Vous êtes dans le film : que faites-vous ? - nouveau dilemme ! :
@peri Je l'ai pas encore vu celui-là, mais j'en ai entendu des choses peu flatteuses.
Je décapite ce putain de macchabée, j'aime quand c'est facile et dégueulasse.
Ce que quasiment tout le monde serait d'accord pour faire, et qui rend l'histoire complètement bancale, comme tu auras l'occasion de t'en rendre compte.
En passant je place cet autre "dilemme", récemment rencontré dans le dernier Snyder : Army of the Dead.
Vous êtes un mercenaire. Vous excellez dans le maniement des armes/ordinateurs/systemes electriques/commandes d'un helicoptère (au choix). Vous n'êtes motivé que par l'argent, et après que toute la ville de Las Vegas soit tombée aux mains des zombies, on vous propose au choix :
Non parce que...
@shanna a dit dans Vous êtes dans le film : que faites-vous ? - nouveau dilemme ! :
Les amis, j'ai encore vu un film tout pourri.
(Je vous interdis de tirer des conclusions hâtives sur mes goûts)
(Bon, si, vous pouvez).
Je ne résiste pas à l'envie d'en tirer un dilemme et de vous le soumettre.
En fait c'est + une sorte de test qu'un dilemme, pour savoir si vous êtes téméraire ou pas...Le film en question :
(c'est le film de 2017, je précise car un film au même titre exactement est sorti en 2019, j'espère qu'il était meilleur)N.B. Ce post ne contient pas de spoiler, tout ce que je raconte ci-dessous est dévoilé dans les premières minutes du film.
The situation :
Vous êtes un homme, pas forcément très aimable (vous trompez votre meuf, je ne vous félicite pas) mais jeune et riche, c'est toujours ça de pris. Et c'est votre anniversaire ! Yay ! Votre copine vous propose pour cette occasion exceptionnelle de participer à un escape game avec une bande d'amis (des "amis" pas du tout sympathiques au demeurant, mais le sujet n'est pas là). Vous découvrez au fil de la soirée et avant de vous lancer dans cet escape game que votre copine, bien qu'elle ait organisé le trajet, ne sait strictement rien sur le contenu du jeu. Elle a reçu une mystérieuse invitation par courrier, et a simplement décidé de tenter le coup. Ce jeu était payant, elle a déboursé $1000 par tête. Je sais pas pour vous mais perso je claque rarement une somme pareille en une soirée, ça a intérêt d'être THE escape game of the century.
La proposition de votre copine se résume donc à : vous bander les yeux et vous mettre dans une limousine qui vous conduit quelque part, vous ne savez pas du tout où et elle non plus.
Vous y allez ?
Perso j'y vais, mais juste parce que tu as parlé de "découvertes au fil de la soirée". L'ensemble ne sentant pas encore trop le caca au moment de me faire bander les yeux, je ne vois aucune raison de refuser...
De nature, je ne déteste pas les surprises.
@koursk a dit dans Notre bon président lance un défi à McFly et Carlito :
@peri Je ne regarde plus vraiment en vérité mais cette vidéo est en recommandation car j'ai regardé l'original.
Un peu comme toi je présume, j'appréciais pas mal Jules-Edouard Moustic et Francis Kuntz y a une dizaine d'années.
Y en a 2-3 que j'ai vu ces derniers mois donc une qui m'a fait marrer sur le déconfinement sinon c'est bof-bof.
Comme les Guignols que j'ai adoré pendant longtemps et à la fin ça me passait au-dessus.
Le déclin Guignols/Groland s'explique de la même façon.
Les deux émissions ont connu leurs âges d'or sous la plume des mêmes noms : Gaccio, Délépine et Halin. Ces gars incarnaient l'insolence au sein d'une chaine qui les choyait et se voulait le rendez-vous de l'irreverence télévisuelle.
Dés qu'ils ont commencé à se barrer et que leurs successeurs ont timidement cherché à trouver leur place au sein d'une entreprise devenant toujours plus tentaculaire et avide de contrôle, le niveau a chuté.
@koursk a dit dans Notre bon président lance un défi à McFly et Carlito :
Ca a vachement décliné Groland, non ? Ca ne m'a pas arraché un sourire, alors que je suis ultra demandeur de ce genre de truc d'ordinaire.
@jool a dit dans L'horoscope Gorafi :
Verseau : A l’aide d’une loupe et d’un rayon de soleil, vous torturerez un insecte qui ne vous a rien fait. Vous vous direz que s’il avait été à votre place, il aurait fait la même chose.
Ce que j'ai effectivemment fait une fois le dit insecte posé sur ma piscine hors sol auto-portante gonflable de 9700 L (toute neuve).
Le retour de karma ne s'est pas fait attendre.
@gaip a dit dans La nuit des heros :
Elle prétend ne pas aimer les gosses, elle est asociale sur son téléphone, mais elle a été plus rapide que superwoman !
Elle aura compris qu'un enfant qui se tue, c'est tout le traffic de perturbé. C'est que c'est une affaire sérieuse la ponctualité des usagers.
@heidi a dit dans La nuit des heros :
Est ce qu un seul acte héroïque fait de nous des héros je m interroge encore .......
Indéniablement oui.
J'irais même jusqu'à dire que c'est justement l'unicité de l'acte, ainsi que son côté fortuit et aléatoire, accessible à toutes et tous (et pas seulement aux professionnels du secourisme) qui tend à le rendre héroïque.
En sauvant ta maman tu es devenue une héroïne.
Un récit que j'avais déjà posté ici.
Je le copie-colle tel quel.
Le contexte
il y a une quinzaine d'année, toute ma famille se donne rendez vous chez le grand-père pour y passer une petite semaine au bord de la mer, pas loin de Barcelone. Entre les voitures et les trains, chacun vient par ses propres moyens. On se dit qu'on se débrouillera en covoiturage pour rapatrier tout le monde en fin de séjour.
Seulement problème, on réalise bien vite qu'il manque de la place. Quelqu'un ne sera pas du voyage de retour, et devra se rabattre sur un avion. Ca tombe sur moi, le moins aérodromophobe de la bande.
Le jour de l'acte
C'était un dimanche. Toute la famille a pris la route très tôt le matin pour 11 à 12 heures de route. Ne reste que les grand-parents, résidents permanent. Moi je ne décolle qu'à partir de 18h et dispose encore d'une petite journée à profiter. Et justement il fait beau. Et il y a des vagues. J'adore les vagues.
Au bon endroit... au bon moment
Je ne me prive pas, je passe toute la matinée dans les rouleaux, à bodysurfer. Gamin j'en avais une planche pour prendre les vagues, elle a cassé, on ne m'en a jamais repayé une, et j'ai du faire sans. Du coup j'ai découvert le bodysurf en autodidacte, jusqu'à développer une technique relativement efficace, je dois le reconnaitre. Notez bien cela, même ça ne servira plus pour le reste du récit (j'avais juste envie de le placer).
Au bout d'une petit heure, la fatigue se faisant sentir, je décide de sortir de l'eau, quand une personne à proximité m'interpelle. Elle me fait des signes. Dans un premier temps, je pense qu'elle s'adresse à quelqu'un d'autre. Mais non, nous sommes seuls. Sans compter qu'entre les crachats et régurgitations de cette tête qui peine à dépasser de l'eau, je commence à reconnaitre des appels à l'aide, dans un espagnol paniqué.
"A toi de jouer bonhomme"
Nous sommes seuls, disais-je dans le paragraphe précédent. Il ne me faut pas longtemps pour comprendre que cette personne se noie, et que son unique espoir, c'est moi. En deux coups de crawl, je le rejoins et tente de l'agripper pour le ramener vers le rivage. Vous voyez ces scènes de films où tout semble se résoudre une fois que le noyé est rejoins par quelqu'un ? Bon, et bien dans la réalité ça ne se passe pas comme ça. Le courant est fort. Bordel, une baïne. Tu m'étonnes qu'il se soit fait avoir. En plus il est lourd. Plus petit mais plus lourd que moi. Je n'arriverai pas à le ramener seul. Il s'en aperçoit aussi. Il panique de plus belle, gesticule de plus en plus, s'agrippe à moi comme à un rondin. Ce con me pousse vers le fond. Il va me filer un coup et on va se noyer tous les deux si ça continue comme ça.
Tour d’hommes sous-marine
L'équation est simple. Soit les sauveteurs de la plage interviennent vite, soit je l'abandonne si je ne veux pas mourir moi aussi. C'est là que me vient une idée. Là où nous sommes, la profondeur ne dépasse pas deux mètres. Après lui avoir ordonné de crier, je prend une énorme bouffée d'air et je plonge. J'attrape les jambes du malheureux et je le hisse, du mieux que je peux, la tête hors de l’eau. C'est que nous sommes en Catalogne, Puta Madre !, la terre des Castells, ces tours d'hommes hautes de plusieurs étages (cliquez, c'est beau à voir). Mon record personnel d’apnée est de quelque chose comme 2 minutes 30. Là, avec la fatigue, les remous, le poids du mec, je ne dépasserai pas les 40 secondes, je le sais. Mais tout est bon à prendre. Je tiens la base du mieux que je peux, mon gars hurle tout ce qu’il a. Deux surveillants de plage l’entendent, se jètent à l’eau, et sont sur nous en 30 secondes.
Mais… mais c’est Daniel Craig !
Il est sauvé ! L’un des sauveteurs commence à le ramener jusqu’à la plage où un attroupement s’est depuis peu formé. L’autre se tourne vers moi. Je lui fais comprendre que tout va bien, il me laisse donc rejoindre le rivage par mes propre moyens. Après tout ça, j’allais quand même pas me pointer sur le sable en tant que « sauvé », même si c'est un peu le cas... J’ai ma petite fierté quand même. Et c'est là que vous devez commencer à vous dire « Eh mais il devait pas y avoir Daniel Craig dans ton histoire ? ».
L’épisode se finit ainsi. Je m’enquiers de l’état de mon infortuné compagnon de houle, pris en main par les secours. Il va bien. Plus de peur que de mal. Nous échangeons une poignée de main, et un regard. Ce regard, bon sang. Ce regard qui ne peut pas mentir et ne dit rien de moins d'autre que « vous m’avez sauvé la vie ». Ecrit comme ça ça peut avoir l’air ampoulé, mais en vrai je vous assure que ça vous traverse le coeur, en emportant un morceau de poumon au passage.
De retour chez mon grand père, je trouve ce dernier sur la terrasse, face à la mer, le regard perdu vers le loin, tel ces vigies de l'Histoire qui ont traversé l'existence en ayant vu trop de belles ou de vilaines choses.
-T’as sauvé quelqu’un ?
-Oui.
-Allez, viens à table, ça va être froid.
Top Quizz as usual !
Au passage, sache que je suis désolé... Gizmo.
En même pas une heure je poste cette photo peu reluisante de toi. Puis je butte sur la signification de ton nom... deux fois de suite.
Pardon, encore.
AJA qu'on pourrait réaliser un bon petit film d'horreur, rien qu'avec les marionnettes d'origine de films fantastiques d'il y a 30, 40 ans et, bien évidemment, sans les rénover.
Voile du spoil à lever dés que vous vous sentez prêt...
(sachez que vous ne le serez pas)
@dirty-cop a dit dans Les Kassos :
@peri Bordel ! J'aurais dû la télécharger
Pareil.
Tiens regarde, je crois qu'on a justement un autre "strike en devenir"
(à downloader fissa)
@jool a dit dans Des fortiches en math :
@peri
Tout au plus une détente adiabatique...
"Adiabatique", c'est bien quand il faut des piqures d'insuline ?
@dryanaide a dit dans Des fortiches en math :
@jool Malheureusement, il y a un manque évident de magnétisme ... un manque d'alchimie
D'atomes crochus ? Pauvre Jool qui risque de finir avec une demi mole.
