Toutes les classes sociales sont touchées par l'alcoolisme, la mal bouffe, le tabagisme, le sexe à risque de transmission de maladie, les drogues, les anti-douleurs... Bref tout un panel d'adictions potentiellement destructrices pour la santé.
D'accord avec toi sauf pour la malbouffe où les classes défavorisées y sont bien plus exposées. Les produits les moins cher étant aussi es plus trafiqués notamment en sucres et graisses saturées.
Et au final les dits-produits en deviennent si peu nutritifs qu'ils s'avèrent même chers pour ce qu'ils sont.
Dire qu'il suffirait qu'elles arrêtent pour que ça aille mieux c'est joli, mais la réalité est loin de ce jugement simpliste.
Comme je l'ai souligné, j'ai fréquenté des médecins toute ma vie.
Ce "jugement simpliste", c'est rien de moins que leur bilan. C'est leur avis, ce qu'ils ont déduit de leur expérience professionnelle. A la base, on se demandait juste pourquoi certains français meurent 15 ans sous la moyenne nationale (qui est actuellement de 79 ans pour les hommes).
A partir de là, vous pouvez choisir de vous convaincre que l'alcool, la malbouffe et le tabac sont étrangers à ça, que c'est un non-probleme. Vous êtes libres.
Toutes les classes sociales sont touchées par l'alcoolisme, la mal bouffe, le tabagisme, le sexe à risque de transmission de maladie, les drogues, les anti-douleurs...
Mais pas toujours dans les mêmes proportions.
Par exemple, d’après le Baromètre Santé 2016, 39% des personnes âgées de 15 à 64 ans sans diplôme fument quotidiennement, contre seulement 21% des diplômés du supérieur. Ca fait quasi deux fois plus.
Et si je prend l'exemple du tabac c'est parce que ça reste la première cause de mort évitable dans notre pays, avec quelques 66 000 morts par an.
Personne ne dit le contraire. Moi même dit que les classes les plus aisées se sortent plus facilement des comportements à risque.
Alors relevons le niveau de vie des plus pauvres et tout se passera bien.
J'en serais pas si sur.
Aucun des gros fumeurs de condition modeste que j'ai pu rencontrer ne m'a avoué attendre de gagner plus pour envisager de se sevrer.
Au contraire, ceux qui arrêtaient de fumer, c'était bien souvent pour la raison inverse. C'est parce qu'ils étaient pris au porte-monnaie, et que le tabac n'était plus une dépense qu'ils pouvaient se permettre.
Dire qu'il suffirait qu'elles arrêtent pour que ça aille mieux c'est joli, mais la réalité est loin de ce jugement simpliste.
Comme je l'ai souligné, j'ai fréquenté des médecins toute ma vie.
Ce "jugement simpliste", c'est rien de moins que leur bilan. C'est leur avis, ce qu'ils ont déduit de leur expérience professionnelle. A la base, on se demandait juste pourquoi certains français meurent 15 ans sous la moyenne nationale (qui est actuellement de 79 ans pour les hommes).
A partir de là, vous pouvez choisir de vous convaincre que l'alcool, la malbouffe et le tabac sont étrangers à ça, que c'est un non-probleme. Vous êtes libres.
Toutes les classes sociales sont touchées par l'alcoolisme, la mal bouffe, le tabagisme, le sexe à risque de transmission de maladie, les drogues, les anti-douleurs...
Mais pas toujours dans les mêmes proportions.
Par exemple, d’après le Baromètre Santé 2016, 39% des personnes âgées de 15 à 64 ans sans diplôme fument quotidiennement, contre seulement 21% des diplômés du supérieur. Quasi le double.
Et si je me concentre volontairement ici sur le tabac, c'est parce que ça reste la première cause de mort évitable dans notre pays, avec quelques 66 000 morts par an.
que l'alcool, la malbouffe et le tabac sont étrangers à ça, que c'est un non-probleme.
Mais on n'a jamais dit ça. Bien sûr que ces facteurs raccourcissent l'espérance de vie.
Nous ne l'avons pas nié, si tu nous as bien lues.
On dit que la consommation d'alcool, de tabac et de mal bouffe est liée, dans les classes les plus défavorisés, à des conditions de vie déprimantes.
Quand j'ai travaillé en service d'alcoologie, j'ai vu toutes formes d'alcoolisme, induit par différentes causes
selon les histoires de vie de chacun. Mais un dénominateur commun : la souffrance.
Malheureusement.
Dés lors, il faut peut-être s'y résoudre : ce problème n'a pas de solution.
Certains meurent plus jeunes, parce qu'ils souffrent, et ne connaitront jamais l'âge de leur retraitre. C'est comme ça. C'est la vie.
Dire qu'il suffirait qu'elles arrêtent pour que ça aille mieux c'est joli, mais la réalité est loin de ce jugement simpliste.
Comme je l'ai souligné, j'ai fréquenté des médecins toute ma vie.
Ce "jugement simpliste", c'est rien de moins que leur bilan. C'est leur avis, ce qu'ils ont déduit de leur expérience professionnelle. A la base, on se demandait juste pourquoi certains français meurent 15 ans sous la moyenne nationale (qui est actuellement de 79 ans pour les hommes).
A partir de là, vous pouvez choisir de vous convaincre que l'alcool, la malbouffe et le tabac sont étrangers à ça, que c'est un non-probleme. Vous êtes libres.
Il suffirait juste pour beaucoup qu'ils stoppent la clope, freinent drastiquement la bouteille, et commencent à se mettre aux fourneaux au lieu de tourner au big mac ou à la pizza 7j/7.
Le beau jugement de valeur.
Comment tu sais que le SDF là bas qui n'a pas une tune et se paie des clops pour couper s faim et bois pour se réchauffer n'était pas avant un mec ou une meuf avec un boulot et une baraque, qui avait le temps de tout ça et a qui une couille de la vie est arrivée ?
Comment tu sais que l'autre la bas ne vient pas d'une famille aisée et est tombé avec les mauvaises fréquentations et s'est mis à boire et fumer et manger de la malbouffe ?
Oui que celui là n'est pas un ancien cadre/chef d'entreprise qui a tout perdu ?
Il y-a tellement de situation que réduire ça à des mauvaises habitudes de vie je trouve ça léger...
J'ai jamais eu la prétention de vouloir corriger les cas particuliers. Et je conserve de l'empathie et de la compréhension pour celles et ceux qui ont traversé une existence éprouvente.
Mais je conserve neanmoins l'espoir que gagner de precieuses années de vie reste à la portée de beaucoup d'entre eux.
"ils sont capables de grandeur, ils en ont la volonté"
Faut vraiment en finir avec cette idée que le tabac et l'alcool aide.
C'est l'inverse qui se produit, ces substances leur compliquent d'avantage l'existence, en ponctionnant leurs maigres revenus, en précarisant leur santé, et en leur donnant la sensation d'un apaisement qui au final n'est que le timide et éphémère contre-coup à la douloureuse et durable dépendance mis en place par la substance elle-même.
L'alcool et le tabac ne font qu'une chose : compenser le manque constant d'alcool et de tabac.
@peri
C'est certainement la réalité.
Mais pourquoi les gens qui ont une vie difficile ont-ils en plus tendance à mal manger,boire, et fumer ?
Sans doute parce que ce sont les seuls petits plaisirs qu'ils peuvent s'offrir .
Qu'ils choisissent de s'offrir.
Car comme je l'ai souligné, c'est des choix qui restent très couteux, en clopes, en alcool, en bouffe industrielle, souvent ultra-transformés et saturés en sel ou en sucre.
Les alternatives en prise de plaisir plus économes et plus saines sont légions. Seulement ça demande un peu d'effort, d'investissement personnel, voir d'exercice. Je ne dis pas que c'est facile, mais c'est possible.
Alors après bien sur, je ne suis pas réfractaire à l'idée d'abaisser l'âge de départ à la retraite pour certains, mais si on veut qu'un maximum de français profite de sa fin de vie, les efforts doivent être faits dans deux côtés, de l'Etat comme des contribuables.
@kallindra : oui, mais quand bien même, quel espoir offre t-elle en maintenant la retraite à 62 ans
à ceux qui mourront avant de les avoir atteints ?
Après il y aurait une solution qui consisterait à augmenter l'espérance de vie de ceux là.
Et c'est là où je ne vais pas me faire des amis ici, vu que ça ne peut passer que par une remise en question des gens concernés.
Parce que pourquoi meurent-ils si jeunes, (soit 15 ans sous la moyenne de l'espérance de vie), ces 25% parmi les plus pauvres ?
Pour d'évidentes questions d'hygiène de vie.
Parce que ce sont paradoxalement ceux qui dépensent le plus en produits nocifs et dispensables, comme le tabac, l'alcool ou la malbouffe. Je viens d'un milieu de médecins des Hauts-de-France, région où l'espérance de vie est la plus basse du pays. Et c'est le constat qui ressort de leur expérience.
Il suffirait juste pour beaucoup qu'ils stoppent la clope, freinent drastiquement la bouteille, et commencent à se mettre aux fourneaux au lieu de tourner au big mac ou à la pizza 7j/7. Ils y gagneraient et de l'argent, et quelques années de plus. Quant à se mettre au sport ? Allez ne grillons pas les étapes, une chose à la fois.
Oui, je sais, ça sonne "vieux con" d'aller dire ça. Mais c'est juste la réalité du terrain.
Et là où je ne te rejoins pas @Peri, c'est que la BO de HP n'est pas aussi pauvre que tu sembles le dire. L'effet recherché n'est juste pas le même, mais elle reste tout de même assez riche et variée (avec une préférence pour les films 1 et 5 en ce qui me concerne ^^).
J'avoue, j'ai été sévère.
Dans l'absolu, la musique de HP reste très bonne. C'est à la base du John Williams, et du bon. Le premier film a même raflé l'oscar pour ça.
Mais il faut être objectif, la comparaison porte ici entre le SDA et HP, et question musique il n'y a juste pas photo. Le SdA est juste un cran au dessus. Son palmarès, deux oscars pour trois nominations sur trois films, parle pour lui.
American story X, est un film trop classique, avec des bonehead clishé au possible, un film qui pu le "soit gentil pas méchant" sans aucune subtilité, et tiré au violon.
Je crois que le sens du film t'a échappé.
Non, ce n'est pas un film qui cherche à promouvoir la gentillesse sur la méchanceté. Pour ça, voir du côté de chez Disney.
American History X est un film sur la haine. Même pas sur l'amour, qu'on aurait pu être tenté de placer en opposition.
Non. Juste la haine. Et ses rouages.
On y suit le parcours de deux frères, qui ont en commun le fait d'être haineux. D'où vient cette haine ? Sont ils nés haineux ? Ou bien leur a t'on inculqué ? Comment l'expriment-ils ? Cette haine est-elle justifiée ? Ou même juste ? Est-elle salvatrice ? Destructrice ? A t'elle contribué à leur assurer un avenir plus sûr ? Plus heureux ? Dans le cas contraire, la haine est-elle irrémédiable, condamnée à s'auto-alimenter ? Ou bien y'a t'il moyen d'en casser le cycle vicieux ? Autant de questions auxquelles le film répond. De façon assez sage d'ailleurs.
et la fin est nul, je sais pas comment vous faites pour la trouvée bien, mais je sais pas holala
il meurt ces dur, regarde comment c'est pas bien d'être raciste...
Alors d'une, je me suis permis de rajouter des balises spoil dans ton texte, chose que tu aurais du faire.
De deux, cette fin tu ne sembles pas l'avoir comprise.
Le jeune qui tire est le frère de celui qui s'est fait tué plus tôt dans le film, en mordant le trottoir. La question ici est moins le racisme que l'escalade de la haine aveugle, où chaque acte de vengeance ne va servir qu'à préparer le suivant.
On a le père de Derek qui se fait tuer par un cambrioleur. En réponse à ça, Derek tue le gars sur le trottoir. Puis Danny se fait tuer par le frère du gars. Etc, etc... C'est un cycle de la haine et de la souffrance, injuste et sans fin. Le film nous confronte juste à l'absurdité de cette situation, avec cette simple interrogation : "on continue sur cette lancée ou pas ?"
Pour info "l'activité estimée risquée" c'est juste le fait que je me sois connecté (après une période d'absence relativement longue) et que je m'apprêtais à réaliser un achat. Je n'avais aucune autre transaction en court à ce moment là. Et aucun message de préavis ou de demande de confirmation ne m'a été envoyé. Non, c'est direct le ban. Sans raison.