Et j'ai adoré les 2 premières musiques du générique de fin, surtout la 2ème ! Ça donne la pêche
En effet.
Quant à moi j'ai particulièrement accroché sur le titre de Teddybears et Iggy Pop (scène finale ou Kal-El decide de visionner ses vidéos d'enfance de Smallville plutôt que celles de ses parents Kryptoniens)
Du côté de mon petit dernier, il a été perturbé par le titre suivant, qui commence par les 3 même premières notes que "J'ai demandé à la Lune" d'Indochine. C'est vrai que ça peut y faire penser.
J'ai beaucoup aimé.
C'est clairement le genre de film que tout le monde n'appréciera pas. Il nous plonge directement au milieu d'un univers développé, nous oblige à rattraper les wagons, et tente de caler un maximum de chose en un minimum de temps. Un peu comme si nous étions déjà devant un Superman 2 (sans avoir vu le 1), ce qui peut désarçonner les moins initiés à l'univers DC.
Pour paraphraser le youtuber Benzai, c'est un film riche et gourmand, mais à condition d'avoir faim de sucre.
Le film se permet par ailleurs une audace, en revisitant ici les intentions d'un personnage sacré du lore.
... puisqu'il met ici en opposition deux conceptions de la paternité :
Celle de Jor-El, père kryptonien de Superman, qui a placé en son fils les espoirs d'un projet... pas si louable que ça au final.
Celle de Jonathan Kent, le père terrien adoptif qui, de son côté, laisse totalement le champs libre à son fils, au détour d'une réplique qui a su raisonner en moi :
"Le rôle d'un père n'est pas de te dire quoi faire, mais de te donner les outils pour que tu puisses te ridiculiser tout seul."
On en a évidemment discuté après coup, mes deux grands garçons et moi.
Au final, le film est un bon feel-good, une excellente apologie de la gentillesse et ce, sans jamais tomber dans le niais ou le naïf.
On en ressort avec l'envie ( un peu "punk" ) d'être attentionné avec un peu tout le monde (là où un film Batman nous donnerait d'avantage envie d'aller péter des genoux ).
Petite parenthèse "blagues de l'Empire romain" (si si, ça existe)
Il parait que le blanchisseur de Jules César le saluait par automatisme...
... d'un machinal "Ave".
De même à Rome, un chausseur offrait une statuette à l'effigie du dieu de la Guerre pour tout achat d'une paire...
... dans le cadre de son programme de promo "Sandales et un Mars".
Savez-vous pourquoi 490 romains sont drôles ?
Parce que XD
@Peri je l'ai vu mais il ne m a pas laissé un grand souvenir contrairement aux Hot-Shots, Alarme fatale, Police Academy et Y-a-t-il un flic
bon je crois que je l ai vu avant Star Wars dont il me manquait peut etre des refs
L'une des meilleures restant John Hurt himself rejouant la scene du chestbuster de Alien.
Tenez, sinon je réalise que j'aurais peut-être du amorcer ce topic avec cette question, somme toute pertinente : Y'en a t'il par ici qui ont seulement vu le premier film ?
(c'est que la filmo de Mel Brooks, c'est un peu devenu un truc de niche)
@icescream c'est vrai que le pastiche et la comédie parodique n'ont plus tellement le vent en poupe. Ecrire sur ce theme semble aujourd'hui être devenu un jeu d'équilibriste, difficile à gérer pour beaucoup.
On pense notamment à Todd Philipps et Craig Mazin, qui ont tous deux commencé à l'écriture de comédies potaches (Borat, Very Bad Trip, Scary Movie), pour finalement bifurquer sur la réal de drames très sombres (Joker, Tchernobil, The Last of US).
Bref, on verra ce que la bande à Brooks aura à nous proposer. M'est avis qu'au sein de 40 ans de SF, il y a matière à détourner.
Mel Brooks qui, du haut de ses 99 ans, reprend son rôle de Yogurt, Rick Moranis qui sort de sa -trop longue- retraite pour enfiler à nouveau la tunique de Lord Casque Noir, sans oublier les Pullman père et fils au rendez-vous...
Je ne sais pas pour vous, mais je suis hypé.
Sans compter que, si pour la sortie d'un Starwars, les fans n'hésitent pas à ramener leurs sabres laser au cinéma...
Une image très connue sur les internet, mais que je n'ai pas souvenir d'avoir croisé par ici : l'intérieur de l'Holiday Inn du Terminal 4 de l'Aéroport de Londres-Heathrow.
(pour celles et ceux qui se demanderaient, il s'agit bien d'un plafond, et non du ciel.)
Cette image a lancé en 2019 la tendance des "liminal spaces" (ou espaces liminaires), des espaces de transition et de passage, généralement vides de toute présence, et présentant souvent une architecture et/ou une atmosphère oppressante ou surréaliste. Les célèbres Backrooms sont issues de cette tendance.
Quand je prends le train, et qu'un de mes voisins de voyage arrive essoufflé, genre 30 secondes avant le départ, je décroche mon téléphone et je fais mine d'avoir cette conversation :
Allo oui ? - petite pause - Non, c'est bon je suis dans le train pour [autre destination que celle prévue]. Ok, bisou.
@Shanna Jeanjean aurait'il cambriolé sa propre maison pour des questions de fraude à l'assurance ?
À tous les coups, son propre chien l'a reconnu, et a commencé à lui faire la fête.
Edit : ah non en fait : "personne ne l'a vu". Ca ne fonctionne donc pas.