AJA que Nino Quincampoix existe IRL.

Peut-être celle-ci a t'elle déjà été postée par ici.

Quel étrange animal identifiez-vous ici ?

Spoiler

Bonne réponse, c'était effectivement un chien.

En vous souhaitant à tous de passer une soirée plus passionnante que la mienne.

Un vieux clavier, qui marche parfaitement, mais qui était crade....

Mais crade.

Une tapisserie (tout ce qu'il y a de plus plat) représentant un tapis ondulé.

J’adore arracher des pissenlits. Si je m’etais douté il y a 3 ans encore que je développerais ce type de manie.

A l’époque, j’emménage dans ma nouvelle maison, avec mignon petit jardin, quoique laissé à l’abandon.
Le pissenlit est omniprésent sur ce qui en temps normal aurait dû être du gazon.

Du coup, ni une ni deux, je m’achète en magasin ce petit gadget,

un desherbeur manuel.

Et je m’attaque aux gros. Ça vient tout seul, c’est d’une facilité déconcertante. Une fois les gros expédiés, vient le tour des moyens, puis des petits (oui, je suis passé expert dans le gabarit du pissenlit).

Sur la fin j’étais à l’affût du moindre, frustré de ne plus en trouver, tel le craqueur de papier bulle frénétique, en manque et en quête des toutes dernières petites poches d’air encore intactes.

J’en étais venu à contempler avec envie ceux sur lesquels il m’arrivait de tomber hors de chez moi, sur la voirie, dans les squares ou même les jardins des amis.

(Mmmmh )

Problème de frein-à-main ?

@zion a dit dans [AJA] Aujourd'hui j'ai appris :

Aujourd'hui j'ai appris que le chat peut comprendre jusqu'à 60 mots !

Quant à moi j'ai appris qu'il peut en "miauler" jusqu'à 5.

• "Donne"
• "moi"
• "à"
• "manger"
• "connard"

(même si je le soupçonne de connaitre une pelletée de synonyme pour le dernier.)

Bonsoir tous,

En cette periode si réjouissante de confinement, quoi de mieux que le virtuel pour pallier ces belles randonnées que nous ne pouvons plus faire IRL ?

C'est pourquoi je vous soumet cette seconde balade à Enigme (la première n'étant plus à jour ni disponible sur ce forum mais soit) où je vous emmène à nouveau à Paris, au coeur d'un quartier que vous reconnaitrez surement...

Comme pour la première édition, le jeu se joue grâce à Google Street View, en se déplaçant et s'orientant au moyen de quelques informations et d'une petite story de mon cru.

Quelques informations sont à glaner tout le long du parcours, les gagnants seront celles et ceux à m'avoir communiqué sur ma boite privée un mot sésame de 8 lettres.

Tout va bien ? Alors c'est parti.

Groggy, je retrouve mes esprits

me demandant dans un premier temps où je suis, puis pourquoi cette grille sur le sol ressemble tant à un vieil iPod.
Dans ma main, je trouve ceci.

Les matricules écarlates ? Le nom de la P.C. ?

Qu'est-ce que c'est que ce délire encore ?
Bon, visiblement on attend quelque chose de moi. Il me faut trouver mon chemin.
Prenons donc la direction indiquée par ce parking à vélo.

La couleur rouge semble particulièrement présente dans ce parc. Cet étrange édifice par exemple, surplombé d’une grue, au milieu du gazon sur ma droite. Une lettre et un chiffre sont inscrit dessus. Peut-être est-ce... je vais les noter, dans le doute…

J’arrive à hauteur d’un edifice d’aspect plus ancien offrant un abri aux deux-roues et… qu’est-ce que c’est que cet utilitaire rouge garé devant ? Pourquoi cette couleur m’attire t’elle tant ? Je décide de bifurquer ici, et de me rapprocher de ce véhicule. Il me rappelle un peu le bâtiment précédent avec ses lettres blanches sur ses portières.

Le temps me semble menaçant, je ne serais pas contre l'idée de me rapprocher de cette étrange toiture ondulée, droit devant. Sait-on jamais....

Ah enfin un panneau indicateur. Rouge lui aussi ? Décidemment. Où aller ? Je l’ignore. Tirons à pile ou face. Pile, ca sera au sud ; face, au nord. C’est face.

Il ne me faut que quelques mètres avant d’être reconfronté à cette maudite couleur. Elle va finir par me rendre fou. Et tiens puisqu'on en parle, la folie semble ici évoquée. Peut-être était-ce aussi le cas sur l’édifice-grue de tantôt, je re-vérifierai à l’occasion. Et à nouveau une lettre et un numéro. Tiens tiens...

Sur mon chemin je rencontre des chaises de bois parfaitement alignées sur le gazon. Elles m'invitent au repos, me calment. J'aime le vert. Mais il me faut continuer. Tout droit.

Pas si loin, la « folie-rouge » s’empare à nouveau de moi. Une fois. Puis deux. Je me doute de ce qu’il me faut faire.

Très vite j’arrive à ce lieu qui, d'ordinaire, fait la joie des enfants. Mais pas aujourd'hui visiblement. Il me faut à nouveau choisir mon chemin. Je repasse sous la toiture ondulée. Mon Dieu, tout ce rouge ! Le bâtiment mitoyen, rayé et aux teintes désaturées, m'apaise. Je choisis de le contourner et ce faisant, le "rouge" tente à nouveau de m'affecter. Je lui échappe. Cette fois.

Je marche tout droit maintenant. M'aventurer trop sur la gauche serait dangereux. Arriverai-je jusqu’à hauteur de cette espèce d’énorme boule de pétanque sur l’autre rive, sans me laisser distraire par cette damnée couleur rouge que je ne cesse de rencontrer. Evidemment que je n’y arrive pas.

Tiens, une passerelle. "La folie" la jouxte. Passer dessous ne m’attire donc guère. Coupons donc par les arbres sans y prêter attention. Une seconde fois, je m'échappe de l'emprise du rouge.

Qu’est-ce que cela ? Une bicyclette ? Surement abandonnée il y a fort longtemps par quelque colossal géant, vu ses dimensions. Je n’ai pas le temps de m’y attarder, m'abandonnant à nouveau, dans un instant de faiblesse, au rouge. Tiens, « la folie » ne semble ici pas mentionnée. De l’autre côté peut-être ? Vérifions. Oui, elle y est. Je continue tout droit jusqu’à un poste de contrôle. Ses barrières restent abaissées ? Que nenni, je passe quand même.

A droite ? à gauche ? Il me semble que je n’ai guère le choix de toutes façons. Continuons.

Une nouvelle barrière ? Celle-ci est ouverte au moins. Un peu plus loin il me faudra traverser le canal, mais surtout, surtout, sans traverser la piste cyclable.

Oulah, ce virage en épingle à cheveux m’a surpris. Dans la précipitation, je manque de trébucher. Le temps de reprendre mes esprits, je remarque ce carton, fixé à un panneau de signalisation. Serait-ce…. ? Continuons.

Oui, la voila, elle n’était pas bien loin. Monter à son bord m’est impossible. Mais c’est sans importance, je pense avoir tout ce qu’il faut pour terminer.

Merci pour votre participation et bonne chance à tous !

Edit :

Conseil de game play. Il est plus simple de jouer depuis un pc, en affichant en simultanée, et la photosphère, et le plan.

ou même en affichant le récit en parallèle c'est encore mieux.

Hall of fame :
Ils ont bouclé le parcours et trouvé le mot sesame :
1- @Trichemire
2- @Shanna
3- @Moving
4- @Steliane
5- @Marmotte
6- @Ragnar

@jonesy a dit dans Unpopular Opinion :

De temps en temps je souhaite du mal à certaines personnes, ET je suis contente quand çà se concrétise.

Lao Tseu a dit, il faut trouver la voie "Si quelqu'un t'a offensé, assieds-toi au bord de la rivière et bientôt tu verras passer son cadavre."

C'est ce que je fais et ça marche.

Ca marche même d'autant mieux que 10 minutes auparavant, en général, je suis sur le pont qui est à 2km en amont, occupé à balancer le corps. Bref, c'est qu'un détail.

@Mnemmeth a dit dans QUIZ en live ce soir ! En criant son nom ! :

pourquoi le dino?

Si c'est en rapport à son âge, Brigitte n'a que 32 millions d'annees, contre 65 pour les dinos.

Franchement je ne sais pas quel foutu commercial est en charge du jouet surprise, mais après toutes ces années, c'est toujours la même balle en bois. Innovez un peu, sérieux.

@jool a dit dans Le jeu de l'image inadéquate :

@Orabig
Justement c'est tout ce qui fait le jeu des bluffeurs d'orienter les doutes selon les personnes visées, j'ai regardé attentivement les 2 saisons des Traîtres et c'était bluffant de voir comment les honnêtes s'éradiquaient entre eux sous le regard amusé des traîtres!

Ou regard amusé de l'organisatrice.

Car une hypothèse n'a toujours pas été avancée : celle voulant qu'il n'y a en fait aucun traitre, uniquement des gens honnêtes, et que @Shanna nous la fait à l'envers depuis le début.

En plus, c'est pas comme si je lui avais soufflé cette idée, il y a six mois à peine.

Quand j’organise un barbecue chez moi.

Mes potes : rappelle-nous ton adresse.
Moi : vous trouverez, vous en faites pas.

Il y a un jeu.
C'est pas mon préféré. C'est pas le plus beau, ni le mieux écrit auquel j'ai joué.

Mais il a réussi à m'affecter d'une façon à laquelle je ne m'attendais pas.

Ce jeu, c'est les Sims 1.

Quand j'y ai joué, il y a près d'une vingtaine d'année, je me suis retrouvé dans cette situation particulière.
J'avais simulé une petite colloc de 4 personnes qui tournait bien.
Et voila qu'est arrivé "l'élément perturbateur". L'une de mes sims s'amourache d'un voisin, lequel emménage illico. Ok. A l'aise le gars.

Ca aurait pu très bien se passer. L'ennui est que le gars était un gros flemmard, un parasite fini au sein de la maison et que, lorsque le couple a cassé, il est resté. Du coup, il a fallu que je lui emménage sa propre chambre, ce qui m'a couté des sous que lui ne me rapportait pas.
N'arrivant pas à le faire évoluer en mieux, j'ai cherché à le faire partir, en vain.
Il était solidement accroché au foyer, même si plus rien ne l'y retenait (sérieux, le voisin, t'avais pas un domicile avant ?)

C'est donc tout naturellement que j'en suis venu à l'idée... de le tuer.
A l'époque, les trucs et astuces pour tuer un Sim n'étaient pas particulièrement connus, il m'a fallu tâtonner. J'ai finalement réussi à le noyer dans la piscine.

L'intrus mort, je pensais que le quotidien allait reprendre son cours, comme auparavant. Sauf que ce décès a endeuillé mes sims comme jamais. Ils ne faisaient plus rien d'autres que se lamenter, passant leurs journées à se recueillir devant l'urne du mort. J'ai donc vendu l'urne et...

Stop.
Jeu en pause

Bon sang, qu'est-ce que tu viens de faire Peri ?

Tu viens de préméditer, et perpétrer un meurtre. Et tu as même poussé l'horreur jusqu'à vendre l'urne de ta victime, allant jusqu'à te faire de l'argent par ton refus à lui accorder la moindre sépulture.

Bien sur c'est virtuel, ce n'est qu'un jeu. Personne n'est mort.

Ca ne change pas le fait que j'ai choisi d'agir de la sorte. J'ai choisi de tuer, quand bien même c'était pas nécessaire, et surtout dans un jeu où ça ne s'y prêtait pas (on n'est pas non plus dans GTA ou dans Hitman). Je vous jure que sur le coup, ça fait bizarre. Comme si une part insoupçonnée -et particulièrement sombre- de moi-même avait temporairement pris les commande. On ne se sent pas reluisant sur le moment.

Je me souviens que j'ai alors senti le besoin de sortir prendre l'air et de réfléchir à tout ça.

C'est officiel, le journal "Le Parisien" change de nom et devient "Ma Mère".

Vivement les futures alertes/breaking news sur téléphone :

"Vous sortez ? Avez-vous pensé à prendre vos mouchoirs ?"
"C'était bien votre journée de travail ? Racontez nous."
"Allez, à la douche !"
"Vos coudes, sur la table !"

Cette question, nous nous la sommes tous posé au moins une fois, en réaction à un effet spécial particulièrement réussi, tels des spectateurs ébahis par un brillant numéro de prestidigitation.

Comment ont-ils réussi ce tour de force, ces magiciens du cinéma ?

Le paradoxe est que, plus les effets spéciaux gagnaient en qualité ces 20 dernières années, et moins la question se posait, la réponse toute-prête "boh c'est fait par ordinateur" tendant à s'imposer de plus en plus, siphonnant tout le côté magique de la chose.

Voila pourquoi je nous invite à nous reposer cette question, en partageant ici quelques effets visuels à la mécanique aussi mystérieuse qu'astucieuse, n'ayant -si possible- pas eu recours à l'informatique.

2001, l'odyssée de l'espace. (1968)
Au début du film, un voyageur endormi durant son vol spatial laisse échapper son stylo, lequel se met à flotter en apesanteur.

Sh ! The Octopus (1937)
En retirant sa perruque, une femme voit son visage changer radicalement.

Et de votre côté, en avez vous d'autres à partager ?
(vous n'êtes pas obligés de poster la réponse à "comment ça a été fait ?", c'est quelque chose que l'on peut aussi découvrir ensemble. )

L'un des derniers sur lesquels je suis tombé.

En français, le film Knight and Day est devenu... Night and Day.

: Tu as vu France ? J'ai fait un jeu de mot.
: Don't care.

AJA l'appellation "ligne de désir".

Elle désigne un sentier tracé graduellement par érosion, à la suite du passage répété de piétons, cyclistes ou animaux.
La présence de lignes de désir (à travers les parcs ou terrains vagues) signale un aménagement urbain inapproprié des passages existants.

Ceci est un jeu collectif et ponctuel.

Le jeu va consister ici à identifier 25 films d’après 25 pitchs de mon cru, la principale difficulté ici étant que…

L’histoire des films vous est donc présentée ici de façon détournée et/ou recentrée autour de situations/personnages secondaires.

Exemple :

"C'est l'histoire de deux nihilistes, qui ont pour principal délire de s'en foutre de tout et de se réfugier dans la bouffe. Leur chemin va croiser celui d’un dépressif, à qui ils vont réussir à rendre le gout de la vie et lui faire retrouver le chemin de sa famille."

Réponse :

Deux, trois choses à savoir, avant de commencer :

Chaque membre du forum n'a le droit de publier sur ce topic qu’une seule proposition de film par jour.

Si vous avez trouvé un nom de film, vous pouvez donc le poster ici sans balise spoiler, puis vous devrez attendre 24h avant de pouvoir en soumettre un autre.

• les films ici proposés sont très connus, ce sont principalement de gros succès du box office
• le nom du film peut être soumis dans sa VO comme sa VF, peu importe.
• gardez bien à l’esprit que si les pitchs sont trompeurs, ils n'en sont pas faux pour autant. Des expressions comme « un genre de... » ou « si ma mémoire est bonne » peuvent annoncer certaines inexactitudes ou approximations volontaires de ma part.

Tout va bien, chers amis férus de quizzes ? Si personne n’a de question, démarrons donc.

- Alors, c’est l’histoire (CLH)…

Film 1
CLH d’un jeune père qui perd sa femme dans des conditions particulièrement soudaines et violentes. Il se retrouve alors à éduquer seul son gamin, qui est handicapé, et ce jusqu’à ce que ce dernier se fasse kidnapper. Notre pauvre papa se lancera alors à sa recherche, en compagnie d’une déficiente mentale.

Film 2
CLH d’un type qui va opérer dans sa vie une énorme reconversion. Du jour au lendemain il va lacher son job de facteur, pour se recentrer sur son quotidien, des taches ménagères comme bricoler sa maison, optimiser son systeme de chauffage, remplir son garde-manger, alors que c’est le plutôt le genre de truc qu’on lui faisait auparavant. Bon il est pas tout seul pour gérer tout ça, il a un pote. Mais le genre de pote assez passif… voir même plutôt dégonflé, je trouve.

Film 3
CLH d’une femme, le genre très coquette et maniérée. Au cours d’un voyage, on va lui coller un animal encombrant dans les pattes. Ce qui dans un premier temps va fortement lui déplaire, mais avec le temps se noueront des liens entre eux. Résultat vous vous en doutez, l’animal sera du voyage de retour mais, sans surprise, s’adaptera très mal au monde citadin de notre dame. Il en mourra.

Film 4
CLH d’un couple qui, suite à l’initiative d’une de leurs amis, vont se retrouver à partager leur spacieux logement avec une famille, et - vous vous en doutez- ça ne va pas bien se passer. L’ambiance va s’envenimer à un point que ça va limite pousser la gamine de la famille au suicide. Du coup, face à l’impuissance de l’administration et des services spécialisés à leur venir en aide, notre couple va se résigner à faire appel aux services d’un freelance, qui apparement vit mal son célibat.

Film 5
CLH d’un flic. Mais vraiment bon flic, flic de choc qui ne compte pas ses heures et s’investit à fond dans son boulot, au point d’aller simuler sa mort pour mieux tromper ses adversaires. Oui, jusqu’auboutiste le gars.
Pour l’aider dans sa tâche, il peut compter sur deux fidèles acolytes. Deux gars efficaces mais bon, il y en a un qui a quand même des tendances bi-polaire, et l’autre des pulsions sadiques accompagnées d’un penchant fétichiste (tendance animal).

Film 6
CLH de deux frères. Pour une raison qu’on ignore, l’ainé ne peut pas blairer son petit frère cadet. On ne sait pas trop pourquoi, c’est jamais vraiment expliqué. L’ainé est même à ce point odieux et obsédé, qu’il va enquêter sur son cadet pour finalement s’apercevoir que ce dernier a en fait été adopté bébé. Il va cafarder tout ça aux parents et, alors qu’on s’attendrait à ce que les parents prennent le parti du jeune, c’est l’inverse qui se produit : ils foutent le cadet à la porte, le renient et le déshéritent. C’te famille de tarés. Tu m’étonnes après ça que le cadet finisse par se tourner vers un autre père de substitution.

Film 7
CLH d’un gars - sympathisant communiste, il me semble - qui est désespérément tombé amoureux d’une jeune femme des années auparavant, lors d’une de leurs premières collaborations professionnelles. Le souci est qu’elle va vite l’écarter de sa vie, allant jusqu’à recruter d’autres prestataires que lui. Lui évidemment, il va très mal le prendre, et va alors se lancer dans une cavale meurtrière à l’encontre de la concurrence, dans le but de reconquérir l’élue de son coeur.

Film 8
CLH d’une bande de petits receleurs. En gros les mecs, de petits délinquants notoires, se retrouvent en possession d’un trésor volé à un super gros baron d’un genre de mafia, le genre qui ne se bouge pas de son fauteuil et a juste à cligner de l’oeil pour envoyer ses sombres sbires à sa place. Ah oui, et à un moment il y a une grosse pieuvre.

Film 9
CLH d’un prof qui a une liaison avec la fille d’un de ses potes. Et une fille jeune en plus, on parle d’une ado. Le prof va ensuite la larguer sèchement, l’ignorer pendant des années, puis subitement renouer le contact, mais même pas pour s’excuser. Non, juste parce qu’il est intéressé par un bijou à elle.

Film 10
CLH d’un fonctionnaire écolo qui va se retrouver confronté à une bande de guignolos représentant un sérieux danger pour l’environnement. Notre écolo consciencieux, qui ne faisait pourtant que son job, se retrouvera viré et -comble de l’humiliation- recouvert de sucre.

Film 11
CLH de deux agents, style FBI, mais assez bourrins. Ils kiffent les gros flingues, les poursuites dantesques en bagnoles, et vont se retrouver à traquer un serial killer qui aime usurper l'identité de ses victimes. Cool en apparence mais nos deux héros passent aussi une bonne part de leur temps à contrôler et fliquer à outrance le moindre immigré qui se présente. Un peu réac comme film, si vous voulez mon avis.

Film 12
CLH d’un gars, le genre de nerd qui ne sort jamais au grand air, vit connecté quasi H24, et dont le boulot consiste à tromper les autres sous une fausse identité. Un jour il va rencontrer une fille dont il va tomber amoureux. Le genre de fille au tempérament sauvage qui va l’emmener faire plein d’activités, de la randonnée, du rodéo. Ce qui va finir par déplaire à certains de ses patrons (mais pas à tous).

Film 13
CLH d’un gars, un gars incroyable. Imaginez, le mec parle des dizaines de langues, s’investit à 200% dans son boulot et s’adapte à tout type de situation. Selon ce qu’on attend de lui, il est tour à tour médecin, pilote, garde du corps. En démarchage téléphonique aussi il assure. Il bluffe absolument tout le monde. Seul petit défaut : il lui arrive de s’embrouiller dans ses contacts, et de les confondre. Ah oui, et son logement c’est une vraie porcherie.

Film 14
CLH d’un gars qui, du jour au lendemain, va se retrouver harcelé par un stalker. Le stalker bien reloud qui, sans lui demander son avis, va s’improviser coach en carrière/séduction/virilité/motivation (le package « Male Alpha » complet, en gros), mais avec des méthodes super hardcore et intrusives. Du style à base d’entrée par effraction, et de réveils en pleine nuit. Mais bon au final, notre gars s’en sortira pas trop mal. Bien mieux que ce qu’on pensait initialement, même.

Film 15
CLH d’une fille séquestrée qui va profiter d’une catastrophe monstrueuse (dont tout porte à croire qu’elle a contribué à la provoquer) pour fausser compagnie à ses ravisseurs, non sans leur avoir subtilisé au passage un joli petit maggot. On pourrait penser qu’elle n’a pas de coeur.
Mais en fait si. Elle a un coeur.

Film 16
CLH d’un jeune homme qui va se retrouver en possession d’une boite de conserve. A l’intérieur, un message de détresse. Notre jeune, ce message va l’obséder. Contre l’avis des siens, il va tout plaquer du jour au lendemain et se retrouvera malheureusement endoctriné dans une secte - de celles qui forment des enfants soldats - qui le poussera à perpétrer un acte terroriste massif. Le 11 septembre à côté, c’est de la gnognotte.

Film 17
CLH d’un ado tourmenté, l’archétype du « coeur à vif ». Il aspirerait à une vie normal, mais le fait d’avoir été exposé à une substance toxique quand il était petit le condamne à vivre reclus, caché aux yeux du monde. Un jour, il est grièvement blessé alors que son domicile est attaqué et que son père adoptif est enlevé par un ancien rival. Heureusement notre ado pourra compter sur l’aide de ses frères. Oui, je ne vous ai pas dit ? Il a 3 frères. Armés.

Film 18
CLH d’un gars, emprisonné à tort, et qui va donc chercher à s’évader. Ce qui va pas être évident dans la mesure où il y a littéralement des caméras et des surveillants partout. Il y parviendra finalement en jouant sur la distraction du directeur de la prison qui est -on va pas se mentir- un peu trop dans la lune.

Film 19
CLH d’un explorateur qui entre en contact avec une communauté indigène. Ca se passe bien dans un premier temps avec l’ensemble du groupe, sauf avec le chef qui craint à la fois pour la sécurité de sa tribu, mais aussi surtout pour son autorité personnelle. Heureusement, à la fin ils deviennent pote. Ah oui, et à un moment il y a un dinosaure.

Film 20
CLH d’un gars qui n'a pas de chance. Déjà il se retrouve orphelin dés sa naissance. Ensuite il va vite se retrouver rejeté de tous, condamné à grandir isolé. Rien d’étonnant à ce qu’il se fasse du mauvais sang, si vous voulez mon avis. Chacune des interactions qu’il va tenter de nouer avec un proche va tourner court. Jusqu’à la fin, on lui refusera sa main tendue, et il se fera finalement purement et simplement mettre à la porte par une amie de son père.

Film 21
CLH d’un enseignant un poil fantasque et un peu lunaire, qui va un jour percevoir le potentiel incroyable qui sommeille chez un jeune. Il va donc se charger de le coacher, un peu en secret. Oui parce que le probleme c’est que le père du jeune, il voit pas les choses de la même manière, et aimerait bien que fiston prenne une toute autre orientation, avec bien plus de débouchés. Voila, que dire de plus si ce n’est que… à un moment y’a un genre de yéti.

Film 22
CLH d’un avocat qui se retrouve a gérer l’audit d’une entreprise. Un moment entousiasmé par les perspectives commerciales de la boite, il finira par se raviser et -littéralement- sentir un lourd probleme se profiler. Il finira grave dans la merde.

Film 23
CLH d’une star du divertissement qui décide de faire un break et d’aller rejoindre une sorte de communauté de hippies, le genre qui rejete tout systeme d’argent et ne pense qu’à baiser. Et ça va bien se passer, dans un premier temps. Jusqu’à ce que notre homme se fasse tuer par une créature marine après avoir trouvé l’amour.

Film 24
CLH d’un gars, apparemment vegan et collectionneur. C’est un passionné. Il est capable, sur un coup de tête, de voyager sur de très longues distances, de jour comme de nuit, en quête de LA pièce rare. Le gars ne demande rien à personne à part compléter sa collection. Or, souci : il va se retrouver confronté à de petits malandrins bien décidés à lui mettre des bâtons dans les roues. Et ça, c’est pas gentil. Surtout quand on est soi-même vétéran de guerre et qu’on n’a plus qu’une jambe.

Film 25
CLH d’un gars du showbiz qui cherche un peu à se renouveler. Du coup il va faire appel à -si ma mémoire est bonne- une grosse star du rock, laquelle va lui concocter un numéro de tueur. Mais vraiment de tueur. Au sens où les morts vont littéralement commencer à pleuvoir au rythme des applaudissements.

Bon courage et bonne chance à tous !