@art_tweek a dit dans "Et à l'Heure de la Mort", le film de la fachosphère :

J'espère qu'ils vont rendre l'argent

Mais lol !

Ils ont lancé une opération de collecte d'une opacité totale, sans jamais communiquer ni sur la somme à réunir, ni sur les fonds déjà collectés (comme ça se fait communément sur des plateformes comme ulule ou kisskissbankbank)

C'était clairement pensé pour pouvoir partir avec la caisse en cas d'abandon.

@Shanna

@icescream a dit dans Les choses grotesques dans les films :

@peri encore que ça arrive même si c'est très rare dans certains films ( les Infiltrés par exemple)

Pas faux. Encore que pour les infiltrés ou même Titanic, ça arrive vers la fin.

J'ai en tête quelques exemples de grosses têtes d'affiches qui passent l'arme à gauche dés la première moitié du film.

@Plume je découvre en te lisant que cette bouillie de pixels brunâte est un policier. Je me demandais ce qui coursait ce joggueur.

Je me réécoute du Elfman en ce moment.

Un titre (court, moins d'une minute) qui ne paie pas de mine mais s'avère diablement efficace, c'est "Lydia strikes a bargain" dans Beetlejuice.

En gros ce film a cette particularité de brouiller les pistes entre protagoniste et antagoniste. Le seul espoir des personnages principaux, celui qui doit sauver la situation, est aussi le vilain qui va l'envenimer.

Et ca se ressent dans ce passage où Lydia, prise par le temps, se retrouve contrainte de "libérer le fauve". Toute son hésitation est exprimée dans cette montée musicale, où même les sentiments du spectateur vont être amenés à alterner.

-Vas y Lydia, c'est ce qu'il faut faire... même si c'est une mauvaise idée... mais c'est la seule solution... une très mauvaise solution... vite dépèche-toi... de ne PAS le faire...

@Shanna a dit dans Des publicités qu'on ne comprend pas :

Jpp de la pub H&M (j'ai la chanson dans la tête depuis 3 jours, ça joue) :

Marrant comme cette pub s'amuse à nous annoncer des trucs qui n'arrivent pas.

Par exemple, à la fin, il y a la fille au lèvres argentées qui se laisse juste tomber en arrière. Ca, on connait. C'est typique le genre de mouvement qu'on a vu X fois dans des chorés et qui amène toujours à un genre de climax. En général, soit la fille est réceptionné par un ou deux mecs, soit elle plonge dans un genre de bain et fait voler en éclat, tantôt de l'eau, tantôt des paillettes, des pétales, des flocons, un peu tout ce qu'on veut. Le genre de petit "bouquet final" efficace pour finir une pub de ce genre.

Sauf que là, rien. Elle semble juste se rétamer lourdement sur... un canapé ? Une table basse ? On ne sait même pas très bien.

@doc-cranium a dit dans Des films d'horreur qui font vraiment flipper :

Le tout premier Halloween

Spoiler

ce passage où Mike Meyers émerge lentement de l'ombre derrière Jamie Lee Curtis...

Halloween, j'ai vraiment du mal.

Pas faute d'avoir essayé pourtant. Ca rentre vraiment dans ma catégorie du "c'est vachement bien... mais j'aime pas".

Car je ne nie pas ses qualités.
Je reconnais au film l'excellente mise en scène de Carpenter, les somptueuses musique et bande son (aussi de Carpenter), son statut de précurseur du genre slasher, le très bon jeu de Don Pleasance, l'image de Mike Meyes comme icone du mal, très novatrice pour l'époque.

Seulement voila, ça ne me fait pas peur. Je ne dois pas être sensible au genre. Ou bien je l'ai découvert trop tard, à une époque où il avait déjà été allègrement revisité et pastiché.

@icescream a dit dans Les tweets qui vous ont fait rire :

Si jamais vous trouvez un agent EDF par terre au pied d'un pylone, il ne faut surtout pas y toucher. Ses parents continueront de le nourrir.

Ah le bon vieux filtre jaune vert qui a rythmé les films d'action du début des années 2000.

• Les producteurs de l'époque : Le film Matrix a cassé la baraque avec sa colorimétrie verte, les spectateurs adorent !
• L'expression du bon sens : Euh oui mais dans Matrix c'était justifié par le code couleur de la réalité virtuelle qui est vert et...
• Les producteurs : DU JAUNE ET DU VERT PARTOUT !

(Précisons que la scène ne se passe pas au Mexique)

@Lapin a dit dans Elon Musk - Twitter c'est chaud ! :

@Peri Moi je pense que ton tweet était si drôle et intelligent que des filles du monde entier ont créé un compte Twitter le plus vite possible, sans prendre la peine de choisir un nom, pour pouvoir le liker. C'est ça le véritable charisme.

L'ironie c'est surtout qu'à l'époque, Elon nous avait chié une pendule parce qu'il venait -soit disant- de découvrir que le réseau social était saturé de faux comptes bot.

Et voilà qu'on assiste à un arrivage massif qui like à tout va.

@sylareen a dit dans Les choses grotesques dans les films :

@peri Ça m'énerve tellement quand un film ou une série ou un jeu ou quoi que ce soit m'oblige à augmenter le contraste de l'écran et/ou à demander toutes les 30 secondes à Kaernel "il se passe quoi là ?"

L'autre jour avec Madame on s'est maté le Dune de Villeneuve. Elle ne l'avait jamais vu, moi si.

C'était l'après midi, il faisait encore bien jour dehors. J'ai donc eu ce reflexe, avant la séance, de fermer les volets, ce qui m'a été immédiatement reproché. Ok ok, si c'est ce que femelle alpha veut, je rouvre.

Autant vous dire qu'on n'a pas tout vu de la scène suivante :

@LeaPierce a dit dans Elon Musk - Twitter c'est chaud ! :

Quel enfant

Et il le confirme un peu plus de jour en jour.

Depuis hier, les pastilles bleus des gens certifiés d'avant le rachat de Twitter par Elon, viennent de disparaitre. Bon nombre avait déclaré ne pas être intéressés par souscrire à la nouvelle formule "Twitter Blue", laquelle n'a plus rien à voir avec l'ancien système de certification.

Sauf que ce cher Elon a reconnu avoir "offert" l'abonnement à quelques personnalités qui y étaient pourtant opposés. En l'occurrence LeBron James, William Shatner, et Stephen King.

Ce niveau d'immaturité pour aller faire ça.

@jool a dit dans "Comment ont-ils fait ?" [un topic sur les effets spéciaux] :

Comment font-ils ce genre de méga scène qui en fout plein les yeux?

Images de synthèse.

C'est une scène spectaculaire, même si pas tellement dans l'optique de ce topic en vérité, où on privilégiera d'avantage ces anciennes petites ficelles de l'ordre de l'illusion.

Un exemple de notification que je reçois depuis quelques temps maintenant sur Twitter :

Je me questionne vraiment sur la pertinence de ce genre de proposition qui m'est faite.

Si encore Twitter me proposait de souscrire au contenu d'un compte que je suis et avec lequel j'interagis particulièrement, là oui, pourquoi pas ?

Sauf qu'en l'occurrence, il s'agit ici de souscrire à un compte que je ne connais pas, juste parce qu'un de mes contacts (Qui ? Mystère) l'a - apparemment- fait.

Ok, mais non merci.

@Shanna les concepteurs de la poupée :

Le directeur de la photo du film :

@Shanna je reste admiratif de sa capacité à jouer le désarroi profond, en toutes circonstances, là où n'importe qui d'autre aurait déjà été terrassé par quatre ou cinq fous rires.

Au final cette histoire est une excellente démonstration du pouvoir de la relativité.

En effet, seuls les gens qui ont été confrontés à Chuckesmee ont ensuite pu considérer la Renesmee CGI comme visuellement satisfaisante.
Le purgatoire semble si doux en comparaison de l'enfer.

Dans notre série "Elon grapille des sous comme il peut" épisode CLXXIIV. Aujourdhui, Elon limite le nombre de tweets lisibles même pour ceux qui ont payé.

Vous avez bien lu. Ce ne sont pas les publications de tweets qui se voient ici limitées (ce qui aurait au moins eu le mérite de passer pour une mesure anti-spam) mais bien leur simple lecture. Ce qu'aucun réseau social n'avait jusqu'à présent fait, encore moins à l'égard des membres premium, ceux ayant souscrit une formule payante.

Sans surprise, la décision a globalement été très froidement accueillie sur le réseau.

@Mai-Tai disons que la décision du riche d'investir dans de l'inutile n'est pas illogique, mais ca n'en rend pas moins le résultat grotesque.

@Hassage une décision effectivement ridicule.

On ne peut même pas la défendre via le prisme de la liberté d'expression puisque celle-ci garantit le droit à s'exprimer, et non celui à être écouté des autres.