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En passant, le Captain Popcorn annonce dans son tweet qu'il s'agit là c'est un spoiler. Je ne suis pas d'accord.

Car même si je pense que la série aurait gagné à garder le mystère autour de la présence de Bombadil, je considère qu'il est important de clairement définir ici le terme de "spoiler".

Relève selon moi du spoiler, toute information sur une fiction/un programme, volontairement gardée secrète jusqu'à la date de diffusion et destinée à n'être portée à notre connaissance que par le visionnage du programme seul.

Or ici nous sommes face à une information officielle révélée par les showrunners, et ce des mois avant la sortie du programme. Le genre d'annonce dont il est futile de croire qu'elle peut ne pas être abondamment relayée et partagée.

@Shanna a dit dans Terminator (série de films) :

@Peri Il nous faudrait un flashy-thing comme dans Men In Black pour pouvoir revivre cette délicieuse découverte (bon, à travers ses enfants c'est pas mal aussi hein !).

Totalement.

Tiens petit fun fact sur T2 :

"-Je viens de te le dire, je vais bien.
-Tu es sûr ?
-Janelle, qu'est-ce qui lui arrive à Wolfie ? Je l'entend aboyer, il va bien ?
-Wolfie va bien chéri, Wolfie va très bien. Où es-tu ?"

Ce dialogue de T2 a deux particularités amusantes :

1- c'est l'unique échange que le T800 et le T1000 auront de tout le film.
2- il s'agit ni plus ni moins que de deux robots tentant mutuellement de faire croire à l'autre qu'ils sont humains. Un genre de test de Turing à double sens.

@Cygoris a dit dans Encanto : La fantastique famille Madrigal (Encanto) :

mais comme je n'apprécie pas trop les chansons dans les D. A. et que je l'avais enregistré, j'ai pu accélérer

Les chansons sont justement ce qu'il y a de mieux dans ce film. Particulièrement bien écrites et mises en scène, elles servent et enrichissent la narration. Accélérer les chansons équivaut ici à retirer le chocolat avant de bouffer un BN.

@Shanna Totalement.

D'ailleurs, j'ignore quel personnage a initié ce cliché, au départ.
Là tout de suite je penche pour le Captain Dobey de Starsky & Hutch, mais si quelqu'un a une autre idée...

@Shanna a dit dans Encanto : La fantastique famille Madrigal (Encanto) :

Au final c'est un joli film que j'ai eu plaisir à regarder, même si ce sera pas mon film culte, une fois suffit.

Je pense que j'aurais été dans ce cas... s'il n'y avait pas eu mes gosses. Ils ont bien accroché aux chansons, et se sont empressés d'aller les chercher sur Youtube/Deezer sitôt sortis de la séance ciné.

Et autant une chanson disney passant en boucle peut très vite s'avérer horripilante (" LiBeRaAyY... "), ici rien de tout ça. Même si de base je perd toute objectivité dés qu'il s'agit de musique latine, ici force est de reconnaitre l'excellent travail de Lin-Manuel Miranda sur la compo musicale de l'ensemble du film.

Et puis, comment ne pas tomber amoureux de "Dos Oruguitas" ?

@Coyotito a dit dans Retour vers le futur (Back to the Future, série de films) :

Je n'ai pas tout lu de ce qui a été posté ici, alors peut-être que quelqu'un a déjà évoqué ce détail.
Dans le premier film, Marty est fils d'une famille qui a plus ou moins raté sa vie quand il part vers le passé.
Et quand il revient en 1985, il se voit lui-même partir avec la voiture de Doc.
Sauf que le Marty qu'on voit partir à ce moment là n'est pas le même, celui là a toujours vécu dans une famille qui a réussi et les anecdotes que lui ont raconté ses parents sont forcément différentes.
Dès lors, on se demande bien ce qui peut arriver en 1955 à ce deuxième Marty puisque la façon dont les parents se sont rencontrés s'est produite différemment du premier Marty.

Tout à fait @Coyotito .

Il s'agit là de la théorie des 2 Marty que j'avais soulevée ici il y a quelques temps :

@Peri a dit dans Retour vers le futur (Back to the Future, série de films) :

La théorie des 2 Marty

Dans les films, nous suivons Marty 1. Il a grandi dans une famille de losers (appelons-la Mcfly 1), fait un bon dans le temps, empêche la rencontre de ses parents, recolle les morceaux, revient dans le présent, assiste à l'assassinat de Doc et au départ dans le passé d'un Marty 2.

Un Marty 2 qui n'est pas lui, puisque celui ci a grandi dans une famille plus riche, plus "success", la Mcfly2.

Et c'est là que vient l'idée tordue. Si Marty 1 a bien façonné le destin de la famille Mcfly2, pourquoi Marty 2 n'aurait il pas façonné celui... de la famille Mcfly1 ?

Avec une permutation des deux fils.

Au final, nous n'avons suivi que les aventures de celui des deux qui y a gagné au change. Mais dans une timeline parallèle, peut-être y'a t'il un Marty qui a fini chez la famille McLose, avec la bagnole défoncée et Biff qui continue de leur pourrir la vie.

#multiverse

En passant je ne résiste pas à l'envie de partager ce gadget : une carte postale lenticulaire, sortie à l'occasion du 35e anniversaire de la sortie du 1er film, et rendant l'effet des frangin/frangine de Marty qui s'effacent de la réalité. Plutôt cool, non ?

https://x.com/Rainmaker1973/status/1883094577147752631

@icescream c'est vrai que le pastiche et la comédie parodique n'ont plus tellement le vent en poupe. Ecrire sur ce theme semble aujourd'hui être devenu un jeu d'équilibriste, difficile à gérer pour beaucoup.
On pense notamment à Todd Philipps et Craig Mazin, qui ont tous deux commencé à l'écriture de comédies potaches (Borat, Very Bad Trip, Scary Movie), pour finalement bifurquer sur la réal de drames très sombres (Joker, Tchernobil, The Last of US).

Bref, on verra ce que la bande à Brooks aura à nous proposer. M'est avis qu'au sein de 40 ans de SF, il y a matière à détourner.

J'ai été voir le film. Avec mes deux enfants.

J'ai beaucoup aimé.
C'est clairement le genre de film que tout le monde n'appréciera pas. Il nous plonge directement au milieu d'un univers développé, nous oblige à rattraper les wagons, et tente de caler un maximum de chose en un minimum de temps. Un peu comme si nous étions déjà devant un Superman 2 (sans avoir vu le 1), ce qui peut désarçonner les moins initiés à l'univers DC.
Pour paraphraser le youtuber Benzai, c'est un film riche et gourmand, mais à condition d'avoir faim de sucre.

Le film se permet par ailleurs une audace, en revisitant ici les intentions d'un personnage sacré du lore.

Au final, le film est un bon feel-good, une excellente apologie de la gentillesse et ce, sans jamais tomber dans le niais ou le naïf.

On en ressort avec l'envie ( un peu "punk" ) d'être attentionné avec un peu tout le monde (là où un film Batman nous donnerait d'avantage envie d'aller péter des genoux ).