@delnis a dit dans * Quizz * Saga Retour vers le futur * :

FINALE

AHAH ! QU'EST-CE QUE JE T'AVAIS DIT ?

88 POINTS !

@Shanna a dit dans Quand j'étais enfant, je croyais... :

@Hornet a dit dans Quand j'étais enfant, je croyais... :

Je croyais qu'il y avait des fourmis dans les kiwis.

What has been seen... can't be unseen

@shanna @Orabig

Navré, mais la 14 n'est pas The Mask, et la 20 n'est pas Edward Scissorhands.

Ce sont deux propositions interessantes, en particulier The Mask, Orabig. J'aime beaucoup l'idée du masque interprété comme coach de vie. Mais le film que nous recherchons est beaucoup plus clair quant à l'idée que notre héros réussit à globalement améliorer son existence par rapport à ce que nous autres spectateurs étions amenés à redouter.

Bon, je pense que nous sommes entrés dans une sorte de dernière ligne droite, avec seulement 4 pitchs toujours en lice (la 5, la 14, la 20 et la 23).

Sachez que sur ces 4 films, 3 disposent de leur topic sur popcornfr. Le 4e, non, mais il n'a pas à rougir des 3 autres en terme de "statut culte". Vous le connaissez et l'avez vu, j'en suis sur.

Quoi qu'il en soit, et vu que vous semblez commencer un peu à sécher, je pense poster ce soir vers 21h, des versions complétées de ces 4 résumés, et faire prochainement sauter la limite d'une proposition toutes les 24 heures, si jamais vous vous sentez toujours bloqués.

En vous remerciant encore pour votre participation à tous dés le début. Vous êtes des joueurs incroyables.

Applaudissez vous

@Jonesy a dit dans Le saviez-vous ? :

@Peri arrête je vais vomir

J'ai dit de pas googler. Tu les cherches les saletés, non ?

clique pas

clique pas, j'ai dit

mais c'est qu'elle insiste !

ok t'es vraiment sure ?

VRAIMENT VRAIMENT SURE ?

ATTENTION ! POINT DE NON RETOUR !

rien

ok j'ai menti

allez, j'arrête

non, je sais : on raccroche en même temps (hihi)

A trois...

Un...

Deux...

Trois...

T'as pas raccroché-euh ! •gloussement d'ado•

d'ado acnéique

(histoire de rester dans le thème)

@Koursk a dit dans Battles du cinéma (4ème édition) - Venez voter ! :

@Egon Je change le mot de passe du P.C.
La finale n'aura pas lieu.

Un récit que j'avais déjà posté ici.

Je le copie-colle tel quel.

Le contexte
il y a une quinzaine d'année, toute ma famille se donne rendez vous chez le grand-père pour y passer une petite semaine au bord de la mer, pas loin de Barcelone. Entre les voitures et les trains, chacun vient par ses propres moyens. On se dit qu'on se débrouillera en covoiturage pour rapatrier tout le monde en fin de séjour.
Seulement problème, on réalise bien vite qu'il manque de la place. Quelqu'un ne sera pas du voyage de retour, et devra se rabattre sur un avion. Ca tombe sur moi, le moins aérodromophobe de la bande.

Le jour de l'acte
C'était un dimanche. Toute la famille a pris la route très tôt le matin pour 11 à 12 heures de route. Ne reste que les grand-parents, résidents permanent. Moi je ne décolle qu'à partir de 18h et dispose encore d'une petite journée à profiter. Et justement il fait beau. Et il y a des vagues. J'adore les vagues.

Au bon endroit... au bon moment
Je ne me prive pas, je passe toute la matinée dans les rouleaux, à bodysurfer. Gamin j'en avais une planche pour prendre les vagues, elle a cassé, on ne m'en a jamais repayé une, et j'ai du faire sans. Du coup j'ai découvert le bodysurf en autodidacte, jusqu'à développer une technique relativement efficace, je dois le reconnaitre. Notez bien cela, même ça ne servira plus pour le reste du récit (j'avais juste envie de le placer).
Au bout d'une petit heure, la fatigue se faisant sentir, je décide de sortir de l'eau, quand une personne à proximité m'interpelle. Elle me fait des signes. Dans un premier temps, je pense qu'elle s'adresse à quelqu'un d'autre. Mais non, nous sommes seuls. Sans compter qu'entre les crachats et régurgitations de cette tête qui peine à dépasser de l'eau, je commence à reconnaitre des appels à l'aide, dans un espagnol paniqué.

"A toi de jouer bonhomme"
Nous sommes seuls, disais-je dans le paragraphe précédent. Il ne me faut pas longtemps pour comprendre que cette personne se noie, et que son unique espoir, c'est moi. En deux coups de crawl, je le rejoins et tente de l'agripper pour le ramener vers le rivage. Vous voyez ces scènes de films où tout semble se résoudre une fois que le noyé est rejoins par quelqu'un ? Bon, et bien dans la réalité ça ne se passe pas comme ça. Le courant est fort. Bordel, une baïne. Tu m'étonnes qu'il se soit fait avoir. En plus il est lourd. Plus petit mais plus lourd que moi. Je n'arriverai pas à le ramener seul. Il s'en aperçoit aussi. Il panique de plus belle, gesticule de plus en plus, s'agrippe à moi comme à un rondin. Ce con me pousse vers le fond. Il va me filer un coup et on va se noyer tous les deux si ça continue comme ça.

Tour d’hommes sous-marine
L'équation est simple. Soit les sauveteurs de la plage interviennent vite, soit je l'abandonne si je ne veux pas mourir moi aussi. C'est là que me vient une idée. Là où nous sommes, la profondeur ne dépasse pas deux mètres. Après lui avoir ordonné de crier, je prend une énorme bouffée d'air et je plonge. J'attrape les jambes du malheureux et je le hisse, du mieux que je peux, la tête hors de l’eau. C'est que nous sommes en Catalogne, Puta Madre !, la terre des Castells, ces tours d'hommes hautes de plusieurs étages (cliquez, c'est beau à voir). Mon record personnel d’apnée est de quelque chose comme 2 minutes 30. Là, avec la fatigue, les remous, le poids du mec, je ne dépasserai pas les 40 secondes, je le sais. Mais tout est bon à prendre. Je tiens la base du mieux que je peux, mon gars hurle tout ce qu’il a. Deux surveillants de plage l’entendent, se jètent à l’eau, et sont sur nous en 30 secondes.

Mais… mais c’est Daniel Craig !
Il est sauvé ! L’un des sauveteurs commence à le ramener jusqu’à la plage où un attroupement s’est depuis peu formé. L’autre se tourne vers moi. Je lui fais comprendre que tout va bien, il me laisse donc rejoindre le rivage par mes propre moyens. Après tout ça, j’allais quand même pas me pointer sur le sable en tant que « sauvé », même si c'est un peu le cas... J’ai ma petite fierté quand même. Et c'est là que vous devez commencer à vous dire « Eh mais il devait pas y avoir Daniel Craig dans ton histoire ? ».

Vous suivez, c'est bien...

... Le vrai Daniel n'était pas là, mais j'ai bien le droit de me voir comme je veux sur le moment, non ? C'est qu'il y a du monde qui me regarde.

L’épisode se finit ainsi. Je m’enquiers de l’état de mon infortuné compagnon de houle, pris en main par les secours. Il va bien. Plus de peur que de mal. Nous échangeons une poignée de main, et un regard. Ce regard, bon sang. Ce regard qui ne peut pas mentir et ne dit rien de moins d'autre que « vous m’avez sauvé la vie ». Ecrit comme ça ça peut avoir l’air ampoulé, mais en vrai je vous assure que ça vous traverse le coeur, en emportant un morceau de poumon au passage.

De retour chez mon grand père, je trouve ce dernier sur la terrasse, face à la mer, le regard perdu vers le loin, tel ces vigies de l'Histoire qui ont traversé l'existence en ayant vu trop de belles ou de vilaines choses.
-T’as sauvé quelqu’un ?
-Oui.
-Allez, viens à table, ça va être froid.

Ça commence à devenir gênant.

Sérieux, il y a encore des gens intéressés par ce que raconte ce clown ?

Ou bien les journalistes ne continuent de l’inviter que pour se marrer ?

Valls sur un plateau télé, c’est un peu le renouveau du dîner de cons, quelque part.

Un de ces spams qui me vendent du rêve.

Rendez-vous compte. Je n'ai même pas gagné un concours, j'ai gagné une participation à un concours. Trop de la chance. 🤩

Après vérification, ca ne venait même pas de Décathlon, c'était du gros phishing bien grossier.

Sérieux, quitte à chercher à nous piéger avec des promesses mensongères, arrangez-vous au moins pour qu'elles soient alléchantes, les mecs.
Parce qu'à ce rythme là, bientôt ils vont m'annoncer ma qualification (possible) pour une candidature (en liste d'attente) en vue de départager (par tirage au sort) des pré-sélections à la première manche d'un concours dont le premier lot ouvre (peut-être) sur bla bla bla...

Pour Willy Schraen, le président de la fédération des chasseurs, lorsque la météo annonce qu'il va faire chaud, ce n'est pas parce qu'il va faire chaud, c'est en fait de la propagande pro-NUPES.

Un autre épisode qui a aussi impliqué, et mon fils ainé, et ma bonne vieille lenteur à la "comprenette", il y a quelques années.

Je venais de m'acheter un rubik's cube avec la solide résolution de -enfin- apprendre à le résoudre.

J'y parviens via une petite méthodologie trouvée en ligne puis, prenant de l'aisance et cherchant à pousser la difficulté, le mélange puis m'attelle à le résoudre dans la configuration dite "checkerboard" :

"Comme c'est zouli"

J'y passe un poil plus de temps qu'avec la résolution classique, y parviens, laisse le cube en l'état sur mon bureau, puis vais me coucher.

Je me lève le lendemain matin pour retrouver sur mon bureau... le cube résolu ?

"Gné ?"

Je me tourne alors vers mon épouse.
-Euh, c'est toi qui... ?
-A ton avis ? Tu sais très bien que j'y comprends rien à tes casse-têtes

Sur le coup, ça commence à m'inquiéter. Je suis le seul dans cette maison à savoir résoudre l'objet. Et je n'ai aucun souvenir de l'avoir fait. Je commence à me dire que je dois avoir un "pète au casque". Ou bien que j'ai eu un épisode de somnambulisme, ce qui ne m'est pourtant jamais arrivé.

Quand mon ainé (6 ans à l'époque) déboule dans la pièce.

-Bonjour P'pa. Bien dormi ? Tiens t'as vu, je l'ai résolu.

C'était bien lui qui l'avait résolu. Tout seul sans aide.

Alors, sans pour autant vouloir minimiser le mérite de mon fiston, j'ai après coup réalisé que de passer de la config "checkerboard" à la config resolue (et vis versa), est en vérité très intuitif et à la portée du premier venu. En gros, il suffit tout simplement de pivoter chacune des 6 faces de 180°.

Au final, c'est moi qui m'étais juste bien compliqué l'existence en le résolvant une première fois la veille.

Dans la catégorie "ils osent tout, même les photos " :

Alors mon cher BHL, deux petits trucs à savoir pour une photo de guerre réussie :
1- Même si tu es profondément attaché à cette éternelle chemise blanche porte-bonheur que tu portes depuis plus de 40 ans, il n'y a aucun mal à l'échanger, le temps de la prise, pour un treillis et un gilet pare-balle. Vraiment, il n'y a aucune honte à se rendre au front avec cet équipement, les meilleurs le font. Ils le font même tous, en fait.
2- C'est très bien de se plaquer au sol pour se mettre à l'abri du feu de l'ennemi, un point pour toi. Juste, dans la mesure du possible, ne demandez pas à votre photographe de se tenir debout à côté de vous. Parce que dés lors, de deux choses : soit il est suicidaire, soit c'est peut-être qu'il y a zéro danger, en vérité.

La minute d'incompréhension entre mon fils et moi l'autre soir :

Il rentre de l'école.

-Papa ! Aujourd'hui on a fait une dictée, et devine quoi ? Y'en a plein qui ne savaient pas écrire "des pepnœuds".
-Comment ça, des pepn...
-Mais si, tu vois ? "Des peipneux". Toi tu sais l'écrire ?
-Ben euh... euh oui. Oui oui, évidemment -qu'est-ce que tu crois ?- Bien sur. Ah ah. Oui, les fameux "paip-noeufs".

Voila.
Ce fut notre minute d'incompréhension sur comment on écrit "d'épais pneus".

Le film est sorti. Les critiques sont dithyrambiques.

★★★★★
"Un pur chef-d'oeuvre, j'ai adoré".

★★★★★
"Courrez dans les salles, il faut le voir. Sinon je suis viré."

★★★★★
"Je n'avais jamais entendu parler de ce film, je passais par hasard devant la salle de cinéma, je ne regrette pas les 17 euros du prix du billet".

★☆☆☆☆
"C'est quoi cette merde ?"

La fève de la galette.

Par chez moi les avis divergent, si elle est à l'effigie d'un perso Minecraft, ou bien s'il s'agit d'un petit Hitler de 6 ans (oui, nous sommes une famille de ).

Un compromis à finalement été trouvé. On l'a baptisé Mein Krapft.

Le Masque de Zorro est un film d'aventures américano-mexicano-allemand réalisé par Martin Campbell en 1998, mettant en scène Antonio Banderas, Catherine Zeta-Jones et Anthony Hopkins.

Pitch
Après vingt ans de prison, Don Diego de La Vega, alias Zorro, qui a autrefois combattu avec succès l'oppression espagnole et qui est toujours poursuivi par la haine du gouverneur Rafael Montero, se cherche un successeur. Il rencontre alors un jeune brigand, Alejandro Murieta, qui a lui aussi quelques comptes a régler avec l'ancien gouverneur.

Film récemment revu avec mes enfants - histoire de les initier à l’un des héros de mon enfance, tout en leur montrant qu’on peut être justicier masqué sans pour autant être un super-héros en collant - il m'a fait réaliser 3 choses…

• Ce film a très bien vieilli. Même avec un scénario assez prévisible, il reste un excellent divertissement et représentant de ce genre quelque peu tombé en désuétude qu’est le cinéma de capes et d’épées.
  A l’heure actuelle où les héros virevoltent bien souvent de façon surréaliste, à grand renforts de CGI, les joutes sont ici réalistes, les chorégraphies élégantes et efficaces. Aucun artifice, juste des comédiens et cascadeurs maitrisant à la perfection l’art de l’escrime, de l’équitation ainsi que de la danse. Un bon bol d’air frais visuel.
  

• il s’inspire très librement du Comte de Monte-Cristo d’Alexandre Dumas, son duo de tête d’affiche, campé par Hopkins et Bandera, représentant les deux facettes d’un même Edmond Dantes.
  

  Spoiler

  Le premier se retrouve dépossédé de tout et emprisonné pendant 20 ans. Assoiffé de vengeance, il s’évadera en prenant la place d’un camarade de cellule mort, et en se faisant inhumer à sa place.
  Le second dissimulera sa véritable identité, se grimant derrière plusieurs personnages pour arriver à ses fins (successivement un prêtre, un aristocrate, Zorro)

• il va vous coller Tina Arena dans la tête pendant minimum 48h.
  « I want to spend my lifetime loving youuuuu »

Ah, Zorro le renard méxicain. A mon sens, le personnage conserve un réel potentiel. Et je pense qu’il serait même bienvenu de le dépoussiérer un peu. Il nous en faut plus des films Zorro. Je crois que ça ferait des Zeurreux.

Actuellement disponible sur Netflix.

Et vous, qu'en avez vous pensé ?

Difficile de passer juste après Koursk, pour ce qui est de vous partager ce mélange de fatigue et de lassitude qui a fait ma journée. Je serai donc bref.

Aujourd'hui c'était grève dans l'Education Nationale. Pas d'école pour les deux enfants. Préavis annoncé 48h avant, ce qui a tout juste laissé le temps de s'organiser. Madame en déplacement, je me suis retrouvé seul à la maison pour gérer marmaille et boulot en distanciel.

Mais c'est pas grave. Le ras-le-bol des enseignants est légitime. Je soutiens, ce que j'ai même stipulé dans le carnet de liaison.

C'est juste que... quitte à ce que l'école me contacte pile aujourd'hui, je me serais juste contenté d'un "merci".

PAS D'UN AVIS DE CAS CONTACT COVID !

Petit post "le sachiez-vous ?".

Dans le 3e Opus, Doc porte un foulard délavé, porteur d'un motif répétitif.

Spoiler

C'est un bout de la chemise qu'il portait dans le film précédent.

Cette chemise, représentant un train que deux cavaliers tentent de rattraper, fait d'ailleurs partie des nombreux foreshadowing présents dans le 2e film et annonçant des situations du 3e, avec le jeu vidéo Wild Gunman, le lancer de cendrier/frisbee sur Biff/Griff, ou encore le gilet pare-balle de Eastwood.

Si jamais il vous prend l'envie d'écouter le replay du Double Expresso, l'émission matinale de la station RTL2, datée du 06/04, vous risquez d'entendre, vers 1:15:30, un petit garçon lancer la chanson du jour qu'il a lui-même choisie : Hello, Goodbye des Beatles.

Tout ça pour dire que je suis très fier de mon fiston et de ses goûts musicaux.

https://www.rtl2.fr/programmes/le-double-expresso-rtl2

Relax...

... c'est juste un chat.

@peri a dit dans Le topic défouloir (quand t'as envie de rager) :

Je me souviens du week end de Pâques 2019.

C'était un dimanche en famille, au milieu des enfants, des oeufs, des chocolats.
Il faisait beau. C'était... simple. Simple mais très sympa.

Je ne l'aurais pas cru si on m'avait alors dit que le prochain pour moi ne se situerait pas avant... avril 2023.

Oui, -après deux confinements 2020-2021 - cette année c'est cas contact. Depuis ce matin. Avec Madame qui est positive, et contagieuse depuis surement trois bons jours. Du coup, confinés pour le week-end, et les festivités annulées au dernier moment.

Je ne me vois pas y couper cette fois avec le pote omicron, j'attends donc les symptômes avec impatience.

Petit point sur la situation.

On a respecté le confinement et nous sommes privés, bon gré mal gré, de réunion dominicale en famille. On a sagement fêté Pâques dans notre coin.

Entre temps les enfants ont tous deux tournés positifs, et les symptômes se sont clairement présentés chez moi la nuit dernière (tout le monde va bien, précisons le).

Du coup, je file ce matin en pharmacie pour un test antigénique, lequel va s'avérer... négatif.

Ok, aux yeux de l'assurance maladie, je ne suis donc pas malade. Mais absence de preuve n'étant pas preuve de l'absence, je préfère rester sur ma version officieuse -et prudente- comme quoi je le suis.

Enfin bon, à quelque chose malheur est bon.
Etre confiné dans mon jardin ce dimanche m'a donné l'occasion de repérer quelque-chose.

Notre cabane à oiseau

Dans notre cabane à oiseau

Frelon asiatique. Nid de 5 jours. Une unique reine, et une demi-douzaine d'oeufs en attente, bien au chaud.

J'ai eu de la chance de tomber dessus aussi tôt. A ce stade, un coup d'insecticide et c'est réglé. Initialement, il était prévu que nous partions ce week end, ainsi que le suivant. Sans l'intervention du coronavirus, j'ignore à quel stade avancé j'aurais fini par découvrir ce nid particulièrement bien planqué.