-
Nyanne
Pour moi cet homme symbolise une démesure que je n'apprécie pas vraiment....
-
Nyanne
lol comment est-ce que c'est possible d'avoir un projet pareil ?
En tout cas, il y a de l'imagination et de la persévérance !
-
Nyanne
@Barbouille a dit dans Transphobie de J. K. Rowling :
J'ai du mal à comprendre qu'une femme trans avec tout le bagage médicale qu'elle a se dise, "c'est bon j'ai un vagin, on va pouvoir me suivre comme n'importe qu'elle femme".
C'est pas forcément ce qu'elle se dit... peut-être même qu'il n'y a aucun praticien qui saurait s'occuper d'un vagin "artificiel", que le chirurgien qui l'a opéré est débordé, et qu'elle s'est tournée vers un gyné parce qu'elle n'a aucune autre solution !
Quand on voit déjà comme c'est difficile de trouver un bon gyné quand on n'est pas trans ! -
Nyanne
Merci de ces infos ! Je vais surement voir si je le trouve !
-
Nyanne
@Kallindra Ce n'est pas vraiment une question de "valeur" de la parole. En général, les personnes qui sont victimes de discrimination ont beaucoup de mal à faire valoir leur parole, et en général, cette parole n'a aucune écoute justement parce que c'est difficile de prouver quoi que ce soit, et parce que les personnes qui subissent des discriminations font en général partie de minorités.
Et les minorités, c'est très facile de les faire taire, tout est fait pour ça.Donc pour ma part, il faut quand même prêter une oreille attentive à ce qu'ils disent, et peut-être un peu plus attentive qu'à la parole d'une personne qui fait partie d'un ensemble dominant.
Ce n'est pas mettre les paroles sur une échelle de valeur, c'est tenir compte de l'environnement.
Deux paroles qui subissent un environnement différent ne peuvent pas être comparées en faisant abstraction de cet environnement.Et dans ce cas, le docteur a lui même dit qu'il n'a pas voulu ausculter la personne, donc il n'a pas fait son travail, ce qui mets le doute.
Après je ne condamne personne, je mets juste le doigt sur un doute.
-
Nyanne
La CNV, j'ai lu un peu dessus, et effectivement ça aide dans la vie quotidienne. Par contre je m'interroge sur ce livre et sur le lien avec la colère : Est-ce que ce n'est pas un livre qui donne des conseils pas très applicable, déconnectés de la réalité de la vie, et voire culpabilisant si on n'y arrive pas ?
(ce n'est pas un soupçon de ma part sur ce bouquin, c'est une vraie question)
C'est le genre de livre que j'ai l'habitude de lire, ça m'intéresse beaucoup. mais je me méfie aussi des tendance à la positivité toxique...
-
Nyanne
@Kallindra a dit dans Transphobie de J. K. Rowling :
@Lapin Je pense que la remarque de @Barbouille peut être appuyé par la personne trans qui a exposé sur les réseaux pour soi disant transphobie un gynéco qui ne "voulait" pas la recevoir, est allée à TPMP et que Hanouna a appelé en direct le gynéco en question qui a dit en substance : "Je ne suis pas transphobe, je ne suis pas formé pour traiter cette personne donc ma secrétaire lui a dit que je ne la recevrais pas en consultation".
Après, il faudrait vraiment être idiot pour dire "oui, oui, je ne l'ai pas reçu parce que je suis transphobe" quand on sait qu'on passe en direct à la télé...
Du coup, est-ce que c'est vraiment fiable, cette réponse ?
Pour ma part, je considère qu'un médecin qui va nous ausculter et dire : "je vous envoie chez un collègue parce que ça dépasse mes compétences (voilà ma lettre de recommandation)", c'est bien entendu une situation tout à fait possible et qui arrive à tout le monde.
Par contre, décider qu'on ne va pas pouvoir soigner, avant d'ausculter, sans même savoir quelle va être la question ou la problématique, à mon sens c'est très douteux, et ça ne me parait pas exclu que ça sorte complètement du serment d'hypocrate...
-
Nyanne
J'avais découvert cette bd il y a quelques années, et j'avais acheté la série. Elle est vraiment riche instructive, et très bien faite. Elle permet une approche facile et ludique à une question qui est quand même bien moins facile, et parfois difficile à comprendre. je recommande...
-
Nyanne
Je n'ai pas trop l'habitude de changer mon avatar toutes les 5 mn, mais j'aime bien Halloween, c'est pour moi une belle occasion...
-
-
Nyanne
@Mai-Tai En effet, il y a aussi les situations d'emprise et les violences psychologiques, et là ça concerne tout le monde, quel que soit sa force, mais aussi quel que soit son genre, hommes ou femmes, cis ou pas.
-
Nyanne
@Kallindra L'acceptation des personnes transgenre est une question intime, et chacun a sa propre position.
Considérer les femmes transgenres comme ses égales quand on est une femme, ou l'inverse, ça relève de l'intériorité de chacun.Et ce n'est pas un problème.
Pour ma part, je considère qu'il existe des grandes, des petites, des femmes qui sont des armoires à glace et d'autres qui s'habillent en 14 ans. Des hommes aussi. C'est la diversité.
A mon sens, la présente des personnes trans n'est qu'un très léger élargissement dans la diversité, cette diversité qui fait déjà qu'on n'a pas toute la même force.Mais ce n'est que mon opinion, qui ne vaut pas plus que celle des autres.
Cependant, au contraire des opinions intimes, quand c'est la société qui n'accepte pas cet élargissement de diversité, ce qui entraine que les personnes transgenre accèdent à moins de soins, de soutien social ou tout autre service dont bénéficie la population, je trouve que c'est un problème.
-
Nyanne
@TheBigNul a dit dans Transphobie de J. K. Rowling :
Déjà elle vit pas en France.
Ensuite faut définir discrimination dans le cadre de la loi. Si t'es discriminé parce que t'es grassouillet par exemple, légalement tu sera pas aidé.
J'ajoute qu'elle a légalement le droit de choisir les gens qui sont accueillies dans son établissement. C'est valable dans plusieurs pays ce droit de choisir la clientèle (je sais pas si c'est valable en France mais si c'est le cas c'est certainement peu pratiqué), par contre il faudra le justifier pour une autre raison que ce qui est considéré légalement comme de la discrimination (racisme par exemple).
C'est aussi illégal en Angleterre :
Légalement, choisir les gens qu'on accueille dans son établissement sur une base discriminatoire, ce n'est pas autorisé.
Si on refuse un service à une personne parce qu'elle est trop grosse, c'est interdit aussi. Idem pour un motif qui serait en lien avec le genre, ou avec la confession religieuse, etc...
A partir du moment où on a une activité publique ou commerciale, la loi dit qu'on ne peut pas faire de discrimination.
Ce n'est même pas une question d'opinion, c'est le cadre le la loi. Ce cadre n'est pas à définir, il est déjà défini.Effectivement, si quelqu'un pratique cela dans son établissement et qu'on souhaite faire en sorte que la loi soit respectée, il faudra apporter des éléments lors de son dépôt de plainte. Normal.
Par contre, si on n'a pas envie d'inviter une personne transgenre ou une personne en surpoids chez soi en tant que particulier, on a à priori le droit.
-
Nyanne
@TheBigNul La discrimination est punie par la loi :
Je ne sais pas si mon opinion est la bonne, mais en tout cas, c'est la mienne. Et comme tu dis, libre à chacun de l'exprimer...
-
Nyanne
@Kallindra Toutes les femmes transgenre sont loin d'être des sportives de haut niveau ! on ne peut pas faire une généralité en prenant le cas de quelques sportives.
Et quoi qu'il en soit, ça ne me semble pas une raison suffisante pour leur refuser de l'aide si elle sont en difficulté, par exemple dans le cadre de violences conjugales.
-
-
Nyanne
@Hilda-Van-Holp a dit dans Transphobie de J. K. Rowling :
Elle doit estimer que les femmes transgenres ont la force de se défendre si elles sont battues contrairement aux femmes basiques je suppose.
Elle a aussi affirmé haut et fort que pour elle, les femmes transgenre ne seront jamais des femmes.
Alors que souvent, on se rend compte que avec la prise d'hormones, elles ne sont généralement pas plus costaud que les femmes cisgenre...
Et en plus fragilisées psychologiquement par leur parcours de transition. Donc des proies facile pour les pervers...
Donc elle ont aussi besoin de protection. -
Nyanne
@Ouma Oui, c'est vrai, c'est une corrélation un peu excessive. C'était juste la question du principe.
-
Nyanne
Pour ma part, je pense qu'on ne peut pas justifier des actes aussi violents que ceux qui se sont dernièrement passés sur des motifs datant de plus de 2000 ans.
Si c'était le cas, en serait encore en train de se battre contre les italiens qui nous ont envahis dans le cadre de l'empire romain. (voilà l'occasion de penser à l'empire romain lol).
Les sionistes revendiquent pour des raisons historiques leur présence sur la terre de l'ancienne Judée, et à Jérusalem qui est un haut lieu de leur culture religieuse.
Or il se trouve que cette région est le berceau de toutes les religions ! Il en est aussi question dans l'histoire chrétienne et musulmane.Donc quoi qu'il en soit, il y aura toujours un motif pour se disputer cette terre.
Mais que faire ? Je sais que ce n'est pas possible, mais ça devrait être une "terre blanche" qui n'appartient à personne, gérée par tous les pays ensemble. Oui je suis utopiste...
Dans ce qui est possible de faire à notre petit niveau, je crois que la meilleure attitude est celle de la neutralité, et de condamner tous les actes violents, quels que soient leur origine.
Chaque partie a des arguments recevables.
Par contre, le fait de devenir criminel à cause de ces arguments, ça, ce n'est pas recevable.Ils devraient avoir une obligation de trouver un terrain d'entente hors violence, imposée par la communauté internationale.
Le problème c'est : comment leur imposer ? (sans rajouter encore de la violence, ce qui n'aurait pas de sens) -
Nyanne
@Ouma a dit dans Transphobie de J. K. Rowling :
Ben en fait moi je comprends les deux.
C’est discriminant pour les trans, mais bon c’est elle qui a créé le centre donc ça me choque pas qu’elle fasse ce qu’elle veut.
Si moi je créais un truc et qu’on voudrait changer mes règles bah ça me plairait pas forcément.Ta remarque m'interpelle, ce n'est pas parce qu'on est "chez soi", ou qu'on a ouvert le lieu public soi-même, qu'on peut faire ce qu'on veut, entre autre de la discrimination qui est, entre parenthèse, interdite par la loi.
Si on veut ouvrir une auberge et qu'on envisage d'assassiner les gens qui y rentrent, on n'a pas le droit, même si on est "chez nous".
Là oui, il faudrait changer les règles, et ça serait normal...