Les épilations intégrales pour les femmes, ça vient de l'essor du porno dans les années 90. Avant, on ne se posait pas la question.
Rien que pour ça, ce n'est pas ma tasse de thé... Et je n'imagine même pas la souffrance que ça doit être !

Une petite coupe à la tondeuse pas trop courte de temps en temps, pour l'hygiène, c'est bien suffisant.

Pour le reste, les poils sur les jambes ou les aisselles, maintenant je n'en ai pratiquement plus, mais ça m'a bien cassé les pieds pendant ma vie de jeune femme, étant très brune. Mais je n'étais pas une acharnée, et je laissais une belle jachère pendant toute la saison froide, pour limiter au maximum cette contrainte.

Quant aux hommes, pour ma part, poilus ou pas, ça n'a pas d'importance.

@Hilda-Van-Holp a dit dans Votre parcours scolaire et le métier que vous faites à présent :

Si ils passent moins de temps tant mieux pour eux. Moi ce que je veux c'est que le travail soit bien fait. Généralement ils font tout en continu et l'après midi ils ne bossent pas.

C'est formidable d'offrir cette possibilité ! c'est même assez rare.

Pour ma part, si je l'avais, je pense que je ferais 2 fois moins d'heures, pour la même production. (d'où ma présence ici...)

Effectivement, il ne faut pas mettre en opposition les emplois "physiques" avec les emploi tertiaires. D'abord parce qu'en général ceux qui font l'un ne saurait pas faire l'autre et vice versa. Et il y a des compétences très estimables des 2 cotés.

Mais c'est vrai que les emploi physiques abiment le corps, c'est incontestable, et ça devrait avoir plus de valeur marchande.
En parallèle, il arrive que les emploi "de bureau" abiment le mental, et c'est pas chouette non plus.
Rentrer du boulot avec l'esprit en vrac, parce qu'on a eu du mal à supporter la désorganisation d'une administration ou des pressions psychologiques, c'est bon pour personne. Mais quelque part, ça fait presque partie du taf ! (dites moi si ça sent le vécu lol)

Il ne faut pas oublier que à la base, le SMIC était censé être le salaire "minimum", et qu'il est très rapidement devenu le salaire "de base" et celui de beaucoup de gens.
Alors que c'est pas la même chose...

@Kitsune je suis convaincue qu'il doit y avoir des exemples comme ça à la pelle... c'est dramatique, et tellement injuste !

@Cynthia80 a dit dans Votre parcours scolaire et le métier que vous faites à présent :

@Mayhem non, il y aussi la reconnaissance pour les actes du quotidien, que tu appelles du travail. Salaire =impôts, donc non tout ne mérite pas un salaire qui gonfle les impôts.

Ce n'est pas ma vision non plus. Je pense que le travail, c'est bien plus que juste une question d'impôt.

Mais comme tu as dit que tu avais eu une mauvaise expérience de salariat, peut-être que ta vision vient de là.
Je la trouve quand même un peu dévalorisante, c'est dommage.

Mais bon, ça prouve bien que pour un même mot, chacun peut avoir une vision complètement différente.

@Cynthia80 a dit dans Votre parcours scolaire et le métier que vous faites à présent :

@Nyanne oui mais on ne te paye pas pour ce travail. Chez soi on n'a de compte à rendre à personne, on a juste la satisfaction du travail accompli, alors qu'au boulot aucune reconnaissance et des conflits tout le temps, c'est comme ça que je l'ai vécu, c'est pas une généralité.

Quand on est à son compte aussi ! on n'a de compte à rendre à personne.

Je comprends que tu l'aies vécu comme ça, je ne le critique pas du tout.
Mais pour ma part, je ne fais pas forcément de relation entre le travail et l'argent. Pour moi, le travail, c'est faire des tâches, et l'argent, c'est un moyen de paiement.

Il y a des situations où effectivement, on gagne de l'argent avec son travail, mais on peut aussi faire du travail qui n'a rien à voir avec l'argent, et inversement : parfois on a de l'argent alors que ce n'est pas le fruit de notre travail.

C'est 2 choses indépendantes à mon sens.

@Mayhem 2 choses stressantes dans la même journée, c'est vrai que c'est pas mal.
Il ne faut pas penser aux deux en même temps. D'abord la première, et on laisse de coté la 2ème. Et quand la 1ère sera faite, il sera bien temps de penser à la 2ème.

Et pour se désangoisser, rien de tel que de s'imaginer le vendredi soir quand ces 2 choses auront été faites !

Chaque minute suffit sa peine !

@Hilda-Van-Holp sympa, le blanc, je ne connaissais pas non plus. Ca doit être joli l'été quand on bronze !

@Cynthia80 ce n'est pas un travail salarié, mais c'est "du" travail quand même.

Le travail n'est pas forcément salarié.

Quand on doit aller biner ses tomates, on dit bien "j'ai du travail"...

@Mayhem oui, c'est vrai. Et comme je l'ai dit plus haut, il peut arriver que parfois ça soit plus facile de passer une journée au boulot qu'une journée à s'occuper des enfants.

Quand on est au boulot, on a une tâche à faire et on a en théorie les moyens de la faire en paix. A la maison ,c'est pas toujours le cas, on a mille choses à faire, et jamais tranquille.

Mais bien sur tout dépend du nombre d'enfants, leur âge et de leur tempérament !

@Cynthia80 C'est cool ! Je n'ai aucun doute que tu es très utile à ta famille, et il n'y a pas forcément besoin d'être salariée pour avoir une "utilité sociale" (si tant est qu'on doit en avoir une). L'important est d'être bien dans sa vie au présent et d'assurer son avenir.

Effectivement, le monde du travail, c'est pas des gentils, et on peut avoir mille raisons de l'éviter !

@Barbouille en effet : Bébés sans bras : « Il y a une incompétence des autorités de santé »

@Cynthia80 a dit dans Votre parcours scolaire et le métier que vous faites à présent :

@Nyanne mon fils est parti, je suis seule à la maison, le compte joint est alimenté par le salaire de mon mari et les dépenses sont dessus, donc pris sur son salaire. Je n'ai pas de compte personnel, donc je ne paye rien.

Si cette situation te convient, il n'y a que toi qui sait. Et peut-être (je te souhaite) que tu n'auras jamais aucun problème de couple et que tout ira pour le mieux pour toi !

Moi j'aurais tendance à dire que c'est mieux de se protéger un peu, ou même éventuellement de reprendre un travail maintenant qu'il n'y a plus d'enfant à la maison, mais ne connaissant pas ta situation, ça serait une idée en l'air. Chacun évalue sa vie, et il y a souvent beaucoup beaucoup de paramètres...

@Barbouille Purée, c'est chaud...

Et il n'y avait pas une polémique de ce genre avec les bébés sans bras ? qui n'a sans doute jamais été élucidée...

@Cynthia80 a dit dans Votre parcours scolaire et le métier que vous faites à présent :

@Hilda-Van-Holp je suis femme au foyer, tout est au compte joint et chacun son épargne, mais tous les contrats sont au nom de mon mari.

Oulala ! ça me rappelle une vieille histoire ! De la même façon, lorsque j'étais mariée il y a longtemps, les comptes d'épargne étaient au nom de mon conjoint qui me disait : "de toute façon, tu as procuration"...
Je me m'étais pas inquiétée, même quand on a commencé à entamer une procédure de divorce, je ne le pensais pas aussi pourri... eh bien si !
La procuration a disparu du jour au lendemain, avec l'argent...

De plus, il me semble quand même qu'on a des frais quand on est mère au foyer : on paye les courses, les vêtements des enfants et on est généralement en charge des frais de toute la maisonnée. Il ne faut pas que le congé parental passe dans toutes ces dépenses pendant que Monsieur met des sous de coté...

Moi j'ai bien apprécié les 13 ans ou j'ai été mère au foyer. J'ai fait énormément de bénévolat, j'ai eu une petite entreprise à moi, à temps choisi, et j'ai été disponible pour mes enfants.
Même si j'ai pu manquer à certains moments de vie sociale, je ne regrette rien.

Mais ce n'est pas toujours aussi idyllique, ça dépend de plein de facteurs, on ne peut pas vraiment faire de généralité.

En tout cas, quand j'ai repris le boulot, je me suis souvent dit que c'était plus "reposant"...

En fait, le problème ne se situa pas au niveau de la retraite, mais au niveau de l'écart entre les bas ou les hauts salaires.
Il y a d'un coté des gens qui bossent toute la semaine et qui peinent à payer leur loyer, et d'autres qui bossent aussi toute la semaine et qui pourraient payer 10 loyers.

Alors, bien sur, c'est normal qu'il y ait des différences de salaire selon les responsabilité, les études, l'investissement, mais c'est l'écart qui est contestable, et qui n'est pas cohérent. La valeur du travail est biaisée.

Et par conséquent, le calcul des retraites répercute cette incohérence dans les salaires...

Excellent ! Merci !!!

@Artelise a dit dans Votre parcours scolaire et le métier que vous faites à présent :

Mais en même temps, on fait comment la différence entre quelqu'un qui n'a presque jamais rien foutu de sa vie de manière "volontaire" et quelqu'un qui n'a guère eu le choix (maladies, recherches d'emploi infructueuses, soutien de famille) ?

C'est tout à fait vrai. Et c'est vrai aussi qu'à partir du moment où on a des gosses, on ne fait pas "rien".

Ce temps qu'on passe hors du salariat est utile à toute la société, par le fait qu'on aura suivi correctement notre enfant, qui en théorie, devrait être mieux cadré que les parents qui travaillent toute la journée. (ce qui ne veut pas dire qu'on n'a pas la possibilité de très bien élever son enfant si on bosse)
De plus, les parents qui se consacrent à leurs enfant font souvent du bénévolat, ce qui est utile aussi.

Effectivement, ce n'est pas la même chose qu'un emploi salarié, mais la sanction est quand même importante au final, alors qu'on n'a pas servi à "rien".

J'ai passé difficilement un BTS étant jeune. L'école, ce n'était pas fait pour moi car je n'étais pas très disciplinée. Mais en redoublant, j'ai fini par arriver à un bac + 2.

J'ai ensuite eu plusieurs emplois tertiaire : télévendeuse, assistante commerciale, puis j'ai arrêté de travailler pendant 13 ans pour m'occuper de mes enfants.
Quand mon mariage a commencé à tourné vinaigre, j'ai recherché du travail, et j'ai eu la chance d'en trouver rapidement dans une administration qui s'occupe des personnes en recherche d'emploi. Maintenant, je suis conseillère en insertion professionnelle et j'aime beaucoup ce que je fais.
Et heureusement, parce qu'il me reste encore quelques années avant la retraite...

Pour ma part, je n'ai pas toujours eu des animaux. Quand j'étais enfant, moi père n'aimait pas les animaux. C'était assez étrange, je n'ai plus jamais vu quelqu'un les détester à ce point.
Beaucoup de gens y sont indifférent, mais ne les détestent pas. Mon père manifestait un dédain immédiat et visiblement profond, une réelle aversion, pour tout ce qui était chien ou chat.

En grandissant, je me suis dit qu'il avait surement un vécu particulier au regard de la situation de fragilité que représente l'animal qui dépend de l'homme, et du fait de s'y attacher. Mais ayant eu une enfance difficile, mon père avait quelques désordres psy, même si ça a été un très bon papa pour moi.

Autant dire que la question d'avoir un animal ne se posait pas quand j'étais petite.

Mais un jour quand je devais avoir 16 ans, ma cousine nous a ramené un bébé épagneul qui allait être certainement euthanasié si on ne le prenait pas. Ma mère avait insisté, ma soeur aussi et mon père a fini par céder, non sans manifester son mécontentement, et affirmer qu'il ne faudrait rien lui demander.

Sans être maltraitant, il a été effectivement très dur avec cet animal, et le reste de la famille a compensé. Ce qui a fait que dans ce contexte, ce pauvre chien qui était au demeurant adorable, a été très mal élevé.

Par la suite, j'ai eu des chats. Là aussi, en fait, on ne m'a pas demandé mon avis car c'est mon ex-mari qui un jour est rentré avec un chaton du boulot.
C'était un peu délicat parce que j'étais enceinte, mais je m'y suis faite, parce que j'aime les animaux, et que j'aurais sans doute voulu en avoir dans mon enfance.

Mais j'habitais à la campagne, et une vie de chat à la campagne, c'est souvent très aléatoire.
J'en ai eu plusieurs, qui ont tous finis par disparaitre à un moment ou à un autre. mais ils avaient une belle vie de chasse et de liberté !
J'ai eu (ou mes enfants) également plusieurs sortes de rongeurs car j'aime beaucoup ces petites bêtes. Mais ce sont des animaux très fragiles et les soins qu'ils demandent ne sont pas si simples.

J'ai eu aussi des poissons, et j'en ai encore. C'est un peu ma passion, j'adore ce petit bout de fond marin que l'on peut avoir chez soi, je trouve ça très reposant. Mes poissons n'arrêtent pas de faire des bébés, ainsi que mes escargots aquatiques. J'ai aussi des crevettes, et j'aimerais bien qu'elles se reproduisent. Pour l'instant ce n'est pas le cas.

J'ai aussi 2 chats : une vielle minette acariâtre à qui il est très difficile de faire des câlins car elle est imprévisible, et la jeune minette de mon fils qui vit avec moi. Les 2 ne s'entendent pas bien, ça me complique un peu la vie. Mais on les aime bien quand même.

J'ai bien lu tout ce topic, et j'avouer que j'ai été étonnée par sa tournure. Pour ma part, je suis loin de faire de la sensiblerie autour des animaux, mais on s'y attache forcément. Quand mes chats ont disparus, ou qu'ils sont morts, j'ai ressenti de la tristesse. Ca me parait bien normal.
Et me souvenant du comportement de mon père à l'égard des animaux, c'est le fait de ne pas être triste qui n'est pas normal !

Etonnée d'autant plus que les personnes qui ont exprimé leur chagrin à la perte d'un animal n'ont jamais dit que cette peine était supérieure à celle de perdre un être cher. Elles n'ont pas dit non plus que cela avait été le seul problème de leur vie.
Les avoir soupçonné du contraire était très déplacé à mon sens, et relevait d'une démarche polémique gratuite.
Ca n'a pas de sens. Pour moi, ça s'appelle "troller"...