Et voilà comment on se cultive en jouant ! Merci !

Ca me fait quand même penser à un certain Raël... mais bon, pour ma part, je ne pense que c'est possible qu'il existe d'autres vies dans l'univers... mais le jour où ils se feront connaitre, si ce jour arrive, on sera tous au courant, pas seulement quelques "initiés" (ou qui se prétendent comme tel)...

@Hilda-Van-Holp a dit dans Mon meilleur ami accusé de viol :

De base j'aurais tendance à croire la victime
@Kallindra a dit dans Mon meilleur ami accusé de viol :
Ca me dérange de lire ça.
La parole de l'accusatrice/présumé victime a t elle plus de poids que celle du défenseur/présumé agresseur ?

Moi ça ne me dérange pas. Depuis des siècles, la parole de la victime n'a aucune importance, et même dans notre société moderne, elle est toujours plus ou moins soupçonnée d'avoir cherché ou d'avoir menti (pour gagner de l'argent, comme si on gagnait de l'argent avec ça).

Alors on pourrit plutôt poser la question : est-ce que la parole du présumé agresseur a plus de poids que la parole de la présumée victime ?
La réponse est clairement "oui" dans notre société.

Apporter un crédit supplémentaire à la présumée victime n'est qu'une tout petit rétablissement d'un déséquilibre déjà existant.

Car ne pas accorder crédit à la parole de la présumée victime, c'est aussi l'accuser de mentir.

En théorie, il faudrait n'avoir aucun avis. mais dans les faits, ce n'est pas ce qui se passe.

De plus, ce genre d'agression étant souvent très peu démontrable par des preuves, cela finit bien souvent en non-lieu, ce qui ne signifie pas non-culpabilité.

Si j'étais face à cette situation, je prendrait effectivement de la distance avec le présumé agresseur, en attendant d'en savoir plus.
Mais pas avec la présumée victime, car s'il s'avère qu'elle est vraiment victime, elle est sans doute en grande souffrance, ce qui n'est pas le cas du présumé agresseur.

Dans l'Egypte antique, les femmes avaient le droit de répudier un mari et d'être propriétaire...

@Kallindra Ce centre qu'elle a créé, c'est aussi dans le cadre également du rejet des femmes trans, c'est une mise en application de sa théorie contre la trans-identité. C'est très bien qu'elle l'ai fait, je ne critique pas l'action en elle-même. Mais tout ce qu'elle a communiqué dessus, c'est que ce centre n'accepterait que des femmes "biologiques".

En dehors du rejet des femmes trans, elle n'a pas vraiment mené de combat féministe, il me semble. Du coup, je trouve sa démarche opportuniste.

Mais ce n'est qu'un avis personnel, son centre existe, et c'est déjà ça, et c'est vrai que beaucoup de ses personnages féminins étaient une belle représentation de la femme.

@Ravi-Olive a dit dans Votre parcours scolaire et le métier que vous faites à présent :

C'est même le contraire en fait car si tu passes énormément de temps à bosser sur une chose, c'est soit:

que tu ne sais pas et tu perds du temps à chercher au lieu de directement demander
soit que tu n'es pas concentré donc productivité réduite
soit que tu n'es pas du tout efficace dans ce que tu fais.
soit que ton organisation est foireuse (ce qui est souvent le cas)

Dans tous ces exemples que tu cites, même si ce n'est pas faux, tout est à la charge du salarié. Il existe quand même également des situations dans lesquelles tu ne peux pas demander, ou alors tu subis une désorganisation que tu ne peux pas changer, ou alors on te donne des instructions contradictoires, etc...
La désorganisation, ce n'est pas toujours une question personnelle. Il peut aussi y avoir une désorganisation d'une structure, ou celle d'un responsable hiérarchique.

Dans ce cas, c'est à chacun de prendre sa marge de manœuvre pour voir comment il peut contourner ce problème. Mais cela peut prendre du temps.

A l'impossible, nul n'est tenu (mon dicton préféré dans le contexte pro)

Un exemple : dernièrement on m'a demandé de recevoir 30 personnes en entretien de 30 mn minimum sur une plage de travail de 4 heures. Dans ce genre de cas, on a beau être organisé...

J'espère qu'on avait le droit de répondre n'importe quoi !

Pour ma part, je pense qu'on ne peut pas justifier des actes aussi violents que ceux qui se sont dernièrement passés sur des motifs datant de plus de 2000 ans.

Si c'était le cas, en serait encore en train de se battre contre les italiens qui nous ont envahis dans le cadre de l'empire romain. (voilà l'occasion de penser à l'empire romain lol).

Les sionistes revendiquent pour des raisons historiques leur présence sur la terre de l'ancienne Judée, et à Jérusalem qui est un haut lieu de leur culture religieuse.
Or il se trouve que cette région est le berceau de toutes les religions ! Il en est aussi question dans l'histoire chrétienne et musulmane.

Donc quoi qu'il en soit, il y aura toujours un motif pour se disputer cette terre.

Mais que faire ? Je sais que ce n'est pas possible, mais ça devrait être une "terre blanche" qui n'appartient à personne, gérée par tous les pays ensemble. Oui je suis utopiste...

Dans ce qui est possible de faire à notre petit niveau, je crois que la meilleure attitude est celle de la neutralité, et de condamner tous les actes violents, quels que soient leur origine.

Chaque partie a des arguments recevables.
Par contre, le fait de devenir criminel à cause de ces arguments, ça, ce n'est pas recevable.

Ils devraient avoir une obligation de trouver un terrain d'entente hors violence, imposée par la communauté internationale.
Le problème c'est : comment leur imposer ? (sans rajouter encore de la violence, ce qui n'aurait pas de sens)

Ceci dit, l'idée de se rapprocher et de garder chacun son chez-soi, c'est aussi une très bonne option, et à son sens, c'est la meilleure.

Partager le meilleur et garder son indépendance au quotidien, c'est souvent très bon pour les couples !

@Mai-Tai En effet, il y a aussi les situations d'emprise et les violences psychologiques, et là ça concerne tout le monde, quel que soit sa force, mais aussi quel que soit son genre, hommes ou femmes, cis ou pas.

L'original, déjà un monument :

La version de Jeanne Bonjour, pas trop ma tasse de thé, mais c'est mimi :

La version de Lucifer (la série), que j'aime beaucoup (la série et la version) :

@zguner Ah non non, je ne suis pas canadienne du tout, je suis en Isère ! Je parlais juste de mon amie (qui est de ma région), qui a commencé à se faire connaitre en France, mais qui a vraiment eu du succès au moment où elle a été présentée dans les librairies françaises au Québec. Ils aiment la France, les auteurs français, et ça a boosté ca carrière.

Je participe, je verrais pour combien de sujets :

Pour moi cet homme symbolise une démesure que je n'apprécie pas vraiment....

C'est beauuuu !!!

J'adore photographier les nuages, je ne m'en lasse pas !

Cet article résume les positions de JK Rowling dans le temps :

Transphobie : 5 dates clés pour comprendre la polémique autour de J.K Rowling, de 2018 à 2023

-19 mars 2018 : J.K Rowling like « par accident » un tweet transphobe
-19 décembre 2019 : J.K. Rowling apporte un soutien public à Maya Forstater, une femme transphobe
-6 juin 2020 : « Fammes ? Fommes ? Fimmes ? » : J.K Rowling poste des tweets transphobes
-5 mars 2022 : J.K Rowling s’oppose à un projet de loi de réforme soutenant les personnes trans en Écosse
-10 février 2023 : de nombreux appels au boycott entourent la sortie de Hoghwarts Legacy

Et dernièrement :
J.K Rowling préfère « aller en prison » plutôt que d’utiliser les bons pronoms d’une personne trans

A mon sens, la question est bien plus large que "elle fait ce qu'elle veut parce que c'est son centre"...

@Loufoca a dit dans Transphobie de J. K. Rowling :

Je tiens aussi à dire que je n'ai rien contre les LGBT à proprement parler mais j'en ai marre de tous les conflits de différence : sexe, religion ou politiques...

Peut-être que c'est rien par rapport aux personnes concernées, qui doivent aussi en avoir assez d'avoir peur de se faire agresser, ou de recevoir des moqueries ou des discriminations... Les gens ne luttent pas par plaisir, mais parce qu'ils souffrent ...

Hypnotique:

@Cynthia80 Veiller à ne pas blesser les gens, ça n'a rien à voir avec un quelconque mouvement politique, c'est juste la base de la politesse...

Même dans les années 80, ce que se permettait Coluche dans ses spectacles était de l'ordre du sarcasme et de l'humour dans le but de dénoncer... Il ne se comportait pas comme dans ses spectacles dans la vraie vie, et ne parlait pas de la même façon !
Ce n'était en tout cas pas une autorisation pour être brutal dans ses propos envers les gens...