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    @Hornet Cesse de draguer toi.
    N'oublie pas que Chibi te surveille.

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    Gérard , lorsque tu te présentes devant les caméras de BFMTV pour ton allocution , n'oublie pas de signaler à l'un de tes guignols se trouvant derrière toi que le masque doit couvrir la bouche et le nez , cela ne fait pas très sérieux.

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    @loutre S’il y en a bien un qui ne votera pas pour Jean-Marie Bigard, c’est François Cluzet. Invité sur RTL samedi, le comédien n’a pas mâché ses mots concernant l’humoriste, qu’il qualifie « d’abruti total ». « Ce qui me fait monter sur mes grands chevaux, c’est quand je vois qu’une chaîne d’information comme BFMTV consacre une heure en direct à ce roi des beaufs », a-t-il déclaré.

    Rires.

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    @Lavinia a dit dans Quelle musique vous fait frissonner ? :

    @Musings Je ne connaissais pas cette chanson.
    Ah la mélancolie du passé qui accompagne le quotidien (soupir).
    Non non, je ne me sens absolument pas concernée ^^.

    À deux c'est déjà compliqué alors à 3...
    L'on aime et l 'on ne cessera jamais d'aimer je cite : " Rien ne saurait décrire la passion à la justesse de ce que l’on ressent quand on la vit. C’est le vertige des excès, l’ouragan qui bouleverse tout sur son passage, et dont dans la plupart du temps on ne sors pas indemne. " mais L'on se doit de partir quand ce n'est plus tenable..
    Et ;l'on se réfugie dans les bras d'une autre pour qui l'on éprouve de l'attachement , de la tendresse , dans une relation apaisante..

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    Messieurs,

    Vous savez maintenant qui je suis : un révolté vivant du produit des cambriolages. De plus j’ai incendié plusieurs hôtels et défendu ma liberté contre l’agression d’agents du pouvoir. J’ai mis à nu toute mon existence de lutte ; je la soumets comme un problème à vos intelligences. Ne reconnaissant à personne le droit de me juger, je n’implore ni pardon, ni indulgence. Je ne sollicite pas ceux que je hais et méprise. Vous êtes les plus forts ! Disposez de moi comme vous l’entendrez, envoyez-moi au bagne ou à l’échafaud, peu m’importe ! Mais avant de nous séparer, laissez-moi vous dire un dernier mot.

    Puisque vous me reprochez surtout d’être un voleur, il est utile de définir ce qu’est le vol.

    À mon avis, le vol est un besoin de prendre que ressent tout homme pour satisfaire ses appétits. Or ce besoin se manifeste en toute chose : depuis les astres qui naissent et meurent pareils à des êtres, jusqu’à l’insecte qui évolue dans l’espace, si petit, si infime que nos yeux ont de la peine à le distinguer. La vie n’est que vols et massacres. Les plantes, les bêtes s’entre-dévorent pour subsister. L’un ne naît que pour servir de pâture à l’autre ; malgré le degré de civilisation, de perfectibilité pour mieux dire, où il est arrivé, l’homme ne faillit pas à cette loi ; il ne peut s’y soustraire sous peine de mort. Il tue et les plantes et les bêtes pour s’en nourrir. Roi des animaux, il est insatiable.

    En outre des objets alimentaires qui lui assurent la vie, l’homme se nourrit aussi d’air, d’eau et de lumière. Or a-t-on jamais vu deux hommes se quereller, s’égorger pour le partage de ces aliments ? Pas que je sache. Cependant ce sont les plus précieux sans lesquels un homme ne peut vivre. On peut demeurer plusieurs jours sans absorber de substances pour lesquelles nous nous faisons esclaves. Peut-on en faire autant de l’air ? Pas même un quart d’heure. L’eau compte pour trois quarts du poids de notre organisme et nous est indispensable pour entretenir l’élasticité de nos tissus ; sans la chaleur, sans le soleil, la vie serait tout à fait impossible.

    Or tout homme prend, vole ces aliments. Lui en fait-on un crime, un délit ? Non certes ! Pourquoi réserve-t-on le reste ? Parce que ce reste exige une dépense d’effort, une somme de travail. Mais le travail est le propre d’une société, c’est-à-dire l’association de tous les individus pour conquérir, avec peu d’efforts, beaucoup de bien-être. Est-ce bien là l’image de ce qui existe ? Vos institutions sont-elles basées sur un tel mode d’organisation ? La vérité démontre le contraire. Plus un homme travaille, moins il gagne ; moins il produit, plus il bénéficie. Le mérite n’est donc pas considéré. Les audacieux seuls s’emparent du pouvoir et s’empressent de légaliser leurs rapines. Du haut en bas de l’échelle sociale tout n’est que friponnerie d’une part et idiotie de l’autre. Comment voulez-vous que, pénétré de ces vérités, j’aie respecté un tel état de choses ?

    Un marchand d’alcool, un patron de bordel s’enrichit, alors qu’un homme de génie va crever de misère sur un grabat d’hôpital. Le boulanger qui pétrit le pain en manque ; le cordonnier qui confectionne des milliers de chaussures montre ses orteils, le tisserand qui fabrique des stocks de vêtements n’en a pas pour se couvrir ; le maçon qui construit des châteaux et des palais manque d’air dans un infect taudis. Ceux qui produisent tout n’ont rien, et ceux qui ne produisent rien ont tout.

    Un tel état de choses ne peut que produire l’antagonisme entre les classes laborieuses et la classe possédante, c’est-à-dire fainéante. La lutte surgit et la haine porte ses coups.

    Vous appelez un homme « voleur et bandit », vous appliquez contre lui les rigueurs de la loi sans vous demander s’il pouvait être autre chose. A-t-on jamais vu un rentier se faire cambrioleur ? J’avoue ne pas en connaître. Mais moi qui ne suis ni rentier ni propriétaire, qui ne suis qu’un homme ne possédant que ses bras et son cerveau pour assurer sa conservation, il m’a fallu tenir une autre conduite. La société ne m’accordait que trois moyens d’existence : le travail, la mendicité, le vol. Le travail, loin de me répugner, me plaît, l’homme ne peut même pas se passer de travailler ; ses muscles, son cerveau possèdent une somme d’énergie à dépenser. Ce qui m’a répugné, c’est de suer sang et eau pour l’aumône d’un salaire, c’est de créer des richesses dont j’aurais été frustré. En un mot, il m’a répugné de me livrer à la prostitution du travail. La mendicité c’est l’avilissement, la négation de toute dignité. Tout homme a droit au banquet de la vie.

    Le droit de vivre ne se mendie pas, il se prend.

    Le vol c’est la restitution, la reprise de possession. Plutôt que d’être cloîtré dans une usine, comme dans un bagne ; plutôt que mendier ce à quoi j’avais droit, j’ai préféré m’insurger et combattre pied à pied mes ennemis en faisant la guerre aux riches, en attaquant leurs biens. Certes, je conçois que vous auriez préféré que je me soumette à vos lois ; qu’ouvrier docile et avachi j’eusse créé des richesses en échange d’un salaire dérisoire et, lorsque le corps usé et le cerveau abêti, je m’en fusse crever au coin d’une rue. Alors vous ne m’appelleriez pas « bandit cynique », mais « honnête ouvrier ». Usant de la flatterie, vous m’auriez même accordé la médaille du travail. Les prêtres promettent un paradis à leurs dupes ; vous, vous êtes moins abstraits, vous leur offrez un chiffon de papier.

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    @respect Si l'on bâtissait la maison du bonheur , la plus grande pièce serait la salle d'attente.
    Jules Renard.
    À partir de là , tout est envisageable..

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    Bonjour et Bienvenue Alitta.

    Si tu as des questions sur le fonctionnement du site , n'hésite pas ; je suis là pour ça.

    😄

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    @Olivier a dit dans Avez vous peur de la mort? :

    Une jolie phrase de Jean-Louis Trintignant à la mort de sa fille Marie :
    "Ne pleure pas de l'avoir perdu(e), mais réjouis-toi de l'avoir connu(e)..."
    Paix et sérénité 😚

    Magnifique..

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    @Nathalie Seul sans lumière c'est encore mieux... plus grisant, dans la peau d'un animal sauvage n'évoluant pas en troupeau.. (Rires).
    Bonsoir et bienvenue.

    Ceci dit, je conçois que pour une femme, ce n'est pas prudent, ni raisonnable.

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    @Trichemire
    Peut-être , vais-je t'en donner la raison ou un début de réponse =>

    "Le pire sans conteste , c'est le fonctionnaire de la philosophie , le professeur obsédé par un programme officiel , car pour l'institution , un bon philosophe est un philosophe mort , cette catastrophe scolaire ne s'écarte pas une seconde d'un vieux manuel sinistre , d'un cours rédigé depuis des années et ne chemine aucunement hors des sentiers battus de l'histoire de la philosophie ..

    Il vous enseigne les morceaux choisis obligatoires et traditionnels ; que vous ayez faim ou non, il vous gave de notes inutiles le jour de l'examen puisqu'en aucun cas on ne vous demande d'apprendre par coeur et régurgiter un savoir appris comme on mémoriserait les pages d'un annuaire téléphonique .."

    Michel Onfray (Antimanuel de philosophie)

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    Certains bouquins sont faits pour être lus.
    D 'autres , pour caler des meubles.

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    @Gabrielle Petit bémol tout de même, le "jugement" pour moi sonne comme quelque chose d'obligatoirement négatif, je suis donc en désaccord avec "Le Petit Larousse and Co".

    L'on "juge" ce qui est négatif, l'on tranche, pour le bien de certains au détriment d'autres et vice-versa. Un jugement est "par essence" catégorique, cela peut même frôler la psychorigidité.
    L'on peut émettre une opinion sans porter de jugement.

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