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Miliam
Youpiiiiii comme si ce n'était pas déjà galère. Mais bon, pas le choix donc va falloir s'y faire je crois.
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Miliam
@Ragnar
C'est normal, la cigarette a des effets anorexigènes et ça ne doit pas être facile de voir son corps changer. Mais félicitation pour tous tes efforts ! Bravo car ce n'est pas facile ! -
Miliam
J'ai reçu pas mal de cadeaux en rapport avec le bien être comme un livre sur le Yoga du visage, une pierre gua sha en quartz rose ainsi que le roller en quartz rose, de l'huile pour le visage, du maquillage, de la crème pour les mains, une tisane, un infuseur en métal pour le thé, deux colliers, un pull-plaid (bien pratique, chaud et cosy), une grosse et belle statuette d'une femme faisant du Yoga, un jeu de société, des gâteaux de Noël fait maison.
Mais je crois que le plus beau cadeau que j'ai eu c'est la réunion des deux familles (la mienne et celle de mon conjoint). Ce 25 décembre était super. J'avais peur des incidents diplomatiques mais il n'y a rien eu au contraire, beaucoup de rires. Pour moi c'est le plus beau cadeau que j'ai reçu.
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Miliam
Merci beaucoup pour vos messages @ayamé, @icescream, @Biquette et @ivoire . C'est super gentil d'avoir pris le temps de lire mon pavé où finalement, je me suis déchargée car j'étais arrivée à un stade où malheureusement je ne savais pas trop quoi faire de toutes ces pensées qui m'assaillaient. Je culpabilisais (et culpabilise toujours un peu d'ailleurs) d'avoir raconté ma vie, de m'être déchargée. Mais il faut que je me mettes en tête qu'on est tous humains, qu'on fait tous des erreurs ou qu'on a tous des comportements qui parfois ne nous plaisent pas ou ne plaisent pas aux autres. Et c'est ainsi, on ne peux rien y faire. On ne peux pas toujours être parfait, on ne peux pas toujours être bienveillant. On a tous été parfois agressif, énervé, méprisant, dur, jugeant, en colère etc. On a tous déjà tenus des paroles blessantes un jour parce qu'on est humain et qu'on ne peux pas toujours être bienveillant.
D'ailleurs, je voulais vous dire que le réveillon et Noël se sont bien passés. C'est étrange comme le comportement des gens peuvent être assez ambivalents. Je pense notamment à ma mère qui, alors qu'elle passait un bon moment et rigolait, s'est énervée pour rien plusieurs fois au cours du réveillon mais je crois que le fait d'avoir écris ici m'a permis de me vider un peu et je suis arrivée à laisser couler. Ce qui m'a permis de passer un bon réveillon sans me prendre la tête. Je crois que vos messages m'ont bien aidé également pour que cela soit propice à cela. Ce qui est un peu amusant c'est que j'ai eu des cadeaux en rapport avec le bien être. Est-ce un signe pour me dire de prendre davantage soin de moi ? Cela me fait sourire. Et puis, j'ai beaucoup aimé Noël d'ailleurs car nos deux familles (la mienne et celle de mon compagnon) étaient réunis et que ça nous a tous fait du bien.
Je me sens plus apaisée même si ce n'est pas encore ça. Et j'ai pris une décision, celle de pratiquer le Yoga le plus régulièrement possible car il participe à mon bien être général. Et si je repousse car j'ai un empêchement, vraiment de ne pas laisser tomber. Quitte à faire une séance par semaine car c'est mieux que rien. C'est ce que j'ai fait aujourd'hui. Bien que je sois encore malade, j'ai pratiqué car mine de rien ça me fait du bien au mental, au corps etc. Alors vraiment, merci !
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Miliam
Je m’aperçois depuis quelques jours que je ne suis pas comme d’habitude. Je ne me reconnais pas trop. Ce qui m’a fait dire cela, c’est que je m’énerve facilement et pour des choses que je trouve parfois insignifiantes ou même, je ressens que je suis tendue. J’ai du mal à lâcher prise. Là où d’habitude j’ai plutôt un recul et je prends les choses autrement. Je suis même assez calme et posée.
Pour exemple, récemment j’ai eu l’AG de ma copro et j’ai eu affaire à un voisin faisant de la manipulation psychologique aux autres copropriétaires (culpabilisation, menaces etc.) parce qu’il a des différents avec le syndic dont il est responsable et non-pas le syndic. En temps normal, je serai passé au-dessus ou j’aurai glissé des subtilités en mode bienveillance mais j’y suis allée assez frontalement. En ce moment, j’ai du mal à rester dans mon crédo de la bienveillance.
D’autres exemples encore me viennent en tête.
Cela fait plus d’un mois que je suis malade à cause des enfants qui me refilent leur crève. Je dors mal, mon sommeil est perturbé, je ne fais plus de nuit complète et correcte depuis des semaines. Du coup, je me sens plus irritable, parfois des petites choses vont me contrarier.
Dans ma famille, c’est compliqué aussi. Entre le décès de mon chat qui m’affecte pas mal (d’ailleurs, ça va être les premières fêtes sans lui, j’en ai déjà les larmes aux yeux rien que d’y penser), mon frère qui ne va pas bien du tout au niveau de études (il frôle le burn-out) alors je suis là pour lui car il ne veut pas en parler aux parents pour ne pas les inquiéter. Aussi, j’appréhende toujours les fêtes dans ma famille car je sens que c’est un sujet tendu. Encore avant-hier, je demande à mes parents si je les voient le 24 (car le 25 on se voit mes parents, les parents de mon conjoint et mes parents ne m’ont rien dit pour le 24). Notamment parce que mon conjoint voulait qu’on se fasse Noël tous les deux vu que le 25 on voit nos parents. Je ne savais pas trop car vu le passif de ma famille, c’est toujours compliqué. J’en ai marre que ce soit compliqué. J’aurai bien dit oui à mon conjoint mais je sentais que je ne pouvais pas dire oui par rapport à ma famille. Quand je demande si je viens le 24, mon père me dit que oui et ne s’offusque pas. Ma mère qui me rappelle des heures plus tard (parce qu’elle se pose certainement des questions et a des inquiétudes - d’ailleurs, rien que de le savoir ça me saoûle) et j’ai cru que j’allais déclencher une guerre pour avoir posé cette question. Elle a commencé à monter en pression toute seule, en usant de manipulation pour savoir pourquoi j’ai posé cette question (et ça, ça m’agace - puis-je poser une question sans qu’il n’y ai de retombée ?). Heureusement, j’ai su gérer. Surtout qu’elle a une problématique autour de l’abandon, elle a du mal à gérer ses émotions… le relationnel avec ma mère est compliqué bien que je l’aime. Elle a des comportements toxiques liés au fait qu’elle a peur d’être abandonnée donc son appel ne m’étonne guerre car c’est clairement en lien avec ça. Mais j’en ai marre de payer ses comportements car elle a des problèmes depuis des années, que j’en ai beaucoup souffert, qu’elle en est consciente que y’a quelque chose qui ne va pas mais ne fait rien pour régler ses problèmes. Et plutôt que de lui dire la vérité, gourde que je suis, je lui ai menti en lui disant que j’étais très fatiguée et que je n’avait pas fait attention. C’est un demi-mensonge dans un sens car il est vrai que je suis très à l’ouest en ce moment car je me sens épuisée, fatiguée. Je sais, c’est pas bien, c’est con même. Pourquoi lui cacher les choses ? Mais ma mère a des côtés imprévisibles et je ne sais pas toujours comment réagir.
Une amie qui est exécrable quand on fait des soirées alors qu’en l’espace de plus de 10 ans que je la connais, elle n’a jamais été comme ça. Du coup, je suis un peu énervée mais j’essaye de me raisonner donc finalement je suis aussi inquiète pour elle. Depuis sa nouvelle et fraîche relation, je la trouve changée et pas forcément dans le positif. Je me demande si elle est vraiment heureuse pour casser ses amis ou passer ses nerfs dessus. Et quand on lui dit ce qui ne va pas, on se trompe et ce n’est pas vrai.
Une autre amie qui me fait des reproches parce que je n’ai pas pris de ses nouvelles durant un mois alors que j’ai eu beaucoup à gérer ces derniers temps. Elle pouvait m’envoyer aussi un message pour prendre de mes nouvelles, ce n’est pas interdit. Je lui ai expliqué calmement ce que je vivais ces derniers temps mais je ne me sens pas vraiment comprise. Et sa réflexion du début « pas de nouvelles, bonne nouvelle ? » m’a assez affecté. Elle m’avait déjà reproché que je ne lui envoyait pas de messages il y a quelques mois alors qu’elle ne répondait pas à mes messages. À un moment, j’ai abandonné, je me suis dit que comme elle est en dépression, elle a peut être besoin d’être seule et elle reviendra quand elle reviendra. Et bien non, pour elle je devais lui en envoyer même si elle ne répondait pas car elle lisait quand même les messages. Elle m’avait dit s’être sentie abandonnée etc. En gros, je me suis pris des reproches limite comme si je n’ai pas assuré dans mon rôle d’amie. Pour moi, je l’ai vécu comme quelque chose d’injuste. Notamment parce que quand j’étais aussi en dépression, je n’avais pas de nouvelles de sa part et je n’en ai jamais fait toute une histoire parce que je me disais qu’elle avait sa voir. Je le ressens comme étant faire des histoires pour rien mais je me dis aussi qu’elle est en dépression et que ce n’est pas facile pour elle, qu’elle ne se rend pas compte etc.
En fait, je ne me sens pas que en colère mais assez triste, fatiguée, usée. J’en ai marre de faire en fonction des gens, d’être touchée par leurs comportements alors qu’en soi je ne devrai pas être touchée par ça. Y’a plus grave dans la vie. Et puis, j’ai du mal à récupérer alors en ce moment, je crois que j’accumule pas mal. Du coup, le point positif c’est que je prends soin de moi et je me remets en question, je travaille aussi sur moi.
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Miliam
Merci d'avoir pris le temps de me répondre, cela permet de mieux comprendre les choses.
Je reviens juste sur une chose parce que le reste, je pense que j'ai été un peu hors sujet à certains moments et que je me suis emballée un peu vite. Surtout pour ça, c'est pas grave en soi et j'aurai peut être dû tourner les choses autrement en effet. Mea Culpa.
Alors, je ne pense pas que les personnes qui ont fait une formation de 3 ou 6 mois sont des personnes inférieures. Je ne considère personne comme inférieur et c'est contraire à mes valeurs. Ce n'est pas ce que j'ai voulu dire. Et je ne mets pas le parcours universitaire au-delà de tout notamment parce que je n'ai pas eu un cursus classique. Pour dire, j'ai un BEP et Bac Pro à la base, j'ai également travaillé en usine et autres métiers peu faciles, voire certains vraiment ingrats. Ce que je veux dire c'est que je n'oublie pas d'où je viens. Et je n'ai pas un avis très positif sur l'université, bien au contraire je suis très loin de l'encenser. Si ma formation aurait nécessité un Bac Pro, un BTS... je n'aurai pas hésité une seconde mais ce n'est pas le cas, il fallait que je passe par l'université.
Dans ce que je tends à expliquer dans ce que tu cites, c'est que je suis axée sur la santé des patients. Je pense simplement que faire une formation de 3 ou 6 mois si ce n'est parfois un week-end n'est pas suffisant parce qu'il faut des bases solides de compréhension du psychisme humain avant d'encadrer des patients. Je veux en venir au fait que ces formations sont peu réglementées, encadrées, parfois pas reconnues, certifiées et que cela peut poser problème déjà pour le thérapeute dans sa pratique mais surtout pour les patients, le suivi de ses patients etc. Parce que autant pour un patient qui va voir un hypnothérapeute en ayant pour but d'arrêter de fumer cela peut être utile, pourquoi pas. Si le patient y trouve son compte et que ça marche, je n'y vois aucun inconvénient. Autant dans certaines situations (cas par cas), cela peut déclencher des choses chez eux comme réveiller des traumatismes par exemple. Parce qu'on ne sait jamais ce que l'on peut réveiller chez les patients. Ce qui est une réalité de terrain partagée par de nombreux consœurs et confrères. Et malheureusement, ces personnes ne sont pas formées au trauma ainsi qu'à la santé mentale en général. C'est pour ça, entre autre, que les formations reconnues sont majoritairement disponibles pour les médecins, les psychologues etc., parce que ce sont des professionnels de la santé. Et donc, peu voire pas accessible pour des personnes qui n'ont aucune formation de base.
Un autre exemple, je suis sur un groupe où y'a des psychologues, psychothépeutes, mais également des thérapeutes de toute sorte et formation, et le nombre de questions qui fusent par jours où notamment je peux constater la détresse de certains de ces thérapeutes qui sont formés à un outil (hypnose ou pnl par exemple -et le plus souvent c'est ces outils-là) mais ne sont clairement pas armés pour le reste car pas de connaissances solides voire très peu de bases de par leur formation. Voire même aucun encadrement, aucune supervision. Une formation d'un week-end, de 3 ou 6 mois n'est pas équivalent ou condensé à celle du psychologue. Je cite le psychologue parce que c'est son domaine de compétence. Après il y a des mauvais et bons psychologues, ça c'est comme partout. Mais je trouve, personnellement, qu'une formation complète et certifiée est plus rassurante qu'une formation peu encadrée d'un week-end (oui j'ai vu des formations pour être hypnothérapeute sur un week-end et j'avoue que ça m'effraie).
La pratique est fondamentale et plus que nécessaire, elle prend le pas sur le terrain. Je suis plus une adepte de la pratique que de la théorie de toute manière. Toutefois la théorie n'est pas négligeable aussi car elle donne des bases, des connaissances solides qui t'aident dans ta pratique. Si tu n'as pas la théorie, c'est plus que difficile d'appréhender ta pratique et ainsi voir comment tu va gérer les choses, ton patient etc. Notamment au début car après l'expérience prend rapidement le pas. Ce n'est déjà pas évident en tant que jeune psychologue alors jeune thérapeute... Sinon tout le monde peut être psychologue, thérapeute (bon pour thérapeute c'est déjà le cas) et encadrer des gens. Je trouve que le pire, c'est certains coachs car pour certains ils n'ont aucune formation mais se disent coach. Et forcément comme ce n'est pas reconnu, certifié, n'importe qui peut être coach.
En soi, les outils tels que la PNL, l'hypnose sont intéressants et sont utilisés par de nombreux professionnels de santé. Ce qui m'embête beaucoup c'est les formations que je trouve particulièrement courtes, qu'il y a peu d'encadrement notamment pour l'après dans ce genre de formation et que je pense que certains thérapeutes ne sont clairement pas armés notamment au niveau des connaissances pour gérer certains patients. Voire déclencher des soucis, traumatismes chez des patients qui vont bien au-delà de leur champs de compétence.
Je ne suis pas en train de dire que ces personnes n'ont aucune valeur et qu'il faut les jeter à la poubelle. Je pense que y'a de très bons thérapeutes, j'ai un ami qui est hypnothérapeute et qui aide les personnes à arrêter de fumer. Comme j'essaye de l'expliquer, c'est vraiment de faire attention car on trouve à boire et à manger dans cet univers-là, qu'il faut vraiment trier. Et il y a beaucoup de fausses informations qui circulent.
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Miliam
@LeaPierce
Est-ce que tu peux m'expliquer en quoi mes propos sont condescendants ? -
Miliam
C'est sûr que y'a moins voyant et sexy comme tenue mais honnêtement cela me passe au-dessus. Qui-suis-je pour dire aux gens de s'habiller de telle ou telle manière ? Et puis, c'est surtout que je m'en fiche à vrai dire car je n'y accorde aucune importance. Pour moi, y'a plus grave et important dans la vie qu'une tenue vestimentaire ou de s'habiller sexy pour aller boire un café.
Les femmes s'en sont toujours prises plein la figure peu importe les habits qu'elles portaient. A l'époque, une femme qui portait une jupe au-dessus des chevilles ne se respectait pas, était une coureuse de remparts, était une dépravée. Actuellement, y'a encore des gens qui pensent que si une femme a porté une jupe quand elle s'est faite violée, c'est qu'elle l'avait cherché. Pour dire le niveau. Et de toute façon habillée de telle ou telle manière (couverte ou peu couverte), y'aura toujours quelque chose à dire. C'est souvent le physique, les fringues... tout ce qui relève du superficiel finalement, qui est critiqué. Une femme musclées ça ne va pas (du moins pas trop sinon c'est considéré comme moche et surtout pas "féminin"), une femme voilée ça ne va pas, une femme avec une jupe ça ne va pas, une femme qui s'habille sexy ça ne va pas, une femme qui n'accorde pas d'importance aux habits en s'habillant à la wanegaine ça ne va pas (elle ne prend pas soin d'elle donc forcément), une femme qui accorde l'importance aux habits en choisissant scrupuleusement ses habits dans les détails ça ne va pas (souvent cataloguée de superficielle) etc. Je trouve ça même... fatiguant.
Quand Brigitte Macron fait des apparitions, c'est régulièrement des commentaires sur sa tenue et non réellement sur ce qu'elle fait. Idem pour la plupart des femmes politiques ou des femmes engagées sur d'autres bords, des femmes sportives... Il faut qu'elles portent telle ou telle tenue, sinon ça ne va pas. Des tenues bien souvent dictées par des hommes notamment dans le milieu sportif. Je crois que le plus révélateur c'est l'époque des JO, quand les femmes n'étaient pas acceptées et qu'elles ont organisé leurs propres jeux. A ce moment-là des hommes ont fini par inclure les femmes mais sous critères vestimentaires qui en plus les empêchaient de performer correctement. C'est toujours la même chose, la même rengaine. J'ai cette tendance à penser, quand je vois l'histoire et ce qui se passe aujourd'hui, que l'habit n'est pas vraiment le fond du problème.
Encore, quand c'est des hommes qui critiquent et insultent dans un sens je me dis "ça ne m'étonne pas vraiment"... mais je crois que ce qui me choque vraiment c'est quand c'est les femmes qui s'y mettent, ne sont pas solidaires entre elles et pour moi ça me montre à quel point le patriarcat continue de "bien faire" son boulot.
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Miliam
@Kachina
Merciiiii :3. J'utilise parfois certaines argiles pour la peau, notamment le Rhassoul mais je ne connaissais pas en couleur ! Je vais voir ça ! -
Miliam
@Kachina
Ah je ne connaissais pas ! Je connaissais le Henné mais pas une teinture végétale à base d'argile ! -
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Miliam
@Kallindra
C'est ma monitrice qui me l'avait dit à l'époque. Cela a peut être changé depuis. -
Miliam
@Kallindra
Oui c'est vrai que mon commentaire est très critique et négatif, en effet. Le problème dans le développement personnel et autres sujets du genre, c'est qu'il y a à boire et à manger. C'est vraiment important de trier car beaucoup de fausses informations circulent par des personnes soit disant spécialistes en Psychologie alors qu'en réalité ils n'ont été que très peu formés ou pas du tout. Parce que oui, on ne s'improvise pas psychologue, médecin etc. Autant y'a des choses que l'on peut apprendre par soi-même ou faire une formation d'un week-end, autant y'a des domaines qui demandent des années de formation et ce n'est pas pour rien. Donc oui, je me méfie des personnes qui ne sont pas reconnues et qui parlent de domaines scientifiques tels que la Psychologie. Peut être qu'effectivement je devrai lire le livre avant de me faire un avis concret, c'est sûr et là-dessus je te rejoins. J'ai peut être été trop vite en besogne ou été trop dure. Mais j'ai également le droit de me méfier compte-tenu de ma formation et de ce que je peux voir circuler sur le net, lire également car il y a de quoi s'inquiéter et se méfier. Pourtant je suis adepte du développement personnel, de la spiritualité et j'ai pas mal de livres chez moi. Je trie pas mal et ma formation m'aide pas mal d'ailleurs à trier le vrai du faux.Après, je ne survalorise pas les diplômes universitaires. Je ne sais pas ce qui te fait dire ça. C'est juste que le métier de psychologue ne s'invente pas, qu'il est protégé et reconnu donc ça passe par des diplômes certifiés par l'état mais surtout une formation avec des cours, des stages, des mémoires etc., qui s'établi sur plusieurs années (minimum 5 ans). C'est un domaine vaste et complexe. Parce que oui le psychologue est spécialiste de la Psychologie, c'est son domaine de compétence. Pas les coachs, pas les sophrologues, pas les psychomotriciens, pas les personnes qui se forment en PNL, pas les personnes qui font des thérapies de groupes d'affirmation et d'estime de soi ou qui ont eu un bac général à 16 ans. Je ne dévalorise pas ces personnes, ce que je veux dire c'est chacun son domaine de compétence.
Quand tu dis que l'autoformation est de plus en plus reconnue. Je suis plus ou moins d'accord avec toi. Toute fois, toutes les formations ne sont pas forcément certifiées, reconnues et valables. Une formation en lithothérapie n'est pas reconnue, certifiée, valable par exemple. Peut être dans le domaine en lui-même mais ce domaine n'est pas reconnu par l'état et donc la formation n'est pas reconnue non-plus. Il y a pas mal de formations sur la confiance en soi etc. qui ne sont pas reconnues, certifiées, valables. Et il y a également des dérives, c'est avéré. De plus, si tu veux te former avec un DU, il te faut un minimum de formation au préalable (Licence / bac+3). Un psychologue se forme toute sa vie et forcément il va devoir se former par lui-même, ainsi je ne vais pas rester avec mon master toute ma vie. A la fin, un psychologue c'est limite Bac+10 avec toutes les formations qu'il est censé faire. Merci de parler d'autoformation car c'est crucial dans le métier de psychologue, ça permet de rester à la page, de se diversifier etc., et tu as raison d'en parler.
Quand tu dis qu'un diplôme ne présume plus de la compétence. Oui je suis d'accord avec toi. Ce n'est pas parce que tu es psychologue que tu es forcément compétent mais ça c'est comme n'importe quel professionnel. Y'a des bons et mauvais mécaniciens, de bons et mauvais psychologues etc. Après qu'est-ce qu'un mauvais psychologue ? Cela est un autre débat. Mais le titre de psychologue est protégé, reconnu par l'état et passe forcément par un diplôme, des années d'études, de savoir, de compréhension sur la Psychologie humaine. Là où une personne lambda qui est formée en hypnose ou en PNL a fait une formation d'un week-end ou d'un mois. Ce qui est insuffisant et pour moi c'est jouer à l'apprenti-sorcier. On ne s'invente pas psychologue, médecin, avocat etc. D'ailleurs, quand on est malade on ne va pas voir un boucher. Chacun son domaine de compétence encore une fois. En disant cela, je ne parle pas d'Isabelle Nazare-Aga, je généralise pour faire prendre conscience qu'on ne devient pas expert en quelque chose sur un week-end ou un mois de formation. Voire que ces formations ne légitimisent encore moins une personne qui n'a pas eu de formation au-préalable. Et qu'il est vivement recommandé par les professionnels d'avoir été formé en psychologie, en médecine... d'où la plupart des formations proposées sont certifiées, reconnues... et elles ne sont accessibles que pour les professionnels de santé (médecins, psychologues etc.).
Aussi, quand il est dit qu'elle a fait des études en TCC c'est vague. A-t-elle suivie le cursus universitaire (non sinon elle aurait le titre de psychologue ou alors elle l'a faite au Quebec et là, je ne sais pas comment ça marche) ou a-t-elle fait une formation en TCC accessible à tous et donc non-protégé ? C'est vague et pour moi, quand c'est vague je me méfie et je tire ça de mon expérience personnelle, professionnelle et universitaire. C'est peut être mon côté scientifique et pointilleux qui prend le dessus mais j'apprécie la précision surtout dans ce domaine car c'est important pour moi. Par ailleurs, la faculté de Médecine ce n'est pas la faculté de Psychologie. Un psychologue n'est pas médecin bien qu'il a eu des cours au niveau médical et psychiatrique (neurologie, embryologie, génétique etc.), comme un médecin n'est pas psychologue même si il a eu un peu de cours de Psychologie dans son parcours (le parcours est essentiellement médical et la Psychologie a peu de place dans le cursus). Et je dis ça car un proche qui est lui-même médecin m'a dit qu'il n'avait eu qu'un cours de Psychologie dans tout son cursus et qu'ils ne sont pas rentrés en profondeur dans la Psychologie. Si j'explique cela, c'est pour dire que c'est pas parce qu'on est psychomotricien, qu'on a fait une formation en TCC et PNL etc., qu'on est expert en Psychologie et donc qu'on maîtrise le sujet, qu'on dit des choses justes. Pour moi, c'est à prendre avec des pincettes. Encore une fois, chacun son domaine de compétence.
Aussi, j'ai lu comment elle se décrit sur son site donc je n'ai pas consulté la page Wikipédia. Mon but n'est pas de l'assassiner mais je me méfie et je mets simplement en garde en apportant un autre regard, une autre lecture. Peut être que de la manière dont je l'amène c'est très négatif, certainement même. Je ne suis pas en train de dire que j'ai raison, que je sais tout, je parle juste d'un domaine que je connais et des dérives qu'il peut y avoir notamment des pseudo-experts qui ne transmettent pas vraiment de bonnes informations. Quand je vois sa liste des 30 caractéristiques de manipulateurs... c'est très léger et rien n'est sourcé.
Par contre, effectivement elle a un DU en victimologie. Elle a dû le passer de par son diplôme de psychomotricienne car même avec une licence tu peux faire un DU. Et ça, je trouve que c'est plutôt un point positif ! J'aurai dû le dire car il n'y a pas que du négatif. Mais comme tu l'as dit, je pense que je vais lire ce livre pour me faire un avis. J'espère juste que je ne me trompe pas et que je ne vais pas être déçue encore une fois. Et il y a moyen que je me prenne trop la tête aussi. Je pense qu'en lisant le résumé et en regardants le parcours de l'auteur, je l'ai classée dans la catégorie d'auteurs peu fiables car malheureusement dans le développement personnel / spiritualité... y'en a pas mal. J'ai peut être été trop vite en besogne comme je l'ai dit précédemment.
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Miliam
@LeaPierce
Oui chacun son avis :). En tout cas, si ce livre t'apportes c'est l'essentiel. -
Miliam
@ayamé
Je t'apprécies telle que tu es ! Tu as de belles qualités, une belle personnalité... c'est tout ce qui compte ! -
Miliam
Vous êtes SpongeBob. Ou alors un menteur, au choix.
comme 49% de joueurs.« Vous vivez dans un ananas sous la mer et vous êtes beaucoup trop gentil, c'est louche. »
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Miliam
Personnellement, je me méfie de ce genre de livres.
En premier lieu, nous sommes tous manipulateurs à différents degrés naturellement mais nous le sommes tous. Donc un titre comme ça... j'imagine que c'est pour faire vendre.
En second lieu, c'est écrit par une psychothérapeute. Donc pas par une personne qui a fait des études en psychologie. J'ai lu son CV, ce n'est pas parce qu'elle pratique la PNL et qu'elle a visiblement fait une formation en TCC qu'elle est psychologue. En aucun cas il n'est dit qu'elle a le titre de psychologue donc elle ne l'est pas. N'importe qui peut s'autoproclamer psychothérapeute même après avoir fait une formation de 3 mois. Il faut minimum 5 ans d'études pour être psychologue et donc avoir des bases très solides pour comprendre la psychologie humaine. Les titres tels que thérapeute ou psychothérapeutes ne sont pas protégés. Par contre on peut être psychologue et psychothérapeute. Dans tous les cas, je ne pense pas que c'est en ayant fait une formation de 3 mois, 6 mois qu'on apprend autant que dans le système universitaire qui est quand même assez dense au niveau de ce que l'on apprend, et donc qu'on est en mesure d'accompagner des gens.
En troisième lieu, je dirai qu'il faut faire bien attention avec ce genre de bouquins qui surfent un peu sur des modes. Le terme pervers narcissique relève de la Psychanalyse et n'a pas de consensus scientifique dans le domaine de la Psychologie. Cela ne veut pas dire que PN n'existe pas mais qu'actuellement il est utilisé à tout va. Alors qu'une personne peut simplement avoir des comportements toxiques sans forcément être PN.
En quatrième lieu, j'ai lu les 30 caractéristiques du manipulateur... il n'y a aucune validité scientifique dans ce qu'elle énonce. Même des gens non-PN peuvent remplir la plupart des critères qu'elle décrit. Il n'y a d'ailleurs aucune source (recherches scientifiques etc.).
Si je dis tout ça, c'est juste pour prévenir qu'il faut faire très attention avec ce genre de livre qui n'a aucune validité scientifique. Je n'ai jamais entendu cette autrice dans mes cours à la fac et pourtant j'ai vu quelques auteurs québécois. Quand je fais des recherches sur des sites scientifiques, je ne tombe sur rien venant de cette auteure... vraiment à prendre avec des pincettes ! Notamment car beaucoup sont coachs, thérapeutes, psychothérapeutes mais ne sont que très peu formés voire pas du tout et affirment des choses sur des sujets qu'ils ne maîtrisent pas et qui n'ont aucune validité scientifique. Et je crois que le pire c'est aussi Youtube, y'a à boire et à manger, des pseudo-professionnels du dimanche qui racontent n'importe quoi et desservent complètement la Psychologie etc.
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Miliam
Coucou Loutre !
Tu n'es pas obligée d'aller jusqu'au bout de la voie d'insertion avant de t'insérer. Par contre, si le trafic est dense et que tu ne peux pas encore t'insérer malgré que tu sois sur la voie d'insertion, tu peux aller jusqu'au bout voire la dépasser en restant tout à droite (je ne sais plus comment on appelle cette bande mais ce n'est pas la bande d'arrêt d'urgence, ça a un autre nom il me semble). Voire même, tu peux t'arrêter au bout de la voie d'insertion. Si tu ne peux pas t'insérer, tu ne peux pas et c'est très dangereux de forcer car tu n'es pas prioritaire face à des véhicules déjà engagés.
Je te copie-colle ce que j'ai trouvé sur : https://codedelaroute.io/blog/voie-insertion/#:~:text=La voie d'insertion est,déjà sur la voie rapide.
Comment prendre une voie d’insertion ?
La voie d’insertion est utilisée pour ne pas déranger la marche normale des véhicules déjà engagés. C’est pourquoi vous devez toujours céder le passage aux véhicules qui circulent déjà sur la voie rapide. Ils ne doivent pas avoir à freiner ou à se déporter pour permettre votre passage.– Augmentez votre vitesse, jusqu’à la limitation de vitesse indiquée si possible.
– Contrôlez le rétroviseur extérieur gauche et l’angle mort pour analyser le trafic. Repérez l’emplacement des voitures sur la voie de gauche.
– Adaptez votre vitesse pour accéder à un espace libre si des véhicules circulent à votre niveau. Privilégiez l’insertion derrière un véhicule plutôt que devant.
– Attention à respecter les distances de sécurité avec le véhicule qui vous précède.
– Vérifiez une dernière fois votre angle mort avant de mettre votre clignotant et de vous déporter.
– Adaptez à nouveau votre vitesse pour ne pas gêner la marche normale des autres usagers.
Qui a la priorité sur une voie d’insertion ?
Les véhicules circulant sur une voie d’insertion doivent laisser la priorité aux véhicules déjà engagés sur l’axe principal. Il existe de rares exceptions, telles que le périphérique parisien, où la priorité est donnée aux véhicules qui s’insèrent.Voie d’insertion et faute éliminatoire au permis de conduire ?
Toute erreur de conduite qui génère des risques pour les usagers constitue, de manière générale, une faute éliminatoire au permis. Refuser la priorité sur une voie d’insertion, obligeant les autres usagers à freiner ou à se déporter brusquement, en fait partie.Peut-on s’arrêter sur une voie d’insertion ?
Il est possible de s’arrêter au bout d’une voie d’insertion si l’insertion n’a pas été possible avant. Cela peut arriver lorsque la voie d’insertion est très courte. Il est strictement interdit de s’arrêter au milieu de la voie ou de stationner sur le côté de la bretelle.Quand ça bouchonne par contre, je dirai que le mieux est de trouver une place où tu peux. Parce que dans une voie d'insertion, tu n'es pas prioritaire c'est ceux qui sont déjà sur l'autoroute. Dans ce genre de situation, je ne pense pas que le code dit réellement quelque chose car je n'en ai pas souvenir.
Je sais qu'en Belgique, du moins là où j'habitais, les gens vont au bout de la voie d'insertion et s'insèrent. Cela ne pose pas de problème. Les gens laissent passer sans rechigner. Déjà qu'ils s'arrêtent systématiquement si une personne est arrêtée sur un passage piéton... je crois qu'en France on devrait prendre des notes tellement quand à la courtoisie au volant, on a beaucoup à apprendre.
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Miliam
Coucou @kardia !
As-tu une psychologue dans ton lycée ?
En as-tu parlé à un professeur de confiance de toute cette pression que tu ressens ?