Grande tristesse en ce moment. Mon amour de minette est décédée lundi soir. Elle avait seize ans.

Aujourd'hui, avec mon chéri nous nous sommes pacsés

Bonjour à tous !

J'en profite pour vous souhaiter de bonnes fêtes mais également une très belle année 2023 ! J'espère que tout va bien pour vous et que vous avez bien profité de vos proches.

Je vous fais de gros bisous !

Alors ça fait une bonne période que je suis sur les nerfs et je suis arrivée à un stade où j'en ai marre.

Marre des gens mal élevés, marre des gens qui ne respectent rien, marre des gens intolérants, marre des gens médisants, marre des gens qui jugent à tire-larigot, marre des gens qui ne se cultivent jamais mais qui savent tout mieux que tout le monde, marre des gens où quand tu vas pas dans leur sens ça ne va pas, marre des gens qui imposent leurs idées, marre des gens qui ne se remettent jamais en question et qui n'assument pas leurs responsabilités, marre d'avoir affaire de temps à autre à des gens aux comportements immatures, méprisants et qui ne conçoivent le monde qu'en fonction d'eux ainsi que leurs idéaux, marre de devoir mettre des limites aux gens, marre d'avoir affaire quelques fois à des gens qui pinaillent et te reprennent sur ton langage ou encore parce que t'as pas fait comme eux ils veulent/attendent (comme si ils étaient supérieurs aux autres pour se comporter comme ça) ou parce que tes comportements ne leur conviennent pas (comme si eux étaient blancs comme neige et parfaits dans leurs comportements), marre d'avoir ce ressenti de toujours être bienveillante même avec des gens qui ne le méritent pas, marre des gens qui ne s'expriment que par la violence et quand tu leur mets leurs comportements en face y'a toujours des excuses, marre de culpabiliser et de me remettre en question souvent pour rien, marre des gens qui te reprochent de ne pas donner de nouvelles alors que t'es overbooké et que ça ne leur coûte rien d'envoyer un message, marre de devoir régulièrement prendre sur moi...

Alors comme j'en ai marre, et bien pour la première fois j'ose m'exprimer plutôt que de faire en fonction des gens et de temporiser. Dans ce commentaire, j'extériorise et ça fait du bien. J'ose dire tu m'emmerdes ou m'exprimer dans ce sens. Quitte à ce que mes comportements ne soient pas bienveillants et mal perçus. Les gens, tu leur tends la main ils te prennent le bras et tout ce qu'ils peuvent. Alors j'en arrive à un stade où j'en ai plus rien à fiche de ce que les gens peuvent penser.

Encore dernièrement, une nana en voiture force le passage alors que je suis prioritaire. Du coup, je ne la laisse pas passer, j'accélère un peu et elle n'est pas contente. Elle me fait des appels de phares, râle alors qu'elle est en tort (alors ça, ça m'énerve les gens qui sont en tort et en plus qui embêtent leur monde -pour rester polie- parce qu'ils n'ont pas ce qu'ils veulent comme des enfants à qui tout leur sont dû). Donc clairement, je me suis surprise à spontanément lui envoyer un fuck dans le rétroviseur (alors que ce n'est absolument pas mon genre et que je n'en fait jamais). Mais voilà, je n'ai plus de patience avec les adultes-enfants-rois et/ou les cons. Et clairement... pour le moment... ça fait du bien.

Vu que je fais souvent en fonction des gens, bah là j'en ai marre de faire en fonction d'eux, j'en ai marre de devoir toujours être polie et bienveillante parce que si tu ne l'es pas une fois comparé aux 3/4 où tu l'es toute l'année, on te le signale du style t'es mal placée pour parler. Marre des puérilités, des gamineries, des gamins, des gens qui retournent la situation etc... Marre tout court ! Et donc... j'envoie valser, voilàààààà xD.

@peri
Bah c'est toujours la faute des femmes, c'est toujours à elles de se responsabiliser des comportements de certains hommes c'est bien connu. Et ce, depuis la nuit des temps. Si elles se font violer par exemple, c'est leur tenue. C'est pas le comportement de certains hommes qui posent problème. Les hommes sont visiblement des animaux primaires incapables de se contrôler dès qu'ils voient un bout de peau ils se sentent obligés de rentrer dedans. C'est donc aux femmes d'être responsables d'elles-mêmes et des comportements des autres. Je me demande quand certains hommes feront preuve de maturité et se diront "je suis responsable de mes comportements et personne ne peut prendre mes fautes à ma place".

@ocenore
Qui sommes-nous pour donner des jugements et leçons de morale aux russes alors que nous ne sommes pas dans leur situation ? Qui est médium et sait prévenir l'avenir des russes selon les positions qu'ils adoptent ? Et si l'on essayait, plutôt que de juger, de se mettre dans une posture afin de comprendre ce qu'il se passe en Russie, pour le peuple russe ?

Quand on vit en France, on a son mot à dire, la liberté d'expression est très présente (souvent un peu trop mais ça c'est mon avis personnel). Les journaux peuvent écrire "ce qu'ils veulent", on a plusieurs chaînes de télévision pour avoir plusieurs points de vue etc. Plus précisément, on a la possibilité de penser et de manifester quand on est pas d'accord. C'est le principe de la démocratie. Ce qui n'est absolument pas le cas des russes car eux sont sous un régime totalitaire, si ce n'est une dictature. Et donc, qu'est-ce que l'on retrouve dans ce genre de régime ? Du conditionnement, la soumission à la peur et à l'autorité, ne voir que quelques journaux télévisés et papiers orientés pro-gouvernement... et j'en passe. Je ne pense pas que les russes soient dans de bonnes conditions, si ce n'est en une sorte de sécurité sociétale et gouvernementale pour pouvoir exprimer certains avis (surtout ceux qui sont divergents à Poutine). Je ne sais pas si tu as suivi, mais des russes (au moins 3000 il me semble) ont manifestés quelques jours et ils se sont fait emprisonnés par Poutine. Finalement, les russes se trouvent dans un pays où ils ne peuvent pas penser et émettre des opinions comme dans une démocratie. Donc bon, c'est un peu facile pour nous de les juger et de leur dire ce qu'ils ont à faire, quand à côté on ne vit pas leur réalité vu qu'on ne vit pas dans leur pays et que forcément, beaucoup de choses nous échappent.

Et je rajouterai pour finir. Des Ukrainiens ont de la famille en Russie, et des russes ont de la famille en Ukraine. Alors, de mon point de vue, ce n'est pas le peuple russe qu'il faut incriminer et encore moins juger.

C'est vers 16-17 ans que certains patients peuvent déclencher certaines pathologies psychiatriques telles que la schizophrénie et notamment les pathologies relatives aux psychoses (autres termes selon les domaines) : bipolarité, paranoïa, schizophrénie. Cet adolescent n'a rien de cinglé, il a une maladie psychiatrique. Qui dit maladie dit souffrance et ce type de maladie c'est médocs à vie, suivi à vie et régulier etc. Non pas parce que ces personnes risquent de tuer des gens, ce qui est généralement faux car la plupart ne tuent pas et pour les personnes qui entendent des voix qui sont loin d'être systématiquement avec des idées meurtrières, mais simplement parce qu'elles sont malades, n'ont pas choisi de l'être et doivent être suivies.

Quand en une nuit, j'ai pondu 28 pages pour mon mémoire.
Que j'ai à présent 61 pages sur 80 et qu'il me reste 19 pages à écrire.

Je me souviens, en périnatalité, ma prof nous disait qu'à travers l'histoire des professionnels de santé étaient par exemple à fond sur l'allaitement et faisaient culpabiliser les mères qui ne voulaient pas ou n'y arrivaient pas. Ensuite, c'est devenu l'inverse par la suite et actuellement je ne sais pas où on en est. Ce que je tends à dire par là, c'est que la société comme certains professionnels de santé dictent / conditionnent un peu les choses selon les périodes (c'est souvent différent et contradictoire) alors que rien n'est universel et surtout qu'il faut s'adapter aux besoins de l'enfant. Tous les enfants fonctionnent différemment d'où l'importance d'aller à leur rythme.

Vu qu'on parle de science, voici quelques articles scientifiques :

https://www.cairn.info/revue-devenir-2013-2-page-117.htm
Il parle notamment du fait qu'une femme n'est pas si libre que ça en ce qui concerne l'allaitement et qu'il y a pas mal d'influences comme le discours médical normatif, les facteurs socio-économiques, les systèmes de valeurs, le facteur politique etc.

Dont celui-ci que je trouve particulièrement intéressant :
https://www.cairn.info/revue-spirale-2014-4-page-79.htm

Ainsi donc, les données disponibles à ce jour tendent à démontrer que la durée de l’allaitement n’apparaît pas, en soi et selon nous, comme un facteur pertinent pour évaluer la qualité de la relation mère-enfant et son impact sur le développement de celui-ci. Le choix de maternage et de nourrissage répond à un ensemble de facteurs bien trop complexes pour qu’il soit possible de les évaluer au regard du seul aspect de la relation qu’est la durée de l’allaitement. Il nous semble en effet que c’est bien davantage la qualité de la relation, évaluée avec l’attachement et la qualité du développement général de l’enfant dans tous les autres domaines, qui est pertinente, indépendamment de la durée de l’allaitement. Confronté en tant que professionnel à un allaitement prolongé (au-delà de 1 an), peut-être doit-on se poser la question de savoir ce qu’apporte l’allaitement à cette relation spécifique mère/enfant, étant donné les effets que l’on connaît des hormones sur le caregiving et l’enfant. Peut-être pouvons-nous envisager de faire davantage confiance aux mères dans leurs choix de maternage ? N’auraient-elles pas trouvé la meilleure solution pour elles et leur enfant ? L’allaitement maternel, sa compréhension, son observation fine, pourraient alors devenir un outil intéressant, une « porte d’entrée » parmi d’autres pour apprécier la relation intime qui se noue entre un bébé et sa mère, et améliorer les modalités de prise en charge psycho-thérapeutique. Être à l’écoute du vécu de la mère, de son enfant, mais aussi du père, respecter et comprendre les choix qu’ils ont mis en œuvre et l’adaptation dont la mère a fait preuve pour prendre soin de son bébé, comprendre l’allaitement long comme une ressource potentielle dans le système familial, tel pourrait être le préalable pour un accompagnement empreint d’empathie et de sagesse, et pour l’établissement d’une relation sécurisante entre professionnels de l’enfance et parents.

Quand a chaque diner avec ma belle-famille, un de des proches éloignés de mon conjoint qui me fait la réflexion "quand est-ce qu'on a des enfants ?". Déjà le "on"... Visiblement je dois faire des enfants pour les autres. Bon... Quand on lui répond qu'on en veut pas, le mec n'écoute pas et insiste pour qu'on fasse le choix d'avoir des enfants. Il me montre des photos de sa petite-fille ou encore des phrases du type "tu changeras d'avis plus tard". Mais pour qui les gens se prennent-ils, sérieux ? Et puis, comme si c'était une fin en soi d'avoir des enfants, que ça épanouissait toutes les femmes et que c'était un aboutissement en tant que femme. Je trouve ça mais tellement faux. Y'a des femmes heureuses avec des enfants et d'autres heureuses sans enfants comme d'autres malheureuse avec des enfants et malheureuses sans. Et personnellement, je suis heureuse sans enfants. Pourtant j'adore les enfants mais entre les adorer et en avoir un h24 c'est un autre monde.

Le problème c'est que j'ai remarqué, dès que t'as trente ans et que tu n'es pas dans le moule de la société avec un mari et un bébé, ça ne va pas. C'est vraiment très pénible quand des personnes, et le plus souvent c'est des hommes dans mon cas, t'imposent leur vision du monde et que tu dois limite te justifier du pourquoi tu ne veux pas d'enfant. Alors que c'est une décision qui revient au couple, à chaque membre du couple, qui est de l'ordre de l'intime. Mais non, il y en a toujours qui ont du culot et aucune éducation pour se mêler de choses qui ne les regardent pas.

Merci. C’est vraiment très dur, je l’aimais tellement . Et son décès était brutal. Personne ne s’y attendait.

Quand nous naissons, nous avons une éducation, une personnalité, une vie, un avis, des goûts etc. différents. Ainsi, il me paraît élémentaire de penser que tous les goûts sont dans la nature. Que y'a des hommes, des femmes, des non-binaires, des intersexes qui aiment ou non les femmes plates. C'est une affaire de goût et je ne pense pas qu'il y a vraiment des généralités à faire en matière de goût car... c'est personnel.

A vrai dire, je ne comprends pas ce genre de question que je trouve superficielle et dont la réponse relève du bon sens. A la limite quand on est ado et qu'on se pose des questions, je comprends. Et ce qui m'embête c'est réduire une personne à un physique, notamment ici la femme (en même temps, régulièrement il est question de leur physique plutôt que leur compétence par exemple), voire de critiquer un physique.

Personnellement je m'en fou du physique des gens, je les acceptent tels qu'ils sont. Qu'ils soient gros, obèses, avec des formes, minces, maigres, anorexiques. Et dans ce contexte, on parle plus avec profondeur. Beaucoup de gens ont des complexes, sont mal dans leur peau, leur vie... autant faciliter la vie des uns et des autres. Surtout que dès qu'une personne n'est pas dans la norme : ça ne va pas. L'acceptation de la différence, pour moi, ça fait partie du bon sens.

Je ne pense pas que les gens se débarrassent réellement de leurs parents quand ils les mettent dans un EHPAD. Pour avoir fait un stage dedans, y'a des personnes qui n'ont pas le choix. Quand par exemple, la personne a Alzheimer et que les enfants travaillent, ont leur vie... à force, ils s'épuisent que de s'occuper de leur parent. Parce-que ce n'est pas simplement faire la toilette et faire à manger, quand on a Alzheimer c'est carrément autre chose. C'est pas un jugement mais la réalité parce-que Alzheimer c'est une fichue maladie où la personne est plus qu'hyper dépendante, parfois agressive/violente, qui peut oublier la casserole sur le feu et j'en passe. Y'a pas que des mauvais côtés à Alzheimer mais comme je le dis, c'est une fichue maladie qui atteint énormément la personne et qui a des conséquences dans sa vie, avec ses proches. Y'a des enfants ou même une des personnes du couple qui veulent tout gérer tout seul mais en réalité, plus on avance dans la maladie, plus il est difficile d'aider. Et je voyais à mon stage, des enfants démunis, qui ont tout fait pour que leur parent n'aille pas en EHPAD mais n'en peuvent plus, sont littéralement épuisés.

Maintenant, les personnes travaillent, les couples ont deux boulots, des enfants... ça peut être difficile de s'occuper de nos aînés et certains ne sont pas forcément bienveillants (après y'en a aussi qui son adorables). Après y'a des personnes qui vivent en EHPAD mais dans des appartements où ils sont autonomes par exemple ou des aides à domicile, y'a aussi des personnes qui s'occupent des personnes âgées etc. Ca peut aider, après pour Alzheimer par exemple, c'est insuffisant et à un moment donné y'aura de grosses difficultés à les maintenir indépendants et libres quand la maladie ne leur permet pas d'aller dans ce sens.

Mais je comprends pourquoi tu ne veux pas y aller. Malheureusement y'a pas assez de personnel, certains sont maltraitants sans le vouloir mais pas forcément mauvais comme on peut voir certains cas aux infos ou autre (bien que cela est une réalité aussi). Certains EHPAD me font penser à des mouroir, et à juste titre quand j'ai été dans un EHPAD où le cimetière était juste en face de l'établissement. En fait, y'a pas beaucoup de moyens qui sont mis dans les EHPAD, le soin prend le pas sur tout... je vous raconte même pas certains discours et les actes pour maintenir certaines aides que donne l'état. Parce-que dans les EHPAD, c'est dur. Y'a énormément de roulement rien qu'au niveau des aide-soignants. Les gens n'en peuvent plus à un moment donné de travailler dans des conditions lamentables, culpabilisent de devoir maltraiter des aînés parce-qu'ils n'ont pas le temps. Je vois, à l'EHPAD Alzheimer où j'étais ils étaient deux pour 15 patients ! 15 patients qui ont Alzheimer... c'est chaud ! Et y'a des comportements à avoir parce-que la maladie a des particularités et donc il faut savoir adapter ses comportements. Clairement, les soignants dans les EHPAD n'en peuvent plus et tirent depuis des années l'alarme mais on leur donne de moins en moins de moyens.

J'ai reçu pas mal de cadeaux en rapport avec le bien être comme un livre sur le Yoga du visage, une pierre gua sha en quartz rose ainsi que le roller en quartz rose, de l'huile pour le visage, du maquillage, de la crème pour les mains, une tisane, un infuseur en métal pour le thé, deux colliers, un pull-plaid (bien pratique, chaud et cosy), une grosse et belle statuette d'une femme faisant du Yoga, un jeu de société, des gâteaux de Noël fait maison.

Mais je crois que le plus beau cadeau que j'ai eu c'est la réunion des deux familles (la mienne et celle de mon conjoint). Ce 25 décembre était super. J'avais peur des incidents diplomatiques mais il n'y a rien eu au contraire, beaucoup de rires. Pour moi c'est le plus beau cadeau que j'ai reçu.

Que de bienveillance sur ce forum ! C'est vrai qu'en même temps on peut facilement mal interpréter les choses vu que y'a pas de feedback. On ne voit pas le visage des personnes, on entend pas le ton etc., on a que l'écrit.

Durant une semaine, on a gardé un chiot à la maison et cela a été très éprouvant. L'appart était sale forcément et en bordel. Mon compagnon est parti depuis hier pour le travail et revient ce soir. Du coup, depuis hier, j'en profite pour nettoyer et ranger un maximum. Il ne me reste que la cuisine (vaisselle, plan de travail, plaque) et rincer la douche ainsi que sortir la poubelle. J'ai carburé pour que ce soit propre quand il rentre. Je me suis mis ça pour objectif (alors que d'habitude les tâches son partagées) car comme on a eu une semaine difficile et épuisante, il va être soulagé et content que tout soit fait. Alors, je suis contente.

Alors je ne classerais pas en top 10 mais plutôt 10 auteurs / lectures sans ordre précis.

• Les œuvres de Lovecraft (j’en ai lu pas mal alors je ne saurai laquelle choisir).
• Victor Hugo : Le dernier jour d’un condamné, Claude Gueux, Les misérables.
• Bernard Werber : Le livre du voyage, Les fourmis, Les Thanatonautes.
• Le livre du bonheur du Dalaï Lama.
• Henri Laporte : Journal d’un poilu.
• Ken Follet : Le réseau Corneille (je n’en ai pas lu d’autres mais ça m’a marqué).
• Stephen King : Ça, Marche ou crève, Peur Bleue, Désolation etc (je n’ai pas accroché avec Simetierre par contre).
• Albert Camus : L’étranger, La Peste.
• Conan Doyle : Sherlock Holmes.
• Tolkien : Le Seigneur des Anneaux.

@rz38
Personnellement, je m'en fiche. Ce que j'ai du mal c'est que des gens se permettent de dicter à une femme comment s'habiller et à parler à la place des femmes voilées. Si dans leur spiritualité, elles décident de porter le hijab, jilbab etc., je m'en fiche. J'avoue avoir du mal avec la burqa mais je crois que c'est un vêtement imposé par les talibans car on le retrouve essentiellement en Afghanistan. A partir du moment où c'est imposé, là ça me pose problème et je ne suis pas d'accord. Mais je pense que la majeure partie des femmes voilées ne sont pas imposées à le porter.

De toute façon, si une femme est voilée elle s'en prend plein la tronche. Si elle porte un short et un débardeur c'est une coureuse de remparts (pour rester polie). Quoi qu'on dise, les femmes sont souvent jugées pour leur physique. Autant des femmes dans la rue, inconnues, que des femmes connues comme les femmes des chefs d'état, les journalistes etc.

Je crois que le vrai problème n'est pas le vêtement mais le regard des autres. Particulièrement certains hommes. Enfin quand c'est des femmes qui jugent d'autres femmes sur leurs tenues... ça me dépasse complètement. Je ne comprends pas si c'est de la bêtise, du conditionnement, de l'ignorance mais aussi un non-intéressement à la religion musulmane. Si on n'a qu'un réel intéressement envers les choses pour lesquelles ont est d'accord... bah on ne peut pas être au plus juste et au plus proche de certaines vérités.

@shanna a dit dans Stéréotypes, clichés et idées reçues... sur vous :

Quels stéréotypes vous concernant directement (votre profession, votre ville, votre culture, vos origines, votre look etc.) avez-vous déjà entendus ? Est-ce que ça vous agace ? Vous en défendez-vous quand ça arrive ?

Ma profession : vous êtes des charlatans, 50€ une séance c'est cher, écouter pendant des heures moi aussi je peux le faire ou je peux en parler à un ami c'est pareil, j'arrête de te parler sinon tu vas m'analyser, de toute façon consulter c'est pour les fous, les gens qui vont voir des psy sont fous, j'ai été voir un psy une fois et ça m'a rien fait, la psychologie ce n'est pas de la science...

Ma ville : un stéréotype avéré - c'est une belle ville.

Ma région : Il fait super froid chez vous, il pleut tout le temps, casques à pointe, schleus etc. Toutes les méchancetés relatives à la seconde guerre mondiale que la plupart des gens qui me sortent ça n'ont jamais vécu cette période et en plus sont complètement ignares sur le sujet (vous le sentez mon énervement ?).

Ma culture : rien à dire de spéciale. Culture française. Lorraine et Alsacienne.

Mes origines : Française alors j'ai souvent entendu que les français étaient des râleurs... ce qui est totalement vrai. Et en plus ils ne savent pas conduire. Cela m'arrive de m'énerver en voiture en disant "sale Frouz de merde" alors que je suis moi-même française mdr.

Mon look : je n'ai jamais eu de clichés sur mon look. J'en ai plusieurs mais je pense que je sais globalement bien m'habiller, me mettre en valeur.

La première impression : hautaine. On me l'a déjà dit et dès qu'on me parle, on se rend compte que pas du tout.

Est-ce que ça vous agace ? Vous en défendez-vous quand ça arrive ?
La plupart des trucs me passent au-dessus. Sauf en ce qui concerne ma région et ma profession. Surtout ma région. Mon arrière grand-père était résistant en plus. Honnêtement ça me fais de la peine d'entendre des moqueries comme ça, de la méchanceté. Du coup, en général j'essaye tout de suite de me couper de la conversation, prendre du recul, j'essaye de ne pas m'énerver et de ne pas prendre les choses personnellement.

Je me suis acheté un t-shirt pour le yoga qui a la particularité d’être un dos nu (mais finalement que je peux mettre dans la vie de tous les jours) et un pantalon cargo brun.

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