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    Messages postés par Membre parti

    • RE: The Witcher

      Idem que beaucoup d'entre vous, univers inconnu pour moi, conseillé par mes fils, fans des JV. J'ai eu aussi beaucoup de mal avec ces mélanges temporels, quand on démarre un truc aussi fumeux que la Fantasy je pense qu'il faut se dire que ceux qui n'y connaissent rien vont avoir du mal à accrocher, alors si en plus tu mélanges les époques, on peut vite dire: pff ça me saoule.

      Bon comme il n'y a que 8 épisodes j'ai insisté mais sans me régaler et je pense qu'il me faudra qqs explications et refaire cette saison 1 ensuite, pas le choix, avant de faire la saison 2 . C'est comme à l'école on ne passe pas en terminale si on a rien pité à la 1ere, à moins d'aimer la noyade.

      posté dans Liste de Séries
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    • RE: Communication non violente

      @Peri Le fait est que j'ai appris à ne pas faire spontanément confiance aux humains. Alors quand quelqu'un commence à édulcorer ses propos ou devenir obséquieux, la première chose que je me dis, c'est qu'il est en train de me cacher ce qu'il pense réellement...
      C'est sûrement moi qui suis sauvage sur les bords (Et au milieu), mais d'expérience, je préfère...

      posté dans Sciences Humaines et Sociales
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    • RE: Communication non violente

      @Peri Tu observeras que j'ai précisé que je caricaturais pour expliquer mon point de vue, pas pour porter un jugement sur la CNV...

      @Olivier et @Noodle Il est vrai qu'une discussion perd tout intérêt quand elle bascule sur des attaques contre l'interlocuteur comme par exemple le dénigrement qui ne donne pas envie de poursuivre.
      Ce que je veux dire, c'est que cela ne me semble pas non plus souhaitable de toujours cacher/atténuer ses réactions émotionnelles ou instinctives, cela peut induire chez l'autre le risque de sur-interpréter ou de mal comprendre un propos.

      posté dans Sciences Humaines et Sociales
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    • RE: Communication non violente

      @ivoire Comme je l'indiquais, il y a beaucoup d'outils dans la CNV, c'est en fait assez "normé" d'après ce que j'en ai compris... C'est plutôt l'approche "instinctive" ou "intuitive" qui m'intéresse, sans forcément s'attacher à la lettre aux outils qui ont été élaborés sur ce sujet...

      @Wolfen Oh c'est intéressant comme point de vue, je n'avais jamais vu ça sous l'angle d'une forme d'hypocrisie... comme je le comprends il ne s'agit pas de se voiler la réalité, mais plutôt d'y faire face en évitant certains pièges de la "sur-émotion" pour réussir à maintenir un "vrai" dialogue avec l'autre même en cas de désaccord, en essayant d'exprimer (tout) son ressenti sans charge, sans s'en prendre à l'autre...

      posté dans Sciences Humaines et Sociales
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    • RE: Communication non violente

      Je suis très sceptique vis à vis de tout ce qui tente d'édulcorer le monde, je pense que c'est une façon de se voiler la réalité.

      Perso je suis très sensible aux différentes formes d'hypocrisie, et je trouve que lorsqu'on aseptise un peu trop ses propos, on tombe vite dedans. Alors certes on ne peut pas communiquer en s'aboyant dessus, mais je pense que la communication est tout autant impossible quand on est en mode "bisounours". Je caricature un peu pour expliquer ma position.

      Bref, de but en blanc, je ne suis pas trop convaincu, faudrait creuser un peu plus pour voir davantage ce dont il s'agit concrètement.

      posté dans Sciences Humaines et Sociales
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    • Communication non violente

      Il me semble que la culture télévisuelle et cinématographique a tendance à valoriser à l'excès un mode de communication "cash", basé sur des formules "bien envoyées", mais qui se soucie peu de la sensibilité et du vécu de l'autre...
      La communication non violente (CNV) recouvre un ensemble de techniques et d'outils, le but n'est pas forcément d'entrer dans tous ses détails, mais plutôt d'essayer de redonner la priorité à la bienveillance et l'empathie dans les échanges.
      Je ne prétends pas que ce soit facile, avec les meilleures intentions du monde notre ego nous joue parfois des tours (j'en suis la première victime 😅 ) mais peut-être que ça vaudrait le coup de se pencher un peu sur la question ?
      Vous en pensez quoi ?

      posté dans Sciences Humaines et Sociales
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    • RE: Brian Warner aka Marylin Manson accusé d'agressions sexuelles

      @LeaPierce a dit dans Brian Warner aka Marylin Manson accusé d'agressions sexuelles :

      @Noodle a dit dans Brian Warner aka Marylin Manson accusé d'agressions sexuelles :

      Rapport aux incidences immédiates de ces révélations, je sais pas vous mais je suis plutôt triste/déçue. Cancel Marilyn Manson, c'est tout ce que je ne souhaitais pas. En quoi l’œuvre de Marilyn Manson est-elle criminelle ? C'est vraiment le passage qui me posait soucis dans le message écrit d'Evan Rachel Wood (l'appel au cancel).

      Cela marche pour pas mal d'autres personnes célèbres, même s'il est coupable, l'oeuvre de l'artiste est-elle dissociable de la personne qu'il est (et donc de ses actes dans sa vie privée) ?

      Désolé si ma question est HS ou mérite un autre topic/débat.

      C'est juste que je suis d'accord avec l'entièreté de ton post et que c'était la seule partie qui m'a un peu poussé à la réflexion. La cancel culture est devenue très facile aujourd'hui, et selon moi, ce n'est pas une bonne chose. Ne pas donner la parole à une minorité (positive ou négative) est une forme de censure qui empêche les gens de réfléchir (et d'avoir son propre avis) sur les propos donnés par les minorités.

      Personnellement, je considère que l'oeuvre d'un artiste n'a rien à voir avec sa vie privée. Si on devait bannir de nos oreilles tous ceux qui ont eu des vies dissolues ou qui ont commis des crimes, beaucoup de chansons seraient vouées à disparaître.

      Par exemple, un certain Claude François, pourtant d'une extrême popularité, et qui est quand même un pédophile avéré puisqu'il a mis enceinte une fille de 14 ans, et il sortait avec depuis un an, donc il l'a connue à 13 ans ! Elle était consentante, il ne l'a pas agressée, mais bon quand même, il s'est forcément rendu compte qu'elle n'était pas majeure et ça ne l'a pas arrêté. Est-ce que pour autant on va cesser d'écouter ses chansons, je ne vois pas pourquoi.

      Il y a aussi des artistes qui ont tué, d'autres en pagaille qui sont des drogués notoires, des trafiquants, certains qui renient leurs enfants etc... Et tout cela n'a rien à voir avec leurs chansons. C'est pareil pour les autres formes artistiques.

      Manson (Ou plutôt Brian Warner) doit passer en justice pour répondre de ses actes, mais appeler à boycotter ses chansons, ce n'est pas la justice, c'est juste de la vengeance.

      posté dans People
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    • RE: Brian Warner aka Marylin Manson accusé d'agressions sexuelles

      Cela devient mission impossible de croire à l'innocence du gars à partir du moment où le nombre d'accusatrices augmente. Après, réussir à le prouver aux yeux de la justice, c'est une autre paire de manche.

      Concernant Evan Rachel Wood, cela remonte à plus de 10 ans maintenant, elle est resté avec lui pendant 3 ans, l'avocat de Manson va forcément s'en servir contre elle en prétendant qu'elle était consentante, ce que le chanteur lui-même à évidemment déjà commencé à faire.

      Je suis curieux d'entendre ce que va en dire Dita Von Teese qui est celle avec qui il a passé le plus de temps en dehors de sa récente épouse Lindsay.

      Espérons que les délais de prescription ne lui permettent pas d'échapper à ces accusations, tout dépend de l'état où se seraient produits les faits.

      posté dans People
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    • RE: Les célébrités qu'on consommerait bien

      Je suis d'accord avec Shanna pour Jason avec LeaPierce pour Ian (évidemment), je dis comme un ancien utilisateur Guillaume Canet😍 mais juste pour le plaisirs des yeux et je sais que je ne suis pas la seule à avoir cherché son nom :
      Nick Youngquest 6baffef656255c82d873e4f1813c2253--hot-dudes-hot-men.jpg nick8.jpg
      Vous aurez peut être reconnu la pub, sinon petit indice
      nick-youngquest-egerie-parfum-invictus-paco-rabanne-2013-e1411041907400.jpg

      posté dans People
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    • RE: Dragon Age: Origins

      @Kallindra Oui c'est que tout le monde fait, surtout que si on le recrute, Alistair quitte le groupe et devient alcoolo, il ne supporte pas qu'on fasse cela.

      Cela dit, recruter Loghain pour que ce soit lui qui se sacrifie en achevant l'archidémon, c'est une belle vengeance aussi. Je ne l'ai fait que deux fois, une pour faire ça et l'autre pour qu'il fasse le rituel avec Morrigan. Du coup à la fin, Loghain survit et part à Weisshaupt.

      Apparemment ton héros préféré est d'incarner un ou une mage. T'as déjà remarqué que suivant que c'est un mage humain ou elfe, leur nom de famille et leur histoire personnelle change même si le parcours en tant que mage reste le même ?
      C'est ce qui m'impressionne le plus dans ce jeu, la façon dont ils ont fouillés le background pour vraiment rendre les personnages "vivants". C'est passionnant d'en apprendre sur eux et leurs origines au fil des dialogues et des codex.
      Y'a juste un truc qui n'est pas trop cohérent du coup, c'est qu'en fait les deux nains, le noble et la paria, Duncan les recrute un an avant Ostagar. Du coup on se demande ce qu'ils ont fait pour n'avoir toujours pas eu leur cérémonie de l'Union ?

      La naine paria c'est celle qui a le destin le plus extraordinaire je trouve. Si on se met du côté de Bhelen (Ce qui est normal la concernant vu que sa soeur Rica est la concubine du prince), à la fin on peut retourner à Orzammar et devenir une Haute, rien que ça !

      Mais j'ai quand même un faible pour l'humain noble Aedan. Quand on le met en romance avec Morrigan, à la fin de la chasse aux sorcières on a une super scène où il part à travers l'Eluvian avec elle pour aller retrouver leur enfant, c'est excellent.

      posté dans Jeux vidéo
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    • RE: Dragon Age: Origins

      @Kallindra Les quêtes perso des compagnons, c'est celle de Shale que je préfère. Déjà elle ouvre l'accès au thaig Cadash dans les tréfonds mais en plus j'aime ce personnage, elle me fait rire avec sa façon de parler.

      Je ne sais pas si tu as eu l'occasion de t'en rendre compte, mais j'ai observé que Sten révèle parfois certaines choses quand on lui parle en exploration, des dialogues qu'il ne livre jamais au campement.
      Ce n'est pas toujours évident de nouer une bonne relation avec lui pour qu'il livre la quête de son épée rapidement et j'avoue que je l'ai plusieurs fois fait avec un cadeau de Satinalia pour simplifier (Le gaver de gâteaux au sucre ça marche aussi MDR).
      Mais avec ces dialogues "cachés" où il parle un peu de son passé sur Séhéron, on en apprend davantage sur lui (Par exemple que Sten n'est pas son nom mais son grade) et cela fait monter son admiration pour notre héros.

      Sinon est-ce que tu es déjà parvenue à sauver tout le monde dans l'attaque des cadavéreux à Golefalois ? Perso je ne suis arrivé qu'une fois, notamment grâce à Morrigan et son Champ de force.

      posté dans Jeux vidéo
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    • RE: Dragon Age: Origins

      @Kallindra Combattre avec 3 mages ? Pauvre Alistair, tout seul à se prendre des coups MDR...

      Plus sérieusement, j'ai joué toutes les combinaisons possibles pour avoir toutes les fins et le jeu terminé au maximum, et faire autant de partie n'est pas de trop pour y arriver ! 😂
      Je dois dire qu'il y a des scènes magnifiques finalement peu tentées par la plupart des joueurs parce qu'elles ont un côté étrange.

      Par exemple, quand on se range du côté des loups-garous et qu'on les persuadent d'aller désosser les elfes, le combat avec les garous et Versipelle à nos côtés est trop génial. Bien sur c'est horrible de tuer les dalatiens mais bon...

      Pour ma part, j'aime bien combattre à deux armes et emmener Morrigan, les 2 derniers personnages, je choisis en fonction des zones visitées. Shale dans les tréfonds, c'est quasiment indispensable en plus d'Oghren, cela donne une scène spéciale avec Caridin. Léliana et Alistair à Dénérim pour leurs quêtes persos aussi c'est indispensable.

      Tu as toutes les DLC ou juste le jeu original ?

      posté dans Jeux vidéo
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    • RE: Dragon Age: Origins

      Les compagnons jouables du personnage central.
      text alternatif

      Le chien Mabari
      text alternatif
      Redoutable molosse de guerre appartenant au héros humain noble, ou alors rencontré dans la forteresse d'Ostagar et recrutable un peu plus tard pour les autres héros. Outre sa force en combat, ce compagnon toujours fidèle peut servir à déterrer des objets cachés et avec le bon objet, on peut jouer à lui lancer un bâton.

      Alistair Theirin
      text alternatif
      Formé en tant que templier, l'ordre militaire de la Chantrie, la religion officielle, Alistair est un jeune garde des ombres recruté par Duncan 6 mois avant le début de la guerre contre les engeances. Il est chargé de préparer les dernières recrues de Duncan pour leur Union, le rituel qui doit faire d'eux des gardes des ombres aussi. En outre, il est le fils caché du défunt roi Maric, grand héros ayant libéré Férelden des envahisseurs du pays d'Orlaïs.

      Morrigan
      text alternatif
      Une redoutable magicienne métamorphe vivant avec sa mère Flémeth, la sorcière légendaire des terres sauvages au sud de Férelden. Elle surprend les héros en train de parcourir le territoire où elle vit à la recherche de documents que sa mère à récupérés. Elle accompagne les héros après la bataille d'Ostagar contre les engeances mais ses intentions sont obscures.

      Léliana
      text alternatif
      Soeur à la Chantrie du village de Lothering cachant un lourd passé d'espionne, originaire du pays d'Orlaïs. Très pieuse et attachée au culte d'Andrasté, la légende ayant inspiré la Chantrie, elle se joint aux héros en prétextant que c'est le dieu créateur qui lui a dit de le faire mais il ne faut pas s'y tromper, c'est une redoutable combattante.

      Sten
      text alternatif
      Chef de patrouille de la race des Qunaris, des géants portés par une philosophie conquérante, capturé pour avoir assassiné toute une famille humaine apparemment sans raisons. Les héros le font libérer de sa cage à Lothering pour se servir de ses capacités de combat exceptionnelles et peut-être lui permettre d'expier ses crimes.

      Wynne
      text alternatif
      Magicienne de la tour du Cercle de Férelden participant à la bataille d'Ostagar se joignant aux héros lors de leur passage à la tour qu'elle maintient sous contrôle quasiment seule alors que des démons l'ont envahie, elle-même ayant été sauvée par une entité bienfaisante. Malgré un âge avancé, c'est une précieuse alliée et une guérisseuse hors pair.

      Oghren Kondrat
      text alternatif
      Nain guerrier de la cité souterraine d'Orzammar, abandonné par sa femme Branka, une grande héroïne des nains disparues dans les tréfonds de la terre, Oghren cumule à peu près tous les vices. Il est alcoolique, grossier, sale et obsédé sexuel. Mais c'est aussi un guerrier berserker qui n'a pas son pareil pour liquider des engeances à grands coups de hache. Il rejoindra les héros dans leur expédition à la recherche de son épouse dans les tréfonds.

      Zévran Arainaï
      text alternatif
      Membre d'un célèbre ordre d'assassins du lointain pays d'Antiva, Zévran est recruté par le régent Loghain pour tuer les héros. Malgré l'échec cuisant de son embuscade, ces derniers lui laissent une chance de se racheter quand il leur offre ses services. Un choix surprenant mais qui peut les protéger des attaques des Corbeaux, son ex-ordre de meurtriers.

      Shale
      text alternatif
      Golem découvert et réanimé par les héros dans un petit village isolé de Férelden après 30 ans de paralysie, cette machine de guerre écrase les engeances comme personne et détient de surcroît une personnalité complexe, bien que sa mémoire soit fortement défaillante et qu'il ait une aversion pour les oiseaux.

      Loghain Mac Tir
      text alternatif
      Héros de Férelden ayant jadis combattu aux côtés du défunt roi Maric pour libérer Férelden du joug des envahisseurs d'Orlaïs, totalement dévoué à son pays, mais n'ayant aucune confiance en la garde des ombres. Se retrouvant à la régence du pays, sa mésentente avec les seigneurs provoque une guerre civile.

      Lorsque les héros de Férelden le confrontent à toutes ses erreurs, les rejoindre sera sa seule option pour éviter la mort, mais cela ne plairait pas à tout le monde.

      posté dans Jeux vidéo
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    • RE: Dragon Age: Origins

      Les différents choix de personnages que l'on peut incarner : (Le choix du sexe est libre, cependant, les infos d'explorations, dialogues ou codex autour des personnages laissent apparaître des tendances plus logiques dans le scénario global du jeu)

      Aedan Cousland (ou Elissa)
      C'est le deuxième enfant du tiern de Hautecime. Un tiern est un seigneur important dans le royaume, une sorte de ministre du roi. Hautecime est un fief situé au nord du pays de Férelden et dominé par un grand château sur lequel règne la famille Cousland depuis longtemps.
      Dans ce prologue, le château est attaqué en pleine nuit après le départ à la guerre de l'aîné des enfants, Fergus. Le seigneur Rendon Howe, ami de longue date du tiern Bryce Cousland mais jaloux de son statut et convoitant ses terres, profite du départ des troupes pour s'emparer de Hautecime.
      Le héros tente d'aider sa mère Eléanore à survivre à l'assaut en compagnie de son chien mabari, une espèce de molosses de guerre très intelligente. Dans le même temps, le garde des ombres Duncan en visite aide le tiern Bryce blessé à se cacher. Lorsque les deux petits groupes se retrouvent, le château est perdu et le héros s'enfuit avec Duncan et son mabari, devant laisser ses parents.

      Daylen Amell (ou Solona) en tant qu'humain
      Neria Surana (ou Alim) en tant qu'elfe
      Jeune magicien originaire d'une noblesse déchue de la ville étrangère de Kirkwall si l'on est humain, ou jeune apprentie de l'archiviste Elindra, une chef de clan dalatien, des elfes libres. L'aventure de ce héros débute dans le cercle des mages de Férelden situé dans une tour au milieu du lac Calenhad, où il reçoit son enseignement magique de la seule façon légale de le faire.
      Le héros passe sa confrontation, un rite initiatique consistant à affronter un démon dans le monde des rêves faisant de lui un mage à part entière. Le héros va ensuite aider son ami Jowan, soupçonné de pratiquer une forme de magie noire, à fuir la tour du cercle avec sa petite amie, mais tous se feront prendre à la sortie par le premier enchanteur Irving, chef de la tour. Pour éviter une sanction fatale, le héros est contraint de s'engager dans la garde des ombres auprès de Duncan.

      Darrian Tabris (ou Kallian)
      C'est un jeune elfe citadin habitant dans le bascloître de Dénérim, la capitale du royaume de Férelden. Un bascloître est un quartier pouilleux où sont entassés les elfes qui sont généralement traités comme des esclaves.
      Le héros et son ami Solis doivent célébrer un mariage commun avec leurs deux promises arrivant tout droit de Hautecime mais leur mariage est perturbé par l'irruption du seigneur Vaughan Kendalls, un humain aux manières grossières. Chassé dans un premier temps, le goujat revient et enlève les deux fiancées ainsi que leurs demoiselles d'honneurs, dont Shanni, la cousine du héros.
      Le héros et Solis doivent alors s'introduire discrètement dans le domaine du bann (seigneur) de Dénérim pour aller secourir Shanni et leurs fiancées, tuant quelques nobles au passage.
      Pour éviter des représailles contre le bascloître, le héros va s'accuser seul du raid et se livrer aux autorités mais Duncan va saisir l'occasion pour le recruter dans la garde des ombres, lui évitant ainsi l'exécution.

      Lyna Mahariel (ou Theron)
      C'est une elfe dalatienne vivant au sein du clan Sabrae dans la forêt de Bréciliane située au sud-est de Férelden. L'héroïne et son ami découvrent des ruines dans la forêt et tombent sur un miroir mystérieux en les explorant, lequel explose lorsque l'ami le touche, les infectant tous les deux par la souillure des engeances. L'héroïne est retrouvé par Duncan qui la ramène à son clan se faire soigner en partie par son archiviste, la vieille Marëthari.
      Bien que supportant mal l'idée de la disparition de son ami autant que celle d'abandonner son clan, la maladie infectant l'héroïne la condamne à brève échéance, seul le rituel d'accession à la garde des ombres pouvant lui permettre de survivre. L'héroïne est donc contrainte à contrecœur de quitter les siens pour suivre Duncan.

      Duran Aeducan (ou Sereda)
      C'est un nain de la cité d'Orzammar, située dans les profondeurs de la chaîne montagneuse des Dorsales de givre à l'ouest de Férelden. Puiné de son père Endrin Aeducan, le roi d'Orzammar, le héros prépare une cérémonie devant faire de lui un chef militaire.
      Malheureusement, son retors petit frère Bhelen, dévoré par l'ambition, a préparé tout un complot visant à faire assassiner son grand frère Treyan, l'héritier légitime du trône, lors d'une expédition dans les tréfonds, un réseau souterrain envahi par les engeances. Le plan va jusqu'à faire accuser le héros du meurtre, ce qui provoque son bannissement dans les tréfonds.
      Mais dans les souterrains, le héros va finir par rencontrer Duncan qui lui propose de le suivre à la surface pour devenir un garde des ombres.

      Natia Brosca (ou Faren)
      C'est une naine de la cité d'Orzammar qui vit dans les profondeurs insalubres de la cité, étant une paria comme sont désignés les enfants ne méritant pas une caste dans la société naine. Au service du carta, une organisation criminelle de la cité, l'héroïne va remplir de sales besognes pour Beraht, son oncle et chef de la pègre locale, qui a réussi à placer Rica, la soeur de l'héroïne, comme concubine du prince Bhelen.
      Au cours d'une de ces besognes, l'héroïne va participer masquée à une lice, un combat sacré pour la société d'Orzammar mais interdit aux parias. Son imposture éventée, l'héroïne se fait emprisonner mais s'enfuit avec son complice Leski, une fuite au cours de laquelle ils vont tuer Beraht.
      Rattrapée par les gardes, l'héroïne évite la potence en étant recrutée par Duncan dans la garde des ombres, ce qui l'oblige à partir en surface.

      Une fois recruté par Duncan, notre héros ou héroïne rejoint la forteresse d'Ostagar au sud de Férelden ou les attendent le roi Cailan, le tiern Loghain et leurs armées.

      posté dans Jeux vidéo
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    • Dragon Age: Origins

      Dragon age origins est le premier opus d'une saga épique, sorti en 2009 et couronné jeu de l'année.
      text alternatif

      Le jeu se situe dans un univers à l'ambiance médiévale dans un monde dominé par une religion omniprésente nommée la Chantrie, où la magie est considérée comme quelque chose de dangereux et globalement illégal en dehors du Cercle des mages situé dans une tour au milieu d'un lac.

      L'aventure débute dans le pays de Férelden alors que Duncan, un chef de la Garde des ombres, un ordre d'élite, vient de découvrir qu'une horde d'engeances, des créatures maudites et difformes, s'assemble dans les terres sauvages du sud. Se dépêchant de rejoindre la capitale Dénérim pour prévenir le roi du danger qui menace, Duncan se met en quête de nouvelles recrues pour son ordre dont les effectifs sont réduits.

      Le joueur à alors le choix d'incarner un personnage parmi 6 possibilités, chacune pouvant se jouer en tant qu'homme ou femme. 3 races sont disponibles, Humains, Elfes et Nains, chacun pouvant être guerrier, voleur ou mage, sauf les nains qui ne pratiquent pas la magie.

      Ensuite débute un prologue spécifique et différent pour chaque personnage, conçu autant pour apprendre les mécaniques de jeu que pour faire connaissance avec le personnage, ses proches et le lieu où il évolue. Ce prologue décrit l'histoire qui va conduire le personnage à se faire recruter par Duncan afin de rejoindre le lieu où la grande bataille contre la horde d'engeances doit se livrer, une forteresse du nom d'Ostagar.

      La suite est une aventure palpitante où le héros (ou l'héroïne) rencontrera différents personnages, certains l'accompagnant dans sa quête pour vaincre l'Enclin, nom qui désigne le soulèvement des engeances et mené par un immense dragon appelé l'archidémon.

      On peut avoir jusqu'à 9 acolytes à ses côtés, 3 pouvant nous accompagner en exploration dans les différentes zones du jeu. L'aventure se déroule dans l'ordre que l'on souhaite en choisissant ses destinations sur une carte, celle-ci se complétant au fur et à mesure des nouvelles quêtes que l'on débloque. Chaque zone possède aussi sa carte dédiée. Les combats permettent d'utiliser plusieurs techniques, soit en choisissant les tactiques de vos compagnons, soit en gérant vous-même tous les personnages en switchant de l'un à l'autre, vous pouvez mettre la pause pour vous donner le temps de sélectionner vos coups.

      Le jeu contient de nombreuses quêtes annexes en plus de l'histoire principale, le background est énorme, notamment grâce à des codex que l'on découvre au fil de l'aventure et qui décrivent des dizaines de faits historiques couvrant plus de 8000 ans d'histoire, rendant l'univers du jeu extrêmement crédible et détaillé. Les dialogues sont parfaitement interprétés, y compris en français.

      Les compagnons ont des personnalités hautes en couleurs, chacun d'eux ayant sa petite quête personnelle qu'il ne livrera que si l'on établit un bon relationnel. On peut même établir une relation intime avec certains. Anecdote amusante, en chemin dans les différentes zones, vos compagnons se parlent de temps à autres et souvent les vannes fusent.

      A noter que parmi les DLC (Il y en a 4 principaux à avoir) se trouve des suites à l'aventure rajoutant pas mal d'heures de jeu et amenant de nouveaux compagnons et de nouvelles quêtes générales passionnantes à remplir.
      Voici le trailer du jeu. Celui-ci est en anglais, mais le jeu est intégralement jouable en français, ou avec des sous-titres si vous le souhaitez :


      Connaissez-vous ce jeu ? L'avez-vous essayé ?

      posté dans Jeux vidéo
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    • Mayans M.C.

      MAYANS MOTOR CLUB - SOUTHERN CALIFORNIA

      @Sérivore

      text alternatif
      text alternatif

      Spin off de la série culte "Sons of Anarchy", nous voila tout au sud des USA à la frontière mexicaine.

      Bien sur il vaut mieux voir SOA avant c'est quand même plus logique, mais ça n'est pas obligatoire.

      Le Mayans Motor Club qui était un club rival dans "SOA" devient la vedette. Le héros principal c'est EZ dimininutif d'Ezequiel, le Prospect du club (l'apprenti). Sans spoiler puisqu'on l'apprend dès le 1er épisode, il sort de prison mais sous condition. Il est donc soumis à la pression des membres du club qui testent ses qualités pour l'intégrer ou pas et par la Police qui le surveille.

      On plonge cette fois dans le dur des trafics de drogues sur fond de tensions avec l'immigration mexicaine et toute la misère qui va avec. Le fan service est de mise puisqu'on retrouve l'étrange chucky (le masturbateur amputé des doigts), qu'on croise Jemaa, et bien sûr Alvarez, personnage majeure des Mayans dans SOA.

      text alternatif

      Après un début où il est difficile d'accrocher car je pense qu'on a tendance à comparer, on finit par apprécier l'histoire et le scénario très différent de la série mère. A signaler qu'en VO la série est bilingue, anglais / espagnol, ce qui est assez pénible à moins de maitriser ces 2 langues, du coup je suis passé à la VF plus digeste. Après 8 épisodes et bien c'est pas mal du tout, même si les personnages sont beaucoup moins charismatiques que la bande à Jax.

      6/10

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    • La lecture rapide

      La lecture rapide est une technique permettant d'accélérer la vitesse de lecture. Elle ne vise pas les apprentissages initiaux de la lecture (jeunes enfants ou adultes analphabètes).

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      Elle consiste principalement à éduquer le regard et à limiter la subvocalisation qui ralentit énormément la lecture.

      Elle peut être complétée par d'autres techniques, comme la lecture dite « en diagonale ».

      La lecture rapide s'adresse aux lecteurs qui souhaitent soit améliorer leurs performances, soit remédier à des difficultés (lexique, classification, prises d'indice, identification structurelle, etc.).

      Attention quand même, la lecture rapide comprend nécessairement la vitesse de lecture ET la compréhension, sinon ça ne sert à rien si on lit mais qu'on ne comprend ou retient rien ... 🤣

      En adepte très célebre de lecture rapide, JFK est souvent cité quand on parle de lecture rapide quand il lisait la presse quotidienne.

      A notre qu'il existe aussi des concours de lecture rapide

      Avez-vous déjà entendu parler de la lecture rapide ? Vous y êtes vous entrainés ? L'utilisez-vous ? Et dans quelles circonstances ?


      Pour ma part je m'y suis mis il y a quelques années. Je ne suis pas au top là dessus, mais l'entrainement porte quand même ses fruits. J'arrive a lire (si ce n'est pas un roman trop compliqué dans sa forme), un centaine de page/heure (la vitesse moyenne de quelqu'un non entrainé étant de 1/2 à 1 page par minute).

      C'est aussi interressant car j'ai l'impression qu'on utilise mieux notre vue et que du coup la fatigue visuelle est moindre car on utilise nos yeux plus efficacement

      Mais je ne le fais que pour m'entrainer, ou alors si le roman ne m'interesse finalement pas plus que cela et que j'ai envie de passer à un autre (J'ai toujours au moins une dizaine de livres en attente...)

      Car en temps normal je ne l'utilise pas vraiment (Ou alors je passe juste la seconde sans faire attention parce que j'ai envie de connaitre la suite au plus vite... )

      Parce que si le livre me plait énormément (Par exemple, pour reprendre un livre présenté ici, "Tu comprendras quand tu seras plus grande" que j'ai lu l'année dernière à cette période), ça reste pour moi un plaisir de l'instant présent, un plaisir que je savoure aussi dans la lenteur et le temps qu'il me prend. Et si un passage me plait sur le coup, je le relit pour ce plaisir, si une citation m'émeut je la note, ou parfois je me mets à révasser parce que l'oeuvre me parle et me ramène à ma propre existence. C'est un moment de culture et de zenitude dans laquelle la vitesse de lecture n'a pas droit d'asile

      Et pour le boulot c'est impossible de l'utiliser (hier j'étais dans une formation sur les plans d'épargne salariale. Le mode de calcul des plafonds d'épargne pour les TNS, j'ai du le lire 4 fois pour le comprendre à vitesse normale 🤣 )

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    • Vos déceptions littéraires

      il vous est certainement déjà arrivé l'impression d'être déçus par un roman (je suis sûr que oui 😄 )

      Vous avez vu le titre, le pitch et partiez pourtant hyper confiants (Ou même pire : Quelqu'un de votre entourage vous l'a conseillé en vous disant "si si lis le il est top !")

      Mais finalement au fur et à mesure de la lecture, vous vous demandiez pourquoi vous continuiez à le lire, vous vous disiez "vivement que je le finisse..."

      Ou alors c'est la fin qui vous a tout gâché...

      En tous cas, il ne vous aura pas laissé un bon souvenir

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      Alors, quelles œuvres vous ont laissé sur votre faim ? Quel en était les raisons ?


      Le roman qui m'a donné le plus cet impression, à ce que je me souvienne, c'est Indécision de Benjamin Kunkel

      J'en avais lu une critique dithyrambique dans la presse littéraire à sa sortie, il avait eu le prix du meilleur premier roman étranger, et il est quasi considéré comme culte par beaucoup de lecteurs... alors je me suis laissé tenter, plein d'enthousiasme

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      C'est un très bon roman techniquement parlant, une histoire sur les interrogations d'un jeune homme en perdition, mais je n'ai pas réussi à rentrer dedans. Je n'arrivais pas à m'identifier à quoi que ce soit. Du coup je l'ai fini, mais ca a été pour moi une traversée du desert.

      Peut-être un bon roman, mais pas pour moi à cette époque. Je n'ai vraiment pas accroché, ni aimé le lire

      posté dans Parler Lectures
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    • Planète interdite (Forbidden Planet)

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      Listen this terrific soundtrack
      Welcome on the forbidden Planet / Bienvenue sur la Planète Interdite
      1956 - USA

      Allez j'enfile ma combinaison de cosmonaute pour vous donner mon avis sur ce petit bijou, comme toujours dès qu'on regarde un vieux film de SF on peut très vite mourir de rire et décrocher, mais si on a une once de curiosité on dépasse cette posture puérile pour mesurer la différence entre ce film et ses prédécesseurs, enfin si on en a vu des encore plus vieux

      D'abord ce film est plus vieux que moi, hé ho, quand même ! et forcément je l'ai découvert bien après à l'occasion d'une diffusion sur notre télé N&B, et bien malgré la mauvaise qualité technique d'un poste des années 70, j'en garde le souvenir ému d'un grand moment de cinéma, il faut dire que l'on baignait dans ces histoires de martiens qui devaient envahir la terre, de soucoupes volantes aperçues, de Roswell, ... aussi les séries "les envahisseurs", "Cosmos 1999", "Au delà du réel", etc. cartonnaient, bref l'espace était encore bien inconnu, mystérieux et surtout inquiétant. 😬

      Grâce aux progrès j'ai pu enfin le visionner en grand écran, version colorisée et son restauré, et forcément c'est mieux, mais en fait ça n'est pas le plus important, si les effets spéciaux sont nombreux et bluffants en 1956, aujourd'hui ils ne nous impressionnent plus, mais l'intérêt est ailleurs, dans un charme désuet, celui des années 50, toute une ambiance avec cette musique psychédélique, et dans le fond surtout, un thème archi repris: celui des civilisations extra-terrestres fantastiquement plus évoluées que nous, mais néanmoins mystérieusement disparues. Et c'est bien là un des messages traditionnels des auteurs de SF, la mise en garde, l'avertissement des visionnaires: > la destruction d'une espèce par elle même, par sa propre technologie !

      C'est l'apprenti sorcier qui ne maîtrise plus ses envoûtements, c'est le Dr Frankenstein dépassé et tué par son monstre, c'est la stricte démonstration que la Science est source de progrès, mais aussi de risques immenses, et que plus que jamais "Science sans conscience n'est que ruine de l'âme". Car il ne faut jamais oublier la part de folie qui guette toute aventure scientifique et hélas les risques mercantiles qui violent toutes raisons pour le profit de quelques uns. La science est une arme à double tranchant, l'un qui peut être l'outil qui défriche notre marche en avant en détruisant les obstacles et l'autre qui peut nous décapiter...

      N'est ce pas d'actualité ?

      Ne sommes nous pas rendus à l'instant crucial de ce type d'interrogation ? Ne sommes nous pas au pied du mur de nos erreurs, de nos folies ? C'est le fond général de nombreuses œuvres de SF, et la faculté de visionnaire de toute fiction qui cherche à imaginer tous les avenirs possibles, et surtout les plus sombres, véritable machine à voyager dans le futur pour y vivre les conséquences de nos erreurs.

      edit 01.11.2025 : la vidéo n'existe plus

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      D'abord l'innovation c'est que l'humanité a tellement progressé que c'est elle qui voyage en soucoupe volante, une vraie rareté. L'équipage est très militaire car il s'agit d'une mission de secours, ce qui crée un climat un peu rude et bien peu diplomatique, mais l'idée est bonne puisque le noyau d'officiers fait bien sûr penser à Star Trek: Un commandant, un second, un officier scientifique et médical.

      Comme tj dans les films de cette époque ce qui frappe c'est le ton, il est vif, direct, sans compromis et sans crainte, l'époque était à la confiance, la nuance ou l'ambivalence n'était pas de mise.

      La planète est quasiment désertique et n'est pas du tout développée, l'essentiel se déroule autour du vaisseau et surtout dans le laboratoire du Professeur et tout tourne autour de sa personnalité. Seul rescapé d'un vaisseau précédent, il refuse son rapatriement pour continuer à étudier l'immense univers des Krells, cette civilisation incroyablement avancée et mystérieusement détruite par on ne sait quoi.

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      Robby le robot est immédiatement devenu une star, et comme celui de métropolis il allait devenir culte et source d'inspiration, purement utilitaire et défensif il est très vite attachant et sympathique surtout pour les soldats pour lesquels il produit des hectolitres de whisky, vraiment un bon camarade ! 😁

      La naïve fille du Professeur, est à croquer, et évidemment les membres de l'équipage essaieront d'en profiter, et récolteront quelques baisers à visée scientifique pour cette extra-terrestre qu'il faut bien étudier et instruire des mœurs terriennes 🤗

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      Dans l'exploration de l'univers, l'homme doit s'attendre à être dépassé par des forces supérieures et il doit néanmoins parvenir à surmonter les pires situations, c'est exactement l'ossature de la série des Star trek qui doit tant à ce film.

      le film est disponible en français sur Dailymotion en N&B et colorisé
      les 20 premières minutes

      https://www.dailymotion.com/video/x5wdqe_generique-cinema-la-planete-interdi_shortfilms

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    • Parvana, une enfance en Afghanistan (The Breadwinner)

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      Nora Twomey - 94 min - Irlande, Canada, Luxembourg
      la fiche Wiki

      Résumé:
      Afghanistan sous l'oppression talibane, Parvana, petite fille d'une dizaine d'année à peine, aide son père handicapé à vendre au marché les productions familiales, unijambiste, l'ancien professeur ne peut plus faire grand chose, et Parvana fera tout son possible pour l'aider, une aventure réellement superbe.

      Alors voila une coproduction improbable, irlando-canado-luxembourgeoise, WTF ?

      En fait c'est l'irlandaise Nora Twomey qui adapte un roman de la canadienne Deborah Ellis, auteure d'une série de romans consacrée à la petite afghane Parvana. Militante engagée de la cause des femmes, Les droits de son roman seront intégralement reversés à "Woman for Woman in Afghanistan", une association qui apporte son soutien à l’éducation des jeunes filles afghanes dans les camps de réfugiés au Pakistan. Je pense que vu la gravité du sujet la mise en place s'imposait.

      Passons au film d'animation, franchement il est très joli et ressemble plus à de la BD animée qu'au dernier produit de Pixar. Mais l'ambiance est néanmoins très réussie avec ce charme oriental, ses dessins puérils et ses personnages aux traits très prononcés qui illustrent en fait le vécu de Parvana, comment elle les voit elle. Ainsi certains hommes sont littéralement gigantesques, ce qui doit être le ressenti d'une petite afghane.

      Mais l'essentiel est ailleurs, dans l'histoire terrible de cette famille opprimée par les talibans, le père ancien professeur, unijambiste, et la mère écrivain, 2 intellectuels martyrisés comme dans toute dictature, surtout religieuse qui prétendent résumer l'humanité à un seul et unique livre, quelle inhumanité !

      Et il lui faudra un sacré courage pour suivre ses sentiments d'amour filiale contre moultes dangers.

      text alternatif

      Mais comme c'est une enfant, elle va nous raconter une histoire dans l'histoire, en parallèle de sa vie, elle nous raconte ses fantastiques rêves enfantins de courage. C'est un peu son refuge, là où elle réalise dans sa tête ce qu'elle doit faire pour de vrai, tout y est évidemment symbolique et c'est vraiment très beau.

      Mais j'aimerai parler du fond car on entre violemment dans la sous condition des femmes soumises et maltraitées, cloitrées chez elles, sans aucun droit que d'obéir et de se taire ! Ce qui poussera l'astucieuse Parvana à couper ses cheveux pour ressembler à un garçon et ainsi retrouver la douce Liberté. Que les andouilles qui en occident cèdent à cette barbarie réalisent le but de leurs oppresseurs tous masculins ! Dieu n'a rien à voir là dedans, les religions étant des inventions masculines pour sacraliser leur domination,...

      Une bien belle histoire qui doit faire réfléchir aux risques des extrémistes de cette religion qui rêvent de la planifier pour la terre entière ! Une triste réalité magnifiquement illustrée par cette animation méconnue et à rapprocher évidement du culte "Persepolis" et du terrifiant "Timbuktu" , à voir absolument pour celles et ceux qui dorment encore sur les risques des théocraties.

      posté dans Films
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