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    Meilleurs messages postés par Mai Tai

    • RE: Battles lecture : Première édition - Mai Tai a gagné !

      @zazoute ça ira pour cette fois...

      posté dans Animations Lectures
      Mai Tai
      Mai Tai
    • RE: [Jeu-thème] Saison 2

      @ivoire tu t'es rattrapée sur les énigmes de Shanna

      posté dans Animations Communauté
      Mai Tai
      Mai Tai
    • RE: Le Grand Tournoi des Méchants de Fiction (sur les écrans)

      @doctor-mox a dit dans Le Grand Tournoi des Méchants de Fiction (sur les écrans) :

      Hanibal à réussis l'impensable et renvois Voldi se refaire le nez.
      8 (7 plus le miens) contre 6

      Ouf, même en comptant le vote de want.wish en plus, Hannibal passe.

      Je suis émue 😊
      Merci à tous !

      posté dans Animations Cinéma
      Mai Tai
      Mai Tai
    • RE: Battles lecture : Première édition - Mai Tai a gagné !

      Début de ce troisième tour, dont je vous rappelle le thème : Moment de solitude.

      Ce soir, je vous propose un duel qui rime :

      🥊 @Artemis vs @delnis 🥊

      Extrait d’Artemis

      À l’âge de six ans, on m’a diagnostiqué une dermatite de contact de type IV aux cellules cutanées humaines étrangères. C’est le jargon médical pour dire que je suis allergique aux autres gens. Oui, aux gens. Eh oui, c’est rare : nous ne sommes qu’une poignée dans toute l’histoire de l’humanité à en avoir été atteints.
      En substance, je me couvre de plaques purulentes dès que la peau de quelqu’un entre en contact avec la mienne. Le médecin qui a fini par me diagnostiquer […] m’a dit : « Ne plus jamais partager ni nourriture ni boisson. Plus de câlins. Plus de contacts. Plus de baisers. Tu pourrais en mourir ». Malheureusement pour moi, j’étais une jeune fille de dix-sept ans, aux mains moites, aux jambes flageolantes, à quelques centimètres des lèvres de Donovan Kingsley, et je ne songeais pas vraiment aux conséquences potentiellement funestes. Sur le moment – ces quelques secondes où le souffle me manque, où ses lèvres se posent sur les miennes – j’avoue que ça semblait presque valoir le coup.
      Jusqu’à ce que j’apprenne, pour le pari.
      En rentrant de l’hôpital, je suis allée droit dans ma chambre. Je n’en suis pas ressortie, même s’il ne restait que deux semaines avant de finir ma terminale. Mon diplôme m’a été envoyé par courrier pendant l’été.
      Trois mois plus tard, ma mère a épousé Lenny, directeur d’une chaîne de stations-service de Long Island. Elle a fait sa valise – une seule – et s’en est allée.
      C’était il y a neuf ans. Depuis, je n’ai plus quitté la maison.

      Extrait de La première fois qu'on m'a embrassée, je suis morte de Colleen Oakley.

      Extrait de Delnis

      En effet, au bout de la rue de Vaugirard, commençait à apparaître le gigantesque Porthos.

      — Quoi ! s’écria d’Artagnan, votre premier témoin est M. Porthos ?

      — Oui, cela vous contrarie-t-il ?

      — Non, aucunement.

      — Et voici le second.

      D’Artagnan se retourna du côté indiqué par Athos et reconnut Aramis.

      — Quoi ! s’écria-t-il d’un accent plus étonné que la première fois, votre second témoin est M. Aramis ?

      — Sans doute ; ne savez-vous pas qu’on ne nous voit jamais l’un sans l’autre, et qu’on nous appelle dans les mousquetaires et dans les gardes, à la cour et à la ville, Athos, Porthos et Aramis, ou les trois inséparables ? Après cela, comme vous arrivez de Dax ou de Pau…

      — De Tarbes, dit d’Artagnan.

      — Il vous est permis d’ignorer ce détail, dit Athos.

      — Ma foi, dit d’Artagnan, vous êtes bien nommés, messieurs, et mon aventure, si elle fait quelque bruit, prouvera du moins que votre union n’est pas fondée sur les contrastes.

      Pendant ce temps, Porthos s’était rapproché, avait salué de la main Athos ; puis, se retournant vers d’Artagnan, il était resté tout étonné.

      Disons en passant qu’il avait changé de baudrier et quitté son manteau.

      — Ah ! ah ! fit-il, qu’est-ce que cela ?

      — C’est avec monsieur que je me bats, dit Athos en montrant de la main d’Artagnan, et en le saluant du même geste.

      — C’est avec lui que je me bats aussi, dit Porthos.

      — Mais à une heure seulement, répondit d’Artagnan.

      — Et moi aussi, c’est avec monsieur que je me bats, dit Aramis en arrivant à son tour sur le terrain.

      — Mais à deux heures seulement, fit d’Artagnan avec le même calme.

      — Mais à propos de quoi vous battez-vous, Athos ? demanda Aramis.

      — Ma foi, je ne sais pas trop, il m’a fait mal à l’épaule ; et vous, Porthos ?

      — Ma foi, je me bats parce que je me bats, répondit Porthos en rougissant.

      Athos, qui ne perdait rien, vit passer un fin sourire sur les lèvres du Gascon.

      — Nous avons eu une discussion sur la toilette, dit le jeune homme.

      — Et vous, Aramis ? demanda Athos.

      — Moi, je me bats pour cause de théologie, répondit Aramis tout en faisant signe à d’Artagnan qu’il le priait de tenir secrète la cause de son duel.

      Athos vit passer un second sourire sur les lèvres de d’Artagnan.

      — Vraiment ? dit Athos.

      — Oui, un point de saint Augustin sur lequel nous ne sommes pas d’accord, dit le Gascon.

      — Décidément, c’est un homme d’esprit, murmura Athos.

      — Et maintenant que vous êtes rassemblés, messieurs, dit d’Artagnan, permettez-moi de vous faire mes excuses.

      À ce mot d’excuses, un nuage passa sur le front d’Athos, un sourire hautain glissa sur les lèvres de Porthos, et un signe négatif fut la réponse d’Aramis.

      — Vous ne me comprenez pas, messieurs, dit d’Artagnan en relevant sa tête, sur laquelle jouait en ce moment un rayon de soleil qui en dorait les lignes fines et hardies, je vous demande excuse dans le cas où je ne pourrais vous payer ma dette à tous trois ; car M. Athos a le droit de me tuer le premier, ce qui ôte beaucoup de sa valeur à votre créance, M. Porthos, et ce qui rend la vôtre à peu près nulle, M. Aramis. Maintenant, messieurs, je vous le répète, excusez-moi, mais de cela seulement, et en garde !

      À ces mots, du geste le plus cavalier qui se puisse voir, d’Artagnan tira son épée.

      Le sang était monté à la tête de d’Artagnan, et dans ce moment il eût tiré son épée contre tous les mousquetaires du royaume, comme il venait de faire contre Athos, Porthos et Aramis.

      Il était midi et un quart. Le soleil était à son zénith, et l’emplacement choisi pour être le théâtre du duel se trouvait exposé à toute son ardeur.

      Extrait de Les 3 mousquetaires d’Alexandre Dumas.

      Voilà, vous pouvez à présent voter pour votre extrait préféré
      %(#FF007F)[**Je vote pour Artemis**]
      %(#048B9A)[**Je vote pour Delnis**]

      Vous avez jusqu'à demain 9 juin à 18h50, soit 24h, pour faire votre en choix en copiant le code qui correspond.

      Bonne lecture ! 📚

      posté dans Animations Lectures
      Mai Tai
      Mai Tai
    • RE: [Jeu-thème] Saison 2

      @icescream pareil 😆

      posté dans Animations Communauté
      Mai Tai
      Mai Tai
    • RE: Saurez-vous retrouver *collectivement* ces films ? - 4ème édition ! - Tout a été trouvé !

      @shanna 26 The dead don't die?

      posté dans Animations Cinéma
      Mai Tai
      Mai Tai
    • RE: Battles lecture : Première édition - Mai Tai a gagné !

      C'est chauuuud
      Encore quelques heures pour voter !
      Ce soir Egon contre Lapinou.

      posté dans Animations Lectures
      Mai Tai
      Mai Tai
    • RE: QUIZ - Le quiz flou 2

      Merci pour le quiz, toujours un plaisir de lire les différentes réponses possibles 😁

      posté dans Animations Communauté
      Mai Tai
      Mai Tai
    • RE: Saurez-vous retrouver *collectivement* ces films ? - 4ème édition ! - Tout a été trouvé !

      11 Le dernier pub avant la fin du monde ?

      posté dans Animations Cinéma
      Mai Tai
      Mai Tai
    • RE: Battles lecture : Première édition - Mai Tai a gagné !

      the-greatest-day-of-all-time-christmas.gif

      posté dans Animations Lectures
      Mai Tai
      Mai Tai
    • RE: Monsieur et Madame ont un popcorner

      @hornet je venais de trouver la 10 (je suis verte) mais alors la 9
      Même en lisant ton spoiler j'ai mis du temps à comprendre 😁

      J'allais proposer Icescream pffff

      posté dans Animations Communauté
      Mai Tai
      Mai Tai
    • RE: Saurez-vous retrouver *collectivement* ces films ? - 4ème édition ! - Tout a été trouvé !

      Merci à Shanna pour les indices 😉

      posté dans Animations Cinéma
      Mai Tai
      Mai Tai
    • RE: Battles lecture : Première édition - Mai Tai a gagné !

      Ce soir dernière battle de ce tour, sur le thème "moment de solitude".

      Pour les candidats déjà qualifiés, ou susceptibles de l'être, vous pouvez déjà commencer à vous creuser la tête pour le tour suivant, le thème sera : "Il y a de la magie dans l'air".

      posté dans Animations Lectures
      Mai Tai
      Mai Tai
    • RE: Monsieur et Madame ont un popcorner

      23

      Yoyo

      posté dans Animations Communauté
      Mai Tai
      Mai Tai
    • RE: Saurez-vous retrouver *collectivement* ces films ? - 4ème édition ! - Tout a été trouvé !

      @peri si c'est ça tu seras mon idole jusqu'à la fin des temps !

      posté dans Animations Cinéma
      Mai Tai
      Mai Tai
    • RE: Battles lecture : Première édition - Mai Tai a gagné !

      Lapin l'emporte sur Egon qui est partie bouder 😗


      Dernière battle battle de ce tour !

      🥊 @LeaPierce vs @Leitmotiv 🥊

      Extrait de LeaPierce

      J’ai pris mon courage à deux mains et j’ai tâté autour de moi pour trouver mon portable. Il était posé entre mon sac à dos et mon ventre. Les doigts livides et tremblants, j’ai essayé d’appeler maman.
      Pas de réseau.
      J’ai essayé Ronnie.
      Pareil.
      911, numéro d’urgence.
      Rien.
      J’ai essayé Jane. Dani. Tous ceux qui me venaient à l’esprit.
      Aucune barre réseau. Pas de service disponible.
      J’ai repris ma respiration en essayant d’étouffer mes sanglots. J’avais des picotements dans les bras et les jambes à cause de la montée d’adrénaline, de la panique, mais j’ai réussi à me calmer. J’ai entendu des cris dans la rue, des alarmes de voiture, des gens qui parlaient… Une sirène de police bloquée. Un appel à l’aide. Et plus loin, je crois, le feulement du nuage en forme d’entonnoir qui s’éloignait.
      Toute mon enfance, on m’avait dit et redit ce qu’il fallait faire en cas de tornade : écouter les sirènes, se réfugier à la cave, au sous-sol, dans un placard au milieu de la maison, et se pelotonner, se protéger et attendre. À l’école, nous avions des alertes deux fois par an depuis toujours. Nous en discutions en classe, à la maison. La météo ne cessait de parler de tornade.
      Mais jamais – pas une seule fois – on ne nous avait dit ce qu’il fallait faire après.
      Car jamais personne n’avait imaginé qu’il y aurait un après comme celui ci.
      La pluie et le vent ont duré une éternité. Il faisait toujours très sombre, mais le ciel s’était suffisamment éclairci pour que je distingue la torche qui avait glissé sous le billard.
      Kolby ! Et si je lui téléphonais ? Je pourrais peut-être appeler maman avec son portable ? Lentement, j’ai déplié les jambes et, après un moment d’hésitation, j’ai rampé pour quitter mon abri sous la table et je me suis levée.
      De l’autre côté de la cave, au-dessus de l’établi de Ronnie qui avait disparu, le plafond avait explosé. Le carré sur lequel je me tenais quand je cherchais ma torche un quart d’heure plus tôt était noyé sous une pile de décombres. La cuisine s’était écroulée, les murs n’existaient plus, les assiettes étaient tombées de leurs étagères, tout avait été détruit et réduit en une pile de gravats sur le sol de la cave. J’ai même aperçu le ciel à travers l’ancien emplacement de la cuisine, avec des bouts de fils et de tuyaux brisés. De l’eau giclait de quelque part.
      – Oh mon Dieu ! me suis-je exclamée en tremblant. Oh mon Dieu !
      J’ai fait deux ou trois pas vers les gravats, mais plus j’avançais, plus je voyais de ciel. La cuisine avait complètement… totalement disparu.
      J’aurais pu traverser les décombres et remonter pour sortir, mais la vue de la cuisine en ruine me paralysait, surtout avec tous ces fils nus et saillants. J’étais clouée sur place. L’escalier qui menait à la cave n’avait pas bougé. Mon petit doigt me disait que je n’avais qu’à monter pour me retrouver à la maison. Le reste du rez-de-chaussée était sûrement en meilleur état que la cuisine.
      Le sofa avait été projeté contre le tas de décombres, renversé sur le côté. Des tas de vêtements gisaient partout.
      J’ai jeté un œil sur mes mains et j’ai vu que j’avais les doigts couverts de sang séché. J’ai glissé mon portable dans ma poche et tâté le haut de mon crâne. Mes cheveux étaient collants et bizarrement crêpés, mais je n’avais pas mal et je ne saignais pas. Je devais avoir à peine une égratignure. Je pouvais attendre le retour de maman. Tout s’arrangerait quand elle rentrerait.

      Extrait de Tornade de Jennifer Brown.

      Extrait de Leitmotiv

      L’interrogatoire n’était pourtant pas le pire. Le pire c’était le retour à ce néant, juste après, dans cette même chambre, devant cette même table, ce même lit, cette même cuvette, ce même papier au mur. Car à peine étais-je seul avec mes pensées, que je me mettais à refaire l’interrogatoire, à songer à ce que j’aurais dû répondre de plus habile, à ce que je devrais dire la prochaine fois pour écarter le soupçon que j’avais peut-être éveillé par une remarque inconsidérée. J’examinais, je creusais, je sondais, je contrôlais chacune de mes dépositions, je repassais chaque question posée, chaque réponse donnée, j’essayais d’apprécier ce que leur procès-verbal pouvait avoir enregistré, tout en sachant bien que je n’y parviendrais jamais. Mais ces pensées une fois mises en branle dans cet espace vide, elles tournaient, tournaient dans ma tête, faisant sans cesse entre elles de nouvelles combinaisons et me poursuivant jusque dans mon sommeil. Ainsi, une fois fini l’interrogatoire de la Gestapo, mon propre esprit prolongeait inexorablement son tourment avec autant ou peut-être même plus de cruauté que les juges, qui levaient l’audience au bout d’une heure, tandis que dans ma chambre cette affreuse solitude rendait ma torture interminable. Autour de moi, jamais rien d’autre que la table, l’armoire, le lit, le papier peint, la fenêtre. Aucune distraction, pas de livre, pas de journal, pas d’autre visage que le mien, pas de crayon qui m’eût permis de prendre des notes, pas une allumette pour jouer, rien, rien, rien. Oui, il fallait un génie diabolique, un tueur d’âme pour inventer ce système de la chambre d’hôtel. Dans un camp de concentration, il m’eût fallu sans doute charrier des cailloux, jusqu’à ce que mes mains saignent et que mes pieds gèlent dans mes chaussures, j’eusse été parqué avec vingt-cinq autres dans le froid et la puanteur. Mais du moins, j’aurais vu des visages, j’aurais pu regarder un champ, une brouette, un arbre, une étoile, quelque chose enfin qui change, au lieu de cette chambre immuable, si horriblement semblable à elle-même dans son immobile fixité. Là, rien qui puisse me distraire de mes pensées, de mes folles imaginations, de mes récapitulations maladives. Et c’était justement ce qu’ils voulaient – me faire ressasser mes pensées jusqu’à ce qu’elles m’étouffent et que je ne puisse faire autrement que de les cracher, pour ainsi dire, d’avouer, d’avouer tout ce qu’ils voulaient, livrant ainsi mes amis et les renseignements désirés. Je sentais que mes nerfs, peu à peu, commençaient à se relâcher sous cette atroce pression du néant, et je me raidissais jusqu’à la limite de mes forces pour trouver, ou pour inventer une diversion. En guise d’occupation, je récitais ou reconstituais tant bien que mal tout ce que j’avais appris par cœur autrefois, chants populaires et rimes enfantines, passages d’Homère appris au lycée, paragraphes du Code civil. Puis j’essayais de faire des calculs, d’additionner, de diviser des nombres quelconques. Mais dans ce vide, ma mémoire ne retenait rien. Je ne pouvais me concentrer sur rien. La même pensée se glissait partout : que savent-ils ? Qu’ai-je dit hier, que dois-je dire la prochaine fois ?

      Extrait de Le joueur d'échecs de Stefan Zweig.

      Voilà, vous pouvez à présent voter pour votre extrait préféré
      %(#FD3F92)[**Je vote pour LeaPierce**]
      %(#91283B)[**Je vote pour Leitmotiv**]

      Vous avez jusqu'à demain 12 juin à 19h, soit 24h, pour faire votre en choix en copiant le code qui correspond.

      Bonne lecture ! 📚

      (Je ne pourrai pas donner les résultats tout de suite mais je ne prendrai pas en compte les votes après l'heure fixée)

      posté dans Animations Lectures
      Mai Tai
      Mai Tai
    • RE: Monsieur et Madame ont un popcorner

      @shanna pour le 20 c'est vrai, c'est un membre connu, mais fallait connaître ce sens de chiner et comprendre qu'elle pour ka, ça faisait trop pour moi 😁 J'aurais clairement jamais trouvé !

      posté dans Animations Communauté
      Mai Tai
      Mai Tai
    • RE: Battles du cinéma (3ème édition) - Dirty Cop a gagné !

      Je vote pour Kallindra.

      posté dans Animations Cinéma
      Mai Tai
      Mai Tai
    • RE: Battles lecture : Première édition - Mai Tai a gagné !

      @ayamé t'es au taquet j'adore 😆
      Et dire qu'au début tu avais peur de participer !

      posté dans Animations Lectures
      Mai Tai
      Mai Tai
    • RE: Propositions d'animations à venir

      @want-wish je crois que tout le monde est partant pour un jeu ! Ça se jouerait sur la rapidité ?

      posté dans Animations Communauté
      Mai Tai
      Mai Tai
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