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loutre
@Django-Retroman
Moi j'écoute ça quand j'ai un chagrin d'amour
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loutre
Les chagrins d'amour, c'est dur, mais on s'en remet.
Tu oubliera petit à petit comme nous tous. Et un jour tu te rendra compte que tu as encore toute ta vie devant toi et de belle chose à accomplir.
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loutre
Et si vous deviez raconter votre vie en chanson?
Dans l'ordre chronologique les chansons qui ont accompagné ou qui représente les moments clefs de votre vie.
Enfance
Adolescence
Jeune adulte
Adulte
A vous
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loutre
« À force de vouloir m’abriter en toi, j’ai perdu de vue que c’était toi, l’orage. Que c’est de toi que j’aurais dû vouloir m’abriter. Mais qui a envie de vivre abrité des orages? Et tout ça n’est pas triste, mi amor, parce que rien n’est noir, absolument rien"
Rien n'est noir.
Claire berest -
loutre
Enceinte je rêvais souvent que jetais poursuivi par des zombies, je me souviens quune fois je me suis fait attrapé par chien zombies, il devorait mon bébé qui était dans mon ventre moi je hurlait en j'essayais de le repousser en lui tenant la tête à 2 mains mais je ny arrivais pas.
Une autre fois toujours enceinte, Jai rêvé que jetais dans mon lit et que mon ventre s'ouvrait comme le capot dune voiture, le liquide amniotique coulait et les petits bras inanimé du bébé pendant de chaque côté du "capot" moi je pleurais en essayant de remettre les petits bras à l'intérieur en disant "c'est trop tôt. "
Je me suis réveillée en sursaut et Jai réveillé mon mari en lui criant de m'emmener à l'hôpital Jai mis quelques minutes avant de réaliser que tout allé bien et que non mon ventre ne setait pas ouvert comme le capot dune voiture.
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loutre
Moi ça dépend quand j'ai l'impression quil y a un peu de cerveau derrière ou si cest quelquun que japprecie j'explique que ça me derange et je demande à la personne de ne plus tenir ce genre de propos devant moi.
Dans les autres cas, je me contente de stopper le truc en disant juste que je ne veux pas entendre ce genre de propos.
Ça fonctionne plus ou moins bien en fonction des personnes, en général les gens essaient de faire attention mais pour certains c'est plus fort qu'eux, ils ne sen rendent pas compte...
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loutre
@LeaPierce la prochaine fois je mettrais des guimets ça sera peut être plus clair.
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loutre
Ah non, c'est pas ce que je voulais dire.
Ce que je voulais dire c'est que certain vont expliquer que ce quils disent est une constation et non du racisme. Je ne disais pas que toi tu disais que ça netait pas de leur faute.
Mais c'est vrai que mon message netait pas clair.
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loutre
Aaahhh!!!!! Je viens de trouver une réplique à ça!!!!
"Mais oui c'est comme toi, tu es con, c'est pas une insulte, juste une constatation."
Holalala, je suis chaud patate là !!!! Jai une réplique, allé envoyé moi quelquun là!!! Je suis prête, je vais me le faire!!!!!
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loutre
Beh oui, quoi, c'est pas faute si ils sont comme ça, c'est pas du racisme, ce st juste une constatation.
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loutre
@Django-Retroman
Je ne suis pas "victime" de racisme. Car je suis trop "indefinissable" pour cela.
Le truc c'est que je me retrouve souvent dans des groupes où il ny a que au choix des antillais, des blanc ou des africains.
Et à chaque fois cest pareille, au début ils font attention et puis au bout d'un moment ils oublient que je ne suis pas tout à fait comme eux et finissent par se lâcher.
Et là, quand c'est des gens que j'apprécie c'est toujours une grosse déception.D'ailleurs ça me fait penser à mes années lycées où je virevoltais entre un groupe de copine antillaise et un groupe de copine blanche/française.
Les antillaises m'avaient accepté dans leur groupe malgres le fait que je ne suis pas du tout antillaise, je devais être assez foncé à leur goût. Donc au début comme d'habitude, tout va bien.... Et puis petit à petit elles se sont lâchés...Du coup Jai fini par les laisser dans leur délires et je suis allée voir ailleurs, mais je me souviens encore de leur propos particulièrement violent vis à vis des blancs....
Finalement c'est vraiment au lycée que c'est parti en cacahuète car au collège javais un groupe de copine vraiment mélanger et on ne parlait pas de nos différences, nous étions copines c'est tout.
Dans le groupe, il y avait une camerounaise, une ivoirienne, une française, une laosienne, une cambodgienne et moi. Quand nos parents nous voyaient nous promener ensemble dans la rue, ils disaient qu'on ressemblait à la pub Benetton.
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