@egon J'ai vu ma dodoche sans conducteur tirer tout droit dans le fossé pendant que je regardais le Juste Prix à ma pause du midi pendant ma classe de C.P. Le frein à main était une option aussi. Légendaire.

Messages postés par Koursk
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RE: Vous avez carte blanche !
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RE: Vous avez carte blanche !
Ha bordel la Dodoche c'était quelque chose. Mes parents en avait une. Une 2CV moitié tuné avec des bandes rouges et blanches. Que de souvenir(s) ! Quand elle pulsait au régime max (120km/h) t'avais l'impression d'assister au décollage d'un Airbus tellement c'était violent, le pommeau de vitesse tu l'envoyais au pif ça craquait pas, la portière côté passager avait un jour de 10 centimètres si bien qu'on se serait cru dans une usine de soufflerie, le chauffage chauffait pas, la capote capotait. Mais ça tenait. Et on était heureux.
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RE: Raconte ton plus beau voyage
Je vais faire bref. (
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Mon voyage le plus vivifiant, dépaysant et agréable fut sans doute à Crozon. J’aurai pu choisir du clinquant, du choc, du violent mais non car j’étais hypé depuis de longs mois par la perspective de sniffer l’air marin de la presqu’île de Crozon.
Dans mon désir absolu de tout contrôler à l’avance, les grandes lignes de la semaine étaient tirés 3 mois à l’avance avec randonnées et visites prévues avec un horaire précis. Un jour bonus était exclusivement dédié pour les imprévues et le G.P.S était réglé au poil de cul. J’avais presque à l’avance la cartographie du Finistère dans la tête.
Alors la presqu’île de Crozon qu’est-ce que c’est que ce merdier ?
C’est une presqu’île qui claque de par son positionnement aux petits oignons.
Dans le fin fond du Finistère, juché sur des collines verdoyantes, elle vous offre un quadrillage de toute beauté avec la baie de Douarnenez au sud, la rade de Brest au nord, la mer Iroise à l’Ouest, porte d’entrée de l’Océan Atlantique. Des rivières et des cours d’eau en pagaille à l’est et un pont mastodonte qui fait frémir les slips : J’ai nommé le pont de Térénez, 1er pont courbe à haubans de France. On ne lésine pas avec le grandiloquent à Crozon.Mes pratiques maritimes d’assez bon niveau et mon degré d’expérience pour partir à l’aventure à l’autre bout de ma chambre qui sent le renfermé me permettait d’envisager cette semaine de vacances avec sérénité. Et pourtant si je sélectionne Crozon comme mon voyage favori, les couilles dans le potager furent nombreuses. J’en choisi une parmi la multitude. C'est plus fort que moi désolé.
Le départ.
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Jour 1 : L’affrontement des Dieux3h30 du matin. La rangée de slips propres est prête, 3 cagettes de bouteilles d’eau de 50cl sont disposées dans le coffre de la voiture, équipement full options de chez Décathlon, canette de Red Bull dans le collimateur, départ imminent. 4h40 de route, je veux être à 9h du mat’ prêt à dégainer et entamer la randonnée tambour battant.
4h00 du matin : Départ. En confiance.
4h20 du matin : Les emmerdes commencent. La veille du départ, le monsieur Météo France divulgua un communiqué national alarmant « alerte rouge inondations-pluie ». Un seul département concerné : Loire-Atlantique. Le premier département que j’allais rencontrer pour mon périple matinal ? La Loire-Atlantique mon con.
Evidemment.
Essuies glace à fond les manettes (le niveau ultime, le niveau 4, celui ou les balais râpent le verre du pare-brise), Poséidon me trolle. Les roues avant et arrière côté droit du véhicule s’enfoncent dans des crevasses d’eau qui me déporte. C’est du pousse-pousse d’auto-tamponneuse. J’oublie le déluge un instant. J’ouvre la vitre pour laisser filer la cendre de ma clope et je me prends 3 litres dans la gueule. La canette de Red Bull laisse échapper du liquide dans la boîte de rangement du véhicule à l’endroit même où j’avais disposé mes masques Covid. Bref c’est une catastrophe. Je suis à deux doigt de débarquer. Je maintiens le cap car j’ai foi en mon destin. La Loire-Atlantique n’aura pas ma peau. J’ai battu les Dieux. Mais très vite une autre menace se précise.
9h14 : Dégustation de pain de mie-rillettes-jambon-beurre-chips-Monster Energy-gaufrette-cookies-brioche.
9h15 : Je suis claqué.
9h16 : Départ de la randonnée avec ma compagne au Belvédère de Rosnoen. Le Belvédère offre un coup d’œil superbe sur la montagne Menez Hom, des fleuves côtiers en veux-tu en voilà, les méandres de l’Aulne s’agitent. Le paysage se dévoile lentement mais sûrement.
Le slip s’aiguise. Le Belvédère offre même un départ vers un circuit de randonnée de légende « le saut du loup ». Banco !
Circuit de légende mon cul.
Dés le départ les emmerdes se signalent. Ce sentier de randonnée est une boucle temporelle dont on ne sort pas. Après un check-up de contrôle sur Google Maps on tourne à droite. A 11h25 j’ai réalisé qu’on aurait dû tourner à gauche car nous sommes entrés de plein fouet dans la boucle du Belvédère. Une forêt, un petit bois ou un champ avec des arbres, je ne sais pas mais ce que je sais c’est que le sentier du bois du Belvédère est un attrape-touriste. On descend, on remonte. On remonte. On redescend.
A 9h35 point de vue sur une mouette sur le toit d’une chapelle. A 11h25 point de vue sur une chapelle avec une mouette sur son toit. Il y a un problème. Ou plutôt deux.Car en forçant le rythme et oubliant que mes fantasmes de basketteur professionnel appartiennent à la nuit, je tire sur la corde raide du physique. Mais je ne m’écoute pas. Je ne m’écoute plus. Le programme est à tenir et nous devons sortir de la boucle. On sort de cette spirale paranormale à midi complètement claqué. J’ai les muscles chauds. Je ne ressens pas la douleur. J’ai soif de sensations pour le jour numéro 1. En quelques mots : M’en branle.
Petit passage obligé sur le pont de Térénez histoire de voir ce qu’il a sous le capot.
C’est haut, c’est impressionnant, ça tangue un peu avec le vent. Je stresse et ça se ressent. Ou plutôt ça se sent pour reprendre l’expression de ma compagne. Bref. Je parle trop.
On s’est offert également ce jour-là une petite virée dans un patelin charmant, Landévennec, qui offre la perspective d’apercevoir un prototype d'église ou je C pa trokoi de l’époque Renaissance-Néolithique-un truc d’un siècle passé donc. A peine franchi le seuil du mémorial on s’aperçoit que c’est 10 balles par personne. L’enrichissement culturel attendra on n’est pas pressé. Surtout que y a un MacDo pas loin.
Petite virée branlette à Morgat au soir, lieu de notre villégiature. Sa baie, son petit port, ses commerces. La plage et l’océan se devine au loin.
Mais mon ventre gargouilla fort et l'envie de péter toutes les crêperies du coin dans un rayon de 40 kilomètres se fit sentir. Mais les triples-crêpes attendirent. Il était l’heure de déboucher le cidre dans l’appartement avec vue sur mer.Le genre de boui-boui pour les adhérents du MEDEF qui coûte 1200 balles la semaine en haute saison. Prix divisé par 4 en octobre. Nous sommes la bourgeoisie nouvelle génération. Nous sommes le luxe. J’avais prévu de me baiser un homard au restaurant le lendemain car je suis inéluctable. Hélas trois fois hélas, au réveil du jour numéro 2 les emmerdes recommencèrent. Mais ceci est une autre histoire. Et comme il y a en tout 8 jours je vais arrêter là-dessus pour ce galop d'essai mais ne vous y trompez pas, Crozon restera mon coup de cœur ad viternam solo tutti quanti. (C'est du latin c'est pour faire genre je suis cultivé)
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RE: Code Quantum (Quantum Leap, 1989)
Vous êtes en train de ré-ouvrir la boîte de Pandore. Et c'est tout le forum qui en pâtira.
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RE: Code Quantum (Quantum Leap, 1989)
@guizmo J'entends ton appel. Tu es dans l'équipe.
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RE: Code Quantum (Quantum Leap, 1989)
@guizmo Aussi loin que je me souvienne Guizmou tu as toujours été un flambeur trop proche du soleil. Reviens parmi les tiens et cesse cette folie.
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RE: Code Quantum (Quantum Leap, 1989)
@icescream Alors je te veux dans mon équipe.
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RE: Quizz du geek fou
Cimer pour le quiz baby @Orabig Mon potentiel éclate enfin. Je draine l'énergie, j'affole les compteurs, j'écarte les convenances, je viole la charte, je. Bon. Bref. Je retourne manger mes gâteaux et j'observe le tout en silence.
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RE: Le Bonheur du jour !
C'est officiel, je viens de réserver un périple d'une semaine à Paris début avril pour gambader dans les musées et planter mon drapeau sur le Champs de Mars. Connaissant mes compétences en matière d'orientation, c'est un allez simple vers un paquet d'emmerdes mais je suis content.
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RE: Le topic défouloir (quand t'as envie de rager)
@icescream Le disque de pisse c'est avant tout un art de vivre. Quitte à être violent j'enfonce le clou : C'est la commémoration d'un besoin viscéral de vengeance.
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RE: Le topic défouloir (quand t'as envie de rager)
@egon Le disque de pisse. Légendaire. L'ultime recours.
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RE: Ma passion du Basket/ma vie par Egon
@el-pistolero L'ajout intéressant des Nets c'est Patty Mills. Aldridge, Griffin and co mouais. Fait chier que les Bulls ont pris une grosse carotte. Finale de conf' minimum. Renouer avec l'histoire ça ferait zizir.
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RE: Vous avez carte blanche !
@music Tu as raison. Mais j'ai chargé le coffre. Nul retour en arrière.
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RE: Le topic défouloir (quand t'as envie de rager)
Sacré nom d’une pipe j’ai quand même le don de passer pour un con même pendant les moments solennels. Je repousse définitivement tel un bouclier toutes les phrases consolantes du style « oui mais non, t’as quand même du potentiel » ou « la roue de la fortune tourne »
Mon cul.
Alors voilà, aujourd’hui c’était le grand jour. J'étais éligible à l'opération coup de poing de la vaccination. J’avais mis les petits plats dans les grands. Le rendez-vous était dans le parfait timing, 15 minutes après le boulot, les beaux vêtements dans la totomobile pour me changer vite fait pour être présentable parce que les fringues du taf s’apparentent plus à des torchons déchirés et poussiéreux. Je me pointe devant l’entrée labyrinthique du bordel. C’est fléché dans tout les sens, y a des pancartes de partout « pas ici » « interdit » « ici c’est bien » mais ça n’entame pas mon moral. (stress)
J’ai des allures chevaleresques car j’aide une mamy à trouver son chemin, elle venait pour prendre rendez-vous directement sur le site. Le site, le lieu hein pas le site web. Dieu que je vais être marrant ce soir. La pauvre s’est sans doute faite allumer à l’accueil. Bref.
J’arrive à l’entrée du bousin pour recevoir la promo 2+1. Pas folle la guêpe. Stressé de base pour tout, j’étais en full options. Carte vitale, poche gauche, carte de la mutuelle, poche droite, smartphone connecté tous anti-covid, QR Code tutti quanti poche de froc, carte bancaire, un deuxième masque de sécurité au cas ou le premier pète. J’ai tout prévu. J’ai dépensé sans compter.
A l’entrée j’essaye de m’approcher du type de devant (dans le respect des gestes barrières no offense) pour écouter la nana poser les questions pour que j’anticipe la manœuvre et que je sache quoi dire. Pas moyen. J’ai rien bité. Pas grave. J’ai déjà reçu mes deux picouzes dans le corps, je suis un V.I.P, y aura pas de mauvaises surprises.
Et voilà donc mon tour. Vous sentez venir le coup fourré?
La dame mesure 1m48 et pour prendre la température je dois quasi me mettre à plat ventre. Effets secondaires dans le dos direct consécutif à ma journée de taf et au fait que l’inéluctabilité de ma vieillesse se rappelle à mon bon souvenir. Objectivement cette phrase ne signifie rien mais j’aime le mot inéluctable et ses variantes.
Puis la dame m’indique le pouic-pouic vaisselle qu’on met sur les mains pour désinfecter. J’aime autant vous dire que j’avais envie de faire le bon élève et de montrer patte blanche au cours du processus. Je me suis allègrement badigeonner les deux mains, j’ai fait pouic-pouic plusieurs fois pour montrer genre « vous avez vu tout le monde ? je suis avec vous hein, je déconne pas » On m’aurait collé à plat ventre par terre je vous assure que j’aurai fait du bobsleigh rien qu’avec les mains.
Bref la dame me demande à quelle date remonte ma deuxième dosette. Et c’est là que j’ai eu l’occasion tant attendue de passer pour une pipe royale. Sa question est limpide. « Quand était votre deuxième dose monsieur ? » Voici en avant-première ma réaction :
Puis après réflexion car quand même je suis pas si con, je dis « au mois d’août » Elle rétorque dans un duel psychologique engagé « le combien ? » Je vous donne en avant-première ma réaction :
Elle me dit en commençant à s’impatienter (stress) « Votre Pass Sanitaire monsieur ? » Là je me dis que je vais me faire flasher par la patrouille mais en fait c’est logique, y a la date exacte de la deuxième picouze dessus.
Sauf que le capteur d’empreinte (encore lui) (cf une autre sale histoire) de mon smartphone perd la boule et ne reconnait plus son maître. Mes mains bourrées de gel hydrocarbures sont des savonnettes, le tactile est en grève, je badigeonne ma protection d’écran de gel. Houston ne répond plus et moi non plus. C’est la panique à bord. La nana s’impatiente. Je le vois dans ses yeux et c’est terrible. Du coup je nettoie précautionneusement mes mains sur mes beaux habits de lumière que j’avais mis pour ce rendez-vous de gala.
Dire que je me suis casser le cul à me changer dans ma voiture sur le parking, avec 4 degrés de température extérieure et des gens qui passaient devant ma voiture et qui se payaient ma pomme. Faut dire qu’un type qui fait dépasser ses pieds et ses cuisses par la vitre d’une voiture en chaussettes trouées ça excite la masse.
Bref les vêtements sont souillés, la dame se vénère dans sa culotte, j’ai signalé ma présence. Heureusement l’injection de la promo s’est bien passée. Pas de conneries, j’ai bien répondu aux questions (et du premier coup sans stress).
Mais hélas trois fois hélas après la picouze, il fallait allez chercher son nouveau Pass V.I.P au centre de contrôle du centre de vaccination du centre médical. Bref une histoire de centre. La nana est gentille. Je vois la sortie au large. C’est la dernière étape. Avant la 4éme dose en mai.
Bref je passe sur le fait que je lui ai tendu ma carte bancaire au lieu de la carte vitale parce que franchement ça, ça arrive à tout le monde (
) Puis la nana cherche à imprimer mon nouveau statut de citoyen moderne/moderna. L’imprimante est typiquement une Canon Pixma MP495. Je n’ai pas d’autres explications.
L’imprimante n’a manifestement pas eu sa dose de rappel car elle bourre le papier dans son for intérieur. Fait un bruit d’épouvante « bzzz bzzz » (c’est le bruit d’épouvante) ( parce qu’avec moi voyez-vous on vit le récit à même la peau) puis re-dégueule le papelard d’un coup sec. Le papier revient en position initiale dans la foulée. J’ai jamais vu ça. Si Conjuring veut sortir un nouveau film, on tient un concept.
Je vois bien que la pauvre enfant face à moi est perdue. « ha bah zut » « c’est bizarre ça le fait jamais » « ben je sais pas ? » Les autres postes de contrôles n’ont plus leurs opérateurs. Alors je tente un « c’est le chargeur à mon avis »
Mais quel conard.
J’ai mis deux heures pour réussir à connecter en bluetooth mes écouteurs sans fils à mon smartphone et j’explique à mademoiselle que c’est le chargeur de l’imprimante qui ne fonctionne pas.
J’ai payé mon arrogance.
Car j’ai bien vu qu’elle voulait que je sois l’élu. Le rédempteur. Celui qui sauve des vies ou des situations compromises. J’ai simulé une tentative de réparation. J’ai bidouillé les deux espèces de bites qui servent à caler le papier comme il faut avant qu’il soit imprimer. Une sorte de réglette mécanisée ultra pointue, ça ressemble à l’horloge astronomique de Strasbourg mais en moins cher. Et j’ai cassé tout net l’une des bites qui sert à placer le papier en position. Je comprends pas. J’ai juste titillé du bout de l’index le truc et ça s’est brisé en deux. J’ai stressé. J’ai dit pardon. A ce moment-là il ne reste plus que le masque qui me pète à la gueule et j'ai le grand chlem.
Bref après quelques péripéties dont je tairais le contenu car sinon les serveurs du forum vont encore sauter avec ce pavé, j’ai trouvé la sortie (du premier coup) et j’ai pris la décision de calmer le tempo pour la quatrième picouze parce que je sens que même bardé de bonnes intentions ça va encore partir en couilles.
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RE: Ma passion du Basket/ma vie par Egon
@el-pistolero Je sais ma puce....
Tôle sur tôle. Terrible.
Pas d'excuses cette nuit. Même sans Rudy et Whiteside. Securisons une 3eme place si possible. -
RE: Vous avez carte blanche !
En restant dans la thématique de la bouffe/déjeuner/etc moi je suis dégouté de mon karma aujourd'hui.
Alors le mec du boulot il arrive ce matin avec 4 galettes des rois, option frangipane, option poire/chocolat, option brioche vendéenne tutti quanti.Putain j'aime autant vous dire que ce matin j'ai été lui dire bonjour et que j'avais 2/3 visions dans la tête et dans toutes ces visions ses galettes allaient finir au même endroit : Dans mon bidou.
A la pause du matin devant tout le monde évidemment faut la jouer stratégique hein :
"Non non ça ira, t'inquiète pas, je te remercie"
(J'avais déjà envie d'en péter une en entière)
Puis :
"Bon d'accord juste une petite part"
(La technique c'est de faire le gourmet, faire semblant de découper une fine lamelle de morceau de brioche mais jouer la carte du maladroit et prendre une double part avec la phrase passe-partout "Ho la la quel idiot. Mais ça coupe mal dis-donc"D'habitude à la pause du matin je trace. C'est qu'après faut allez fumer, c'est du souci. Mais là j'ai attendu un peu. Beaucoup. Personne s'arrachait.
Alors je suis venu en mode Daniel Craig 30 minutes plus tard vers 10h pour taper une triple-part mais un mec qui soignait un bobo avec du mercurochrome était sur les lieux. Il balance aux petits copains. Je le sais de source sûre. J'ai simulé une soif d'eau tiède.
A midi pour déjeuner, j'ai mangé calmement ma portion de betterave avec la frangipane dans le viseur. D'habitude je mange en 8 minutes. Cette fois-ci j'ai mis 50 minutes. Tout le monde avait bougé sauf un.
Monsieur le gourmet qui prends une heure pour déguster un sirop d'érable et un pavé de biche pimenté de coquillettes. J'étais vert.A 13h17 au forceps et à l'usure, il se barre enfin. Je me dirige vers la frangipane. Y a pas de couteau. Pas le temps de niaiser, j'attaque à la main. C'est que je vais finir par être en retard au travail avec ces conneries.
Le type au pavé de biche/nouilles ré-ouvre la porte au même moment. Je n'ai jamais su pourquoi ce retour imprévu. (Surtout que je m'étais laissé une marge de sécurité de 40 secondes)Mais mon larcin a été officialisé. Pris la main dans le sac.
Titre de gros porc de la journée : Kourski la Tepu.
Double peine : J'ai jusqu'à vendredi pour bourrer le coffre de la totomobile de galettes sinon ils veulent me taper.
Sale journée d'épiphanie. -
RE: La vaccination et vous
Jeudi prochain je rejoins le club fermé alors pour l'occasion :