Messages postés par Koursk

Reprise de taf today. Chui claqué. J'ai regardé le calendrier. Vivement le 10 août et les vacances.

2027 - 2032 donc 75 - 80 ans pour Jean-Luc. Oui, bon, malheureusement c'est baisé pour la prochaine élection. C'était l'année ou jamais et ça sera jamais. Et déjà avant même d'envisager l'avenir, ça me perfore le cul (carte blanche?) l'abandon du seul allié de poids qu'il avait en 2012 et 2017, le parti communiste. Et c'est là que Jean-Luc et sa team ont aussi déconné. Une ligne et un programme intransigeant, peut-être trop quitte à écarter toute alliance possible avec les moribonds de la gauche qui et c'est un comble notamment avec Hidalgo, ont souvent critiqué Jean-Luc voire limite plus que Manu. Il a fait cavalier seul. Pari perdu. Il fallait une ouverture sur le PS ou les écolos après 2017. Seule solution avec l'éclatement et l'éparpillement de tout ces groupuscules de la gauche. "Le Pen est un diable avec une double fourche, Le Pen va quitter l'Euro et imposer le troc, Le Pen va jouer à Fifa à Bruxelles blablabla" Merde. Convaincre les sensibilités sur la volonté de barrer la route de Marine, le travail était quasi-fait, il fallait plutôt mettre un peu d'eau dans son vin et convaincre quelques milliers de votants de gauche en plus plutôt qu'éjecter les alliances, les compromis aux municipales de je sais plus quelle année et prendre le risque de donner une carotte aux communistes avec la collectivisation des terres. Bon peut-être pas mais dans l'idée je cauchemarde sur Roussel depuis 24 heures. Fait chier. Bref. L'avenir en commun ou plutôt désormais l'avenir en morose. Tribun hors pair, forte personnalité, intelligence très vive, il me paraissait être celui qui me prenait le moins pour un con quand je l'écoutais. En tout cas Jean-Luc sache que je me suis inscris sur ta newsletter dés 2017 et que je suis l'un de tes abonnés sur YouTube. L'avenir en morose disais-je car malgré le rouquin ou 2/3 bonnes têtes avec des discours intéressants, (Coucou Ruffin), j'ai du mal à envisager la gagne dans quelques élections que ce soit désormais.

Dés demain je vais chasser du communiste. Ils brisent mon rêve.

Carte blanche?
Macron nique toi.

In Jean-Luc we trust.

@pompon Je suis en osmose avec tes mots PonPon-la-Tulipe. Mais franchement après une excursion parisienne où j'ai pris plusieurs shoot d'adrénaline avec la foule et les vendeurs de Tour Eiffel en plastique (1euro les 5 ça va) je suis super chaud là. De retour à Nantes je me surprends à comparer l'endroit à un boui-boui régional tout juste bon à faire rouler 2 ou 3 carrosses. Je n'aime pas la foule mais ce soir je sens le vent tourner. Je suis parisien.

Après 6 jours à Paris, c'est définitif, je n'aime pas croiser les gens au métro ou sur les boulevards. Plus précisément ceux qui ne bougent pas d'un millimètre pour éviter le contact. Pour ma dernière soirée là-bas j'ai décidé de foncer tout droit et d'entrer en collision. Ras le cul.

@hornet J'ai tapé Elliott Dring et je suis tombé sur l'instagram d'un jeune rouquin avec une houppette qui prends des photos sur un ring ou avec son chat.

@jool Je ne jouerai jamais à Ellen Dring mais j'ai lu ton épopée sur le topic. J'ai sué du sang et des larmes pour toi et je suis ravi qu'un tel jeu transporte et suscite un enthousiasme débordant. (La dernière fois moi c'était The Witcher 3)

@kitsune Dans mes bras.
Moi et les chicots c'est une sale histoire.
Le lundi j'exulte, le jeudi je me pète en rase campagne sur une histoire de croissant aux amandes. Et ça dure depuis 20 ans. C'était bien la peine de nous coller des rails métalliques dans la tronche pendant 3 ans ou de me faire avaler un crayon de bois à l'horizontale en avalant un verre d'eau sans inspirer pour je cite "ouin-ouin ça te permettra de réaligner tes dents qui se décalent comme une pine d'huître". Ha les cons.

@want-wish Balcon 12 Porte N Rang 86 Allée 16 Siège 4. M'étonnerait pas que je me casse la gueule sur la scène à un moment ou un autre.

@kallindra Le prochain dentiste qui me parle de détartrage j'te jure je le colle contre une cage de M.M.A. Merci pour le soutien.
@Elenwey Sachez que j'en suis fortement ravi jeune enfant et merci pour la cassedédi qui fait zizir.

Pour savourer certain bonheur du jour il faut connaitre l’enfer du jour. Ou plutôt l’enfer de la semaine. Alors ce post aura pour tonalité la douleur, la souffrance pour finir par quelques lignes positives. C’est donc quasi un hors-sujet proposé de manière consciente. Un défi lancé dans la mare aux admins que je toise du haut de mes 2m07. Bon. Je. Hm. Bref.

Lundi dernier no rage de ma mentalité de vainqueur. Il reste 15 jours avant les vacances. 15 jours avant d’allez faire le con à Paris et de ne pas être foutu de traverser la route à Montparnasse à cause de la suffocation et du stress. Problème lundi dernier au soir, retour de mes vieux démons : La douleur dentaire. L’espoir du conquistador en slip au sommet de la Tour Eiffel attendra.

Bardé de couronnes dentaires je ressens les premières flèches à l’intérieur de celles-ci. Comme un joueur de tambour qui fait résonner l’ensemble. Tu te dis « il se passe une merde là-dedans mais je ne saurai définir ce que c’est que ce bordel » Une gêne plus qu’une douleur. On verra demain.

Le lendemain je saigne mentalement. Les premiers coups de tonnerre se lance dés le travail. J’attaque mon marathon au paracétamol 1mg. Le soir j’enquille un gant de toilette avec morceau de glaces du congélateur, ça fond en 5 minutes, l’eau moitié jaune dégouline sur mon pauvre capuchon de pyjama, c’est la débandade. J’enfonce le clou avec des Ibuprofène de la mort, anti-inflammatoire qui enflamme deux fois plus mais ça je ne le savais pas encore. L’erreur du débutant. La nuit blanche frappe à la porte.

Mercredi. Il est clair que ça ne passera pas. J’attaque la journée de travail mais c’est la journée de trop. Dans la bouche ça pulse du cul si vous me permettez cet écart. Je mange plus depuis 24 heures et mon formateur me propose à 9h du mat’ une chouquette aux pépites de chocolat. Je reste un homme et j’accepte une triple chouquette. Les pépites cognent à droite au fond de la bouche. Mauvaise idée. Je tabasse les aigus en criant. J’entame la tournée des appels de dentistes. Le mien ? En vacances jusqu’au 29. Les autres ? 4 sur répondeur, 3 fermés le mercredi après-midi, 2 qui m’envoie chier d’entrée de jeu, 1 qui simule un problème réseau alors que j’appelle sur un téléphone fixe.

Les chiffres mentionnés sont exacts car j’ai listé ces petits bâtards sur un bout de papier car c’est moitié illégal de refuser des urgences dentaires. Je les ferai tomber, je les humilierai. Bref, petite virée pour la première fois de ma vie aux urgences après le taf. Ma bonhomie en prend un coup après un discours surréaliste :

*« Il faut allez chez le dentiste monsieur »
« Ha d’accord je ne savais pas »

« Et donc vous avez mal aux dents ? »
« Oui on peut dire ça merci Captain Obvious »*

*« On ne peut rien faire »
« Bah donne-moi du shit pour au moins dormir »

« Vous avez pris des trucs en impro totale depuis le début de vos douleurs ? »
« Oui des Ibuprofène »

« Catastrophe monsieur vous êtes un con, ça ne fait qu’empirer vos douleurs »
« J’ai déjà entendu cette remarque auparavant »*

Je repars avec une liste de la Saint-Patrick assez corsé avec anti-génique, anti-incendie, anti-flamme, anti-douleur, anti-insecticide, anti-zizique et tout ce qui finit en ique.

Jeudi. Nuit blanche totale. Douleurs au sommet. Tête qui frappe le mur. Délire en somnolant à 6h du mat’ ou je rêve que je pars à Tours en prenant un chariot élévateur pour allez frapper mon hôte Air B n B car il m’a carotte de 10 euros. C’est la farandole de l’agonie. Je ne vais pas au travail. Je relance à 9h une tournée d’appels. La tournée de l’espoir. A 9h45 j’ai envie de couiner. Répondeur, refus, vacances, la boucle temporelle. Mon pote vient chez moi et c’est parti pour 130 kilomètres pour allez dans un vrai hôpital avec de vraies urgences.

Je me retrouve face à une borne comme au MacDo. Je stresse. La borne ne marche plus. Les urgences dentaires ferment à 11h35 pour la prise de ticket. Je patiente jusqu’à 13h45 en décidant d’arriver avec 15 minutes d’avances. Une dizaine de personnes étaient déjà chaud patate devant moi. 260 bornes allez retour mais on ne peut rien pour moi en termes d’intervention. Infection sous couronnes, abcès, tutti quanti, hasta la victoria siempre, blablabla, le sale boulot sera à mon dentiste habituel qui est en train de se dorer la zigounette à Biscarosse.

La vénérable professeur-chirurgienne constate que l’ordonnance donnée par les Urgences alakon de la veille est un florilège de n’importe quoi et qu’il s’agit d’un dosage destiné à un enfant de 10 ans. Je reçois un traitement de 8 jours pour couper la douleur.

Jugez plutôt le menu :

Paracolaxe sur son lit de codéine en entrée + DitroSpigouigoui chépakoi accompagné de son Métrozinadole à 2mg versus Hirochlodurarix en comprimé. Les Kinder Pingui et les Doliprane c’est fini ces conneries, on passe aux choses sérieuses.

En gros, passer 8 jours c’est au petit bonheur la chance, bisou dans ton âme, cœur avec les doigts. Le soir même j’ai vu des licornes un peu efféminées tenter de m’attaquer à la jugulaire. Ha mes salopards j’ai vu du pays.

Puis la bascule. Lente et progressive. Le traitement élite premium fait effet malgré mes visions d’animaux mythologiques entre 3 et 6 heures du matin. Hier, dimanche, la douleur se transforme en petite gêne. Je reprends goût à la vie. J’écris un poème sur l’oxygène, je vais jeter un bout de pain dur comme un barreau de chaise à un canard. La vie. Toujours pas de rendez-vous dentiste mais les antibios à base de titane de chibrarium font effet.

Alors dans un geste sûr et vindicatif je décide de transfigurer ma soirée. Après une semaine merdique côté à 8 sur l’échelle de Richter de la souffrance, je m’autorise un programme imprévu pas piquer des hannetons pour mon excursion parisienne.

Pif Paf Pouf dans le cul la balayette comme on dit dans les banlieues, je me retrouve sur le site de Paris-Bercy à réserver deux billets pour le concert de Hans Zimmer en exclu mondiale de la mort qui tue.

Bam le carré VIP. 190 euros le billet ? Rien à péter. Je pèse dans le game. 400 balles cash que je sors. A l’instinct. 400 balles pour écouter Hans et son orchestre, sucer du homard, me bourrer la gueule avec du Rosé et saluer de loin Marion Cotillard et tout ce petit monde.

Spoiler

Bon en vrai je suis un prolo alors j’ai pris les places les moins chères. Le genre de places les moins chers qui te fait quand même un trou sur ton compte chèque et un trou dans l’âme tellement ils abusent les cochons, tout ça pour une visibilité quasi-réduite de 75%, de côté, au balcon, derrière un poteau d’extincteur qui n’a même pas de certificat de norme européenne. Mais bon lâcher cash 400 balles et sucer un homard c’était une vanne qui me tenait à cœur.

Bref ça reste mon petit bonheur du jour et ça m’excite l’esprit. Pour le reste, croisons les chicots.

Si on m'aurait dit que de mon vivant je verrai au coude à coude une Haas et une Mercedes à la bagarre.

@Hornet Un commissaire de piste viré pour avoir souhaité à Hamilton un accident comme celui de Grosjean, les usines qui pètent à quelques kilomètres, Gasly qui immobilise sa caisse à 30mn des qualifs. Bon, c'est parti pour un week-end un peu merdique là.

Salut les copines.
83 heures de jeu dans ma gueule de mort et 70 en pourcentage accompli dans le jeu. La carte commence a s'éclaircir. Bon je ne vais pas mentir les 127 flammegemmes et les 92 fleurs de métal qui restent j'ai la flemme de tous les faire. Sinon j'ai enfilé toutes les runes de relique de chépakoi, avec des énigmes que j'ai enfilé les doigts dans les narines.

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Merci les soluces sur internet parce que dépasser une caisse d'un point A à un point B c'est manifestement des actions nécessitant un QI supérieur à 64 donc supérieur au mien.

J'ai collecté 10 boîtes noires sur 12 et là c'est clairement dans mes standards intellectuels car y a juste à défoncer une soute à bagages à coup de tatane dans la gueule à l'arrière du cargo. Il me reste un panorama à aligner également.

Pour la quête principale

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Je viens de finir la cabane de Ted Faro pour allez chercher son autorisation Alpha du Centaure pour partir à la pêche d'Héphaistos un de ces jours.

Je ponce, je ponce, je ponce les missions secondaires mais non d'une pipe ça n'arrête jamais ! Et ça commence à partir en couilles, l'impression de quêtes Fedex commence à se faire sentir il est temps que ça se calme. De toute façon étant level 47 je sens que rapporter une queue de gyrodorse à un Tennack perdu dans les bois parce que sa grand-mère a couché avec un Carja de l'Ombre ça va me bassiner de bonne heure.

J'ai testé l'arène. L'ARENE. Le stade de la douleur. L'antre des veines qui éclatent sous l'effet conjugué de la suffocation, de la sueur et des larmes. En difficile. Niveau 1. Violé par un Tunnelier puceau. Dont acte.
J'ai réussi au final les 4 premiers niveaux à chaque fois dans la seconde près. Ils abusent au niveau du timer. Le 2éme volet de l'arène j'ai eu un Ravageur qui ravage. Premier coup de canon, première mort. J'ai arrêté. Mais comme j'ai récolté un gros nombre de médailles dans les zones de chasses ou j'ai claqué les machines comme jamais je me suis offert un arc légendaire de guerrier pas piqué des hannetons qui envoie la sauce niveau électricité comme il faut. J'ai électrisé le slip d'un galop-griffe acide en une flèche alors forcément si on met de côté l'arène, j'arrive à gicler les gros boss sans trop stresser grâce notamment à l'ajout de mon armure qui optimise mes chances de bouffer mes baises médecinales par paquet de 12. Bref l'aventure continue malgré quelques effets de redondances inévitables. J'irai aux 100 heures de jeu, je freine pour la quête principale et désormais je vais enfiler 2/3 creusets histoire de coller ma lance dans la prise électrique de + de machines !

Vettel covidė du cul. Nico Hülkenberg le pompier de service le remplace au pied levé.

@lapin Les 2 mon capitaine. Je chassais la charognarde en troupeau, j'étais dans un buisson au calme et je balançais tout mon stock de pierre mais rien à faire la gourde allait à droite quand je l'attendais à gauche. Du coup j'y ai été à l'instinct et je me suis placé face à son derrière pour lui coller ma lance (pour du piratage soyons très clair) mais la barre de pirate n'a pu allez à son terme car un Colalozoptère énervé m'a flingué. Sinon Mélopée c'est funky oui. Avec les tricératops qui sèment des carottes autour et la vue imprenable au sommet de la tour écolo c'est l'un des beaux moments du jeu jusque là, je plussoie.

@cuillère J'ai claqué mon premier griffe de gel moi aussi ces dernières 24 heures. J'avais fait le DLC de Horizon donc pas surpris par l'allure de salopard de ce gorille-bondisseur.
Ha ouais t'es chaudard n'empêche, Stargate à droite, la chasse aux pigeons à gauche. Moi l'autre jour j'ai essayé de la jouer finasse, j'étais au téléphone avec madame et en même temps j'étais en train de pirater une charognarde mais j'me suis fait griller. Si tu as des techniques je prends. Sinon j'attends toujours l'outil pour les fleurs de métal parce que j'ai un tiers de la carte avec des blocages de chemin et c'est relou. Mais comme je déteste rusher les quêtes principales et que je ponce la zone avant d'avancer ben c'est les serpents qui se mordent la queue car comme j'ai pas les outils, je peux pas explorer à fond du coup j'avance dans la quête principale mais je regrette de trahir ma façon de voir les choses alors je retourne écumer les zones secondaires qui me bloque et je finis par ramasser des herbes médecinales alors que j'en ai + de 1600 dans le coffre. Jeu infernal.

Finalement j'accorde une dernière chance au vélociraptor.